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Le silence de Najat Vallaud-Belkacem


prof désécol

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http://www.marianne.net/supplement-malaise-vallaud-belkacem-face-musulman-normal-sexiste-100239699.html

"Le Supplément" : malaise de Vallaud-Belkacem face à un "musulman normal"… sexiste

Refusant de serrer la main aux femmes ou de condamner l'Etat islamique, le dirigeant de l'association humanitaire islamique Barakcity, Idriss Sihamedy a livré ce dimanche midi sur Canal + une vision très personnelle de l'Islam "normal". En présence d'une ministre de l'Education très gênée, jusqu'à en oublier de rappeler les fondamentaux de la République...Un Supplément… de malaise sur Canal +. Ce dimanche 24 janvier, l'émission hebdomadaire recevait comme invitée politique Najat Vallaud-Belkacem. Après son interview, la ministre de l'Education a assisté à la diffusion d'un reportage sur une association humanitaire islamique, Barakacity, dont l'un des membres, Moussa, est retenu prisonnier au Bangladesh où il venait en aide aux Rohingyas, une minorité musulmane opprimée.

Le malaise s'installe après la diffusion du sujet, quand le président de l’ONG, Idriss Sihamedi, s'exprime sur le plateau. Si tout le monde s'accorde à dire que les raisons pour lesquelles Moussa est emprisonné au Bangladesh sont pour le moins obscures, tout aussi obscurs sont les positionnements du responsable de Barakacity, qui revendique avoir levé pas moins de 16 millions d'euros de dons en trois ans tout en restant très évasif sur leur origine précise ("Ce sont des particuliers, des footballeurs aussi"). Son organisation intervenant en Syrie, elle a fait l'objet récemment de l'attention des autorités, qui ont notamment mené des perquisitions dans ses locaux (lui-même pense faire l'objet d'une fiche S). Ce qui ne lasse pas d'étonner Idriss Sihamedi, qui se revendique comme "un musulman normal", tout au plus "orthodoxe". Soit.

Mais en fait de "normalité", le reportage a surtout révélé que l'association semble avoir un problème avec ses membres féminins, qui n'apparaîtront à aucun moment dans le sujet, ni sur le site Internet de Barakacity, contrairement à leurs homologues masculins qui y ont droit à leur photo. En plateau, l'animateur Ali Baddou aborde donc le sujet, en demandant à Idriss Sihamedi si par exemple il sert la main des femmes. L'"orthodoxe" répond sur le ton de l'évidence : "Non, comme certains rabbins, je ne serre pas la main aux femmes". Pas sûr que beaucoup de musulmans en France se reconnaissent dans cette vision de l'islam. Najat Vallaud-Belkacem, elle, reste interdite devant cette manifestation éclatante de normalité.

La gêne s'amplifie quand est abordé le sujet de l'Etat islamique. Au cours du reportage, Idriss Sihamedi expliquait que son ONG s'adresse notamment aux jeunes désireux d'aller faire le djihad en Syrie, en leur offrant "une belle alternative", "un djihad pacifique, humanitaire" venant en aide aux Syriens qui souffrent. Mais quand Ali Baddou lui demande donc son positionnement à l'égard de l'Etat islamique, sa réponse est pour le moins contorsionnée : "Ce n'est pas qu'on ne condamne pas l'Etat islamique, c'est qu'on essaye d'avoir une certaine pédagogie pour essayer de discuter avec les jeunes et pour leur faire comprendre qu'on est une alternative qui est bien, qui est pacifique". Sentant venir l'entourloupe, la ministre lève les yeux au ciel.

Devant l'insistance du journaliste, Idriss Sihamedi botte en effet en touche avec une mauvaise foi absolue : "Ce n'est pas équitable, ce n'est pas juste de poser la question à un musulman comme moi parce que je suis musulman". Comme si la question lui était posée du fait de son appartenance religieuse, et non des activités de son ONG en Syrie. Finalement, il finira par lâcher : "Barakacity (…) condamne toutes les exactions commises par des groupes armés, des gouvernements, des juntes, etc. (…) S'ils tuent, s'ils brûlent des gens dans des cages etc, je ne vais pas vous dire oui, s'ils tirent sur des femmes enceintes, je ne vais pas vous dire 'non je ne condamne pas', donc je pense que oui...". Là encore, comme si ces exactions, que l'Etat islamique revendique à coup de vidéos monstrueuses, avaient besoin de conditionnels pour être condamnées.

http://www.leparisien.fr/politique/video-la-droite-juge-vallaud-belkacem-trop-tendre-avec-barakacity-25-01-2016-5483447.php

«On est un peu gênés de la réponse pour tout vous dire», lâche Ali Baddou, présentateur de l'émission, qui se tourne alors vers Najat Vallaud-Belkacem et lui demande si elle a envie de réagir. «Non», réplique d'abord la ministre, qui était aussi restée silencieuse quelques minutes auparavant lorsque Idriss Sihamedi avait déclaré ne pas serrer la main aux femmes «comme certains rabbins». Mais Najat Vallaud-Belkacem, qui tient à faire la part entre la situation de Moussa Tchantchuing et les propos d'Idriss Sihamedi, reconnaît toutefois son malaise : «C'est une association qui porte une façon de voir les choses qui n'est pas la mienne, à laquelle je ne souscris pas et qui me mets mal à l'aise honnêtement sur ce plateau, donc je ne rajouterai rien

[...]

«Savez-vous Mme Vallaud-Belkacem que, dans notre République, le respect des femmes n'est pas une opinion mais un principe ?», a lui réagi Guillaume Peltier, porte-parole des Républicains. Selon Europe 1, le sénateur des Hauts-de-Seine Roger Karoutchi a même souhaité que la ministre fasse un communiqué pour condamner les propos tenus par le représentant de BarakaCity.

Ce qui a été fait quelques heures plus tard, ce lundi après-midi. Sur sa page Facebook, Najat Vallaud Belkacem a tenu «à ne laisser subsister aucune ambiguïté» après «l'intervention inacceptable» d'Idriss Sihamedi. «Au-delà de la sidération provoquée par le refus inadmissible (...) de condamner clairement Daesh, les propos de cet individu mettent en cause les principes fondamentaux de notre République, notamment l’égalité entre les femmes et les hommes», écrit la ministre. «C’est la raison pour laquelle j’ai non seulement exprimé mon profond désaccord, mais aussi refusé d’engager un débat avec un individu qui se situe en dehors du champ républicain.»

Comment, avec tout cela, exiger de l’École et de ses personnels un positionnement républicain exemplaire ?

Modifié par prof désécol
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Honnêtement, je ne supporte pas NVB mais j'ai regardé l'émission et, surtout si elle était en direct, j'ai davantage ressenti sa réponse comme un désaccord avec le type que comme un réel malaise.

Peut-être aussi que sa position lui interdisait de s'exprimer officiellement au nom du gouvernement.

Après, j'entends aussi les critiques...

Et quelque part, au premier abord, j'étais fâchée après l'émission "bobo" d'avoir fait un si beau reportage sur cette association puis invité le type en plateau, mais en y réfléchissant ensuite, il me semble que justement, le traiter comme les autres invités et lui poser ces questions directes auxquelles il a finalement répondu (il ne condamne pas l'EI et a une pratique extrémiste de l'Islam) a évité qu'il se place en victime.

Il s'est révélé lui-même.

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Honnêtement, je ne supporte pas NVB mais j'ai regardé l'émission et, surtout si elle était en direct, j'ai davantage ressenti sa réponse comme un désaccord avec le type que comme un réel malaise.

Mais justement, il ne s'agit pas ici d'exprimer un simple désaccord mais de rappeler un principe.

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Peltier se moque du monde. Les démonstrations de sexisme de ses collègues à l'assemblée (contre Duflot pare exemple) sont bien documentées. Hypocrite, va.

Et en prime, il nous oblige à défendre des gens comme NVB...

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http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/01/25/31003-20160125ARTFIG00280-un-integriste-sur-le-plateau-de-canal-celine-pina-interpelle-najat-vallaud-belkacem.php

Un intégriste sur le plateau de Canal + : Céline Pina interpelle Najat Vallaud-Belkacem

Céline Pina est conseillère régionale PS du Val d'Oise.

FIGAROVOX/ENTRETIEN - Céline Pina dénonce l'absence de réaction de la ministre de l'éducation nationale, confrontée au dirigeant de l'association islamique Baraka City. Elle y voit le symbole d'une classe politique paralysée par ses contradictions.

La réaction de la ministre de l'Education nationale, ancienne ministre du droit des femmes a-t-elle été à la hauteur?

Bien sûr que non. L'image en elle même est désastreuse: on voit une ministre de la république, paralysée devant un salafiste, qui enchaîne les provocations, répondre «rien» quand on lui demande si elle a quelque chose à dire. Pour ajouter ensuite qu'elle ne partage pas son opinion, comme si l'égalité entre les femmes et les hommes ou la violence terroriste étaient une question de point de vue…

Ce faisant elle oublie que l'égalité femmes/hommes est un principe constitutif de notre monde commun et que le rôle du politique est de donner substance à ces principes et idéaux, de les incarner et de les faire vivre. Ils sont pourtant beaux ces idéaux qui prônent l'égalité des hommes devant la loi au nom de leur humanité commune, qui ne veulent pas que nos inégalités de naissance se figent en inégalités de destin, qui rendent à l'homme le pouvoir de s'émanciper pour essayer de trouver sa voie et partir à la rencontre de l'autre. Nos libertés sont belles et exigeantes qui nous demandent de ne pas être le porte-drapeau de nos particularismes pour nous élever vers l'intérêt général, mais elles ne seront opérantes que si elles sont connues et transmises. Or la transmission passe d'abord par la parole, le récit, l'affirmation. La transmission explicite son mode qui était là avant nous et qui nous survivra, lui donne un sens et nous donne un rôle, celui d'être à notre tour des créateurs pour faire vivre et évoluer ce monde que ceux qui nous ont précédé ont essayé de construire.

Or notre ministre s'est réfugiée dans le silence et la gêne. Cette gêne verbalisée est aussi difficile à comprendre que le silence constaté. Il n'y avait pas de gêne à avoir: c'était la parole du militant salafiste qui était choquante et illégitime et elle n'eût pas dû susciter la gêne, mais la colère et la réfutation.

Il y a là clairement, de la part de notre ministre de l'éducation, impossibilité d'assurer et d'assumer la fonction de légitimation de notre système politique. Or c'est un des rôles majeurs du politique. Ce faisant c'est «ce que nous sommes», ce pour quoi nous sommes attaqués, auquel nos politiques n'arrivent pas à donner corps et sens, nous laissant orphelin de représentation et à la merci des discours extrêmistes. [...]

Au-delà de la personne de Najat Vallaud-Belkacem, cette scène symbolise le malaise de la classe politique et en particulier de la gauche face à l'islamisme radical?

Ce qui est arrivé à la ministre de l'éducation aurait pu arriver à presque tous les membres de notre classe politique, droite et gauche confondue. Mais la gauche a un double problème, elle abrite en son sein des islamo-gauchistes, qui sont bien plus que les idiots utiles des islamistes. Ils en deviennent leurs hommes de main et leur servent de caution morale et de certificat de respectabilité. Ils assurent même leur sale boulot de délégitimation de nos principes laïques et républicains, en essayant de faire passer tous les lanceurs d'alerte pour des islamophobes et en leur reprochant de faire le jeu du FN. Ils ont manifestement tout compris des stratégies d'intimidation des islamistes et les mettent en œuvre au sein de la gauche et à l'intérieur des partis, chassant les républicains pour les remplacer par des communautaristes ou des hommes sans conviction, pour qui la politique est un plan de carrière.

Comme les islamistes, cette gauche-là a intérêt à l'amalgame musulman=islamiste. Pour deux raisons: pour pouvoir l'exploiter dans les faits et le dénoncer dans le discours. Comme cela, sous couvert de défendre une cause en soi inattaquable: la liberté de culte, la tolérance ; ils favorisent une démarche de déstabilisation de la société: l'islamisme. Puis ils utilisent le risque d'amalgame que d'autres pourraient faire, comme le FN, pour interdire toute référence à l'islam dans l'analyse du phénomène… Mais les dernières élections et la déperdition de leurs militants montrent que cette stratégie les déconnecte du réel et n'est pas en prise avec la société. Pour autant elle sature notre paysage médiatique qui n'a jamais semblé aussi éloigné des réalités de notre pays et offre des tribunes à des personnes qui ne représentent pas grand chose. [...]

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Honnêtement, je ne supporte pas NVB mais j'ai regardé l'émission et, surtout si elle était en direct, j'ai davantage ressenti sa réponse comme un désaccord avec le type que comme un réel malaise.

Mais justement, il ne s'agit pas ici d'exprimer un simple désaccord mais de rappeler un principe.

Avec le recul, sûrement, mais sur le coup, c'était peut-être difficile ...

Par contre, il serait bien qu'elle fasse maintenant un communiqué.

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Honnêtement, je ne supporte pas NVB mais j'ai regardé l'émission et, surtout si elle était en direct, j'ai davantage ressenti sa réponse comme un désaccord avec le type que comme un réel malaise.

Mais justement, il ne s'agit pas ici d'exprimer un simple désaccord mais de rappeler un principe.

Avec le recul, sûrement, mais sur le coup, c'était peut-être difficile ...

Par contre, il serait bien qu'elle fasse maintenant un communiqué.

je rappelle que NVB fait partie des gens pour qui nous sommes co responsables des attentats (j'exagère à peine) et qui laisse son ministère commettre la lamentable pub contre le harcèlement qui te fait, en tant que PE et femme, passer pour une cruche même pas fichue de repérer un gamin en souffrance, tout en ricanant quand on lui parle de nos salaires.

De la part de quelqu'un qui nous donne autant de leçons en étalant de grands principes socio libéraux creux (tu reprendras bien un peu d'EMC?), on pourrait s'attendre à un peu plus d'a propos et de fermeté sur les principes qu'elle prétend défendre.

Peltier se moque du monde. Les démonstrations de sexisme de ses collègues à l'assemblée (contre Duflot pare exemple) sont bien documentées. Hypocrite, va.

Et en prime, il nous oblige à défendre des gens comme NVB...

De cet ancien du FN, on ne va pas attendre un propos honnête. Il est bien chez LR !

C'est la chance de NVB: une bonne partie de ses détracteurs sont lamentables.

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Attention, je ne soutiens pas particulièrement cette personne. Simplement, j'a regardé cette émission hier midi.

Tiens, NVB est sur la Chaîne Parlementaire où on la suit dans ses déplacements.

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De la part de quelqu'un qui nous donne autant de leçons en étalant de grands principes socio libéraux creux (tu reprendras bien un peu d'EMC?), on pourrait s'attendre à un peu plus d'a propos et de fermeté sur les principes qu'elle prétend défendre.

Exactement.

Ce silence aurait pu être légitimement reproché à n'importe quel autre ministre le cas échéant, mais ici, fait aggravant, il s'agit d'une ministre qui nous place par exemple en première ligne pour défendre une charte de la laïcité sans réelle formation, qui laisse les personnels se débrouiller seuls face aux polémiques apparues lors de l'épisode égalité filles/garçons.

Un comble aussi, ce silence, pour quelqu'un qui a été ministre... des Droits des Femmes.

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De la part de quelqu'un qui nous donne autant de leçons en étalant de grands principes socio libéraux creux (tu reprendras bien un peu d'EMC?), on pourrait s'attendre à un peu plus d'a propos et de fermeté sur les principes qu'elle prétend défendre.

Exactement.

Ce silence aurait pu être légitimement reproché à n'importe quel autre ministre le cas échéant, mais ici, fait aggravant, il s'agit d'une ministre qui nous place par exemple en première ligne pour défendre une charte de la laïcité sans réelle formation, qui laisse les personnels se débrouiller seuls face aux polémiques apparues lors de l'épisode égalité filles/garçons.

Un comble aussi, ce silence, pour quelqu'un qui a été ministre... des Droits des Femmes.

+1

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La vidéo de la discussion à l'assemblée nationale:

sur le blog de JM Morandini:

http://www.jeanmarcmorandini.com/article-348615-a-l-assemblee-nationale-najat-vallaud-belkacem-interpellee-sur-son-silence-sur-le-plateau-de-canal-plus-dimanche-dernier.html

A l'Assemblée Nationale, Najat Vallaud-Belkacem interpellée sur son silence sur le plateau de Canal Plus dimanche dernier
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La ministre a finalement réagi lundi après-midi, via un post publié sur sa page Facebook.

À la suite des réactions suscitées par l’intervention inacceptable du président d’une association lors de l’émission « Le Supplément » diffusée hier sur Canal+, je tiens à ne laisser subsister aucune ambiguïté.

Au-delà de la sidération provoquée par le refus inadmissible, et inédit à ma connaissance dans ce type d’émission, de condamner clairement Daesh, les propos de cet individu mettent en cause les principes fondamentaux de notre République, notamment l’égalité entre les femmes et les hommes. C’est la raison pour laquelle j’ai non seulement exprimé mon profond désaccord, mais aussi refusé d’engager un débat avec un individu qui se situe en dehors du champ républicain.

En tant que ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, j’ai engagé une mobilisation inédite de l’école pour transmettre et faire vivre les valeurs de la République, avec une exigence : ne laisser prospérer aucune atteinte à ces valeurs. C’est le sens des efforts sans précédent consacrés à la formation des enseignants, à la production de ressources pédagogiques nouvelles, à la création d’un enseignement moral et civique et à l’affirmation de règles claires pour faire respecter pleinement le principe de laïcité.

Notre pays tout entier est aujourd’hui mobilisé dans la guerre que lui livrent le terrorisme et l’obscurantisme. Les propos scandaleux tenus dans cette émission rappellent l’exigence de toujours opposer la pensée à la barbarie, sans jamais la rabaisser à la polémique.

une jolie prose, bien écrite par ses conseillers en communication, pour notre jolie ministre.

On aurait préféré qu'elle exprime tout ça sur le plateau d'Ali Baddou.

C'est nous qui devons avoir réponse à tout, tout de suite, et gare si on dit un mot de travers dans le feu de l'action. :wink:

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