corazon Posté(e) 26 février 2019 Auteur Posté(e) 26 février 2019 J'avais beaucoup aimé Le lecteur de cadavres. J'ai commencé Tokyo de Mo Hayder Grey débarque à Tokyo dans le but de retrouver une vidéo qui prouverait les atrocités commises par les Japonais à Nankin en 1937. Un homme peut l'aider. Survivant du massacre et maintenant professeur, il se méfie de la jeune femme. Celle-ci accepte un emploi d'hôtesse dans un club de luxe et rencontre un vieillard en fauteuil roulant qui possède un élixir qui attire bien des convoitises.
MissTiQ Posté(e) 26 février 2019 Posté(e) 26 février 2019 J'avance pas des masses dans J'ai encore menti ! Je pense commencer autre chose
Mahina Posté(e) 27 février 2019 Posté(e) 27 février 2019 Il y a 13 heures, MissTiQ a dit : J'avance pas des masses dans J'ai encore menti ! Je pense commencer autre chose Ah, je suis en train de le lire aussi !
MissTiQ Posté(e) 27 février 2019 Posté(e) 27 février 2019 Il y a 2 heures, Mahina a dit : Ah, je suis en train de le lire aussi ! Tu en penses quoi ?
Mahina Posté(e) 27 février 2019 Posté(e) 27 février 2019 Il y a 6 heures, MissTiQ a dit : Tu en penses quoi ? Je n'en suis qu'au tout début mais pour le moment ça me plaît !
delph56 Posté(e) 27 février 2019 Posté(e) 27 février 2019 J'ai commandé le nouveau roman de Sophie Tal Men qui sortait aujourd'hui "Qui ne se plante pas ne pousse jamais". J'avais adoré ses romans précédents alors j'ai sauté sur celui-ci dès sa sortie
MissTiQ Posté(e) 27 février 2019 Posté(e) 27 février 2019 il y a 6 minutes, delph56 a dit : J'ai commandé le nouveau roman de Sophie Tal Men qui sortait aujourd'hui "Qui ne se plante pas ne pousse jamais". J'avais adoré ses romans précédents alors j'ai sauté sur celui-ci dès sa sortie Je l'avais noté aussi il y a 15 minutes, Mahina a dit : Je n'en suis qu'au tout début mais pour le moment ça me plaît ! Ok
nellou Posté(e) 1 mars 2019 Posté(e) 1 mars 2019 J'ai lu "Apnée noire" de Claire Favan. «Vêtue d’un pyjama en satin écru, la jeune femme repose dans une baignoire remplie, en position de fœtus inversé. Ses mains et ses chevilles sont étroitement liées derrière son dos et elle flotte encore avec un soupçon de grâce. » A Columbia, sur la côte est des États-Unis, c’est la scène macabre que découvre le lieutenant Sandino. Officier intègre, c’est aussi un homme brisé depuis la disparition de sa famille. Pour mener cette enquête, il doit collaborer avec Megan Halliwell, l’agent du FBI qui a permis l’année précédente l’arrestation de Vernon Chester, un tueur psychopathe qui vient d’être exécuté. Très vite pourtant, il apparaît que ce dernier meurtre présente des ressemblances troublantes avec les crimes commis par Chester. Comment est-ce possible ? Tandis que Megan n’ose imaginer le pire, une erreur judiciaire, Sandino se concentre sur certaines incohérences. De discordes en silences la relation des deux policiers évolue, alors que chaque jour le tueur semble se rapprocher d’eux, omniprésent et insaisissable… Pas mal mais Claire Favan a fait mieux J'ai commencé le dernier Michel Bussi "J'ai dû rêver trop fort". Les plus belles histoires d'amour ne meurent jamais. Les plus belles histoires d’amour ne meurent jamais. Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente. Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ? Qui s’évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ? Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu’on peut remonter le temps ? En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, J’ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cœurs qui battent trop fort.
mymily Posté(e) 2 mars 2019 Posté(e) 2 mars 2019 Ici on a trouvé le dernier M.Malzieu à la bibli ce matin ! J'ai hâte !!!!!!
audad Posté(e) 3 mars 2019 Posté(e) 3 mars 2019 Je viens de terminer La disparue de la cabine n° 10 de Ruth Ware, conseillée ici. J'ai beaucoup aimé cette lecture. Citation Une semaine à bord d'un yacht luxueux, à sillonner les eaux du Grand Nord avec seulement une poignée de passagers. Pour Laura Blacklock, journaliste pour un magazine de voyage, difficile de rêver d'une meilleure occasion de s'éloigner au plus vite de la capitale anglaise. D'ailleurs, le départ tient toutes ses promesses : le ciel est clair, la mer est calme et les invités très sélects de l' Aurora rivalisent de jovialité. Le champagne coule à flot, les conversations ne manquent pas de piquant et la cabine est un véritable paradis sur l'eau. Mais dès le premier soir, le vent tourne. Laura, réveillée en pleine nuit, voit la passagère de la cabine adjacente être passée par-dessus bord. Le problème ? Aucun voyageur, aucun membre de l'équipage ne manque à l'appel. L' Aurora poursuit sa route comme si de rien n'était. Le drame ? Laura sait qu'elle ne s'est pas trompée. Ce qui fait d'elle l'unique témoin d'un meurtre, dont l'auteur se trouve toujours à bord...
cannel Posté(e) 3 mars 2019 Posté(e) 3 mars 2019 J'ai lu sur des recommandations trouvées ici Le Lecteur de cadavres de Antonio Garrido et j'ai enchainé sur Le dernier paradis, du même auteur. New York, années 1930. Renvoyé parce que juif de l’usine Ford où il travaillait, Jack Beilis retourne habiter chez son père, Solomon, alcoolique et endetté. Sans travail et sans argent, ils ne parviennent pas à payer le loyer au propriétaire, Lukas Kowalski. Un soir, alors que celui-ci débarque avec deux hommes de main, un coup de feu part et Kowalski s’effondre. Persuadé qu’il va être accusé de meurtre, Jack veut fuir le pays. Il s’embarque avec son ami Andrew, militant communiste de la première heure, pour le « paradis des travailleurs ». Des États-Unis de la Grande Dépression aux steppes enneigées de l’Union soviétique, Antonio Garrido aborde un pan méconnu et captivant de l’histoire de ces deux pays que tout opposait : l’émigration de travailleurs américains plongés dans la misère vers cette terre de la grande promesse qui leur faisait miroiter le « dernier paradis ». J'ai adoré le premier et bien aimé le second. En plus léger, je viens de finir la Vallée des oranges de Béatrice Courtot. L'histoire est sympa avec ses flash back historiques sur la guerre civile espagnole mais l'histoire d'amour un peu à l'eau de rose derrière me laisse "assez de marbre". A classer dans la catégorie lecture de vacances légère. Marseille, 2016 En démontant le faux plafond d'un hôtel en travaux, un ouvrier tombe sur une boîte en fer rouillée contenant les souvenirs d'une vieille dame. Magdalena. Mais que se cache-t-il derrière cette photo de mariage ? Son arrière-petite-fille, tenancière du Café de l'Ensaïmada, une institution culinaire à Paris, décide alors de partir à la recherche de ses origines majorquines qu'elle ignorait jusqu'alors. Elle quitte son quotidien épuisant pour la douceur et le farniente méditerranéens. Dès son arrivée sur l'île, Anaïs va réveiller des secrets de famille cachés depuis des générations. Mais la tâche ne s'avère pas si facile. Miquel, le nouveau propriétaire de l'orangeraie qui appartenait à son aïeule, ne se montre pas du tout coopérant. Majorque, 1935 Magdalena, jeune pâtissière, confectionne chaque jour des ensaïmadas, ces brioches majorquines entortillées et saupoudrées de sucre glace. Très vite, la guerre civile espagnole frappe aux portes de son village qui devient le théâtre d'affrontements sanglants et de drames familiaux. Au péril de sa vie, Magdalena s'engage alors dans la résistance, avant de devoir s'enfuir vers la France.
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