MissTiQ Posté(e) 17 avril 2019 Posté(e) 17 avril 2019 Il y a 2 heures, didouny a dit : Non pas encore. En ce moment je lis "Cherche ton bonheur partout" d'Agnès Abécassis. Régine et Tom s’aiment. D’ailleurs, ils vivent ensemble. Presque. Quasiment. Disons qu’ils se fréquentent. Enfin, ils se fréquentent… Où en est leur relation, exactement, quand Tom veut du concret, et que Régine refuse de s’engager ? Mais un événement imprévu va la forcer à prendre une décision. Et elle choisit : la panique. Et la fuite, au volant de sa voiture. Tout plaquer, pour jouir de sa liberté, tant qu’elle le peut encore. Sauf qu’en voulant filer à l’anglaise, elle va se faire happer par le pire des pots de colle : Olga, la mère de Tom… Monique a la soixantaine, et autant de complexes. Plus de mari, des enfants partis vivre leur vie, aussi s’est-elle résolue à finir la sienne en tête à tête avec son chat. Mais la solitude, c’est d’un ennui… Alors, quand son amie Lutèce propose de la convier à une soirée de célibataires, elle accepte. Mais était-ce une si bonne idée? L’amour, c’est pas facile tous les jours. Mais le bonheur, ça se cherche. Partout. Il me fallait un truc léger après avoir lu "Toutes blessent, la dernière tue". Je note il y a une heure, cajou a dit : Je viens de finir "Un peu, beaucoup, à la folie" de Liane Moriarty (Le secret du mari, Petits secrets et grands mensonges ...). Comme toujours avec cette auteur, on sent la tension monter, on se demande ce qui a bien pu se passer avec les aller et retour dans le fil de l'histoire ... Pas mal du tout ! Je l'ai dans ma PAL
tijona Posté(e) 17 avril 2019 Posté(e) 17 avril 2019 Pareil "changer l eau des fleurs" j ai adoré. Super touchant ce livre. "La cuisiniere" j avais bien aimé pour le côté historique et vrai. "Les oubliés du dimanche" est dans ma liseuse.
Lolita Posté(e) 17 avril 2019 Posté(e) 17 avril 2019 Il y a 1 heure, Bountygong a dit : j'ai commencé "changer l'eau des fleurs" J'ai beaucoup beaucoup aimé aussi. Je ne savais pas du tout de quoi il s'agissait quand je l'ai commencé et ça a été une belle surprise !
aqua897 Posté(e) 18 avril 2019 Posté(e) 18 avril 2019 Le bonheur n'a pas de rides, Anne-Gaëlle Huon J'ai beaucoup aimé. On passe du rire aux larmes. Il n'est jamais trop tard pour tout recommencer. Le plan de Paulette, 85 ans, semblait parfait : jouer à la vieille bique qui perd la tête et se faire payer par son fils la maison de retraite de ses rêves dans le sud de la France. Manque de chance, elle échoue dans une auberge de campagne, au milieu de nulle part . La nouvelle pensionnaire n'a qu'une obsession : partir, le plus vite possible ! Mais c'est sans compter sur sa fascination pour les autres occupants et leurs secrets. Que contiennent ces mystérieuses lettres trouvées dans la chambre de Monsieur Georges ? Et qui est l'auteur de cet étrange carnet découvert dans la bibliothèque ? Le jour où son grand âge se rappelle à elle, Paulette réalise qu'elle peut compter sur cette bande d'excentriques et que les années ne comptent pas pour découvrir l'amitié. Car au final, ces rencontres vont changer sa vie et, enfin, lui donner un sens.
MissTiQ Posté(e) 18 avril 2019 Posté(e) 18 avril 2019 J'ai fini Tout ce qui nous répare et j'ai bien aimé Pas le livre de l'année mais vu que dernièrement, pas lu de livres qui m'ont marquée, celui-là en tout cas m'a plu, je l'ai lu rapidement, javais besoin de quelque chose de léger et c'est tout ce qu'il me fallait
MissTiQ Posté(e) 19 avril 2019 Posté(e) 19 avril 2019 Commencé hier et fini ce matin Ce qui ne tue pas de Rachel Abbott Citation Rivalité féminine, faux-semblants, manipulation et vengeance mortelle... La reine du polar anglais revient en force avec un thriller aussi retors qu'addictif. Cleo North sait qu'elle devrait se réjouir pour son petit frère Marcus. Pourtant, rien n'y fait, elle ne sent pas du tout sa nouvelle compagne, Evie, et voit d'un très mauvais œil l'influence croissante de la jeune femme sur son frère. Et puis que signifie cette propension à se blesser " accidentellement " sans arrêt ? Une manière d'attirer encore davantage l'attention de Marcus ? Comme si son pauvre frère, cet artiste si talentueux et si vulnérable, n'avait pas été déjà assez éprouvé par le décès de sa première épouse... Un soir, un appel à la police, deux corps retrouvés dans la somptueuse demeure des North. Celui de Marcus sans vie, celui d'Evie ensanglanté. Un jeu sexuel scabreux ? Une dispute qui aurait mal tourné ? Derrière les apparences, qui est le bourreau et qui est la victime ? À travers les voix d'Evie et de Cleo, deux visages du défunt émergent. Pour l'agent Stephanie King commence l'enquête la plus brutale, la plus ahurissante de sa carrière.
lilimay Posté(e) 19 avril 2019 Posté(e) 19 avril 2019 J'ai terminé "ici les femmes ne rêvent pas", de Rana Ahmad, autobiographie d'une femme ayant fui l'Arabie Saoudite. Assez instructif et bien écrit.
MissTiQ Posté(e) 19 avril 2019 Posté(e) 19 avril 2019 il y a 19 minutes, Keltia a dit : Je viens de terminer (sur le transat au soleil ) Ciao Bella, de Serena Giuliano. J'ai adoré ! L'héroïne ? On dirait moi. (sa famille en moins) Mais notre intérieur est le même ! Hypocondrie, angoisse, mais tout ça avec humour. C'est très proche de Virginie Grimaldi, qui apparaît dans le roman. En moins gnangnan. Encore que chez V. Grimaldi ça passe. Je conseille ! Grandir, pardonner et manger des pâtes. " J'ai peur du chiffre quatre. C'est une superstition très répandue en Asie. Le rêve ! Enfin des gens qui me comprennent ! Je devrais peut-être déménager... – Vous avez beaucoup d'autres phobies ? – Vous avez combien d'années devant vous ? " Anna a peur – de la foule, du bruit, de rouler sur l'autoroute, ou encore des pommes de terre qui ont germé... Et elle est enceinte de son deuxième enfant. Pour affronter cette nouvelle grossesse, elle décide d'aller voir une psy. Au fil des séances, Anna livre avec beaucoup d'humour des morceaux de vie. L'occasion aussi, pour elle, de replonger dans le pays de son enfance, l'Italie, auquel elle a été arrachée petite ainsi qu'à sa nonna chérie. C'est toute son histoire familiale qui se réécrit alors sous nos yeux... À quel point l'enfance détermine-t-elle une vie d'adulte ? Peut-on pardonner l'impardonnable ? Comment dépasser ses peurs pour avancer vers un avenir meilleur ? C'est celui que je vais commencer
coccinutella Posté(e) 19 avril 2019 Posté(e) 19 avril 2019 Le 16/04/2019 à 13:27, MissTiQ a dit : Pas encore lu le dernier de Musso J'ai fini ce matin Sauver sa peau de Lisa Gardner : bien aimé ! Je vais commencer Tout ce qui nous répare de Lori Nelson Spielman tu pourrais me rappeler en spoiler ou MP la fin ? Je pensais ne pas l'avoir lu et en fait il est marqué comme terminé dans ma liseuse et je ne me rappelle pas de la fin !
angelika Posté(e) 19 avril 2019 Posté(e) 19 avril 2019 Il y a 1 heure, Keltia a dit : Je viens de terminer (sur le transat au soleil ) Ciao Bella, de Serena Giuliano. J'ai adoré ! L'héroïne ? On dirait moi. (sa famille en moins) Mais notre intérieur est le même ! Hypocondrie, angoisse, mais tout ça avec humour. C'est très proche de Virginie Grimaldi, qui apparaît dans le roman. En moins gnangnan. Encore que chez V. Grimaldi ça passe. Je conseille ! Grandir, pardonner et manger des pâtes. " J'ai peur du chiffre quatre. C'est une superstition très répandue en Asie. Le rêve ! Enfin des gens qui me comprennent ! Je devrais peut-être déménager... – Vous avez beaucoup d'autres phobies ? – Vous avez combien d'années devant vous ? " Anna a peur – de la foule, du bruit, de rouler sur l'autoroute, ou encore des pommes de terre qui ont germé... Et elle est enceinte de son deuxième enfant. Pour affronter cette nouvelle grossesse, elle décide d'aller voir une psy. Au fil des séances, Anna livre avec beaucoup d'humour des morceaux de vie. L'occasion aussi, pour elle, de replonger dans le pays de son enfance, l'Italie, auquel elle a été arrachée petite ainsi qu'à sa nonna chérie. C'est toute son histoire familiale qui se réécrit alors sous nos yeux... À quel point l'enfance détermine-t-elle une vie d'adulte ? Peut-on pardonner l'impardonnable ? Comment dépasser ses peurs pour avancer vers un avenir meilleur ? J'ai commencé Surface de Norek. J'espère ne pas voir dès le début ce qu'il va se passer, j'ai un peu peur... ICI, PERSONNE NE VEUT PLUS DE CETTE CAPITAINE DE POLICE. LÀ-BAS, PERSONNE NE VEUT DE SON ENQUÊTE. Serena et Virginie sont copines dans la vie. D’ailleurs Serena n’habite pas très loin de chez moi. Après avoir avalé les 4 premiers tomes des 7 sœurs, J'ai lu « 28 jours » de David Safier. J’ai bien aimé mais sans plus. Ghetto de Varsovie, 1942 : quand les jeunes prirent les armes. Mira, seize ans, passe de la nourriture en fraude pour survivre dans le ghetto. Lorsqu'elle apprend que toute la population juive est condamnée, elle décide de rejoindre les combattants de la Résistance. Aux côtés de Daniel, Ben, Amos, et tous ces jeunes gens assoiffés de vivre, elle tiendra longtemps tête aux SS, bien plus longtemps que quiconque aurait pu l'imaginer. En tout, 28 jours. 28 jours pendant lesquels Mira connaîtra des moments de trahison, de détresse et de bonheur. 28 jours pendant lesquels elle devra décider à qui appartient son coeur. 28 jours pour vivre toute une vie. 28 jours pour écrire son histoire. Ensuite j’ai lu « l’hotel du lac des ombres » de Daniela Tully. J’ai pas aimé, c’etait lent. Libraire chevronnée, Maya a toujours aimé les histoires. En particulier celles que lui racontait sa grand-mère, Martha, avant de disparaître brutalement l’été de ses 16 ans. Aussi, quand la police découvre, trente ans plus tard, sa dépouille dans l’arrière-pays de New York, Maya se croit soudain l’héroïne d’un mauvais polar : que faisait sa grand-mère à des milliers de kilomètres de son Allemagne natale ? Surtout, quel secret la liait à l’hôtel Montgomerry, près duquel son corps a été retrouvé ? Pour en avoir le cœur net, Maya décide de se rendre sur place en se faisant passer pour une romancière en quête d’inspiration. Au fil des souvenirs récoltés auprès de l’étrange famille Montgomerry, se reconstitue alors la seule histoire que sa grand-mère ne lui ait jamais racontée : celle de sa propre vie… Des heures les plus sombres de l’Allemagne nazie au destin cruel d’une dynastie déchue, son enquête se transforme bientôt en une plongée vertigineuse dans le passé. Jusqu’à ce que Maya découvre, au péril de sa vie, que toute vérité n’est pas bonne à dire...
nellou Posté(e) 19 avril 2019 Posté(e) 19 avril 2019 Il y a 2 heures, Keltia a dit : Je viens de terminer (sur le transat au soleil ) Ciao Bella, de Serena Giuliano. J'ai adoré ! L'héroïne ? On dirait moi. (sa famille en moins) Mais notre intérieur est le même ! Hypocondrie, angoisse, mais tout ça avec humour. C'est très proche de Virginie Grimaldi, qui apparaît dans le roman. En moins gnangnan. Encore que chez V. Grimaldi ça passe. Ah c'est celui que je vais lire après avoir fini Le prieuré de Crest .
Gianna Posté(e) 20 avril 2019 Posté(e) 20 avril 2019 J'ai lu Moi, Malala. Je n'ai pas trouvé ça facile à lire (d'abord parce que ça fout les boules quand même ces histoires, et puis parce qu'il y a beaucoup de noms de personnes, elle raconte la naissance du Pakistan et l'histoire de son pays, et je me suis perdue plusieurs fois dans qui était qui) mais bien quand même, je n'étais pas au courant de toute sa vie. « Je veux raconter mon histoire, mais ce sera aussi l’histoire des 61 millions d’enfants non scolarisés. Je veux qu’elle participe au mouvement qui donnera à chaque garçon et à chaque fille le droit d’aller à l’école. C’est un droit élémentaire pour eux. » Malala Yousafzai Le 9 octobre 2012, dans le camion qui fait office de bus scolaire, Malala, 15 ans, reçoit d’un Taliban une balle dans la tête. Cette jeune Pakistanaise gêne les extrémistes religieux par son engagement pour l’éducation des filles, commencé alors qu’elle n’avait que onze ans. Lu aussi des livres pour enfants sur Rosa Parks et Helen Keller (je lis quelques pages de Histoires du soir pour filles rebelles en classe et les enfants adorent, une page ce n'est pas assez du coup, hop, je leur prélis des livres entiers voir si iels peuvent les lire !) J'ai commencé Jefferson, de Jean Claude Mourlevat Une histoire qui ne manque pas de piquants. En ce radieux matin d’automne, le jeune hérisson Jefferson décide d’aller chez son coiffeur se faire rafraîchir la houppette. Comment pourrait-il imaginer, alors qu’il arrive plein d’entrain au salon Défini-Tif, que sa vie est sur le point de basculer ? Accusé d’un meurtre qu’il n’a pas commis, le brave Jefferson, 72 cm de frousse et de courage, est jeté dans une aventure qui le mènera, pour le meilleur et pour le pire, au pays des êtres humains. Dans un polar haletant, parfois féroce, mais où dominent la tendresse, l’amitié et le bonheur de vivre, Jean-Claude Mourlevat aborde de façon inédite la question de notre rapport aux animaux.
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