assia Posté(e) 11 août 2019 Posté(e) 11 août 2019 Le 09/08/2019 à 23:21, nellou a dit : Ces 10 derniers jours, j'ai lu : -La délicatesse du homard, de Laure Manel : alors je vais aller à contre courant des autres j'ai pas vraiment aimé. J'ai trouvé ça très gnangnan Je me suis ennuyée une bonne partie du livre parce que j'imaginais bien ce qui allait se passer. Bien sûr la fin est touchante mais je n'ai pas adhéré Du coup j'hésite à lire d'autres livres de cette auteure si c'est dans la même veine Je pense que je vais commencer La vie rêvée des chaussettes orphelines. Mais j'ai un peu peur d'être encore à contre courant de tous les avis 😂 Même avis que toi. J’ai trouvé que c’etait mou mou et que ca mettait vraiment longtemps à démarrer. Par contre j’ai beaucoup aimé La vie rêvée des chaussettes orphelines.
Merrimack Posté(e) 11 août 2019 Posté(e) 11 août 2019 Lu « journal d’un tueur sentimental » (bibli de village de la Drôme-mon royaume pour y vivre- j’ai joué au loto, j’ai gagné 60 c - Je suis remontée là-haut, vers le brouillard, depuis) , coup de cœur. Sepulveda, pourtant, auquel je n’ai pas accroché, sur 2 titres. Mais j’avais une heure à tuer (...) en attendant le marché. Eh bien... pépite. Accrochée dès la 3e page. Un tueur professionnel narre ses aventures sentimentales-autant qu’elles puissent l’être pour un personnage de cet acabit- et professionnelles. Accrochez-vous, ça décape et c’est court. Enlevé. Respects, monsieur Sepulveda, pour le voyage.
Enciel Posté(e) 11 août 2019 Posté(e) 11 août 2019 La horde du contrevent, de Alain Damasio.... sorti en 2004, mais il n'est arrivé vers moi que cet été.... comme la horde, il a mis le temps à arriver mais aucun regret ! Un vrai livre de science-fiction comme je n'en avais pas lu depuis longtemps ! "Ils sont vingt-trois, forment la trente-quatrième Horde du Contrevent et ont entre vingt-sept et quarante-trois ans. Dans un monde balayé par les vents, ils ont été formés depuis l'enfance dans un seul but : parcourir le monde, d'ouest en est, de l'Aval vers l'Amont, à contre-courant face au vent, à travers la plaine, l'eau et les pics glacés, pour atteindre le mythique Extrême-Amont, la source de tous les vents. Tous différents mais tous unis, ils forment une horde autonome et solidaire, qui avance dans un seul objectif, luttant constamment contre le vent. Profitant du savoir et de l'expérience de huit siècles d'échecs, on la dit la meilleure et l'ultime Horde, celle qui atteindra enfin l’Extrême-Amont."
chableu Posté(e) 11 août 2019 Posté(e) 11 août 2019 Il y a 1 heure, Enciel a dit : La horde du contrevent, de Alain Damasio.... sorti en 2004, mais il n'est arrivé vers moi que cet été.... comme la horde, il a mis le temps à arriver mais aucun regret ! Un vrai livre de science-fiction comme je n'en avais pas lu depuis longtemps ! On m'a dit que c'est ardu à lire ?
MissTiQ Posté(e) 12 août 2019 Posté(e) 12 août 2019 J'ai commencé et fini Un merci de trop de Carene Ponte : je l'ai lu hyper vite, pas de grosse surprise, on devine la fin, l'histoire, un peu déçue car j'avais bien aimé ses autres livres Citation S'il fallait décrire Juliette en un seul mot, " transparente " serait sans nul doute le bon. Depuis qu'elle est toute petite, Juliette a toujours fait ce que l'on attendait d'elle. Pour ne pas déplaire, pour ne pas décevoir. Mettant de côté ses rêves et celle qu'elle est vraiment. Résultat, à trente ans, elle mène une vie sans relief, ennuyeuse au possible. Une vie où choisir entre lasagnes et sushis est un événement. Pourtant, elle se sent de plus en plus à l'étroit dans cette vie, dans cette peau.Elle a envie de crier qu'elle n'est pas cette fille sans personnalité. Elle a envie d'aborder son voisin pour lui dire qu'il lui plaît. Et, par-dessus tout, elle a envie d'enfin réaliser son rêve, celui de devenir écrivain.Il n'est jamais trop tard pour devenir soi. C'est ce que va découvrir Juliette au détour d'un merci, un merci de trop. Même si elle est alors loin d'imaginer ce qui va en découler (une démission, une histoire d'amour et... une surprise) ! J'ai commencé Une femme entre nous de Greer Hendricks et Sarah Pekkanen Citation Le jour où vous découvrirez leur histoire veillez à n'être dérangé sous aucun prétexte. En lisant ce livre, vous allez faire beaucoup de suppositions. Vous allez croire que c'est l'histoire d'une femme jalouse, délaissée par son mari. Vous allez penser qu'elle est obsédée par la maîtresse de celui-ci, une femme plus jeune qu'elle. Vous allez vous dire que vous connaissez déjà toutes les facettes d'un tel triangle amoureux. Un conseil : laissez tomber toutes vos hypothèses. Jamais vous ne pourrez imaginer ce qui se cache derrière les apparences, ni anticiper les multiples rebondissements qui émaillent ce livre. À la façon de Gillian Flynn, Greer Hendricks et Sarah Pekkanen ont élaboré une construction inédite, littéralement diabolique, afin de nous faire éprouver l'espoir et le désespoir des femmes, l'usure du couple, l'amitié féminine, tout cela sous couvert d'une intrigue captivante et de personnages bouleversants. Best-seller depuis sa sortie aux États-Unis, bientôt traduit dans plus de trente pays, en cours d'adaptation cinématographique par la maison de production de Steven Spielberg, plus qu'un roman : un événement !
Mimipouce Posté(e) 12 août 2019 Posté(e) 12 août 2019 J'ai lu Sous nos yeux aussi , l'intrigue m'a plue, mais j'ai trouvé la fin bâclée. Je suis en train de lire La vie parfaite, pour l'instant j'ai un peu de mal avec les nombreux personnages et les liens tissés entre eux. Adele monte dans le bus qui relie la cité des Lombriconi au centre de Bologne. Elle vient d’avoir 18 ans et part accoucher, seule. Parce que le père est un voyou égoïste, parce que là où elle vit tout le monde semble « né pour perdre », parce qu’elle veut donner à son enfant la chance d’une vie meilleure, Adele est sur le point de l’abandonner. Dans son grand appartement du centre-ville, Dora, elle, n’est pas seule. Mais après des années de FIV ratées, son désir de maternité s’est transformé en obsession et mine son mariage. Entre ces deux femmes au seuil de choix cruciaux, il y a Zeno : le voisin d’Adele qui tous les soirs l’espionne depuis son balcon ; l’élève appliqué de Dora, qui connaît les frontières invisibles qui séparent la ville et les êtres. Et tous au fond cherchent la même chose. Un refuge, un lieu tranquille d’où l’on pourrait apercevoir, au loin, la vie parfaite.
Dafy Posté(e) 12 août 2019 Posté(e) 12 août 2019 Je termine Quand nos souvenirs viendront danser et débute L'art de perdre d'Alice Zeniter qui raconte l'histoire d'une saga familiale algérienne sur trois générations de la guerre d'Algérie à nos jours.
OMelo Posté(e) 12 août 2019 Posté(e) 12 août 2019 Je lis Dans la combi de Thomas Pesquet, une BD sur l'expérience de Thomas Pesquet, c'est très intéressant !
nellou Posté(e) 13 août 2019 Posté(e) 13 août 2019 J'ai fini La vie rêvée des chaussettes orphelines. J'ai beaucoup aimé. Je me suis retrouvée dans le parcours d'Alice. Ça m'a fait bizarre et parfois bouleversée de voir écrit des mots, des phrases que je me suis dits tellement de fois... J'ai adoré les 347 premières pages mais j'ai détesté les dernières... Ça m'a un peu gâché ma lecture cette fin parce qu'elle est complètement invraisemblable... Se faire transférer des embryons congelés en 3 semaines c'est n'importe quoi. J'avais pourtant l'impression que l'auteur s'y connaissait en PMA mais là... Et je trouve cette fin très dérangeante... Mais je suis bien consciente que c'est lié à mon histoire Dommage parce que je n'avais pas été autant touchée par un livre depuis Le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie de Virginie Grimaldi.
doubleR Posté(e) 13 août 2019 Posté(e) 13 août 2019 Je viens de finir Le cri de Nicolas Beuglet, un bon polar !! Un peu dans le style de Thilliez (phénomène scientifique, humanité ..)
MissTiQ Posté(e) 13 août 2019 Posté(e) 13 août 2019 @nellou moi aussi il m'a parlé, je me suis reconnue, il m'a touchée ce livre
vivilafusée Posté(e) 14 août 2019 Posté(e) 14 août 2019 Ici, je suis en train de lire Dans la mer, il y a des crocodiles, de Fabio Geda. Dix ans, ou peut-être onze. Enaiat ne connaît pas son âge, mais il sait déjà qu'il est condamné à mort. Être né hazara, une ethnie haïe en Afghanistan par les Pachtounes et les talibans, est son seul crime. Pour le protéger, sa mère l'abandonne de l'autre côté de la frontière, au Pakistan. Commence alors pour ce bonhomme "pas plus haut qu'une chèvre" un périple de cinq ans pour rejoindre l'Italie en passant par l'Iran, la Turquie et la Grèce. Louer ses services contre un bol de soupe, passer les frontières dissimulé dans le double-fond d'un camion, braver la mer en canot pneumatique, voilà son quotidien. Un quotidien où la débrouille le dispute à la peur, l'entraide à la brutalité. Mais comme tous ceux qui témoignent de l'insoutenable, c'est sans amertume, avec une tranquille objectivité et pas mal d'ironie, qu'il raconte les étapes de ce voyage insensé.
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