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Messages recommandés

Posté(e)
Il y a 5 heures, guglieta a dit :

Je viens  de finir Embruns de Louise Mey, huis-clos assez efficace.

J'ai commencé Enfant de salaud de Sorj Chalandon.

Je te conseille son dernier "Petite sale" , très bien écrit ... Il fait partie des 4 polars du prix littéraire de ma ville .
J'aime beaucoup Chalandon et Enfant de salaud m'a bien plus (même si on connait bien maintenant les ressorts de la relation au père de l'auteur).

  • J'aime 1
Posté(e) (modifié)
Il y a 12 heures, coccinutella a dit :

Cest pas précipice le dernier ? 

Il me semblait que matrice est sortie l'an dernier ?

Mais oui j'ai beaucoup aimé aussi 

 

 

 

Chouette ☺️ c’est bizarre je vois 2022 pr les deux maintenant 🤪 peut être en fonction de leurs sorties en fonction des formats. J’ai hâte de le lire en tout cas; j’avais bcp aimé La fille de Khali 

 

Modifié par celin
Posté(e)
il y a 48 minutes, celin a dit :

Chouette ☺️ c’est bizarre je vois 2022 pr les deux maintenant 🤪 peut être en fonction de leurs sorties en fonction des formats. J’ai hâte de le lire en tout cas; j’avais bcp aimé La fille de Khali 

 

Beaucoup aimé La fille de Kali aussi.

J'attends que Le cheptel soit disponible à la médiathèque, il me semble que c'est la suite de la série avec Heloise Bouquet.

J'ai emprunté Matrices aussi. Il est bien autonome celui-ci ou c'est aussi une série ?

Posté(e)

 

Les disparus de Black more de Henri Loevenbruck, auteur cité plus haut 

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Le résumé Octobre 1925. À Blackmore, une île coupée du monde au large de Guernesey, meurtres et disparitions sèment la terreur. Alors que la police piétine, Lorraine Chapelle, première femme diplômée de l’Institut de criminologie de Paris, est appelée en renfort. Cette cartésienne irréductible va devoir mener l’enquête aux côtés d’Edward Pierce, un Britannique spécialisé dans les sciences occultes qui se présente comme « détective de l’étrange ».

Ensemble, ils affrontent les plus sombres secrets de Blackmore : les statues énigmatiques disséminées sur l’île, la rumeur d’un culte maléfique qui sévirait dans l’ombre, et ce vent lancinant, le murmure des brumes, qui ne cesse jamais. Entre mensonges et confidences, ce duo improbable devra démêler le vrai du faux dans une course contre la montre diabolique.

 

J'ai beaucoup aimé le duo d'enquêteurs atypiques, l'ambiance insulaire, le soupcon de mystère.  Le récit eSt fluide. Cela se lit vite.

  • Merci 1
Posté(e) (modifié)

Je viens de terminer un polar bien noir et bien torché malgré quelques coquilles : https://www.babelio.com/livres/Bard-La-Frontiere/9291

L'intérêt est qu'il s'attarde longuement sur les conditions de travail des ouvrières des usines de cette ville maudite et surtout qu'il émet des hypothèses sur les raisons de ces meurtres atroces... Je ne lis plus ce genre de bouquins depuis des lustres et j'ai été ravi d'y apprendre plein de choses.

Et là j'ai commencé https://www.babelio.com/livres/Raspail-Adios-Tierra-del-Fuego/82186

Tout autre style de livre ... et d'écriture ! Un peu de mal à rentrer dedans car le style est parfois un peu suranné. Mais je pense m'accrocher ...

Modifié par BrunoXXX
Posté(e)

Je viens de terminer Le culte de Lackbërg et Fexeus. Les ficelles sont grosses, très grosses et on comprend qu'il y a aura un troisième volet aux aventures de Mina et Vincent.

  • J'adhère 1
Posté(e)

Cela fait longtemps que je ne lis plus Lackberg, ces grosses ficelles m'agacent moi aussi.

 

Dans un genre complètement différent, je viens de lire "Ciel rouge" par Luke Short, chez Actes Sud dans une collection de westerns qui était dirigée par Bertrand Tavernier. Loin des clichés du genre, ce roman aux faux airs de série noire nous plonge dans le conflit entre les éleveurs et les fermiers pour la possession des terres. Des personnages très crédibles, tous ambigus, une intrigue réaliste, un vrai bon livre.

Présentation de l'éditeur : La cupidité oppose deux hommes, et la fille de l’un d’eux aime celui qui s’apprête à escroquer son père.
Sur fond d’élevage de bétail et de répression d’Indiens croupissant dans des réserves dépourvues de bonnes terres, Luke Short compose un western efficace et exemplaire.

Posté(e)

Je lis pas mal en ce moment, mais ça ne me laisse guère de souvenirs.

Le dernier : Reine rouge de Juan Gomez Jurado

Antonia Scott est spéciale. Très spéciale.
Elle n'est ni flic ni criminologue. Elle n'a jamais porté d'arme ni d'insigne, et pourtant, elle a résolu des dizaines d'affaires criminelles. Avant de tout arrêter. Depuis un tragique accident, Antonia se terre dans un appartement vide et n'aspire qu'à une chose : qu'on lui fiche la paix.
C'était sans compter l'inspecteur Jon Gutiérrez. Missionné pour lui faire reprendre du service, il parvient à la convaincre d'étudier un dernier dossier, celui d'un assassin sans scrupules qui s'en prend aux héritiers des plus grandes fortunes d'Espagne. Sa particularité ? L'homme ne semble motivé ni par l'appât du gain, ni par le plaisir de tuer.
Un cas complexe auquel la police madrilène n'entend rien.
En un mot, le terrain de jeu favori d'Antonia Scott.
Une enquête sous haute tension à découvrir dans ce roman policier unique en son genre.

Je l'ai trouvé dans la section roman policier ado et j'ai voulu le lire pour me faire une idée avant de l'offrir à ma filleule. Je l'ai trouvé très bien (pas gore, les personnages principaux sont attachants).

Du coup, ma prochaine lecture sera la suite : Louve noire.

 

Posté(e) (modifié)

"Chien 51" par Laurent Gaudé. Je ne suis pas très impartial en ce qui concerne cet auteur, qui est selon moi l'écrivain contemporain le plus intéressant. Il change de style avec ce polar dysotopique mais ses thèmes de prédilection sont toujours là. Une écriture forcément moins épique que d'habitude. Si je préfère ses livres historiques j'ai apprécié cette prise de risque. Un bon livre, et un grand écrivain.

Présentation de l'éditeur : Sous les ciels en furie d’une mégalopole privatisée, “Chien 51” se fait l’écho de notre monde inquiétant, à la fois menaçant et menacé. Mais ce roman abrite aussi le souvenir ardent de ce qui fut, à transmettre pour demain, comme un dernier rempart à notre postmodernité.

Modifié par joelafrite
  • Merci 2
Posté(e)

Je viens de finir le tome 8 de la saga des 7 sœurs -Atlas, l’histoire de Pa Salt. Contente d’avoir pu lire le dénouement malgré le décès de Lucinda Riley. Son fils a réussi à finir la saga même si forcément ce n’est pas exactement la même écriture que sa mère. 
 

j’enchaîne avec « sauveur et fils » de Marie Aude Murail. Je viens de commencer mais j’aime bien pour le moment. 
 

Je prends toutes mes idées de lecture sur ce post 😅

J’ai une liste pour plusieurs années 😂

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Lus dernièrement

Le sens de nos pas de C. Norton 

Un lien bouleversant qui traverse les âges... Quoi de plus public qu'un banc public ? Seulement aux yeux d'Auguste, 85 ans, ce banc, c'est " son " banc, ou plutôt celui de sa femme, qui aimait tant ce parc du Vésinet. Chaque jour, le veuf vient y ruminer sa solitude, ses rapports avec une belle-fille sans gêne, un horizon tout tracé en maison de retraite... Ce jour-là pourtant, il y a quelqu'un d'autre au bout du banc : Philomène, 15 ans, qui vient de perdre sa mère et cherche quelqu'un à qui parler. Lui, l'hiver. Elle, le printemps. Bientôt, tous deux s'apprivoisent et concoctent un projet. Partir. Fuguer. Et dans ce périple improvisé, trouver, peut-être, un sens à la vie...

Elma de Eva Björg Aegisdottir, j'ai bien aimé même si je suis restée sur ma faim par rapport à un personnage .. ou alors quelque chose m'a échappé. Je lirai le volet 2.

Elma ne pensait pas revenir un jour habiter à Akranes, sa ville natale. Affectée au poste de police local, cette ancienne inspectrice de la brigade criminelle de Reykjavík a fui une histoire d'amour qui l'a laissée en miettes. Lorsque le cadavre d'une femme est retrouvé gisant au pied d'un phare, de terribles secrets pourraient bien ressurgir du passé… Dans ce petit bourg islandais à l'atmosphère oppressante, le salut viendra-t-il pour Elma de son collègue Sævar ?

Je vais commencer le tome 4, le dernier, de la saga de la Passe-Miroir de C. Dabos. 

Posté(e)

Seventeen par Kenzaburo Ore. L'auteur ayant reçu le prix Nobel en 1994, j'étais très curieux de lire ce court roman. Au final, bof ...

Dans le Japon des années 60, un jeune mal dans sa peau devient militant nationaliste. Le problème est que ce livre est tellement manichéen qu'il en devient caricatural et peu crédible. Quelques scènes assez crues m'ont dérangé aussi.

Présentation de l'éditeur : Un adolescent fête ses dix-sept ans dans l'indifférence de sa famille, en pleine décomposition. Complexé, mal dans sa peau, incompris de ses parents, il est terriblement frustré. Obnubilé par ses pulsions sexuelles, il s'est replié sur lui-même et toise ses camarades d'un regard méprisant. Il constitue une proie idéale pour les militants d'extrême droite qui recrutent des jeunes pour donner la claque lors des meetings du parti de l'Action impériale.
Inspirée de faits réels, cette nouvelle du grand maître de la littérature japonaise contemporaine (Prix Nobel de littérature 1994) nous plonge dans le mal-être du Japon des années soixante.

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