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Elections legislatives, votre 1er choix :


Didoudidoula

Pour ces élections législatives, allez vous choisir au 1er tour, un candidat issu du parti pour lequel vous avez voté au 1er tour de l’élection présidentielle ?   

90 membres ont voté

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Le traitement de la FI par les journalistes; c'est irréel! Heureusement que des médias vraiment indépendants peuvent analyser de manière objective et transparente ces genres de dérapages autoritaires qui deviennent la norme.

http://www.acrimed.org/De-l-art-de-saboter-une-interview-politique

Dans nos grands médias audiovisuels, l’interview politique d’un représentant d’une gauche syndicale ou politique [1] un tant soit peu combative est un exercice d’une confondante uniformité, prenant le plus souvent la forme d’une joute oratoire entre le journaliste et son invité [2]. Une joute à armes inégales, non pas simplement en raison de l’hostilité plus ou moins franche des tenanciers des plateaux, mais avant tout par la force de contrainte des dispositifs des émissions, dont les enchaînements ininterrompus de questions et de nouvelles thématiques ne permettent jamais qu’on approfondisse un sujet ou qu’on s’arrête sur une réponse, quand l’invité réussit seulement à en donner une sans être coupé.

C’est dans un traquenard de ce type, de facture on ne peut plus classique, qu’est tombé Éric Coquerel, coordinateur du Parti de Gauche et candidat France Insoumise aux élections législatives en Seine Saint-Denis, le dimanche 4 juin 2017, alors qu’il était l’invité de « Questions Politiques », l’émission hebdomadaire de France Inter, présentée par Nicolas Demorand, accompagné comme toujours de trois grandes signatures de la presse hexagonale, à cette occasion les illustres Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions), Françoise Fressoz (Le Monde), et Carine Bécard (France Inter).

 

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Il y a peut-être des idées politiques et économiques qui dérangent la classe politique actuelle (et les riches et les puissants qui vont souvent de paires). :closedeyes:

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Le 19/06/2017 à 21:54, Yuuko a dit :

Par chez moi, pas ma circonscription, un candidat LREM a fait des émules, peut importe le parti, le message était ailleurs et ça fait du bien aussi

la-candidature-d-herve-berville-a-ete-re

ET en plus les collègues qui sont allés le voir ont été très satisfaites.

C'est comme voter pour une femme parce que c'est une femme ou pour un jeune parce qu'il est jeune ! :heat:

On n'est pas au casting de la Nouvelle star il me semble ! ça fait peur !

Ces collègues sont-elles satisfaites des mesures annoncées par le programme LREM ? Parce que la question essentielle elle est là non ?

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il y a 7 minutes, PommeD'Api a dit :

Il y a peut-être des idées politiques et économiques qui dérangent la classe politique actuelle (et les riches et les puissants qui vont souvent de paires). :closedeyes:

Oui sans doute, mais dans quel régime politique peut-on voir ce genre de propagande? Dans quel régime les journalistes sont tenus de respecter la "doxa" libérale sinon ils dégagent (Polony...)? Nous sommes 40 ème au classement de la liberté de la presse dans le monde (!) derrière nombre de pays africains...On comprend pourquoi.

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il y a une heure, jeanounette a dit :

C'est comme voter pour une femme parce que c'est une femme ou pour un jeune parce qu'il est jeune ! :heat:

On n'est pas au casting de la Nouvelle star il me semble ! ça fait peur !

Ces collègues sont-elles satisfaites des mesures annoncées par le programme LREM ? Parce que la question essentielle elle est là non ?

Pareil, c'est aberrant de voter pour quelqu'un en raison de sa couleur de peau. Ça me choque, même. 

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Il y a 1 heure, nonau a dit :

Oui sans doute, mais dans quel régime politique peut-on voir ce genre de propagande? Dans quel régime les journalistes sont tenus de respecter la "doxa" libérale sinon ils dégagent (Polony...)? Nous sommes 40 ème au classement de la liberté de la presse dans le monde (!) derrière nombre de pays africains...On comprend pourquoi.

On est d'accord ;)

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Il y a 10 heures, jeanounette a dit :

Ces collègues sont-elles satisfaites des mesures annoncées par le programme LREM ? Parce que la question essentielle elle est là non ?

C'est aussi pour ça que j'ai précisé que plusieurs se sont déplacées aux réunions menées par le candidat et qu'elles ont été séduites.

Maintenant oui clairement le mari de l'une d'entre elles a dit "je sais pas pour quel parti il est mais je vote pour lui."

Je ne valide pas bien sûr mais j'admets malgré tout que ce renouveau a plusieurs niveaux est intéressant et comme Leene j'ai "hâte" d'observer tout ça.

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Le traitement de l'information est un élément central de notre système démocratique. C'est précisément cette information qui fait le lien entre les citoyens et le débat public, permettant à chacun de se forger une opinion. Bien que la liberté de la presse soit une valeur fièrement affichée et ardemment défendue dans notre pays, il arrive que le traitement de l'information soit bancal. Démonstration avec l'exemple de Jean-Luc Mélenchon.

http://www.huffingtonpost.fr/bastien-parisot/recherche-du-buzz-extraits-choc-medias-politique_a_22525693/

Pourtant on ne peut pas taxer ce journal d'être un pro France Insoumise...

Extraits:

- Seul l'extrait de quelques secondes, éloigné du fond du discours de Jean-Luc Mélenchon, du message qu'il veut faire passer, est mis en avant.

- Ainsi donc, jamais Jean-Luc Mélenchon n'a appelé à ne voter ni pour l'un, ni pour l'autre. Et pourtant, l'étiquette du "ni-ni" lui fut collé sur le dos, et diverses accusations ont suivi: l'Insoumis faisait le jeu du Front National, il ne respectait pas la démocratie, il était mauvais perdant, et son ego dépassait les enjeux républicains... Une suite d'accusations et de mises en cause souvent violentes, basées pourtant sur une fausse affirmation.

Voici donc la question qui se pose face à cette situation: Quel est l'intérêt pour la presse de véhiculer ainsi de fausses informations? Inconscience, en faisant primer le nombre de lectures sur la vérité des informations? Parti-pris politique, en déformant volontairement le discours de la personne interviewée afin de la décrédibiliser?

- Comment permettre à la démocratie de prendre pleinement sa place, de fonctionner pleinement, alors que les outils sensés informer les citoyens ne traitent pas les informations de façon objective?

- Oui, dans ces cas, une déformation médiatique existe. Oui, les médias s'arrangent parfois avec les propos des responsables politiques, occultent une partie du discours, traitent les sujets avec des angles précis ne reflétant pas l'exacte vérité.

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Il y a 15 heures, nonau a dit :

Voici donc la question qui se pose face à cette situation: Quel est l'intérêt pour la presse de véhiculer ainsi de fausses informations? Inconscience, en faisant primer le nombre de lectures sur la vérité des informations? Parti-pris politique, en déformant volontairement le discours de la personne interviewée afin de la décrédibiliser?

Pas besoin de chercher très loin : si "intérêt pour la presse" il y a, c'est de vendre le plus de papier (ou de "temps de cerveau disponible") possible avec le plus faible investissement possible. Ca passe souvent par des journalistes (voire de petites mains anonymes) sous-payés, disposant de trop peu de temps pour traiter sérieusement les sujets qu'on leur confie, et sans nécessairement avoir les compétences nécessaires...

Une évolution frappante est le devenir des dépêches des grandes agences, AFP et consorts. Il n'y a pas si longtemps (encore que...), les journalistes s'appuyaient sur ces dépêches, précises, concises et fiables pour bâtir leurs propres analyses, voire lancer leurs propres enquêtes ; dans un second temps, on a vu apparaître des papiers reprenant tous les mêmes "analyses" — se ramenant à une lecture au premier degré de la dépêche, enrobée d'un peu de baratin pour faire sérieux. On en est aujourd'hui à la troisième étape : les journalistes se contentent de reprendre les dépêches.... qui ne sont plus elles-mêmes rédigées par des gens compétents.  L'exemple qui me vient à l'esprit est la soi-disant "démission" de Bayrou et consorts : pendant 48h, le terme a été repris dans tous les médias, sans recul ni commentaire, aucun journalistes politique ne s'avisant qu'il n'était plus possible de "démissionner" d'un gouvernement déjà démissionnaire. Mais si le terme était dans la dépêche, on n'allait pas pinailler pour si peu !

Il y a 15 heures, nonau a dit :

Inconscience, en faisant primer le nombre de lectures sur la vérité des informations? 

 Oui et non, donc. La vérité ne prime plus, c'est clair ; mais ça n'a rien d'inconscient de la part des patrons de presse !  (de la part des journalistes, peut-être : beaucoup semblent encore se prendre très au sérieux...)

 

 

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