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Hérault : une enseignante insultée, menacée de mort et rouée de coups par des parents d'élève


prof désécol

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Le 11/10/2019 à 09:42, orime a dit :

J'enregistre déjà mes entretiens "à risque" sur mon téléphone juste avec le dictaphone.

Ah ouais mais moi je résiste au progrès technique, mon portable n'a pas de fonction dictaphone (bon, finalement je ne résiste pas tant que ça au progrès, j'ai un portable).

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  • 11 mois plus tard...
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Qui a défendu cette collègue ? Un avocat choisi par elle même dans le cadre de la protection fonctionnelle ? Un avocat de l'Autonome ? 

L'avocat des prévenues a pointé des soit disant insuffisances pro. Pourquoi celui de la collègue n'a pas pointé l'historique judiciaire de ces deux femmes? Jugement incompréhensible et scandaleux.

Oui comme souligné on notera l'absence de l'institution qui aurait pu se constituer partie civile. Mepris vous avez dit. Je pense qu'elle aurait pu se faire tuer qu'ils n'auraient pas bouger le petit doigt. Quand les collègues comprendront que nous sommes des pions inertes interchangeables ils comprendront pourquoi toutes dispositions et tout dispositif mis en place par ces gens là sont malfaisants. 

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Le 13 mars dernier au matin , mon ien m a déconseillé de faire appel à  l autonome face à une situation délicate.

Au dejeuner j ai contacté  l autonome.

 

Pendant le confinement, j ai ete contacté par l auteur de la situation.

J ai demandé conseil quant à  l attitude à avoir, à  mon ien. 

Je n ai pas reçu de réponse. 

 

 

Voilà.

( et ça n a absolument pas l intensité  de ce qu a vécu notre collègue) 

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Il y a 12 heures, Lena a dit :

Effectivement. Mais c'est ce qui se passe dans tout procès, les avocats de la défense cherchent à incriminer la victime. 

Je comprends que la collègue cherche à quitter l'enseignement. J'espère qu'elle sera aidée dans sa reconversion par l'institution. Ce serait la moindre des choses.

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Il y a 2 heures, borneo a dit :

Effectivement. Mais c'est ce qui se passe dans tout procès, les avocats de la défense cherchent à incriminer la victime. 

Je comprends que la collègue cherche à quitter l'enseignement. J'espère qu'elle sera aidée dans sa reconversion par l'institution. Ce serait la moindre des choses.

🤔

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il y a 59 minutes, nonau a dit :

🤔

Je ne dis pas que j'approuve, mais que ça se passe comme ça dans tout procès. Quand un violeur ou un assassin est jugé, son avocat essaie de salir la victime.

Ce qui me choque en revanche, c'est que le journaliste s'en fasse l'écho de cette manière. Tant que les accusations de la défense restent au niveau du tribunal, c'est un mauvais moment à passer. Quand ça s'étale avec complaisance dans la presse, c'est à la limite de la diffamation.

Je viens de relire l'article. Je pense que l'auteur garde lui-même un mauvais souvenir de l'école, car son texte est émaillé de fautes.

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Il y a 5 heures, borneo a dit :

. Tant que les accusations de la défense restent au niveau du tribunal, c'est un mauvais moment à passer.

J'approuve ton analyse, mais même au niveau du tribunal, ça reste un petit " jeu " bien dégueulasse ...

  • J'adhère 1
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D'un journal à l'autre, le traitement est très différent.

Le Parisien :

Par Le Parisien

Le 30 septembre 2020 à 16h31

Une grand-mère et une mère d'élève ont été condamnées mercredi par le tribunal correctionnel de Béziers (Hérault) à un an de prison avec sursis pour l'agression d'une enseignante du Cap d'Agde (Hérault) en septembre 2019.

Le tribunal leur a également interdit tout contact avec la victime et leur a ordonné de l'indemniser. Les violences étaient survenues dans le bureau du directeur de l'école après une bagarre entre deux élèves, que l'institutrice avait séparés.

Au-delà des réquisitions du parquet

« Si vous êtes ici, c'est parce que vous êtes coupables de l'ensemble des faits qui vous ont été reprochés. Nous n'étions pas ici pour juger cette enseignante, c'est la raison pour laquelle le tribunal est allé au-delà des réquisitions du parquet », a déclaré la présidente Nadège Larochette, à l'énoncé du jugement.

Le parquet avait requis huit mois de prison dont quatre avec sursis probatoire pendant deux ans contre les deux femmes jugées pour violences et menaces contre une institutrice de l'école Jules-Verne. « Rien dans ce dossier ne démontre qu'il y a eu un abus d'autorité de la part de l'enseignante », a assuré le représentant du parquet.

L'institutrice en pleurs

« On a compliqué ce qui était simple. Cette enseignante a mauvaise réputation et nous avons dénoncé son comportement violent. Elle a eu des comportements de maltraitance envers des enfants. Nous avons un témoignage. Si cela a dégénéré, c'est parce qu'elle les a filmées », a au contraire affirmé dans de sa plaidoirie Me Guy Dubuisson, l'avocat de la mère et de la grand-mère d'élève âgées respectivement de 25 et 50 ans.

Pendant cette plaidoirie, l'enseignante s'est mise à trembler dans la salle d'audience et est finalement sortie du palais de justice en pleurs.

«Elles salissent leur victime»

« L'attitude des prévenues aujourd'hui démontre qu'elles n'ont absolument rien compris », s'est insurgé Me Franck Chapuis, l'avocat de l'institutrice.

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