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L'incroyable épopée d'un ancien officier au cœur de l'école de la République


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Posté(e)

Bonjour à tous,

bien que mon assiduité sur ce forum m'octroie le valeureux titre de "pousse cailloux", je me permets de vous relayer un travail de forçat que j'ai réalisé ces 2 dernières années et qui a abouti à la publication du livre "L'incroyable épopée d'une ancien officier au cœur de l'école de la République".

Ce livre est en fait constitué de 3 "livres" et reprend ainsi les 3 thématiques suivantes: pédagogie, transmission des valeurs et environnement institutionnel. C'est un témoignage de mon parcours de professeur des écoles et il reprend de manière chronologique ma reconversion après 12 années comme officier de l'armée de Terre: la préparation au concours, la formation à l'université et comme stagiaire, puis mes années d'investissements sur différents niveaux, maternelle et élémentaire. De plus, je m'amuse à montrer plein de parallèles improbables entre le métier d'officier et celui de maître d'école.

La pédagogie est mise en avant dont le niveau CP et l'apprentissage de la lecture (notamment avec le manuel "Je lis j'écris" et mes échanges avec son auteure Janine Reichstadt), tout comme beaucoup d'autres expériences réussies (ou pas d'ailleurs) sur différents niveaux. De nombreux projets assez atypiques sont abordés, participant à mon petit niveau à transmettre les valeurs et l'histoire de la République française. L'épopée que je raconte est également l'occasion de montrer de manière sincère et vécue les "manquements" (euphémisme) de notre institution qui peuvent provoquer des situations complexes pour les directeurs et professeurs des écoles, à la fin de la chaîne hiérarchique.

Bref, je vous laisse découvrir cette aventure! 

Et n'hésitez pas à faire un retour.

Grégoire

Posté(e)

Bonjour,

Je lisais ce commentaire sur le site dont tu as publié le lien. 

"Étonnant de découvrir à quel point l’état d’esprit militaire, le civisme, la cohésion, appliqués à l’école apportent de tels bénéfices aux enfants.

Consternant de voir que des changements positifs flagrants sont mal reçus, voire dénigrés par le système éducatif, les collègues!" 

Peux-tu en dire plus?

  • J'aime 1
Posté(e)

Sérieusement, vous n'en dîtes pas assez... Quelles sont les conclusions auxquelles vous êtes arrivé ?

Posté(e)

en fouillant un peu: "mise à l'écart des nuisibles", "patriotisme".... Pas si consternant que ça que ça ait été mal reçu!

  • J'adhère 1
Posté(e)

Bonjour,

Merci pour vos retours. Pour répondre à la remarque de « BobbyWatson », conscient que les éléments transmis ne permettent pas forcément de comprendre la tonalité et les réflexions partagées dans mon livre, j’ai complété par quelques extraits que je viens de publier sur mon site : 4e de couverture, Préambule, Chapitre 21 résumant la pédagogie mise en place.

Pour aller plus loin aussi et sortir des stéréotypes (que ce soit sur l’armée ou sur l’Éducation nationale), je me permets de faire un petit parallèle avec Célestin Freinet - évoqué aussi dans le livre-, dont la pédagogie s’est inspirée sans le savoir de sa posture d’officier au combat sur le front pendant la 1e guerre mondiale. (ma pédagogie n’est cependant pas une pédagogie Freinet même si j’ai déjà fait des stages ICEM et m’inspire de certains procédés, mais elle me semble un peu trop dogmatique et idéologique)

Sur le commentaire qu’un internaute a réalisé sur l’article relatif au livre, j’ai apporté une réponse et des compléments directement sur la page. Pour aller plus loin (et ne pas tomber dans les raccourcis que certains voudraient faire), je ne peux que vous inciter à lire le livre. 😊

(si vous avez le temps, il y a aussi une interview en ligne qui présente le livre)

Encore merci pour l'intérêt que vous portez sur ce sujet.

Au plaisir d’échanger.

Posté(e)
Il y a 18 heures, milimaitredecole a dit :

Bonjour,

 

Merci pour vos retours. Pour répondre à la remarque de « BobbyWatson », conscient que les éléments transmis ne permettent pas forcément de comprendre la tonalité et les réflexions partagées dans mon livre, j’ai complété par quelques extraits que je viens de publier sur mon site : 4e de couverture, Préambule, Chapitre 21 résumant la pédagogie mise en place.

 

Pour aller plus loin aussi et sortir des stéréotypes (que ce soit sur l’armée ou sur l’Éducation nationale), je me permets de faire un petit parallèle avec Célestin Freinet - évoqué aussi dans le livre-, dont la pédagogie s’est inspirée sans le savoir de sa posture d’officier au combat sur le front pendant la 1e guerre mondiale. (ma pédagogie n’est cependant pas une pédagogie Freinet même si j’ai déjà fait des stages ICEM et m’inspire de certains procédés, mais elle me semble un peu trop dogmatique et idéologique)

 

Sur le commentaire qu’un internaute a réalisé sur l’article relatif au livre, j’ai apporté une réponse et des compléments directement sur la page. Pour aller plus loin (et ne pas tomber dans les raccourcis que certains voudraient faire), je ne peux que vous inciter à lire le livre. 😊

(si vous avez le temps, il y a aussi une interview en ligne qui présente le livre)

 

Encore merci pour l'intérêt que vous portez sur ce sujet.

Au plaisir d’échanger.

Il y a des préalables.

1/ Si tu veux attirer les meilleurs, tu donnes un salaire élevé et des perspectives intéressantes en adéquation avec les enjeux énormes tant en terme sociétal qu'économique. Des études documentées font un lien explicite entre rémunération et performance. Je crois à "l'effet maître" plus qu'à des méthodes ou des démarches. 

2/ Là encore, des études le démontrent, mais c'est aussi une des clés de la réussite, les effectifs dans les classes. C'est la base, qui agit sur l'atmosphère de la classe également. 

3/ Une inclusion sans discernement ni moyen à l'intérieur de classes bétaillères entraînera inéluctablement la maltraitance généralisée et le rejet de l'école de la République par nombre de parents. 

Que font nos chers dirigeants ? Complément l'inverse. Ils recrutent des contractuels bidons pour la plupart, ils font évoluer nos enfants dans les classes les plus surchargées des pays de l'OCDE et mènent une inclusion low cost indigne. 

Mais si le niveau s'effondre, c'est à cause des enseignants formés qui pratiquent des méthodes et des démarches obsolètes. Heureusement il y a désormais l'évaluation d'école, du directeur, les constellations, le PPCR, les divers "plans", les dispositifs Phare et autres joyeusetés signe d'une Institution qui va très mal et c'est le BUT!

On pourra éditer les livres que l'on veut pour tenter de soigner une Institution malade de décisions politiques mortifères (à dessein), si aucun des préalables cités ne sont remplis, le système poursuivra sa lente agonie, comme l'hôpital public et tant d'autres services publics qui subissent exactement les mêmes stratégies de destruction. 

Sauf que là ce sont nos enfants qui sont concernés, pas des marchandises, et c'est l'avenir de toute une Nation, un enjeu bien insignifiant pour les nuisibles aux manettes. 

 

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