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Posté(e)

Je n'ai malheureusement pas vu le reportage....et je m'interroge beaucoup sur cet ingénieur FT qui est devenu PE....par un entretien???? Est-ce vraiment possible? Mais si c'est le cas, c'est vraiment ça le plus révoltant...!!!! et de quel droit lui accorde t-on une équivalence à celui là alors que même les sportifs de haut niveaux doivent passer un concours pour devenir prof d'EPS par ex....Quelles sont les raisons invoquées par le reportage pour cette passerelle?.....c'est de l'INJUSTICE!

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Ils oublient que la PE1 est la première année de formation sur deux....

Mais tout le monde ne fait pas de PE1, loin de là.

PE1 à l'IUFM ou formation privée, le problème n'est pas là. L'essentiel est que tous les candidats en LP et LC ont un niveau de formation théorique équivalent et ont généralement fait un ou plusieurs stages. Dans le reportage, ils décrivent le mode de recrutement des passerelles comme FT mais ne parlent pas du tout du contenu du concours (un parallèle aurait été interessant pour montrer que les LC ont quand même une bonne longueur d'avance !).Résultat, j'ai entendu des parents dirent suite au reportage qu'on avait juste un entretien pour évaluer notre niveau en orhtographe et grammaire !! Ils ont vite fait l'amalgame...Dans le reportage ils ont la manie de dire quelques informations choisies et surtout très incomplètes, ce qui oriente tout à fait le point de vue. Et après on nous demande de dire toute la vérité aux parents et de bien faire notre boulot : je crois que ces journalistes feraient bien de se regarder avant d'aller critiquer les autres !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Quelles sont les raisons invoquées par le reportage pour cette passerelle?.....c'est de l'INJUSTICE!

La passerelle n'est pas le problème en soi. Cela permet entre fonctionnaires de changer de métier. C'est bien pour tous mais c'est le mode de passage qui est incroyable ! Quand on sait que les professeurs du privé ou de collège doivent passer un concours interne pour devenir professeur des écoles, et que lui passe 30 minutes d'entretien pour savoir s'il a déjà donné des cours de soutien, y'a de quoi se dresser les cheveux sur la tête !!!

Posté(e)
Je n'ai malheureusement pas vu le reportage....et je m'interroge beaucoup sur cet ingénieur FT qui est devenu PE....par un entretien???? Est-ce vraiment possible? Mais si c'est le cas, c'est vraiment ça le plus révoltant...!!!! et de quel droit lui accorde t-on une équivalence à celui là alors que même les sportifs de haut niveaux doivent passer un concours pour devenir prof d'EPS par ex....Quelles sont les raisons invoquées par le reportage pour cette passerelle?.....c'est de l'INJUSTICE!

Je suis bien d'accord avec vous, la différence étant qu'un sportif de haut niveau n'est pas fonctionnaire (comme le prof du privé) alors que ce monsieur l'est déjà...

Posté(e)

Injustice, le mot est lâché...

Je ne trouve pas scandaleux d'ouvrir les portes à d'autres collègues, avec un vécu différent, une vision de l'école à partager...

Vous verrez vite que dans les écoles, les sujets de conversation sont assez répétitifs entre collèues qui n'ont vu et vécu que le monde de l'Education Nationale...

J'ai travailé avec un instit qui était chauffeur routier pendant 10 ans, et au moins, il y a des débats très interessants...

Par contre, le système de l'entretien puis d'un stage sur le terrain me semble peu satisfaisant pour laisser un collègue prendre une classe... Il faut un accompagnement bien plus important selon moi...

Vraiment, les passerelles, c'est une bonne idée... je vois tant de collègues qui souhaitent voir un nouvel horizon au bout de quelques années dans les écoles... c'est bien un métier très prenant, qui vous mange de l'intérieur dans certaines situations... alors, les PE qui vont dans les Ministères, c'est aussi notre avenir...

Des collègues de FT qui arrivent dans le métier, il s'agit d'une poignée en France... il s'agit de moins de 0.0001% (je dis au hasard mais je dois pas être loin)

Voici le texte dans le BO:

http://www.education.gouv.fr/bo/2005/17/MENP0500752N.htm

@+

Vincent

Posté(e)

Je suis d'accord avec toi.

Ce système de passerelle ne me semble pas anormal, ces personnes ont également passé un concours pour etre là où elles sont.

Certes, ce n'etait pas le CRPE, elles n'ont donc pas été interrogées en vue du metier d'instit/prof des écoles, mais bon, il y a quand meme eu selection.

Ce qui me pose problème, c'est la formation de ces personnes avant de les lacher sur le terrain. Bien que n'ayant eu aucun exemple sous les yeux, il me semble qu'elles sont encore plus démunies que les LC (j'ai personnellement été une LC) car les LC ont quand meme eu quelques remises en questions/stages/reflexions lors de leur préparation au concours.

Posté(e)

Bonjour,

J'ai rédigé un petit avis sur le reportage et j'ai aussi trouvé les réactions d'Emmanuel Davidenkoff (sur Libération)... avis syndical pour ma part...

Listes complémentaires : une émission contestable !

Ce reportage de Canal+ installe comme une évidence la pensée magique au cœur de ce qui est censé être un reflet de la vraie vie. La pensée magique c’est cette forme de croyance qui fait dépendre une situation d’une seule cause sur laquelle il suffirait d’agir pour modifier le réel. Au fur et à mesure que les sciences éclairent la complexe intéraction des causalités dans un quelconque aspect des actions humaines, la pensée magique par son côté rassurant, sa régression infantile, se développe complaisamment dans les médias.

Dans le domaine qui nous occupe nous avions déjà le sympathique et consensuel "instit" qui, tel un "poor lonesome cowboy", descendait de sa monture mécanique pour régler en 90 minutes un drame humain bien contemporain, quoique plus souvent rural qu’urbain, dont la juvénile victime ne pouvait que susciter adhésion et compassion. Mais on était là dans une fiction revendiquée et la plupart des télespectateurs émus comprenaient, au moins intuitivement, que la réalité était nécessairement plus complexe. Le reportage de Canal+ relève lui d’une manipulation malhonnête.

Il dramatise de façon outrancière l’affectation de jeunes enseignants dans des classes avant toute formation formalisée, et se scandalise du sacrifice potentiel des enfants concernés.

Sont passé sous silence ou minimisés les compétences personnelles des stagiaires, les efforts d’accompagnement des IEN et conseillers pédagogiques, les aides apportés par les collègues.

Le Sgen-CFDT a suffisamment dénoncé le recours abusif aux listes complémentaires et leurs conditions d’exercice pour ne pas être suspecté de complaisance.

Mais laisser entendre que supprimer cette procédure améliorait tout de go le service rendu aux élèves relève de la pensée magique. Le nombre élevé d’écoles et la gestion des départs et arrivées de titulaires ne permettent pas de mettre, à chaque rentrée, exactement le juste nombre d’enseignants formés dans les classes. Il faudrait soit pratiquer systématiquement les surnombres - et que n’entendrait-on pas alors - soit recourir à des précaires, à prendre et jeter selon les besoins. L’amélioration de la situation se fera avec de meilleures prévisions, un recrutement amélioré et un accompagnement plus intense et plus rigoureux des indispensables recrutés sur le terrain.

Montrer cette complexité demande une rigueur professionnelle des journalistes moins facile à mettre en scène que la dénonciation mélodramatique d’un supposé scandale. Peu importent les angoisses suscitées chez les parents éventuellement

concernés, les difficultés créées aux stagiaires, du moment que l’on a fédéré les "yaka, fokon" dans la mise en accusation - Quoi de plus facile ? - de l’abominable administration.

Ce soir-là, le café du commerce avait pris domicile sur Canal+

Article de Libé:

Reportage. Un sujet trop caricatural sur la difficulté d'enseigner.

Professeurs et débutants

par Emmanuel DAVIDENKOFF

QUOTIDIEN : lundi 09 janvier 2006

Canal +, 22h20. «90 Minutes». «Quand l'Education nationale sacrifie ses instits», de Bernard Nicolas et Laurent Caujat, avec Marion Gay.

Scandale ? L'Education nationale envoie chaque année quelques milliers d'enseignants non formés sur le terrain. Au risque, qui ne se vérifie pas toujours, de les écœurer du métier et de commettre des «dégâts sur les enfants», heureusement moins «irréversibles» que ne l'affirme, sans l'étayer, le documentaire. Mais ne faisons pas la fine bouche : le «mammouth» a bien cherché la volée de bois vert qui lui est ici adressée, fût-ce au prix de quelques raccourcis hardis, voire d'erreurs manifestes (cf. l'affirmation selon laquelle tous les ministres «suppriment» des postes dans le primaire depuis dix ans).

Pourtant, ceux qui ont une connaissance plus intime de l'école resteront sur leur faim. Car les «mensonges» et les incohérences que dénonce le reportage dépassent le cas des enseignants non formés ici stigmatisés. Les témoignages de débutants qui sont, eux, passés par les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) expriment bien souvent la même révolte, la même crainte de «ne pas y arriver», la même autocensure quand il s'agit de cacher aux parents qu'ils s'apprêtent à confier leurs enfants à de parfaits débutants, le même sentiment de désarroi face à des élèves «dont personne ne veut» et face auxquels la République doit pourtant mettre des professeurs (souvent les moins expérimentés).

Cette pénibilité de l'entrée dans le métier ne touche pas 2 000, mais près de 30 000 enseignants par an, tous niveaux confondus, dont beaucoup s'estiment insuffisamment formés pour assumer leur mission. S'ils disent juste, le vrai scandale est là.

Posté(e)

Je n'ai pas vu le reportage malheureusement (ou heureusement...). J'ai lu vos commentaires et celui de télérama et je suis choquée de la dévalorisation qu'on donne aux LC.

Pourquoi ne pourrait-on pas dire que finalement tout peut aussi tès bien se passer MÊME avec des LC!On a l'impression que de toutes façons inexpérience = nullité, aucune compétence!!N'oublions pas que beaucoup d'instit n'ont pas eu de formation il y a 30 ans...Je ne dis pas qu'il faut revenir en arrière mais à cette époque ça n'avait pas l'air de poser plus problème que ça! J'étais LC l'an dernier, j'ai été suivi par un conseiller pédagogique, j'ai eu une classe difficile et pourtant je n'ai pas "essayé de faire la classe en paniquant" comm eil est dit plus haut, mais en toute modestie je m'en suis bien sortie et les gamins aussi! Et je connais beaucoup de LC de mon année pour qui ça s'est bien passé aussi!

Alors certes ce système est perfectible mais voyons aussi le bon côté des choses!

Posté(e)

Suite à mon mail aux journalistes de canal pour expliquer ce qu'ils ont, volontairement, oublié de dire dans leur reportage, voici leur réponse :

Bonjour, merci de votre mail, même si je pense que vous faites fausse route. Ou

que vous avez une vision réductrice de notre travail. Car exception faite d'une

jeune femme, toutes les L.C que nous avons croisées s'en sont sorties et nous le

disons dans le film. D'autre part, c'est un système dont les jeunes sont les

victimes que nous dénonçons, et l'interview de Gilles de Robien le démontre, je

pense. Enfin, je regrette que vous n'ayez pas eu un seul mot pour les enfants

dans votre mail, ces enfants auxquels on fait aussi courir un risque, quand son

premier contact avec l'école se fait par un jeune enseignant non formé. Nous

n'avons pas la prétention d'avoir abordé tous les problèmes de l'Education

Nationale, mais les réactions que nous avons récoltées nous laissent à penser

que nous avions raison de soulever ce problème méconnu des parents. Bien à vous.

Bernard Nicolas (co-auteur de l'enquête)

Ce qui laisse penser que nombre de jeunes enseignants vont avoir les parents sur le dos suite à ce reportage ... Merci qui ?

Posté(e)

Pour ma part, j'ai trouvé le sujet très reducteur : ils n'ont parlé que de 3 LC pour lesquels ça s'était mal passé : or il y a quand même des LC qui s'en sortent très bien. Noublions pas qu'on a passé un concours, donc nous avons un minimum de notions et c'est ce que semblaient nier les journalistes en faisant comprendre que nous étions les fins de liste : pour ma part j'étais 476eme sur 5000 inscrits au concours : je ne pense pas être la derniere de la liste! comme ils le laissaient entendre!! Ca m'a un peu révolté : on est pas assez bon pour suivre la formation! Pfffff

De plus comme le font remarquer certains, ce n'est pas parce qu'on a suivi la PE2 qu'on s'en sort plus facilement... malheureusement, la formation dispensé en PE2 est loin d'être satisfaisante et suffisante. Sur le terrain, on apprend mieux, plus vite. Certains collegues se revelent même être de très bon conseillers péda!

Enfin, je terminerais en disant que pour moi, ce fut une 2eme chance d'être LC car sans elle, je n'aurais pas été recrutée et j'aurai peut etre laissé tomber devant le nouveau concours alors que ce metier me passionne : il ne faut pas cracher dans la soupe.

Posté(e)

Je n'ai pas vu le reportage, mais j'ai eu un résumé de mes collègues et j'ai vu vos commentaires.... Donc on peut dire que je l'ai vu "par procuration".

Franchement, quand je lis la réponse du journaliste, ça m'éneeeeeeeeeeeerve! :angry:

c'est un système dont les jeunes sont les victimes que nous dénonçons.

Oui, peut être.... Mais bon, en nous faisant passer pour des incompétents et des bons à rien, la seule chose qu'ils font c'est aggraver nos difficultés.... Imaginez un LC qui galère déjà, si en plus il a les parents qui lui tombent sur le dos après ça! Comment être crédible?

Surtout sans prendre en compte, comme il a été dit, tout le soutien et l'aide qu'on peut avoir, notre volonté, le fait que la formation de PE2, si elle n'est pas inutile, est sans doute largement insuffisante etc!

Je regrette que vous n'ayez pas eu un seul mot pour les enfants dans votre mail, ces enfants auxquels on fait aussi courir un risque, quand son premier contact avec l'école se fait par un jeune enseignant non formés

Peut être aussi... Mais bon il ne faut pas exagérer non plus! Est ce que ça va changer toute la vie du gamin parce que, pendant quelques mois, il aura eu un instit LC? Alors, le "bon" élève deviendrait mauvais parce qu'il a eu un instit débutant? Celui qui avait des difficultés loupera toute sa scolarité encore plus à cause de ça? Et le rôle de l'équipe pédagogique alors? Le rased, le conseil de cycle par exemple tous ces éléments ne serviraient plus ne pourraient plus aider parce qu'un instit est LC?

Cette réponse laisse supposer que laisser des enfants à des LC pendant quelques mois sacrfierait toute leur scolarité!

Les réactions que nous avons récoltées nous laissent à penser que nous avions raison de soulever ce problème méconnu des parents. Bien à vous.

Bernard Nicolas (co-auteur de l'enquête)

Oui, ben ça on s'en doute vu comment ils ont présenté les choses.....

Encore merci pour votre reportage qui peut être a informé sur un système contestable et inconnu mais qui finalement, ne fait qu'empirer la situation!

Il me vient une envie de leur envoyer un mail là!

Littlefinou en colère. <_<

Posté(e)

Tout à fait d'accord avec toi littlefinou !

Tiens voici le mail que j'avais fait à ces journalistes (dont la réponse est plus haut).

Ca donnera une idée plus précise du reportage à ceux qui ne l'ont pas vu.

Bonjour,

je suis sur la LC de Midi-Pyrénées et j'ai regardé votre reportage avec grand intérêt. J'ai été très déçue de l'image que vous donnez de nous et du parti pris évident qui planait tout au long du reportage. Certes il est légitime de dénoncer ce système de listes complémentaires. Nous sommes tous d'accord. Mais là vous vous attaquez plus à nous, victimes du système, qu'à l'Education Nationale. Vous oubliez de nombreuses précisions pourtant si importantes ! Vous ne montrez que des exemples d'échec et de cas extrêmes. Où sont tous ceux qui s'en sortent car ils sont si motivés et heureux de s'impliquer autant pour ces enfants et ce nouveau travail qu'ils ont choisi par conviction ? Car pour vivre la liste complémentaire il faut en vouloir : le système nous oblige à démissionner de nos emplois pour être disponible du jour au lendemain et nous place en situation précaire et instable ! Pourtant on attend de pied ferme cet appel et on y croit jusqu'au bout ! Dans votre reportage, vous oubliez de parler :

- du nombre de personnes qui présentent le concours chaque année : arrêtez de nous présenter comme des pauvres "recalés" ! vous dites sur 400 candidats, 200 sont admis et 200 sont recalés en liste d'attente ! Mais pas du tout, 200 sont en liste complémentaire car le ministère refuse d'anticiper suffisament le nombre de postes et de les prendre en liste principale ! Et les centaines de candidats qui ont échoué au concours ?! Regarder un peu les chiffres du ministère avant d'annoncer n'importe quoi : http://www.education.gouv.fr/siac/siac1/st...005/externe.htm.

Si le système de liste complémentaire n'existait pas, nous serions à l'IUFM à l'heure qu'il est !

- de l'accompagnement pédagogique et "humain" qui est apporté aux stagiaires issus de LC. Où sont les inspecteurs, les conseillers pédagogiques, les autres professeurs de l'école dans votre reportage ? Vous ne montrez pas tous les moyens qu'a aujourd'hui un professeur pour se former, se faire aider !!!

- du concours et de sa préparation qui contitue une première année de formation théorique : http://www.education.gouv.fr/siac/siac1/pr...mes/externe.htm. Un parallèle intéressant aurait pu être fait avec le fonctionnaire de France Télécom.

- de l'implication des LC dans le monde de l'éducation : nombre d'entre nous ont déjà fait des stages, ont travaillé dans un CLAE, comme aide de vie scolaire etc !

Tout cela mène inévitablement les parents à penser que l'on est de pauvres ignorants arrivés là par hasard ! Le reportage n'a servi qu'à monter encore les parents contre nous ; ils vont se faire de fausses idées sur nous et vont chercher la petite bête là où il n'y en a pas ! Certains ont vite fait l'amalgame avec le recrutement du fonctionnaire de FT !

Aujourd'hui les LC sont fermées les unes après les autres plus tôt que prévu. Cela veut dire que de nombreux professeurs ne seront jamais remplacés jusqu'à la fin de l'année scolaire. Le nombre de postes pour le concours 2006 va encore diminuer alors que la population augmente : n'est-ce pas là la vraie problématique?

Alors avant d'aller critiquer les autres, commencez par faire correctement et plus rigoureusement votre travail !Et intéressez-vous aux vrais problèmes plutôt que d'aller en créer d'autres.

Je crois qu'on sent que j'étais un peu énervée.... :blush:

Posté(e)
Je crois qu'on sent que j'étais un peu énervée.... :blush:

Oui, un peu sur la dernière phrase, mais sinon pour le reste, je trouve que ton mail est tout à fait pertinent et relève très bien toutes les lacunes de leur reportage. Tu l'as bien écrit et c'est bien argumenté. :)

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