nanouch14 Posté(e) 5 mai 2007 Posté(e) 5 mai 2007 Je suis étudiante en sciences de l'éducation pour devenir PE et justement je travaille sur l'évaluation Y'aurait-il une âme charitable pour répondre un un petit questionnaire? Cela prend quelques minutes et cela me serai très utile car jusqu'à maintenant, je n'ai eu que quatre réponses et il m'en faudriait une quinzaine! Merci d'avance Voivi mon questionnaire mais avant, si vous voulez l'obtenir en format word ou work ou office voici mon e-mail, vous m'écrivez et je vous l'envoie : nanouch-14@hotmail.fr Question 1 : Comment définissez-vous l'évaluation? Question 2: Selon vous, à quoi sert-elle? Quelles sont ses fonctions? Question 3: Pourquoi le système d'évaluation fait-il autant débat? Question 4: Quel système de notation avez-vous adopté ? En fonction de quels critères l’avez-vous fait ? Question 5: Ce système choisi vous semble-t-il convenablement adapté aux élèves ? N’y a-t-il rien à remettre en question ? Si oui, modifiez-vous ce qui doit l’être ? Question 6: Evaluez-vous continuellement ou au terme des séquences d’apprentissage ou encore d’une autre manière ? Question 7: Avez-vous été formé aux modalités d'évaluation? Question 8: Comment expliquez-vous à vos élèves ce système de notation (si vous l’expliquez)? et aux parents? Question 9: Est-ce que les notations ont déjà posé problème au cours de votre carrière? Si oui pourquoi? Question 10: Selon vous, comment la notation est-elle perçue par les élèves? Et par les parents? Question 11: Que penseriez-vous d'instaurer un examen d'entrée au collège? Question 12: Pensez-vous que quel que soit le niveau des élèves, le système de notation et d’évaluation doit être le même ou doit-il varier ? S’il varie, en quoi change-t-il ? Question 13: Est-il souhaitable selon vous d'évaluer les établissements et d'en donner un classement? Merci beaucoup d'avance
pourvoir Posté(e) 26 juin 2014 Posté(e) 26 juin 2014 Trop d’élèves souffrent aujourd’hui des effets négatifs d’évaluations qui ne prennent en compte que leurs lacunes, qui peuvent les décourager dans leurs apprentissages et les freiner dans leur parcours. Il est nécessaire de construire une véritable politique de l’évaluation des élèves, au service des apprentissages et de la réussite de tous. Une évaluation dont les objectifs, les principes et les modalités doivent être partagés par les élèves, les familles, les enseignants, les équipes pédagogiques et éducatives. http://www.education.gouv.fr/cid80650/lancement-de-la-conference-nationale-sur-l-evaluation-des-eleves.html http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/06/24/31003-20140624ARTFIG00272-supression-des-notes-benoit-hamon-merite-un-zero-pointe.php http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/06/25/evaluation-benoit-hamon-a-t-il-bien-evalue-les-risques_4445352_3224.html https://fr.news.yahoo.com/suppression-notes-%C3%A0-l%C3%A9cole-lump-doit-pr%C3%A9parer-r%C3%A9volution-160158942.html http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/06/24/01016-20140624ARTFIG00051-benoit-hamon-veut-en-finir-avec-les-notes-sanctions-a-l-ecole.php#xtor=AL-201
reglisse Posté(e) 26 juin 2014 Posté(e) 26 juin 2014 Je rajoute une réponse d'Alain Bentolila pour apporter de l'eau à nos moulins http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/06/24/31003-20140624ARTFIG00328-en-finir-avec-les-notes-a-l-ecole-halte-a-la-complaisance.php
nola Posté(e) 26 juin 2014 Posté(e) 26 juin 2014 T'as rien compris. 00/20. Allo, Benoît? Oui, c'est Nola. Tu vas bien? OK. Dis donc, Je ne veux pas dénoncer, mais j'en tiens une qui est malveillante.
Zarko Posté(e) 26 juin 2014 Posté(e) 26 juin 2014 C'est noter l'épreuve de maths des terminale S sur 24...(en faisant croire que c'est sur 20)
Paul Getty Posté(e) 26 juin 2014 Posté(e) 26 juin 2014 L'article du Monde est pour une fois (à mon goût) pas mal foutu. Comment se prendre les pieds dans le tapis... "On doit pouvoir apprendre et évaluer différemment comme avec les travaux personnels encadrés (TPE) par exemple, qui permettent de juger l'aptitude de l'élève à travailler de manière collective», poursuit le ministre." Chouette, on va être formés, alors ? Ah non, zut, j'avais lu "apprendre à évaluer différemment"... "Avec l'ouverture de ce dossier, M. Hamon serait-il dans le sillage de ses premières décisions et continuerait-il les erreurs ? « Du cafouillage sur la pré-rentrée repoussée à son décret sur l'aménagement des rythmes scolaires qui casse l'esprit de la réforme, il est tombé dans tous les pièges. Avec les notes, on peut considérer que ça continue », insiste un observateur. Benoit Hamon a en effet ouvert ce dossier de l'évaluation contre l'avis de la direction générale de l'enseignement scolaire, contre celui de l'inspection générale et sans le Conseil national d'évaluation du système éducatif (CNESCO). Cet organisme indépendant, créé sous Vincent Peillon pour faire connaître au pays les travaux de la recherche, avait d'ailleurs à son programme une grande réflexion qui serait partie de ce qu'on sait scientifiquement de la note et de son impact sur les élèves. Il aurait pu se protéger derrière s'il avait laissé le CNESCO à la manoeuvre. Là, il le contourne délibérément pour se mettre en première ligne. Or, depuis la Manif pour tous, le paysage a changé. Une France conservatrice s'est réveillée et se fait désormais entendre dès qu'elle en a l'occasion. La note est un cheval de bataille idéal pour elle. Un débat scientifique aurait été plus apaisé En faisant de cette discussion un objet politique et non scientifique, le ministre affaiblit la réflexion qu'il souhaite. En travaillant hors le CNESCO, il tue d'un côté cet organisme et de l'autre fait douter de l'indépendance du débat engagé. Si la réflexion sur la note avait pris appui sur un projet de socle commun lisible par tous, et qu'elle était venue appuyer une évaluation par compétences des élèves clairement affichée, alors le débat aurait pu être constructif. A l'heure actuelle, le texte du socle commun produit par le Conseil supérieur des programmes (CSP) ne peut déboucher sur rien de concret. Ce qui floute d'autant le sens de cette réflexion qui peut englober « ou non » le diplôme national du brevet... voire le baccalauréat. Bref, on ne sait pas où on va." Non mais faut pas croire, réussir à tout rater, c'est un métier...
nola Posté(e) 26 juin 2014 Posté(e) 26 juin 2014 Si les TPE sont la réponse, c'est que la question était un peu farfelue.
Zarko Posté(e) 26 juin 2014 Posté(e) 26 juin 2014 L'article du Monde est pour une fois (à mon goût) pas mal foutu. Comment se prendre les pieds dans le tapis... "On doit pouvoir apprendre et évaluer différemment comme avec les travaux personnels encadrés (TPE) par exemple, qui permettent de juger l'aptitude de l'élève à travailler de manière collective», poursuit le ministre." Chouette, on va être formés, alors ? Ah non, zut, j'avais lu "apprendre à évaluer différemment"... "Avec l'ouverture de ce dossier, M. Hamon serait-il dans le sillage de ses premières décisions et continuerait-il les erreurs ? « Du cafouillage sur la pré-rentrée repoussée à son décret sur l'aménagement des rythmes scolaires qui casse l'esprit de la réforme, il est tombé dans tous les pièges. Avec les notes, on peut considérer que ça continue », insiste un observateur. Benoit Hamon a en effet ouvert ce dossier de l'évaluation contre l'avis de la direction générale de l'enseignement scolaire, contre celui de l'inspection générale et sans le Conseil national d'évaluation du système éducatif (CNESCO). Cet organisme indépendant, créé sous Vincent Peillon pour faire connaître au pays les travaux de la recherche, avait d'ailleurs à son programme une grande réflexion qui serait partie de ce qu'on sait scientifiquement de la note et de son impact sur les élèves. Il aurait pu se protéger derrière s'il avait laissé le CNESCO à la manoeuvre. Là, il le contourne délibérément pour se mettre en première ligne. Or, depuis la Manif pour tous, le paysage a changé. Une France conservatrice s'est réveillée et se fait désormais entendre dès qu'elle en a l'occasion. La note est un cheval de bataille idéal pour elle. Un débat scientifique aurait été plus apaisé En faisant de cette discussion un objet politique et non scientifique, le ministre affaiblit la réflexion qu'il souhaite. En travaillant hors le CNESCO, il tue d'un côté cet organisme et de l'autre fait douter de l'indépendance du débat engagé. Si la réflexion sur la note avait pris appui sur un projet de socle commun lisible par tous, et qu'elle était venue appuyer une évaluation par compétences des élèves clairement affichée, alors le débat aurait pu être constructif. A l'heure actuelle, le texte du socle commun produit par le Conseil supérieur des programmes (CSP) ne peut déboucher sur rien de concret. Ce qui floute d'autant le sens de cette réflexion qui peut englober « ou non » le diplôme national du brevet... voire le baccalauréat. Bref, on ne sait pas où on va." Non mais faut pas croire, réussir à tout rater, c'est un métier... C'est vrai....Hamon commence vraiment mal...
Japet Posté(e) 30 juin 2014 Posté(e) 30 juin 2014 j'ai une maman d'élève (de ce2) qui me dit : les évaluations ça stresse ma fille, vous pourriez pas les faire sous forme de jeu?
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