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Une grande dame est morte...


lissoute

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Sous prétexte que nous sommes français on aurait pas le droit de critiquer la marseillaise ?? Désolée mais moi je n'aime vraiment pas ce chant...

Je préfère très largement le chant des partisans qui est davantage un symbole de liberté, de fraternité... Il est, du moins pour moi, bien plus fédérateur que la marseillaise...

Et pour info, je savais (depuis pas longtemps, 1 an peut être) que la musique en avait été composée par Anna Marly.

Et les paroles (françaises) ont été écrites par Joseph Kessel et Maurice Druon. Tiens, d'ailleurs, celui ci est le seul survivant à présent (puisque Kessel est mort en 1978 si je ne fais pas d'erreurs).

Et je ferai apprendre ce chant aux élèves, pas la marseillaise, que de toutes manières ils peuvent apprendre en regardant les matchs de foot ou de rugby !

fin du déviage

C'est on droit de préférer le chant des partisans ou de critiquer la marseillaise mais vouloir changer d'hymne ce n'est pas la même chose.

Quand aux hymnes debut de match ils n'ont pas vocation à les apprendre aux enfants et encore moins à leur expliquer quoi il s'agit...

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Sous prétexte que nous sommes français on aurait pas le droit de critiquer la marseillaise ?? Désolée mais moi je n'aime vraiment pas ce chant...

Je préfère très largement le chant des partisans qui est davantage un symbole de liberté, de fraternité...

Et pour info, je savais (depuis pas longtemps, 1 an peut être) que la musique en avait été composée par Anna Marly.

Et les paroles (françaises) ont été écrites par Joseph Kessel et Maurice Druon. Tiens, d'ailleurs, celui ci est le seul survivant à présent (puisque Kessel est mort en 1978 si je ne fais pas d'erreurs).

Et je ferai apprendre ce chant aux élèves, pas la marseillaise, que de toutes manières ils peuvent apprendre en regardant les matchs de foot ou de rugby !

:ninja: Whaouh.... :ninja:

Alors.... juste cela...Mesures-tu la portée de tes propos ? C'est grave... :huh:

Réduire la Marseillaise à une musique entendue lors des matchs... je trouve cela réducteurs et humiliant pour ce qu'elle représente et pour notre Histoire...

Cette vision est, selon moi, très étriquée. C'est dommage de percevoir cela ainsi.

La Marseillaise est aussi un chant de liberté je te le rappelle !

"Amour sacré de la Patrie

Conduis, soutiens nos bras vengeurs

Liberté, Liberté chérie

Combats avec tes défenseurs!

C'est le peuple qui crie sa souffrance...

Mais si pour toi il s'agit juste d'un "fond musical" perdu au milieu d'un match...c'est sûr, c'est peine perdue !

Il ne s'agit pas de ne pas pouvoir critiquer la Marseillaise, il s'agit de ne pas la nier et de COMPRENDRE sa signification et sa portée !

Juste une dernière chose...

Les étudiants chinois manifestant sur la place Tiananmen chantaient également la Marseillaise, qui pour eux restait avant tout le chant des combattants de la liberté...

Et pour "essayer" de comprendre ce qu'il y a de "choquant"...

"L’hymne national français est un chant guerrier hérité des guerres révolutionnaires. La violence de la Marseillaise est parfois critiquée, en France même, mais il convient d’en rappeler le caractère exclusivement défensif :

* « Aux armes citoyens ! » est le mot d’ordre de la levée en masse pour défendre « la Patrie en danger », assiégée par l’Europe entière ;

L’expression « sang impur » est parfois mal interprétée. Il ne s’agit nullement ici d’une connotation raciste faisant référence à du sang étranger. Le « sang impur » de la Marseillaise, c’est le fameux « sang bleu » des nobles qui symbolisait le caractère inégalitaire de l’Ancien Régime. La Marseillaise est composée alors que les nobles ont émigré en masse à l'étranger, et qu'ils se préparent à envahir la France, faisant craindre une répression." (Source : Wikipédia)

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Oui, il faut expliquer la signification de la marsiellaise aux enfants... C'est sûr...

Mais il ne faut pas compter sur moi pour leur faire apprendre les paroles... (qu'ils connaissent déjà en partie d'ailleurs).

D'ailleurs, je viens juste de penser que ce que l'on entend traditionnellement au début des matchs (ou même le 14 juillet) ce n'est qu'une toute petite partie...

Mais le chant des Partisans fait tout autant partie de l'histoire que la marseillaise et je ne suis pas certaine que sa compositeure et les auteurs des paroles auraient souhaité qu'il tombe dans l'oubli une fois la guerre finie...

Et en plus j'aime beaucoup l'interprétation qu'en a fait Yves Montand... La meilleure que je connaisse (il faut dire aussi que je n'en connais pas d'autres, à part celel de Mireille Mathieu).

J'arrête là le débat. De totues manières, ce n'était pas l'objectif du sujet.

Et Merci à Anna Marly d'avoir composé la musique d'un si beau chant.

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Et en plus j'aime beaucoup l'interprétation qu'en a fait Yves Montand... La meilleure que je connaisse

Oui et merci pour les frissons qu'elle me donne à chaque fois ... :wub:

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Oui, il faut expliquer la signification de la marsiellaise aux enfants... C'est sûr...

Mais il ne faut pas compter sur moi pour leur faire apprendre les paroles... (qu'ils connaissent déjà en partie d'ailleurs).

D'ailleurs, je viens juste de penser que ce que l'on entend traditionnellement au début des matchs (ou même le 14 juillet) ce n'est qu'une toute petite partie...

Mais le chant des Partisans fait tout autant partie de l'histoire que la marseillaise et je ne suis pas certaine que sa compositeure et les auteurs des paroles auraient souhaité qu'il tombe dans l'oubli une fois la guerre finie...

Et en plus j'aime beaucoup l'interprétation qu'en a fait Yves Montand... La meilleure que je connaisse (il faut dire aussi que je n'en connais pas d'autres, à part celel de Mireille Mathieu).

J'arrête là le débat. De totues manières, ce n'était pas l'objectif du sujet.

Et Merci à Anna Marly d'avoir composé la musique d'un si beau chant.

Je pense que les élèves préfèreront celle de Zebda et des motivés à celle de mireille Mathieu!!! :P

Ca doit être ma génération qui veut ça...J'suis tellement jeune :D (1972)

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Allez, puisqu'on en est à discuter des mérites comparés des différents chants qui exhortent le populo à se massacrer pour des idées (même très nobles et belles), le chant du départ, dans le genre, n'est pas mal non plus.

Bref, tout ça pour dire que je ne pense pas être un plat de nouilles et que, s'il fallait aller au charbon, j'irais, que malheureusement, il n'est pas d'exemple dans l'histoire qu'il n'ait pas fallu utiliser la violence pour obtenir des libertés, mais que je me méfie comme de la peste des grands mouvements de foule où cette violence est sanctifiée et justifiée par la Cause : je ne fais pas de l'angélisme : la violence fait hélas partie de nous, elle est un moyen d'assurer notre survie face à une agression, mais de là à la commémorer et à en faire un moyen de galvaniser les foules...

Et c'est bien ce que font tous ces hymnes : la mort, non ce n'est pas beau, non ce n'est pas glorieux : assez des héros morts...

Sur France Inter, hier samedi, dans l'émission, "la prochaine fois, je vous le chanterai", de P. Meyer, le thème était justement les chants patriotiques... mais du point de vue de ceux qui sont au front et qui crèvent...

On peut réecouter l'émission en ligne quelques temps

http://www.radiofrance.fr/chaines/france-i.../prochainefois/

Appelé le "frère de La Marseillaise" par les soldats de l'an II, le Chant du Départ (que Napoléon préférait à La Marseillaise) est devenu l'hymne national du Premier Empire. C'était avant tout une chanson de la Révolution. L'auteur des paroles était Marie-Joseph Chénier (1764-1811), très célèbre dramaturge et poète de l'époque. Il forma un "duo" remarquable avec Etienne-Nicolas Méhul (1763-1817), un des compositeurs les plus connus de son temps. Après la première représentation de leur œuvre dans le Jardin National le 14 juillet 1794 en commémoration de la prise de la Bastille, 18 000 copies étaient envoyées à l'armée.

Le Chant du départ (dont le titre original, Hymne de la liberté, fut changé par Robespierre) est un tableau musical, dans lequel chacun des sept versets est chanté par un individu ou groupes d'individus différents. Dans le premier verset, un Député s'adresse à des conscrits en train de partir et les encourage. Puis une mère "Spartiate" nous raconte comment elle ne pleurera pas la perte de ses enfants ; c'est plutôt aux rois à pleurer. Deux vieillards rappellent aux guerriers que leurs épées appartenaient dans le temps à leurs pères, et qu'ils attendront le retour des soldats dans leur foyer - pour entendre les doux mots de victoire et pour enfin mourir en paix. Ensuite, un enfant chante les histoires de Barra et Viala, deux très jeunes héros (âgés de 12 et 13 ans) morts glorieusement pour la République. Entouré de Vendéens, Barra refusa de crier "Vive Louis XVII", en préférant lancer "Vive la République", cri pour lequel il fut tué sur le champ. Viala fut touché par une balle alors qu'il essayait de couper à la hache les cordons d'un ponton de l'ennemi. Ses derniers mots furent "Je meurs, mais c'est pour la Liberté". Les gravures créées par Trimolet et exécutées par Garnier (1 et 4) et Boilly (2 et 3) montrent graphiquement ces événements. Epouses et amies chantent leur dévotion dans les verset 5 et 6, lorsque dans le septième et dernier verset les héros conscrits se disent prêts à partir et à se battre pour répondre aux exhortations des chanteurs précédents et pour apporter la liberté et la paix au monde entier.

Comme La Marseillaise, le Chant du départ survécut aux périodes Révolutionnaire et Napoléonienne. Il est toujours chanté par l'armée française, et Valéry Giscard d'Estaing, alors président de la République, le faisait toujours jouer au cours de cérémonies officielles avec La Marseillaise. C'est un exemple classique de chant guerrier.

La victoire en chantant

Nous ouvre la barrière

La liberté guide nos pas

Et du Nord au midi

La trompette guerrière

A sonné l'heure des combats.

Tremblez ennemis de la France,

Rois ivres de sang et d'orgueil.

Le peuple souverain s'avance :

Tyrans descendez au cercueil.

{Refrain:}

La république nous appelle,

Sachons vaincre ou sachons périr;

Un Français doit vivre pour elle,

Pour elle un Français doit mourir.

Un Français doit vivre pour elle,

Pour elle un Français doit mourir.

De nos yeux maternels

Ne craignez pas les larmes;

Loin de nous les lâches douleurs !

Nous devons triompher

Quand vous prenez les armes,

Nous vous avons donné la vie

Guerriers, elle n'est plus à vous;

Tous nos jours sont à la patrie,

Elle est votre mère avant nous

{au Refrain}

Que le fer paternel arme la main des braves;

Songez à nous au champs de Mars;

Consacrez dans le sang des Rois et des esclaves

Le fer béni par nos vieillards,

Et, rapportant sous la chaumière

Des blessures et des vertus,

Venez fermer notre paupière

Quand les tyrans ne seront plus.

{au Refrain}

De Barra, de Viala le sort nous fait envie:

Ils sont morts mais ils ont vaincu.

Le lâche accablé d'ans n'a pas connu la vie;

Qui meurt pour le peuple a vécu.

Vous êtes vaillants, nous le sommes;

Guidez-nous contre les tyrans;

Les républicains sont des hommes,

Les esclaves sont des enfants

{au Refrain}

Partez, vaillants époux ! Les combats sont vos fêtes

Partez, modèles des guerriers !

Nous cueillerons des fleurs pour en ceindre vos têtes,

Nos mains tresserons vos lauriers

Et, si le temple de Mémoire

S'ouvrait à nos mânes vainqueurs,

Nos voix chanteront votre gloire,

Nos flancs porteront vos vengeurs.

{au Refrain}

Et nous, soeurs des héros; nous, qui de l'hyménée

Ignorons les aimables noeuds,

Si, pour s'unir un jour à notre destinée,

Les citoyens forment des voeux,

Qu'ils reviennent dans nos murailles

Beaux de gloire et de liberté,

Et que leur sang ans les batailles

ait coulé pour l'égalité.

{au Refrain}

Sur le fer, devant Dieu, nous jurons à nos pères,

A nos épouses, à nos soeurs,

A nos représentants, à nos fils à nos mères

D'anéantir les oppresseurs.

En tous lieux, dans la nuit profonde

Plongeant l'infâme royauté,

Les Français donneront au monde

Et la paix et la liberté

{au Refrain}

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Et, Mademoiselle Julie dont j'admire parfois les prises de position vigoureuses ;) : n'oublions pas que 11 ans après avoir raccourci Louis le seizième, Napoléon, empereur des Français, fils de la Révolution, tentait d'instaurer une nouvelle dynastie et s'alliait sans scrupules excessifs, jusqu'à épouser, à ces tyrans que nomme la Marseillaise...

Et quitte à frissonner, je préfère "la butte rouge"

Sur cett' butt'-là y'avait pas d'gigolettes

Pas de marlous ni de beaux muscadins

Ah c'était loin du moulin d'la galette

Et de Paname qui est le roi des pat'lins

C'qu'elle en a bu du beau sang cette terre

Sang d'ouvriers et sang de paysans

Car les brigands qui sont cause des guerres

Ne meurent jamais on n'tue qu'les innocents

REFRAIN

La Butte rouge c'est son nom l'baptème s'fit un matin

Où tous ceux qui grimpaient roulaient dans le ravin

À présent y'a des vignes il y pousse du raisin

Qui boira ce vin-là boira l'sang des copains

Sur cett' butt'-là on n'y f'sait pas la noce

Comme à Montmartre où l'champagne coule à flots

Mais les pauv' gars qui avaient laissé des gosses

Y f''saient entendre de terribles sanglots

C'qu'elle en a bu des larmes cette terre

Larmes d'ouvriers larmes de paysans

Car les brigands qui sont cause des guerres

Ne meurent jamais car ce sont des tyrans

REFRAIN

La Butte rouge c'est son nom l'baptème s'fit un matin

Où tous ceux qui grimpaient roulaient dans le ravin

À présent y'a des vignes il y pousse du raisin

Qui boit de ce vin-là boit les larmes des copains

Sur cett' butt'-là on y r'fait des vendanges

On y entend des cris et des chansons

Filles et gars doucement y échangent

Des mots d'amour qui donnent le frisson

Peuvent-ils songer dans leurs folles étreintes

Qu'à cet endroit où s'échangent leurs baisers

J'ai entendu la nuit monter des plaintes

Et j'y ai vu des gars au crâne brisé

REFRAIN

La Butte rouge c'est son nom l'baptème s'fit un matin

Où tous ceux qui grimpaient roulaient dans le ravin

À présent y'a des vignes il y pousse du raisin

Mais moi j'y vois des croix portant l'nom des copains

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La victoire en chantant

Nous ouvre la barrière

La liberté guide nos pas

Et du Nord au midi

La trompette guerrière

A sonné l'heure des combats.

Tremblez ennemis de la France,

Rois ivres de sang et d'orgueil.

Le peuple souverain s'avance :

Tyrans descendez au cercueil.

{Refrain:}

La république nous appelle,

Sachons vaincre ou sachons périr;

Un Français doit vivre pour elle,

Pour elle un Français doit mourir.

Un Français doit vivre pour elle,

Pour elle un Français doit mourir.

De nos yeux maternels

Ne craignez pas les larmes;

Loin de nous les lâches douleurs !

Nous devons triompher

Quand vous prenez les armes,

Nous vous avons donné la vie

Guerriers, elle n'est plus à vous;

Tous nos jours sont à la patrie,

Elle est votre mère avant nous

{au Refrain}

Que le fer paternel arme la main des braves;

Songez à nous au champs de Mars;

Consacrez dans le sang des Rois et des esclaves

Le fer béni par nos vieillards,

Et, rapportant sous la chaumière

Des blessures et des vertus,

Venez fermer notre paupière

Quand les tyrans ne seront plus.

{au Refrain}

De Barra, de Viala le sort nous fait envie:

Ils sont morts mais ils ont vaincu.

Le lâche accablé d'ans n'a pas connu la vie;

Qui meurt pour le peuple a vécu.

Vous êtes vaillants, nous le sommes;

Guidez-nous contre les tyrans;

Les républicains sont des hommes,

Les esclaves sont des enfants

{au Refrain}

Partez, vaillants époux ! Les combats sont vos fêtes

Partez, modèles des guerriers !

Nous cueillerons des fleurs pour en ceindre vos têtes,

Nos mains tresserons vos lauriers

Et, si le temple de Mémoire

S'ouvrait à nos mânes vainqueurs,

Nos voix chanteront votre gloire,

Nos flancs porteront vos vengeurs.

{au Refrain}

Et nous, soeurs des héros; nous, qui de l'hyménée

Ignorons les aimables noeuds,

Si, pour s'unir un jour à notre destinée,

Les citoyens forment des voeux,

Qu'ils reviennent dans nos murailles

Beaux de gloire et de liberté,

Et que leur sang ans les batailles

ait coulé pour l'égalité.

{au Refrain}

Sur le fer, devant Dieu, nous jurons à nos pères,

A nos épouses, à nos soeurs,

A nos représentants, à nos fils à nos mères

D'anéantir les oppresseurs.

En tous lieux, dans la nuit profonde

Plongeant l'infâme royauté,

Les Français donneront au monde

Et la paix et la liberté

{au Refrain}

C'est grave si cette chanson évoque principalement pour moi, la république des enfants grâce au fabuleux "la guerre des boutons" :P .

Sinon La Marseillaise, le chant des partisans..........me font souvent monter les larmes aux yeux. Je n'ai pas un esprit belliqueux mais elles illustrent avec tant d'autre l'Histoire de notre pays.

Un petit lien: Histoire en primaire

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C'est grave si cette chanson évoque principalement pour moi, la république des enfants grâce au fabuleux "la guerre des boutons" :P .

Sinon La Marseillaise, le chant des partisans..........me font souvent monter les larmes aux yeux. Je n'ai pas un esprit belliqueux mais elles illustrent avec tant d'autre l'Histoire de notre pays.

Un petit lien: Histoire en primaire

La butte rouge aussi fait partie de l'histoire de notre pays :blush:

Le temps des cerises aussi...

Je ne sais pas si c'est "grave" mais je vais me soigner si ça l'est :P , mais pour moi, ça évoque plutôt le film de J-J Annaud qui porte justement la première phrase de cette chanson : "la victoire en chantant"

http://www.ac-grenoble.fr/isle/cine-vict03.htm

En fait, je crois qu'il n'y a rien de plus grave que la mort, mais ce n'est que mon point de vue...

Et je le partage...

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  • 4 semaines plus tard...
La Marseillaise est aussi un chant de liberté je te le rappelle !
<_< m'ouais c'est sûr...mais la période à laquelle elle a été écrite coincide avec une période de tueries( les chouans, les prêtres réfractaires...) et précède la Terreur. Je ne vais pas prendre position sur pour ou contre la marseillaise seulement mettre en garde face à une vision idéalisée de la révolution.

J'ai oublié le nom de cette femme qui avant d'être guillotinée a dit " liberté, que de crimes commis en ton nom"

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J'ai oublié le nom de cette femme qui avant d'être guillotinée a dit " liberté, que de crimes commis en ton nom"

J'hésite entre Olympe de Gouge et Mme Roland... Je crois que c'est une des deux...

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J'aurais dit Olympe de gouges aussi mais non, c'est Mme Roland :

Auteur : Manon Roland (17 mars 1754 - 8 novembre 1793)

Date : 18 brumaire an II (8 novembre 1793)

Contexte historique :

Madame Roland aurait crié ces mots sur l'échafaud en se tournant vers la statue de la liberté qui ornait la place de la Révolution (rebaptisée place de la Concorde en 1795).

Manon Roland devient rapidement la muse du club des Girondins (ou Brissotins). Fondé en octobre 1791 par un certain nombre de députés de la Gironde, dont Brissot, Guadet ou Vergniaud, ce groupe politique réunit aussi Jean-Marie Roland de La Platière (Ministre de l'Intérieur en 1792), sa femme Manon, Buzot, Condorcet, Pétion, Pache, Louvet, Barbaroux ou Gensonné. Les Girondins, modérés, occupent le devant de la scène Révolutionnaire jusqu'en 1793.

Mais calomniés par les Montagnards et la Commune, ils sont arrêtés le 2 juin 1793 sur ordre de la Convention, notamment sous l'impulsion de Danton et de Robespierre, qui s'inquiètent de voir les Girondins vouloir sauver le Roi et s'élever contre la mise en place du Tribunal Révolutionnaire. Les Girondins seront guillotinés entre le 31 octobre et le 8 novembre 1793. Jean-Marie Roland qui a réussi à s'enfuir et à se réfugier à Rouen se donne la mort de deux coups de poignard le 15 novembre, lorsqu'il apprend la mort de sa femme.

Ces mots viennent en écho à ceux des Montagnards, qui affirmaient "pas de liberté pour les ennemis de la liberté".

http://vdaucourt.free.fr/Roland/Roland.htm

Marie-Claire tu n'as pas répondu à zozo et pourtant sa remarque est pertinente : si tu rejettes la Marseillaise pour ses paroles violentes, et seulement pour cela, en quoi le chant des partisans est-il moins sanguinaire ?

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