Aller au contenu

Messages recommandés

Posté(e)

La situation semble s'être "empirée" d'après ce que vous dites. Un petit truc, le CE2 est aussi l'année de vigilance face à la myopie, mon ophtalmo m'a bien dit dès qu'elle devenait vraiment active aux alentours de 9ans, j'ai 1 cas environ par an en CE2. Peut-être une piste.

Un souci visuel pourrait expliquer beaucoup de choses, mais si malgré cela les troubles persistent il faudra continuer à chercher.

Sinon les dys n'ont rien à voir avec l'intelligence, c'est évident que votre fille comprend vite etc... mais cela ne peut en rien exclure une dys.

Pour toutes les dys, il y a des niveaux. La dysorthographie peut-être légère (ce qui pourrait coller, vu qu'apparemment votre fille semble bonne en dictée), mais bon des soucis de copie colleraient aussi avec une dyslexie légère. Bref plus c'est léger, plus c'est difficile à diagnostiquer, pour un non dys ou non spécialiste dys.

Le mieux ici ce serait effectivement un centre de dépistage :wink: .

  • Réponses 36
  • Created
  • Dernière réponse

Membres les plus actifs

  • Arpège

    6

  • adelaideaugusta

    5

  • Héloïse44

    4

  • johana

    4

Posté(e)
La situation semble s'être "empirée" d'après ce que vous dites. Un petit truc, le CE2 est aussi l'année de vigilance face à la myopie, mon ophtalmo m'a bien dit dès qu'elle devenait vraiment active aux alentours de 9ans, j'ai 1 cas environ par an en CE2. Peut-être une piste.

Un souci visuel pourrait expliquer beaucoup de choses, mais si malgré cela les troubles persistent il faudra continuer à chercher.

Sinon les dys n'ont rien à voir avec l'intelligence, c'est évident que votre fille comprend vite etc... mais cela ne peut en rien exclure une dys.

Pour toutes les dys, il y a des niveaux. La dysorthographie peut-être légère (ce qui pourrait coller, vu qu'apparemment votre fille semble bonne en dictée), mais bon des soucis de copie colleraient aussi avec une dyslexie légère. Bref plus c'est léger, plus c'est difficile à diagnostiquer, pour un non dys ou non spécialiste dys.

Le mieux ici ce serait effectivement un centre de dépistage :wink: .

merci pour vos réponses

j'ai réussi à avoir un rendez vous chez un ophtalmo,pour la mi mai. Un chance car il faut attendre 3 mois!!!

reste plus qu'à être patient

Posté(e)
merci pour vos réponses

j'ai réussi à avoir un rendez vous chez un ophtalmo,pour la mi mai. Un chance car il faut attendre 3 mois!!!

reste plus qu'à être patient

C'est bien d'avoir pris rendez-vous, en espérant que ce ne soit que ça :wink:

  • 1 année plus tard...
Posté(e)

Bonjour,

Mon fils souffre d'une dysorthographie sévère, il suit des cours d'orthophonie depuis plus de 2 ans maintenant.Il est aujourd'hui en classe de 6ème... et là, c'est vraiment dur. J'ai du me battre pour faire mettre en place un P.A.I.et surtout pour que ses profs le respectent, c'est un véritable combat au quotidien et je n'en peux plus de lire des remarques de type "trop de fautes d'orthographe", "les mots ont-ils été appris?", "la leçon n'est pas sue"...

En classe il tente de montrer qu'il est supérieur aux autres, bavarde sans arrêt et ne pense qu'à faire des blagues. A la maison, les devoirs sont toujours aussi cauchemardesques. Je suis souvent à bout de force, je passe des heures à lui écrire ses fiches de révision, à décrypter ses cours bien souvent illisibles et surtout je ne sais plus comment l'aider. Certains/certaines d'entre vous sont-ils déjà passés par là ? Merci pour vos réponses.

Posté(e)

Merci à vous.

Ce point n'a pas été mis sur le P.A.I car ils voulaient voir comment mon fils s'en sortirait. Peut-on demander à modifier un P.A.I en cours d'année ?

Certains profs hésitent à donner des aménagements à mon fils car il y a d'autres élèves en difficulté dans la classe... Je ne sais pas trop quoi en penser. J'ai proposé de le noter par écrit afin que les autres élèves n'en aient pas connaissance.

Posté(e)

bonjour,

La maîtresse de ma fille m'a fait remarqué que Marion copie très mal

Depuis le Cp on traîne, on a fait deux bilans orthophoniques et pas de dysléxie apparemment si ce n'est que c'est une petite fille qui fatiguerait vite.

je m'étonne, car la dyslexie ne peut être diagnostiquée qu'à partir du ce2 (voire fin ce1) mais certainement pas au cp !!

  • 4 semaines plus tard...
Posté(e)

Bonjour,

Mon fils souffre d'une dysorthographie sévère, il suit des cours d'orthophonie depuis plus de 2 ans maintenant.Il est aujourd'hui en classe de 6ème... et là, c'est vraiment dur. J'ai du me battre pour faire mettre en place un P.A.I.et surtout pour que ses profs le respectent, c'est un véritable combat au quotidien et je n'en peux plus de lire des remarques de type "trop de fautes d'orthographe", "les mots ont-ils été appris?", "la leçon n'est pas sue"...

En classe il tente de montrer qu'il est supérieur aux autres, bavarde sans arrêt et ne pense qu'à faire des blagues. A la maison, les devoirs sont toujours aussi cauchemardesques. Je suis souvent à bout de force, je passe des heures à lui écrire ses fiches de révision, à décrypter ses cours bien souvent illisibles et surtout je ne sais plus comment l'aider. Certains/certaines d'entre vous sont-ils déjà passés par là ? Merci pour vos réponses.

Bonjour,

Mon fils est lui aussi dysorthographique sévère. Son parcours scolaire a été très difficile depuis la Grande Section et est maintenant en CM2 avec un an de retard. Il est suivi depuis le CE1 par la même orthophoniste (il en a eu une autre avant) et fait de gros progrès mais c'est encore très difficile :

Apprendre les mots d'orthographes ou les phrases pour les dictées n'est même pas envisageable, il y passe beaucoup de temps pour un résultat plus que médiocre. Nous passons beaucoup de temps à l'aider à trouver des astuces pour compenser cette impossibilité de mémoriser les mots mais c'est souvent peine perdue. Il commence à arriver à apprendre les leçons d'orthographe, grammaire et conjugaison mais arrive tout juste (et encore pas toujours) à les appliquer quand il fait l'exercice d'application mais il n'y a aucun ré-investissement dans ses productions ou au cours des dictées.

Depuis 2 ans il commence à arriver à mémoriser les autres leçons : en maths, il a le niveau (ce qui n'était pas le cas avant), il s'intéresse beaucoup aux sciences et à l'histoire mais peine à ressortir le vocabulaire (et ne parlons pas d'écrire correctement ce qu'il a appris).

Voici un exemple typique de production :

Cette un encin chateau pattrai gran et il a bocoup de porte.

pour : c'est un ancien château pas très grand et il a beaucoup de portes.

il a une coure moiène, deux but, deux paniéde bascète.

pour : Il a une cour moyenne, deux buts, deux paniers de basket.

Et là, c'est miraculeux car il y a moins de 2 ans, il ne segmentait pas du tout les mots !!

Il écrit seulement "couramment" depuis la fin du cm1. Avant il ne prenait que le début de la leçon et c'était son avs qui terminait. Il s'est donc enfin mis à écrire mais son écriture est assez difficile à lire.

L'année prochaine, après beaucoup d'hésitation, il ira en 6ème également. Par contre nous avons choisi de ne pas l'envoyer dans le collège de secteur. Ils ne veulent pas entendre parler de dyslexie ou dysorthographie et refusent de photocopier les cours ou de les donner sur clef usb... (une de mes collègues est confrontée au pb). Après recherche nous avons trouvé un collège privé (hé oui...) qui accepte de prendre le pb en compte et de lui photocopier les cours quand cela est nécessaire. Ils ont aussi une heure de devoirs aidés obligatoire tous les soirs et une optionnelle avec 2 enseignants qui s'occupent des élèves sans pb et 2 autres qui restent avec ceux qui ont plus de mal. J'avoue que ça me remonte le moral car le moment des devoirs est très difficile et ma patience a hélàs tendance à s'amenuiser avec le temps : certaines leçons sont à revoir en permanence, il les oublie d'un soir à l'autre... bref ! C'est bien décourageant !

Cette année, comme l'an passé, il a la chance d'avoir une instit vraiment formidable qui a bien su prendre en compte ses difficultés. La 6ème va être difficile aussi puisqu'il perd son avs (les avs ne sont plus accordée pour les "dys" à partir de la 6ème...) mais bon en même temps il arrive bien à s'en passer plus souvent depuis qu'il écrit donc j'essaie d'être positive.

Ouh là j'ai été bien longue là ! Désolée ! Mais pour les parents de "dys" le sujet est bien vaste et bien envahissant !

Posté(e)

Merci pour ton témoignage.

Je te souhaite beaucoup de courage car je comprends bien ce que vous pouvez vivre toi et ton fils. Je suis très contente de pouvoir en parler avec une maman qui a un fils du même âge. L'arrivée de l'adolescence m'inquiète quelque peu.

Mon fils est actuellement en 6ème dans un collège privé et je dois t'avouer que je déchante un peu. Lors de son inscription, le proviseur (je peux me tromper de terme) avait assuré qu'ils connaissaient bien la situation parce qu'ils avaient déjà scolarisé des enfants dyslexiques: que beaucoup de cours seraient donnés sur cd ou photocopiés, etc.

Mais depuis la rentrée, je suis obligée de me battre pour que les profs tiennent compte de ses soucis et ce malgré le PAI. Régulièrement, il faut voir les profs pour leur faire une piqure de rappel afin qu'ils cessent les remarques type : "la leçon n'a pas été apprise", "as-tu appris tes mots ?", voire les points en moins etc.,etc. En anglais, par exemple, il avait été demandé de faire des évaluations essentiellement orales... on m'a clairement fait comprendre qu'avec le socle commun, les items devant être évalués se faisaient surtout à l'écrit : résultat, aucun aménagement ( pas de questions en moins, ni d'aide supplémentaire)

Tous les soirs, je rédige des fiches de révision pour qu'il puisse lire les leçons sans apprendre les erreurs ou juste pour qu'il puisse les lire. L'anglais est cauchemardesque : ça fait des années que je ne pratique plus.

Bref, je ne vais pas passer toutes les matières en revue, mais mon compagnon me dit souvent que je refais ma 6ème...

Afin de lui alléger la part écrite, je lui recopie les phrases des exercices à compléter, comme ça il peut se concentrer réellement sur la leçon et pas s'épuiser dans une pure activité de copie. Mais hélas, son cahier de texte n'est pas souvent à jour ... Lors de la dernière réunion, on m'a assuré que tous les profs vérifieraient que les devoirs soient bien notés, certes.

Il y a vraiment beaucoup de changements cette année, je m'accroche en me disant qu'il y en aura moins l'année prochaine (mais je m'apprête aussi à réviser le programme de 5ème ;))

Concernant les dictées, je passe essentiellement par l'oral : pour apprendre un mot,j'essaye de trouver des histoires qui lui parlent. Je pense que, comme le mien , ton fils doit, avec son orthophoniste,épeler les mots à l'endroit, à l'envers, compter le nombre de voyelles, dire quelle est la 3ème lettre, s'il y a une lettre muette ou non. Mon fils devient de plus en plus rapide ( il est bien plus rapide que moi en tout cas). Je pense que cette technique porte ses fruits à long terme (au début ce n'était pas trop parlant).

Je vais maintenant essayer de reprendre les mots à partir de la morphologie, car "mes petites histoires" fonctionnent souvent pour un mot mais pas pour d'autres.

Je vais m'arrêter là ;)

Bien de courage à vous.

Posté(e)

Bonjour ! Soutenez vos enfants dans ce qui est un combat au quotidien. il y a des moyens d'aide (AVS en primaire ou ordi portable, mais il fait passer par la MDPH),et continuez de mettre le "problème" sous le nez des profs. Les enfants sont souvent capables d'expliquer eux-mêmes aux profs. Finalement, c'est souvent une petite adaptation (photocopie, abstraction de l'orthographe dans les devoirs sur table...)que l'on peut donner à bon nombre d'élèves dans une classe !

Rapprochez vous des assoc de dys, ils ont des mines d''idées à partager !

Après, dans la vraie vie, le correcteur orthographique fait des merveilles !!!

Posté(e)

Ma petite soeur a été diagnostiquée dysorthographique (avec séquelle de dyslexie) à la fin du CE2. Elle lisait très bien et était même boulimique de lectures ! C'était au niveau de l'écriture que ça bloquait. Elle n'écrivait jamais un mot deux fois pareil, les règles de grammaire n'avaient aucun sens pour elle, et pas seulement en dictée, copier une leçon était aussi difficile (elle a essayé de m'expliquer une fois comment le mot se "perdait" entre le moment où elle le lisait et le moment où elle essayait de l'écrire). A l'époque, il n'y avait pas d'AVS ni d'aide perso ni de PAI ni d'équipe éducative, mais elle a eu la chance d'avoir un instit super en CM1 qui a suivi sa classe au CM2. Il lui donnait des polys (et je lui avais donné mes anciens cahiers car j'avais eu le même instit), elle avait les mêmes dictées que les autres mais avec un barême personnel, des évaluations orales pour l'histoire et la géographie, et même de l'aide personnalisée avant l'heure sur le temps de midi (on ne s'embarrassait pas de paperasses à l'époque).

Elle a eu des cours d'orthophonie jusqu'à la première qui l'ont bien aidée à retenir des stratégies pour mémoriser l'orthographe de la plupart des mots courants, ainsi que les règles de grammaire de base. Et nous avons tous passé de longues soirées au collège à l'aider à apprendre ses leçons (en passant le plus possible par l'oral). Bien sûr, dès que l'informatique est devenue grand public, je me souviens que mon frère et moi avions fait acheté à nos parents un ordi le plus rapidement possible pour la maison et que nous avions passé les grandes vacances à lui apprendre à taper sur le clavier et à lui vanter les miracles du correcteur orthographique ! Même si le correcteur n'est pas suffisant (j'ai dû relire tous ses rapports de stage puis ses lettres de motivations etc.), il lui a été (et lui est toujours) d'une grande aide et lui suffit dans la vie de tous les jours !

Le collège a été le moment le plus difficile pour elle (pour de multiples raisons, d'une part l'équipe enseignante étant plus multiple favorisait moins la prise en compte de ses difficultés, mais aussi je crois parce que c'est à ce moment-là que ma soeur a vraiment réalisé qu'elle ne "guérirait" pas de la dysorthographie et qu'elle devrait vivre toute sa vie avec), puis ça s'est tassé. Par contre, ma soeur a dû renoncer à suivre une filière littéraire et même une filière générale où les exigences étaient trop fortes (à l'époque en tout cas). Ce fut un choix difficile (en fin de troisième), mais quand elle s'est vue en réussite en seconde techno et en tête de classe, ça a beaucoup aidé et l'a énormement motivée. Elle a fait un bac technologique qu'elle a obtenu avec mention, puis un BTS haut la main puis a réussi à passer en fac sur dossier pour un master pro. Elle est chef de service maintenant dans le labo d'une entreprise, elle aime son métier et est très heureuse.

Côté langue étrangère, l'anglais fut toujours un cauchemar, par contre au lycée, ma soeur appréciait davantage l'espagnol (qui s'écrit plus phonétiquement) et c'est cette langue-là qu'elle avait gardée pour le bac. Maintenant, son mari étant d'origine allemande, elle s'est mise à l'allemand (uniquement à l'oral) et elle s'en sort bien en conversation courante !

Bref, j'espère que ce petit témoignage redonnera un peu de courage à tous ceux qui se débattent avec cette fichue dysorthographie. Dans ce qu'en j'en ai vu, le collège est vraiment le cap le plus difficile à passer, ensuite l'important, je crois, est de trouver le domaine où votre enfant sera en réussite et espérer qu'il y trouvera sa voie.

Posté(e)

Merci pour ton témoignage.

Je te souhaite beaucoup de courage car je comprends bien ce que vous pouvez vivre toi et ton fils. Je suis très contente de pouvoir en parler avec une maman qui a un fils du même âge. L'arrivée de l'adolescence m'inquiète quelque peu.

Mon fils est actuellement en 6ème dans un collège privé et je dois t'avouer que je déchante un peu. Lors de son inscription, le proviseur (je peux me tromper de terme) avait assuré qu'ils connaissaient bien la situation parce qu'ils avaient déjà scolarisé des enfants dyslexiques: que beaucoup de cours seraient donnés sur cd ou photocopiés, etc.

Mais depuis la rentrée, je suis obligée de me battre pour que les profs tiennent compte de ses soucis et ce malgré le PAI. Régulièrement, il faut voir les profs pour leur faire une piqure de rappel afin qu'ils cessent les remarques type : "la leçon n'a pas été apprise", "as-tu appris tes mots ?", voire les points en moins etc.,etc. En anglais, par exemple, il avait été demandé de faire des évaluations essentiellement orales... on m'a clairement fait comprendre qu'avec le socle commun, les items devant être évalués se faisaient surtout à l'écrit : résultat, aucun aménagement ( pas de questions en moins, ni d'aide supplémentaire)

Tous les soirs, je rédige des fiches de révision pour qu'il puisse lire les leçons sans apprendre les erreurs ou juste pour qu'il puisse les lire. L'anglais est cauchemardesque : ça fait des années que je ne pratique plus.

Bref, je ne vais pas passer toutes les matières en revue, mais mon compagnon me dit souvent que je refais ma 6ème...

Afin de lui alléger la part écrite, je lui recopie les phrases des exercices à compléter, comme ça il peut se concentrer réellement sur la leçon et pas s'épuiser dans une pure activité de copie. Mais hélas, son cahier de texte n'est pas souvent à jour ... Lors de la dernière réunion, on m'a assuré que tous les profs vérifieraient que les devoirs soient bien notés, certes.

Il y a vraiment beaucoup de changements cette année, je m'accroche en me disant qu'il y en aura moins l'année prochaine (mais je m'apprête aussi à réviser le programme de 5ème ;))

Concernant les dictées, je passe essentiellement par l'oral : pour apprendre un mot,j'essaye de trouver des histoires qui lui parlent. Je pense que, comme le mien , ton fils doit, avec son orthophoniste,épeler les mots à l'endroit, à l'envers, compter le nombre de voyelles, dire quelle est la 3ème lettre, s'il y a une lettre muette ou non. Mon fils devient de plus en plus rapide ( il est bien plus rapide que moi en tout cas). Je pense que cette technique porte ses fruits à long terme (au début ce n'était pas trop parlant).

Je vais maintenant essayer de reprendre les mots à partir de la morphologie, car "mes petites histoires" fonctionnent souvent pour un mot mais pas pour d'autres.

Je vais m'arrêter là ;)

Bien de courage à vous.

Il faut se méfier des diagnostics abusifs de "dyslexie", qui en réalité est bien souvent dûe à de mauvaises méthodes utilisées dès la MS, puis la GS, puis le CP.

Environ 30 % des enfants entrant en sixième n'ont pas les bases, en lecture, écriture, calcul...

Comme ce sont les vacances, peut-être aurez-vous le temps d'écouter attentivement cette conférence.

http://adsr2010.ch/videos/catherine-billard/

Adélaïde.

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.

×
×
  • Créer...