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Bonjour, actuellement à l'échelon 6 avec un supplément familial de traitement pour 3 enfants à 100%. Savez-vous combien je vais perdre en passant à 80%? De plus, je passe à l'échelon 7 en mars, même question pour l'échelon 7. Comment fait-on pour effectuer ce calcul? Sachant que la caf me versera 148.12€ dans les 2 cas. merci.
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Bonjour tout le monde, Pour planter rapidement le décor : je suis PE depuis 8 ans, titulaire de mon poste en CM. La réforme des rythmes va m'amputer de 250 à 300€ de revenus mensuels puisque je n'aurai plus la possibilité de faire l'étude. Pas acceptable pour le budget. J'ai déjà envoyé plusieurs de mes élèves en SEGPA et c'est une voie qui m'attire, notamment d'un point de vue financier (mais pas seulement évidemment). On est en plein dans la période du mouvement et j'y pense beaucoup. Voici quelques affirmations basées sur ce que j'entends par-ci et par-là et qui sont je pense vraies. A vous de me corriger, pour celles et ceux qui ont l'expérience de la SEGPA ou en connaissent le fonctionnement. 1. En SEGPA, on a la prime de ZEP (le cas échéant) + une prime de segpa de 1400€ par an + des heures supplémentaires (16€/ h) pour des dossiers de synthèse, à raison de 2 par semaine environ. 2. En n'étant pas titulaire d'un CAPA-SH, je ne pourrai être sur ce poste qu'un an. Je devrai ensuite m'inscrire au CAPA SH et en suivre la formation ou tout recommencer depuis le début. Dans tous les cas, je perds ma titularisation dans mon école actuelle. Evidemment, j'occulte l'essentiel (profil des élèves, contenu de l'enseignement) mais je suis un peu mieux informé sur ces points. Merci beaucoup, d'avance, pour vos contributions !
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Bonjour, Est-il vrai que si on possède déjà un master 2, on passe directement à l'échelon 3 ? Et comment calculer son salaire précisément ? Merci d'avance !
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Quid d'une Amicale à la place d'un comité d�'entreprise ?
maouelle a posté un sujet dans Enquêtes, études, questionnaires, entretiens
j'ai reçu à l'école un papier pour la création d'un CE à l'éducation nationale. Mais il y a besoin d'adhérents pour que ça soit fait. Peut-être avez vous reçu les papiers à l'école? Je vous joins le site web. Allez voir! axalta comité d'entreprise Maouëlle- 121 réponses
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salaire et quotité de service PE (SEGPA et ULIS)
anissa94 a posté un sujet dans ASH et enseignement spécialisé
Pour tous les PE affectés dans le second degré: -Même quotité horaire que les certifiés (soit 18h et non 21h) -Même salaire (toucher l'ISOE) -Même taux des HSA/HSE (35/heure et non 25/heure) -Possibilité d'intégration directe dans le corps des professeurs certifiés STOP à l'injustice!!! -
Bonjour, je me prépare au CRPE 2014 en vue de devenir professeur des écoles et suis célibataire. Comme pour la majorité je suppose, je ne choisis pas ce métier pour des considérations matérielles mais par goût des enfants et de la transmission du savoir, et également parce qu'il offre des conditions de vie plus sereines que dans le privé. Néanmoins, l'aspect financier compte, a minima pour survivre, et mieux, pour faire vivre une famille d'un à deux enfants : vivre dignement sans rêves de grandeurs matérielles somme toute (voyages sur les îles, grosse bagnole, etc.). Le salaire net mensuel d'un débutant étant de 1 500€ environ, un loyer ne devant pas dépasser le 1/3 des revenus, cela nous laisse 500€ à disposition. Et selon les villes de France, ça signifie une location d'un petit F2, d'un F3 ou d'un studio pour les extrêmes, et ce de manière durable au regard de la faible progression salariale apportée par le passage d'échelons, sauf à se mettre un prêt de 30 ans sur le coin du nez, à deux, pour envisager une maison entre 150 000 et 200 000€. Après recueil d'information, il me semble que l'état appuie ses professeurs en leur octroyant une "indemnité de résidence" : de 1% à 3% du salaire brut, selon 3 zones, soit de 15 à 45€ pour un débutant, ce qui ne représente quasiment rien sur un loyer mensuel indicatif de 500€. De plus, cela signifie que l'éducation nationale considère que les écarts de loyer mensuel d'une zone à une autre sont de l'ordre de 15 à 20€. Entre un F2 en petite agglomération et un même F2 dans ou en périphérie d'une agglomération plus conséquente, les écarts de loyer sont plutôt de l'ordre de 150 à 200€, ce qui rend cette indemnité purement symbolique et d'un secours quasi nul. Alternativement, toujours dans cette logique de vie modeste, on peut émettre un souhait d'affectation en zone rurale, là où le logement pesera sans démesure sur le salaire, mais je suppose que l'on s'expose alors à la précarité (mobilité, fermeture de poste, achat immobilier inrevendable, ennuis). Ainsi, comment faites-vous pour vivre ? Le professeur des écoles est-il condamné à vivre en appartement toute sa vie, avec ce que cela comporte de risques désormais (voisins irrespectueux, voir malveillants en toute impunité), à demander l'autorisation d'avoir un autre emploi à côté et de ce fait à être moins rigoureux dans sa mission initiale, à envisager une union de raison avec un conjoint bien gaulé financièrement ? Loin de moi l'idée de répandre le pessimisme, mais je souhaite me projetter dans l'avenir (et pas contre le mur : bisous Lady Di, hihi ^^). Au plaisir de vous lire
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Bonjour, D’abord désolé pour ce pavé. Je me permets de solliciter vos conseils, je suis assez perdu alors ça me fera vraiment du bien de pouvoir avoir des avis extérieurs… J’ai quitté l’ESPE de Montpellier en juin dernier, avec mon Master 2 en poche. J’ai passé mon concours dans le public, et je l’ai raté (à 2 points près sur un total de 80…), cela a été dur pour moi, j’ai vécu une période assez difficile (la fatigue d’être étudiant, la pression…). J’ai postulé dans l’enseignement privé, et surprise j’ai été accepté pour un poste sur l’année ! En remplacement d’un congé maladie longue durée. Vous n’imaginez même pas combien j’étais heureux. Avoir un travail dans lequel je pouvais m’épanouir, enfin subvenir à mes besoins sans demander de l’aide à mes parents car les petits boulots ne suffisent pas. J’ai débuté à la période 2, dans une classe Moyenne Section de 26 élèves (je ne m’attendais pas à tant pour le privé). L’école se trouve à 1h de chez moi, je suis vite épuisé, la formation que j’ai reçue à l’ESPE n’est pas toujours d’une grande aide dans un contexte de pratique concrète. Dans cette classe j’ai deux élèves qui sont suivis par des psy en CMPP (et c’est d’ailleurs pour ça qu’ils ont intégré le privé, car dans le public cela se passait mal), ils ont tous deux de gros soucis de comportements qui perturbe la classe. J’ai une ATSEM environ 1h/jour. Fatigue, un peu de mal avec le bruit, difficile de gérer le temps… Je finis par prendre mes marques. Premier petit soucis, l’aide personnalisée est le soir, quand j’ai débarqué on ne m’avait pas prévenu des démarches à suivre, résultat je commence avec une semaine de décalage. Mon ATSEM avec qui je m’entends très bien me dit que ma prédécesseure pouvait l’avoir le midi pour un aménagement d’horaires (elle a été arrêtée pour grosse dépression). Je demande alors à ma directrice s’il est possible de conserver ce temps le midi, car finir à 17h30 ne me fait rentrer chez moi que vers 19h (tout en me relevant à 6h le lendemain matin). Elle me répond alors que ce n’est pas juste pour les autres, donc me le refuse. Je dois vous avouer que j’ai trouvé que ce n’était pas très sympa, car tout le reste de l’équipe habite dans la commune même de l’école, donc ma situation est un peu différente, surtout que c’était simplement continuer avec la formule mise en place. Mais bon je passe outre. Deuxième énorme gifle, j’ai mon contrat entre les mains. Je suis classé à l’échelon majoré 310 : 1196€ nets/mois. J’ai une amie qui est contractuelle dans le publique (secondaire) et qui est à l’échelon 367 (+ de 1400€ nets/mois) et qui n’a pourtant pas le Master ! Je viens d’un milieu social modeste, où on m’a toujours dit que pour m’en sortir il fallait faire des études, je me bats pour obtenir un Master, et je m’aperçois que je ne suis payé qu’à un niveau légèrement supérieur au SMIC ! Sans compter qu’habitant à 2h aller-retour de mon lieu de travail j’ai une facture d’essence assez importante (jusqu’à 150€ les mois « pleins » et sans prise en charge). Je m’aperçois que je vais perdre mon APL avec un tel salaire, et que je ne sais pas comment je vais faire pour m’en sortir financièrement parlant, cela me bouffe énormément. Je tablais sur du 1400€ par mois environ (je savais pertinemment que je serais moins payé qu’un titulaire), mais je ne m’attendais pas à 25% de moins au niveau rémunération (pour travail égal bien sûr). Je suis complètement démotivé, tellement démotivé qu’il y a deux semaines se tenait un conseil de cycle jusqu’à 19h45, j’ai feint de l’oublier car rentrer à 21h en me relevant à 6h le lendemain je m’en sentais difficilement capable, et j’avais encore cette impression d’être « exploité » dans la tête. Ce n’est pas bien de ma part, je le conçois, mais malgré tout dans le fond j’ai du mal à culpabiliser. La directrice me convoque, et me dit qu’elle voulait me parler de quelques petites choses (en me disant bien malgré mes excuses, feintes je l’avoue, qu’elle m’avait fait confiance en ne me donnant pas de période d’essai, que dans d’autres endroits ça ne serait pas passé, etc…). Elle me dit que j’ai un problème d’autorité, alors que j’ai réussi vraiment à perfectionner ce registre, les élèves me respectent beaucoup plus (au début ils testaient mes limites ce que je conçois). Elle me dit également que le personnel d’entretien s’est plaint de ma salle de classe, dernièrement une d’entre elle l’a emmené dans la salle pour voir qu’il y avait des crayons par terre. Cela m’a blessé pour plusieurs raisons : mon ATSEM me l’avait dit à mes tout débuts, et j’y ai fait très attention, car il s’agissait d’un problème de gestion du temps, je ne laissais pas assez de temps aux enfants pour ranger en fin de journée, donc j’ai fait très attention à ce que ça ne se reproduise pas. Ma mère fait elle-même du ménage, alors je respecte infiniment ce qui doivent s’occuper de ce genre de tâches souvent perçues comme ingrates, et l’ATSEM m’a dit elle-même qu’en effet je m’étais bien amélioré. Il m’arrive parfois, de plus en plus rarement, d’avoir du mal à gérer le timing, et donc il a dû arriver peut-être deux ou trois fois qu’effectivement la salle n’était pas parfaitement rangée. Mais ce qui m’a surtout choqué c’est que la personne qui a été se plaindre à la direction je la vois tous les jours, elle ne m’en a jamais rien dit. On m’a élevé dans l’optique où quand quelque chose n’allait pas on allait directement le dire à la personne, pas à son supérieur… Et enfin elle m’a dit que l’équipe s’était un peu plainte qu’on ne me voyait pas suffisamment, que je n’étais pas assez en cohésion. Je suis quelqu’un de très avenant, je discute toujours avec les PE (et autres) quand je me retrouve en récré, et ceux malgré nos différences (je suis le seul homme, j’ai 25 ans et elles ont toutes la quarantaine : mais pour moi ça ne change rien au fait que j’essaie toujours d’être agréable au possible même en étant fatigué). Il n’empêche que quand elles sont ensemble, elles discutent entre elles sans m’inclure… Il est vrai également que le midi je ne déjeune pas au self, ou dans la salle des maîtres. J’ai un peu de mal à supporter le bruit, et me retrouver avec 1h/1h15 de temps calme, pour moi, le midi, me permet de me ressourcer, donc je déjeune dans ma salle. Si j’habitais à côté je déjeunerais chez moi comme certaines le font. Cela me permet aussi de préparer un peu ma classe car, habitant loin, le soir je ne me sens pas d’attaque à préparer d’autres choses. Lors de cet entretien, elle m’a cité tous ces éléments négatifs et RIEN de positif. Cela m’a complètement anéanti ! J’y ai pensé toute la matinée, remis en question, etc… Je suis heureux de me lever le matin malgré la fatigue psychique et un petit peu physique (car peu de temps de sommeil), je suis heureux de sentir le progrès des élèves, de me dire que je fais bien mon job (je pense). D’avoir entendu les parents souligner les progrès de leurs enfants, de dire que les élèves m’apprécient beaucoup, et qu’ils pensent que je suis un bon maître. De recevoir les parents, d’être à leur écoute, de les rassurer quand il le faut… De valoriser mes élèves, de leur donner la confiance en soi nécessaire pour s’épanouir… Mais je vous avoue que cette impression de ne pas être considéré, que ce soit sur le plan financier et humain/professionnel ça me tue… Je me suis remis en question, voire je me suis dit que je n’étais bon à rien… Je ne sais plus quoi faire, c’est pour ça que je poste ici : vous pensez que c’est moi qui doit me remettre en question ou qui ne suis pas à la hauteur ou bien trop exigeant ? Vous pensez qu’effectivement il y a de quoi être démotivé ? Je vous avoue avoir même pensé à la démission, mais j’aime tellement ce que je fais… J’ai vraiment l’impression de ne pas être reconnu, financièrement cette situation est compliquée et je ne pense pas qu’un Master « mérite » 1200€/mois. Et les propos de la directrice, cela m’a tué. Oui je pense m’épanouir mais être hautement démotivé au bout d’un mois et demi, ce qui fait que j’en suis allé jusqu’à « sécher » une réunion (ce que je n’avais jamais fait auparavant avec les formations et les concertations qui se terminaient tard aussi). Je ne sais pas comment préparer le concours avec toute cette fatigue et tous ces soucis en tête… Conseillez moi s’il-vous-plait : démission ? Aller au bout de mon contrat en faisant abstraction ? Je suis paumé… Merci énormément à celles/ceux qui auront eu le courage de lire et de m’aider.
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