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Posté(e)

merci beaucoup, ces informations vont m'être d'un grand secours.

merci encore :D

  • 1 mois plus tard...
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Posté(e)

super,

avec tout ce beau travail collectif, ona de quoi se mettre sous la dent.

je suis en train de faire uen petite synthèse de toutes les réponses aux 30 questions, je vous poste ça dès que terminé :wink:

grand merci à petitbébé pour ces 5 pièces jointes qui sont une mine d'or!

:D

à de suite pour la synthèse

Posté(e)

voici donc la synthèse de nos réponses sur les 30 questions de la 1ere page!

certains n'ont inspiré personne, alors si à vous, elles vous inspirent!!

rajoutez votre contribution!

bon courage à tous

Gaelle

-----------

Connaissances théoriques

1. Pouvez vous citez un auteur-illustrateur de littérature de jeunesse ?

Rapaport,

Olivier Douzou,

Anthony Browne,

Tomi Ungerer a écrit et illustré toutes ses œuvres.

Claude Ponti,

Nadja,

Albert Uderzo

Hergé

Yvan Pommaux

Leo Lionni

2. Sauriez-vous donner d’autres exemples de contes revisités ?

le Petit Poucet et Belle des eaux pour le théâtre.

le loup est revenu,

le loup sentimental de Geoffroy de Pennart,

le petit chaperon vert de Nadja,

le petit chaperon bleu marine

l'enfant océan qui s'inspire du petit poucet,

le petit lapin rouge, de Rascal

Le petit chaperon vert,

Les trois cochons (Wiesner) ,

Mademoiselle sauve qui peut...

3. Qu’est-ce-que l’OuLiPo ?Ouvroir de littérature potentielle, créé par Raymond Queneau, c'est une littérature sous contrainte. C’est un groupe de poètes contemporains.

Queneau a écrit un livre qui s'appelle "exercices de style", dans ce livre, il écrit 99 fois la même histoire de manière différente. Il s'est imposé une contrainte (raconter toujours la même histoire mais différemment).

Après on peut imaginer des dizaines de contraintes différentes selon la "folie" des membres de l'oulipo.

(ex : la disparition de Georges Perec : contrainte = ne pas utiliser la lettre E).

4. Quelle différence faites-vous entre merveilleux et fantastique ?-hum... dans le fantastique, on est dans un monde normal avec des trucs surnaturels qui arrivent (science fiction ?) mais dans le merveilleux, c'est carrément l'univers qui est différent du notre, mais tout est "normal"

-merveilleux (qui tient du surnaturel, de l extraordinaire) fantastique(imaginaire, fictif)

- Le fantastique concerne une histoire qui se passe dans un monde où tout paraît normal avant qu'un fait surnaturel n'intervienne (ex : Barbe Bleue : dès que le sang apparaît sur la clé).

Le surnaturel concerne une histoire où tout est surnaturel (ex : les aventures de Philémon)

Attention : Sciences Fiction : histoire où des fait incroyables mais scientifiquement possibles interviennent (ex Star Wars)

- Le fantastique se traduit par l’intrusion de l’irrationnel dans la réalité (ex : Le buveur d’encre d’Eric Sanvoisin); dans le merveilleux, la présence de faits inexplicables attribuables au surnaturel est acceptée comme telle (ex : dans les contes de fées).

5. Qu’est-ce-que l’ironie ? Qu’est-ce-qu’une parodie ?- ironie = dire l'inverse de ce que l'on pense, parodie = tourner en dérision

- parodie = une reprise burlesque d’une oeuvre

- L’ironie est une forme d’expression qui consiste à dire l’inverse de ce que l’on pense, tout en s'efforçant de laisser entendre la distance qui existe entre ce que l’on dit et ce que l’on pense réellement.

La parodie consiste à tourner en dérision ou se traduit par une reprise burlesque d’une œuvre originale.

6. Qu’est-ce-qu’un archétype ?- l'archétype c'est un modèle (à ne pas confondre avec un stéréotype qui est une vision de quelque chose ou quelqu'un par un groupe)

- un modèle , type d idéal

"JE DEFINIRAI L'ARCHETYPE PAR UN TYPE DE PERSONNAGE RECURRENT AYANT CERTAINES CARACTERISTIQUES QUE L'ON TROUVERA FORCEMENT..

EXEMPLE : ARCHETYPE DU HEROS : POUR MOI EN GENERAL IL EST BEAU,COURAGEUX,FORT,INTELLIGENT.... JE ME TROMPE PEUT-ETRE ALORS DITES LE MOI SI C LE CAS

- Un archétype est un modèle général représentatif d’un sujet.

Connaissances institutionnelles

7. A quoi sert la littérature de jeunesse à l’école ?

Elle sert à développer chez les élèves une culture littéraire, qui plus est commune à tous grâce à la liste du ministère. A travers les différents genres littéraires et en découvrant de nombreux auteurs, les élèves vont avoir un regard critique sur la littérature, qui permet en plus d’aborder de nombreux thèmes qui leur sont plus ou moins familiers.

- permettre une culture littéraire et donner le goût de la lecture aux élèves

- transmettre des valeurs, une littérature commune, imaginer, entrer ds culture écrite et orale de la langue, pratique sociale et culturelle.

- Elle sert à développer chez les élèves une culture littéraire commune dès la maternelle, un regard critique sur la littérature, leur donner le goût de la lecture, pour le C1 permettre d’entrer dans une culture écrite et orale de la langue.

Elle permet la découverte des ouvrages contemporains qui présentent à l’enfant des faits de vie, qui créent des personnages ainsi qu’un monde imaginaire où il peut évoluer avec profit.

Elle contribue à la réussite scolaire de tous., et à la transmission de valeurs universelles.

8. Quelle différence faites-vous entre l’enseignement de la littérature de jeunesse à l’école et au collège ?

- Je dirai qu'à l'école on donne une culture littéraire donc on ne travaille pas réellement sur le fond de l'oeuvre en tout cas pas dans le détail alors qu'au collège l'enseignement de la LDJ amène à faire un travail beaucoup plus profond sur le fond et la forme.

- à l’école on fait connaissance avec la littérature , sous différents formes pour créer un patrimoine.

au collège on étudie les différents type de texte du point de vue structurel autant que pour le fond. Ex argumentatif, narratif, descriptif, poétique.... Dans le but de savoir reconnaître et interpréter ces caractéristiques et les réinvestir dans ses propres productions

9. Comment développer la culture littéraire des élèves au quotidien ?- en proposant un choix de texte quotidien ou les élèves ou enseignant propose de présenter une œuvre lue et appréciée.

10. Est-ce-que la culture littéraire est propre au cycle 3 ? Que disent les programmes à ce sujet ?

non la culture littéraire se voit également au cycle 2. les programmes précisent qu'au cycle des approfondissements on affine simplement les critères d'identification, de distinction des textes et qu'on aborde la notion de genre

11. Pourquoi avoir une BCD dans une école ?- Pour donner aux élèves l’envie de lire, pas seulement ce qui est proposé par l’enseignant. Cela va leur permettre de constituer cette culture littéraire. Ils vont aussi devenir plus autonomes (et au final, aller à la bibliothèque municipale).

- La BCD permet de familiariser les élèves avec les livres en les laissant les choisir eux mêmes et non imposé par le maitre.

- permettre de découvrir tous les genres, de développer l’autonomie, la recherche

12. Quelles particularités voyez-vous à l’enseignement de la littérature de jeunesse à l’école maternelle ?

elle est centrée sur l’oral et la compréhension

Mise en œuvre pédagogique

13. Définissez la nature et le rôle d’une mise en réseau.

- La mise en réseau ou parcours de lecture selon les cycles permet aux élèves de mettre en relation l’œuvre qu’ils étudient avec d’autres œuvres de la littérature de jeunesse. Les programmes insistent sur l’importance de la mise en réseau et de la programmation. Cela ne doit pas se faire au hasard. Mettre une œuvre en réseau, c’est découvrir la notion d’univers chez un auteur, aborder des thèmes qui seront traités de façon différente selon les auteurs, découvrir les archétypes etc…

- consiste à selectionner et à regrouper des textes pour constituer un corpus permettant d'étudier leur point commun.

- La mise en réseau consiste à sélectionner et à regrouper des textes pour constituer un corpus permettant d'étudier leur point commun. Elle permet aux élèves de mettre en relation, de faire des liens entre l’œuvre qu’ils étudient avec d’autres œuvres (déjà lues) de la littérature de jeunesse.

14. Vous proposez un débat interprétatif : de quoi s’agit-il ?

- Permettre aux élèves de donner leur propre interprétation de l’œuvre et la confronter à celles des autres élèves. Ces différentes interprétations aboutissent à un débat en classe dans le but de voir quelle interprétation serait la plus plausible en sachant évidemment que l’intérêt de travailler un texte résistant est la possibilité de voir toutes les idées que se font les élèves sur le sens d’un texte.

- une discussion ou les élèves doivent exprimer leur opinion a propos d'un passage résistant , ouvert à différentes interprétations.

- Il s’agit de permettre aux élèves de donner leur propre interprétation de l’œuvre et la confronter à celles des autres élèves. Ces différentes interprétations aboutissent à un débat en classe dans le but de voir quelle interprétation serait la plus plausible, en sachant évidemment que l’intérêt de travailler un texte résistant est la possibilité de voir toutes les idées que se font les élèves sur le sens, d’un texte.

15. Vous avez évoqué la lecture à voix haute : à quelles compétences cela fait-il appel ?- rythme, intonation, volume, débit ( cela nécessite une préparation)

16. Comment aborder la question du contexte historique avec les élèves ?- lien transdisciplinaire avec l’histoire? Recherche sur la couverture, recherche internet??????

- en intégrant dans le programme d’histoire, en parallèle de la lecture et du travail sur le livre en question le fait historique ou l’époque auquel (à laquelle) il se rapporte

- Rythme, intonation, volume, débit, nécessite que le passage lu soit compris.

17. Comment travailler le lexique avec les élèves ?- leur faire chercher dans des listes de mots par champ lexical ou syntaxique, ceux de la même famille, les intrus. Ou faire rechercher les contraires, les synonymes…

- utilisation d’un dictionnaire de synonyme : on recherche dans ce dernier le mot posant problème et la définition qui semble la mieux convenir dans le contexte de l’histoire (et dans d’autres). C’est dans le cas où le lexique pose des problèmes de compréhension.

- pour s’entraîner à manipuler des mots, on peut commencer par les trier selon leur champ lexical et enrichir ensuite celui-ci : par exemple, dans Wang-Fô, la couleur est très utilisée ainsi que la relation à la lumière. On pourra proposer aux élèves de rechercher d’autres termes désignant les couleurs utilisés (jaune : poussin, soleil, canari, coquille d’œuf, …).

- il y a aussi le lexique spécifique d’une culture, ici la culture asiatique : celui-ci peut faire l’objet de recherche en BCD ou sur Internet pour faire une affiche explicative avec les mots comme empereur, rizière, dragon, papier de riz, pots d’encre, pinceau…

18. Quel est l’intérêt d’une lecture-puzzle ?- ???

19. Quel nombre d’exemplaire d’une œuvre faut-il, selon vous, pour pouvoir étudier une œuvre de littérature de jeunesse en classe ?- Cela dépend de l'oeuvre, s'il s'agit s'un album on peut effectuer un travail par groupes, si c'est un roman tout dépend si on veut étudier toute l'oeuvre ou seulement des passages..

- une peu suffire cela dépend de l’utilisation que l’on veut avoir de l’œuvre, de la longueur...

20. Que peut faire l’enseignant s’il ne dispose que d’un seul exemplaire ?- c'est lui qui va faire une lecture à haute voix de l'oeuvre et il fera un travail en commun avec ses élèves. ou alors il photocopiera les passages qu'il veut faire étudier à ses élèves.

- Faire des photocopies si l’œuvre n est pas trop longue de certains passage + lecture à haute voix

- Cf. stage en CP, où l’enseignante ne disposait que d’un exemplaire de l’œuvre. Elle le présentait petit à petit, en réécrivant sur des grandes affiches qu’elle présentait au tableau.

21. Comment travailler l’intertexte avec les élèves, selon vous ? en partant du texte source ou en y arrivant ?- personnellement, j’imagine plutôt de partir du texte source et ensuite de découvrir les textes auxquels il est fait référence… mais je n’ai pas de véritables arguments.

- Pour ma part je pense que cela dépend de la source si c'est un classique comme le petit chaperon rouge ou le petit poucet on peut envisager un travail qui amène au texte source en revanche si l'original est moins connu partir de l'oeuvre source

- Pour travailler l’intertexte, il me semble qu’il est plus judicieux de partir du texte source pour aller vers des œuvres qui revisitent ce texte. Ainsi, les élèves pour retrouver d’eux-mêmes tous les liens intertextuels en se rappelant le texte source.

22. Comment apprendre à comprendre un texte ?- S'exercer à reformuler la trame du texte, à présenter les personnages.....

Gros travail de mémorisation.

23. Comment enseigner le théâtre au cycle 2 ?

24. Comment travailler la compréhension d’un album en maternelle ?- lire à haute voix l'album et poser des questions simples aux enfants à l'oral dans un 1er temps. Puis on pourra travailler par atelier à la reconstitution de l'histoire par exemple en retrouvant les personnages principaux, essayer de reconstituer le cours des evenements tjs avec un support d'image...Compétence fin de cycle 1 : reformuler ds ses propres mots la trame narrative de l'histoire

- Lire à haute voix l'album et poser des questions simples aux enfants à l'oral dans un premier temps. Puis on pourra travailler par atelier à la reconstitution de l'histoire par exemple en retrouvant les personnages principaux, essayer de reconstituer le cours des événements toujours avec un support d'image...

Compétence fin de cycle 1 : reformuler dans ses propres mots la trame narrative de l'histoire.

25. Comment traiter la difficulté de la langue du XVIIe en classe ?

Capacité d’analyse et de réflexion

26. Qu’est-ce-qui fait, selon vous, la qualité littéraire d’un texte ?

- La qualité littéraire d'un texte c'est les points de résistance qu'il offre, c'est le fait qu'un texte a plusieurs niveaux de compréhension

- vocabulaire riche et expressif, effet de rythme ou de sonorité, qu'il permette des implicites, plusieurs interprétations...

- l écriture,procédés utilisés, facilité a entrer dans le texte...

- Tout d'abord, c'est une question de motivation.

Un texte qui provoquera de l'ennui lors de sa lecture préalable aura de grandes chances d'ennuyer les élèves en classe.

N'oublions pas qu'un des objectifs de l'école est de donner le goût de la lecture à ses élèves.

Ensuite, tout est une question d'objectifs.

Si il s'agit d'une simple lecture plaisir, chaque texte peut convenir tant qu'il est assez fort pour capter son public.

Après, si par exemple on veut faire travailler les élèves sur la focalisation, il est intéressant de proposer aux élèves des textes proposant des niveaux de focalisations différenciés (es L'Oeil du Loup, Une histoire à quarte voix...)

Etc selon l'objectif recherché (d'autres exemples sont faciles à trouver).

27. Pour vous, qu’est-ce-que la littérature ?

- usage de la langue ecrite qui comporte une dimension esthétique

- ensemble des oeuvres qui répondent à des critères esthétiques.

- Ensemble que composent les œuvres écrites signalées par des préoccupations esthétiques reconnues comme telles.

À l'école primaire, la littérature est simplement considérée comme un ensemble de textes, dont la qualité littéraire ne fait aucun doute et que l'on s'approprie en les lisant. Cette lecture doit être suffisamment approfondie pour que l'élève garde la mémoire de ce qu'il a lu et puisse en faire une référence de ses lectures ultérieures.

28. Faites-vous une différence entre littérature et littérature de jeunesse ?

- Dans l'absolu je dirais que la littérature de jeunesse est de la littérature. Maintenant, la littérature de jeunesse s'est beaucoup développée ces dernières années, c'est une littérature qui vise un public jeune.

- Non aucune les deux cherchent à produire des effets sur le lecteur par des choix langagiers et on cherche tjs à adapter ses ecrits selon les enjeux du texte

- la littérature de jeunesse peut être lue aussi bien par des enfants que par des adultes alors que la littérature est moins accessible pour des enfants?

29. Peut-on aborder tous les thèmes avec les élèves ? Le thème abordé est difficile, certains parents pourraient vous le reprocher : que répondriez-vous ?

- Le thème abordé est difficile, certains parents pourraient vous le reprocher : que répondriez-vous ?

Je crois que tous les thèmes peuvent être abordés avec les élèves. Mais il faut savoir accompagner l'élève si le thème est difficile (par exemple, à propos du thème de la mort). Je dirais aussi aux parents que les tabous sont moins présents chez les enfants et que justement, cela peut être une bonne chose d'aborder un thème difficile à travers la littérature de jeunesse, vu que ce thème ne sera pas abordé dans d'autres contextes (en particulier familial).

- qu il faut bien se lancer dans des thèmes plus difficiles pour avancer et ne pas provoquer l ennui des élèves. Je pense que tous les thèmes peuvent être abordés de manière judicieuse.

30. Que traduit la présence de textes étrangers sur cette liste ?

- Qu'il n'y a pas que la littérature Française qui soit intéressante plus sérieusement, ça traduit une ouverture sur les autres pays, cultures...

- une ouverture sur les autres ! une ouverture sur le monde essentielle dans cette ère européenne

-L’ ouverture sur le monde et sur les autres cultures ( question de l'altérité)

* Texte résistant :

D'après Tauveron, un texte résistant est:

-soit réticent: il garde une partie de l'info et pose alors des problèmes de compréhension. ex: Le journal d'un chat assassin d'Anne Fine.

-soit proliférant: plusieurs pistes sont esquissées à l'intérieure de l'oeuvre ou à la fin. ex: Ami-Ami de Rascal. Ces textes posent alors des problèmes d'interprétation.

Tout à fait! Merci beaucoup! Je n'étais plus sûr de l'auteur, me voilà rassuré...

Il me semble qu'on pourrait ajouter qu'elle oppose les textes résistants aux textes "collaborationnistes" qui sont compréhensibles dès la première lecture, sans chercher. (facile à retenir : les collabo et les résistants...)

--------------

voilà pour le moment

@+

gaelle

Posté(e)
voici donc la synthèse de nos réponses sur les 30 questions de la 1ere page!

.....

voilà pour le moment

@+

gaelle

Ben c'est déjà pas si mal ....

Bravo et merci pour tout ce travail de synthèse (ça promet une bonne note en français ça :lol: )

  • 4 semaines plus tard...
Posté(e)
Salut! Pour moi un texte résistant est un texte qui "pose des pb de compréhension". Il oblige les élèves à réfléchir sur ce qui a déjà été lu. La compréhension n'est pas immédiate et suscite des questions et donc un débat entre les élèves. Voilà..... Et pour vous?

merci ryona.

D'après Tauveron, un texte résistant est:

-soit réticent: il garde une partie de l'info et pose alors des problèmes de compréhension. ex: Le journal d'un chat assassin d'Anne Fine.

-soit proliférant: plusieurs pistes sont esquissées à l'intérieure de l'oeuvre ou à la fin. ex: Ami-Ami de Rascal. Ces textes posent alors des problèmes d'interprétation.

coucou à vous tous ou toutes :wub: ! Je passe pour la 1° fois le Concours, et je commence un peu à voir quelques notions... J'ai une petite question, car tout ce vocabulaire ne m'est pas encore familier...Est-ce qy'yb texte réticent, relève forcément de l'implicite ?

Désolé, si c'est une question bête... :lol::blink:

:wub: :wub:

Posté(e)
voici donc la synthèse de nos réponses sur les 30 questions de la 1ere page!

certains n'ont inspiré personne, alors si à vous, elles vous inspirent!!

rajoutez votre contribution!

bon courage à tous

Gaelle

-----------

Connaissances théoriques

1. Pouvez vous citez un auteur-illustrateur de littérature de jeunesse ?

Rapaport,

Olivier Douzou,

Anthony Browne,

Tomi Ungerer a écrit et illustré toutes ses œuvres.

Claude Ponti,

Nadja,

Albert Uderzo

Hergé

Yvan Pommaux

Leo Lionni

2. Sauriez-vous donner d’autres exemples de contes revisités ?

le Petit Poucet et Belle des eaux pour le théâtre.

le loup est revenu,

le loup sentimental de Geoffroy de Pennart,

le petit chaperon vert de Nadja,

le petit chaperon bleu marine

l'enfant océan qui s'inspire du petit poucet,

le petit lapin rouge, de Rascal

Le petit chaperon vert,

Les trois cochons (Wiesner) ,

Mademoiselle sauve qui peut...

3. Qu’est-ce-que l’OuLiPo ?Ouvroir de littérature potentielle, créé par Raymond Queneau, c'est une littérature sous contrainte. C’est un groupe de poètes contemporains.

Queneau a écrit un livre qui s'appelle "exercices de style", dans ce livre, il écrit 99 fois la même histoire de manière différente. Il s'est imposé une contrainte (raconter toujours la même histoire mais différemment).

Après on peut imaginer des dizaines de contraintes différentes selon la "folie" des membres de l'oulipo.

(ex : la disparition de Georges Perec : contrainte = ne pas utiliser la lettre E).

4. Quelle différence faites-vous entre merveilleux et fantastique ?-hum... dans le fantastique, on est dans un monde normal avec des trucs surnaturels qui arrivent (science fiction ?) mais dans le merveilleux, c'est carrément l'univers qui est différent du notre, mais tout est "normal"

-merveilleux (qui tient du surnaturel, de l extraordinaire) fantastique(imaginaire, fictif)

- Le fantastique concerne une histoire qui se passe dans un monde où tout paraît normal avant qu'un fait surnaturel n'intervienne (ex : Barbe Bleue : dès que le sang apparaît sur la clé).

Le surnaturel concerne une histoire où tout est surnaturel (ex : les aventures de Philémon)

Attention : Sciences Fiction : histoire où des fait incroyables mais scientifiquement possibles interviennent (ex Star Wars)

- Le fantastique se traduit par l’intrusion de l’irrationnel dans la réalité (ex : Le buveur d’encre d’Eric Sanvoisin); dans le merveilleux, la présence de faits inexplicables attribuables au surnaturel est acceptée comme telle (ex : dans les contes de fées).

5. Qu’est-ce-que l’ironie ? Qu’est-ce-qu’une parodie ?- ironie = dire l'inverse de ce que l'on pense, parodie = tourner en dérision

- parodie = une reprise burlesque d’une oeuvre

- L’ironie est une forme d’expression qui consiste à dire l’inverse de ce que l’on pense, tout en s'efforçant de laisser entendre la distance qui existe entre ce que l’on dit et ce que l’on pense réellement.

La parodie consiste à tourner en dérision ou se traduit par une reprise burlesque d’une œuvre originale.

6. Qu’est-ce-qu’un archétype ?- l'archétype c'est un modèle (à ne pas confondre avec un stéréotype qui est une vision de quelque chose ou quelqu'un par un groupe)

- un modèle , type d idéal

"JE DEFINIRAI L'ARCHETYPE PAR UN TYPE DE PERSONNAGE RECURRENT AYANT CERTAINES CARACTERISTIQUES QUE L'ON TROUVERA FORCEMENT..

EXEMPLE : ARCHETYPE DU HEROS : POUR MOI EN GENERAL IL EST BEAU,COURAGEUX,FORT,INTELLIGENT.... JE ME TROMPE PEUT-ETRE ALORS DITES LE MOI SI C LE CAS

- Un archétype est un modèle général représentatif d’un sujet.

Connaissances institutionnelles

7. A quoi sert la littérature de jeunesse à l’école ?

Elle sert à développer chez les élèves une culture littéraire, qui plus est commune à tous grâce à la liste du ministère. A travers les différents genres littéraires et en découvrant de nombreux auteurs, les élèves vont avoir un regard critique sur la littérature, qui permet en plus d’aborder de nombreux thèmes qui leur sont plus ou moins familiers.

- permettre une culture littéraire et donner le goût de la lecture aux élèves

- transmettre des valeurs, une littérature commune, imaginer, entrer ds culture écrite et orale de la langue, pratique sociale et culturelle.

- Elle sert à développer chez les élèves une culture littéraire commune dès la maternelle, un regard critique sur la littérature, leur donner le goût de la lecture, pour le C1 permettre d’entrer dans une culture écrite et orale de la langue.

Elle permet la découverte des ouvrages contemporains qui présentent à l’enfant des faits de vie, qui créent des personnages ainsi qu’un monde imaginaire où il peut évoluer avec profit.

Elle contribue à la réussite scolaire de tous., et à la transmission de valeurs universelles.

8. Quelle différence faites-vous entre l’enseignement de la littérature de jeunesse à l’école et au collège ?

- Je dirai qu'à l'école on donne une culture littéraire donc on ne travaille pas réellement sur le fond de l'oeuvre en tout cas pas dans le détail alors qu'au collège l'enseignement de la LDJ amène à faire un travail beaucoup plus profond sur le fond et la forme.

- à l’école on fait connaissance avec la littérature , sous différents formes pour créer un patrimoine.

au collège on étudie les différents type de texte du point de vue structurel autant que pour le fond. Ex argumentatif, narratif, descriptif, poétique.... Dans le but de savoir reconnaître et interpréter ces caractéristiques et les réinvestir dans ses propres productions

9. Comment développer la culture littéraire des élèves au quotidien ?- en proposant un choix de texte quotidien ou les élèves ou enseignant propose de présenter une œuvre lue et appréciée.

10. Est-ce-que la culture littéraire est propre au cycle 3 ? Que disent les programmes à ce sujet ?

non la culture littéraire se voit également au cycle 2. les programmes précisent qu'au cycle des approfondissements on affine simplement les critères d'identification, de distinction des textes et qu'on aborde la notion de genre

11. Pourquoi avoir une BCD dans une école ?- Pour donner aux élèves l’envie de lire, pas seulement ce qui est proposé par l’enseignant. Cela va leur permettre de constituer cette culture littéraire. Ils vont aussi devenir plus autonomes (et au final, aller à la bibliothèque municipale).

- La BCD permet de familiariser les élèves avec les livres en les laissant les choisir eux mêmes et non imposé par le maitre.

- permettre de découvrir tous les genres, de développer l’autonomie, la recherche

12. Quelles particularités voyez-vous à l’enseignement de la littérature de jeunesse à l’école maternelle ?

elle est centrée sur l’oral et la compréhension

Mise en œuvre pédagogique

13. Définissez la nature et le rôle d’une mise en réseau.

- La mise en réseau ou parcours de lecture selon les cycles permet aux élèves de mettre en relation l’œuvre qu’ils étudient avec d’autres œuvres de la littérature de jeunesse. Les programmes insistent sur l’importance de la mise en réseau et de la programmation. Cela ne doit pas se faire au hasard. Mettre une œuvre en réseau, c’est découvrir la notion d’univers chez un auteur, aborder des thèmes qui seront traités de façon différente selon les auteurs, découvrir les archétypes etc…

- consiste à selectionner et à regrouper des textes pour constituer un corpus permettant d'étudier leur point commun.

- La mise en réseau consiste à sélectionner et à regrouper des textes pour constituer un corpus permettant d'étudier leur point commun. Elle permet aux élèves de mettre en relation, de faire des liens entre l’œuvre qu’ils étudient avec d’autres œuvres (déjà lues) de la littérature de jeunesse.

14. Vous proposez un débat interprétatif : de quoi s’agit-il ?

- Permettre aux élèves de donner leur propre interprétation de l’œuvre et la confronter à celles des autres élèves. Ces différentes interprétations aboutissent à un débat en classe dans le but de voir quelle interprétation serait la plus plausible en sachant évidemment que l’intérêt de travailler un texte résistant est la possibilité de voir toutes les idées que se font les élèves sur le sens d’un texte.

- une discussion ou les élèves doivent exprimer leur opinion a propos d'un passage résistant , ouvert à différentes interprétations.

- Il s’agit de permettre aux élèves de donner leur propre interprétation de l’œuvre et la confronter à celles des autres élèves. Ces différentes interprétations aboutissent à un débat en classe dans le but de voir quelle interprétation serait la plus plausible, en sachant évidemment que l’intérêt de travailler un texte résistant est la possibilité de voir toutes les idées que se font les élèves sur le sens, d’un texte.

15. Vous avez évoqué la lecture à voix haute : à quelles compétences cela fait-il appel ?- rythme, intonation, volume, débit ( cela nécessite une préparation)

16. Comment aborder la question du contexte historique avec les élèves ?- lien transdisciplinaire avec l’histoire? Recherche sur la couverture, recherche internet??????

- en intégrant dans le programme d’histoire, en parallèle de la lecture et du travail sur le livre en question le fait historique ou l’époque auquel (à laquelle) il se rapporte

- Rythme, intonation, volume, débit, nécessite que le passage lu soit compris.

17. Comment travailler le lexique avec les élèves ?- leur faire chercher dans des listes de mots par champ lexical ou syntaxique, ceux de la même famille, les intrus. Ou faire rechercher les contraires, les synonymes…

- utilisation d’un dictionnaire de synonyme : on recherche dans ce dernier le mot posant problème et la définition qui semble la mieux convenir dans le contexte de l’histoire (et dans d’autres). C’est dans le cas où le lexique pose des problèmes de compréhension.

- pour s’entraîner à manipuler des mots, on peut commencer par les trier selon leur champ lexical et enrichir ensuite celui-ci : par exemple, dans Wang-Fô, la couleur est très utilisée ainsi que la relation à la lumière. On pourra proposer aux élèves de rechercher d’autres termes désignant les couleurs utilisés (jaune : poussin, soleil, canari, coquille d’œuf, …).

- il y a aussi le lexique spécifique d’une culture, ici la culture asiatique : celui-ci peut faire l’objet de recherche en BCD ou sur Internet pour faire une affiche explicative avec les mots comme empereur, rizière, dragon, papier de riz, pots d’encre, pinceau…

18. Quel est l’intérêt d’une lecture-puzzle ?- ???

19. Quel nombre d’exemplaire d’une œuvre faut-il, selon vous, pour pouvoir étudier une œuvre de littérature de jeunesse en classe ?- Cela dépend de l'oeuvre, s'il s'agit s'un album on peut effectuer un travail par groupes, si c'est un roman tout dépend si on veut étudier toute l'oeuvre ou seulement des passages..

- une peu suffire cela dépend de l’utilisation que l’on veut avoir de l’œuvre, de la longueur...

20. Que peut faire l’enseignant s’il ne dispose que d’un seul exemplaire ?- c'est lui qui va faire une lecture à haute voix de l'oeuvre et il fera un travail en commun avec ses élèves. ou alors il photocopiera les passages qu'il veut faire étudier à ses élèves.

- Faire des photocopies si l’œuvre n est pas trop longue de certains passage + lecture à haute voix

- Cf. stage en CP, où l’enseignante ne disposait que d’un exemplaire de l’œuvre. Elle le présentait petit à petit, en réécrivant sur des grandes affiches qu’elle présentait au tableau.

21. Comment travailler l’intertexte avec les élèves, selon vous ? en partant du texte source ou en y arrivant ?- personnellement, j’imagine plutôt de partir du texte source et ensuite de découvrir les textes auxquels il est fait référence… mais je n’ai pas de véritables arguments.

- Pour ma part je pense que cela dépend de la source si c'est un classique comme le petit chaperon rouge ou le petit poucet on peut envisager un travail qui amène au texte source en revanche si l'original est moins connu partir de l'oeuvre source

- Pour travailler l’intertexte, il me semble qu’il est plus judicieux de partir du texte source pour aller vers des œuvres qui revisitent ce texte. Ainsi, les élèves pour retrouver d’eux-mêmes tous les liens intertextuels en se rappelant le texte source.

22. Comment apprendre à comprendre un texte ?- S'exercer à reformuler la trame du texte, à présenter les personnages.....

Gros travail de mémorisation.

23. Comment enseigner le théâtre au cycle 2 ?

24. Comment travailler la compréhension d’un album en maternelle ?- lire à haute voix l'album et poser des questions simples aux enfants à l'oral dans un 1er temps. Puis on pourra travailler par atelier à la reconstitution de l'histoire par exemple en retrouvant les personnages principaux, essayer de reconstituer le cours des evenements tjs avec un support d'image...Compétence fin de cycle 1 : reformuler ds ses propres mots la trame narrative de l'histoire

- Lire à haute voix l'album et poser des questions simples aux enfants à l'oral dans un premier temps. Puis on pourra travailler par atelier à la reconstitution de l'histoire par exemple en retrouvant les personnages principaux, essayer de reconstituer le cours des événements toujours avec un support d'image...

Compétence fin de cycle 1 : reformuler dans ses propres mots la trame narrative de l'histoire.

25. Comment traiter la difficulté de la langue du XVIIe en classe ?

Capacité d’analyse et de réflexion

26. Qu’est-ce-qui fait, selon vous, la qualité littéraire d’un texte ?

- La qualité littéraire d'un texte c'est les points de résistance qu'il offre, c'est le fait qu'un texte a plusieurs niveaux de compréhension

- vocabulaire riche et expressif, effet de rythme ou de sonorité, qu'il permette des implicites, plusieurs interprétations...

- l écriture,procédés utilisés, facilité a entrer dans le texte...

- Tout d'abord, c'est une question de motivation.

Un texte qui provoquera de l'ennui lors de sa lecture préalable aura de grandes chances d'ennuyer les élèves en classe.

N'oublions pas qu'un des objectifs de l'école est de donner le goût de la lecture à ses élèves.

Ensuite, tout est une question d'objectifs.

Si il s'agit d'une simple lecture plaisir, chaque texte peut convenir tant qu'il est assez fort pour capter son public.

Après, si par exemple on veut faire travailler les élèves sur la focalisation, il est intéressant de proposer aux élèves des textes proposant des niveaux de focalisations différenciés (es L'Oeil du Loup, Une histoire à quarte voix...)

Etc selon l'objectif recherché (d'autres exemples sont faciles à trouver).

27. Pour vous, qu’est-ce-que la littérature ?

- usage de la langue ecrite qui comporte une dimension esthétique

- ensemble des oeuvres qui répondent à des critères esthétiques.

- Ensemble que composent les œuvres écrites signalées par des préoccupations esthétiques reconnues comme telles.

À l'école primaire, la littérature est simplement considérée comme un ensemble de textes, dont la qualité littéraire ne fait aucun doute et que l'on s'approprie en les lisant. Cette lecture doit être suffisamment approfondie pour que l'élève garde la mémoire de ce qu'il a lu et puisse en faire une référence de ses lectures ultérieures.

28. Faites-vous une différence entre littérature et littérature de jeunesse ?

- Dans l'absolu je dirais que la littérature de jeunesse est de la littérature. Maintenant, la littérature de jeunesse s'est beaucoup développée ces dernières années, c'est une littérature qui vise un public jeune.

- Non aucune les deux cherchent à produire des effets sur le lecteur par des choix langagiers et on cherche tjs à adapter ses ecrits selon les enjeux du texte

- la littérature de jeunesse peut être lue aussi bien par des enfants que par des adultes alors que la littérature est moins accessible pour des enfants?

29. Peut-on aborder tous les thèmes avec les élèves ? Le thème abordé est difficile, certains parents pourraient vous le reprocher : que répondriez-vous ?

- Le thème abordé est difficile, certains parents pourraient vous le reprocher : que répondriez-vous ?

Je crois que tous les thèmes peuvent être abordés avec les élèves. Mais il faut savoir accompagner l'élève si le thème est difficile (par exemple, à propos du thème de la mort). Je dirais aussi aux parents que les tabous sont moins présents chez les enfants et que justement, cela peut être une bonne chose d'aborder un thème difficile à travers la littérature de jeunesse, vu que ce thème ne sera pas abordé dans d'autres contextes (en particulier familial).

- qu il faut bien se lancer dans des thèmes plus difficiles pour avancer et ne pas provoquer l ennui des élèves. Je pense que tous les thèmes peuvent être abordés de manière judicieuse.

30. Que traduit la présence de textes étrangers sur cette liste ?

- Qu'il n'y a pas que la littérature Française qui soit intéressante plus sérieusement, ça traduit une ouverture sur les autres pays, cultures...

- une ouverture sur les autres ! une ouverture sur le monde essentielle dans cette ère européenne

-L’ ouverture sur le monde et sur les autres cultures ( question de l'altérité)

* Texte résistant :

D'après Tauveron, un texte résistant est:

-soit réticent: il garde une partie de l'info et pose alors des problèmes de compréhension. ex: Le journal d'un chat assassin d'Anne Fine.

-soit proliférant: plusieurs pistes sont esquissées à l'intérieure de l'oeuvre ou à la fin. ex: Ami-Ami de Rascal. Ces textes posent alors des problèmes d'interprétation.

Tout à fait! Merci beaucoup! Je n'étais plus sûr de l'auteur, me voilà rassuré...

Il me semble qu'on pourrait ajouter qu'elle oppose les textes résistants aux textes "collaborationnistes" qui sont compréhensibles dès la première lecture, sans chercher. (facile à retenir : les collabo et les résistants...)

--------------

voilà pour le moment

@+

gaelle

pour ce qui est de la lecture puzzle, je viens de trouver ca:

"La lecture puzzle est une activité de lecture qui se pratique depuis longtemps sans ordinateur.

L’outil informatique, grâce au traitement de texte peut amener un plus et un confort d’utilisation pour l’enseignant et pour l’enfant.

Le découpage en bandes puis le collage sont éliminés. Si l’enfant se trompe dans son découpage, il lui faut un nouveau document.

En utilisant les fonctions du traitement de texte, le travail sera toujours propre et l’enfant pourra se corriger facilement en cas d’erreur. De plus, il apprendra à manipuler quelques possibilités d’un tel outil, compétences demandées par la Direction des Écoles.

Pour l’enseignant, il suffit de taper le texte original dans le bon ordre puis, en utilisant les fonctions du traitement de texte (sélection, déplacer, couper, coller, ...),de le mettre dans le désordre.

L’enfant devra le remettre en forme en utilisant lui aussi les possibilités de l’outil."

source: http://netia62.ac-lille.fr/siteia62/prodped/lectpuzz.htm et http://ia62.ac-lille.fr/spip.php?article715

  • 5 mois plus tard...
Posté(e)

1. Pouvez vous citez un auteur-illustrateur de littérature de jeunesse ?

Fred Bernard et François Roca ? Je suis sure qu’il existe des couples d’auteur-illustrateur plus connus…

oui, Tomi Ungerer

2. Sauriez-vous donner d’autres exemples de contes revisités ?

En attendant le Petit Poucet et Belle des eaux pour le théâtre. Sinon, le loup est revenu, le loup sentimental de Geoffroy de Pennart, le petit chaperon vert de Nadja, le petit chaperon bleu marine… et plein d’autres sûrement qui me reviennent pas.

les oeuvres de Geoffroy de Pennart bien sûr

mais aussi toutes les oeuvres relatives aux loups / cochons, genre

La vérité sur l'affaire des 3 petits cochons de Sciezka (pas sûre de l'orthographe)

  • 4 semaines plus tard...
Posté(e)

Pour les contes revisités,il y en a beaucoup sur le petit chaperon rouge:le petit buveur d'encre rouge,Sanvoisin/Chapeau rond rouge de Daniel Pennac je crois mais pas sûr de l'auteur...et j'en oublie!

  • 2 mois plus tard...
Posté(e)

Je ne vais que répeter ce que déjà beaucoup de personnes ont dit, mais à quelques semaines des oraux, Un GRAND merci pour ces questions ^^ :wink:

Posté(e)

Je viens de trouver d'autres questions dans le hachette éducation 2008.

Est ce que ça vous dit?

Je les post si vous voulez mais il n'y a pas les réponses dans le livre, ce sera à nous de les trouver.

Posté(e)

Voici les questions :

1) Citez 10 écrivains pour la jeunesse française et que l’on peut rencontrer dans un Salon du livre ?

2) Savez-vous ce qu’est la Charte des auteurs et illustrateurs pour la jeunesse ?

3) Citez 10 auteurs-illustrateurs étrangers traduits en français

4) Quel éditeur a fêté ses 10 ans d’existence en 2006 ?

5) Quel est le salon du livre devenu le rendez-vous des professionnels de la littérature de jeunesse et quel est le prochain thème de son colloque ?

6) Quand a lieu la manifestation « le printemps des poètes » et quel est son thème cette année ?

7) Citez 10 poètes du XXe s et 5 titres de recueils

8) Pourquoi est-il communément admis que le conte permet à l’enfant de se construire ?

9) Qu’est ce qu’on entend par « œuvre classique » dans les programmes ?

10) Avez-vous des notions sur la « réception d’un texte littéraire » ?

11) Quelle est la différence entre lecture et littérature ?

12) A quoi sert la lecture à voix haute en classe ?

13) Pouvez-vous utiliser le livre que vous avez choisi de présenter à un cycle différent ? Autrement dit, pensez vous que l’on peut avoir une compréhension différente d’un livre selon l’âge ?

14) Avec quels partenaires de l’école pouvez-vous travailler ?

15) Comment donner le goût de lire aux élèves ?

Voilà mes tentatives de réponses:

1) Citez 10 écrivains pour la jeunesse française et que l’on peut rencontrer dans un Salon du livre ?

Aller piocher ici : http://www.evene.fr/celebre/categorie/litt...re-jeunesse.php

2) Savez-vous ce qu’est la Charte des auteurs et illustrateurs pour la jeunesse ?

La Charte est née en 1975 de la volonté d'auteurs souhaitant défendre une littérature jeunesse de qualité, ainsi que leurs droits et leurs spécificités d'écrivains et de créateurs.

« La Charte des Auteurs et illustrateurs pour la jeunesse est une association qui nous permet de nous rencontrer, de nous connaître, de réfléchir et de créer en commun à travers forums, journal, site Internet, publications et expositions. »

Voir le site : http://www.la-charte.fr/index.html

3) Citez 10 auteurs-illustrateurs étrangers traduits en français

Angela Lago (Le petit marchand des rues)

4) Quel éditeur a fêté ses 10 ans d’existence en 2006 ?

Gallimard Jeunesse

5) Quel est le salon du livre devenu le rendez-vous des professionnels de la littérature de jeunesse et quel est le prochain thème de son colloque ?

Le salon du livre de Paris (qui a eu lieu du 19 au 24 mars 2009) ??

6) Quand a lieu la manifestation « le printemps des poètes » et quel est son thème cette année ?

Cette année, le 11ème Printemps des poètes se déroule du 2 au 15 mai sut le thème En rire(s)

Le 12e Printemps des Poètes aura lieu du 8 au 21 mars 2010 sur le thème Couleur femme

7) Citez 10 poètes du XXe s et 5 titres de recueils

Paul Eluard

René Char

Louis Aragon

Boris Vian

G. Apollinaire

Claudel

Francis Ponge (Le parti pris des choses)

8) Pourquoi est-il communément admis que le conte permet à l’enfant de se construire ?

Permet de vaincre ses peurs

Permet de ses construire un horizon d’attente pour ses prochaines lectures

9) Qu’est ce qu’on entend par « œuvre classique » dans les programmes ?

Ici, il y a une réponse : http://fr.answers.yahoo.com/question/index...30081507AAnDeXT

Si qq1 en aurait une plus précise…

10) Avez-vous des notions sur la « réception d’un texte littéraire » ?

11) Quelle est la différence entre lecture et littérature ?

Derrière littérature, il y a l’idée d’analyser et derrière lecture, celle de plaisir. Je ne sais pas

12) A quoi sert la lecture à voix haute en classe ?

Permet à tous les élèves d’accéder au sens du texte (notamment pour ceux qui ont encore des difficultés à lire)

13) Pouvez-vous utiliser le livre que vous avez choisi de présenter à un cycle différent ? Autrement dit, pensez vous que l’on peut avoir une compréhension différente d’un livre selon l’âge ?

On relit les œuvres de notre enfance avec un autre regard, on trouve de nouvelles interprétations.

Ainsi, des élèves de Cycle 3 pourront avoir une interprétation différente d’une œuvre qu’on leur aurait lu en maternelle ou cycle 2

14) Avec quels partenaires de l’école pouvez-vous travailler ?

La médiathèque de la commune

15) Comment donner le goût de lire aux élèves ?

- BCD

- Lecture magistrale par le PE pour le plaisir de lire

  • 2 semaines plus tard...
Posté(e)

Pour info, "Chapeau rond rouge" est de Geoffroy de Pennart

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