Aller au contenu

sujet vendredi 8 mai


julie22

Messages recommandés

Ptitbout2julie

Il est dommage que tu ne developpes pas plus tes idées, donne des exemples, argumente etoffe tes propos.

1) Quels types de violence, pourquoi?

Tu n'y réponds pas. Tu nous renvoie au texte. C'est dommage même si je sais qu'à l'oral tu liras cette partie... parles nous du pourquoi (ton opinion)

II) la lutte contre la violence à l'école

Donne des exemples

III) d'autres solutions

que penses-tu de ces autres solutions ? y-en a -til pas d'autres hors textes ?

Voilà je te donne des pistes pour approfondir.

Seve1

J'aime bien ta première partie. Par contre conclus celle-ci en répondant à la première question de ta problématique " violence phénomène nouveau ?"

Ton plan me semble pertinent. Tu as su remarquablement bien lier les deux textes. Moi je n'ai pas réussi !!

Très bonne conclusion

Par contre il se peut que le jury t'interroge sur d'autres solutions :

ex: loi d'orientation 2005, le rôle des parents et des professeurs (statut, place), partenariat, projet....

Julie22

Je n'ai pas grand chose à dire. Ton plan est tout à fait cohérent. Tu couvres bien le phénomène de violence. Parfait :D

Maintenant quelle est la place des nouvelles pédagogies (texte 1 Neill)?

Tu fais comme moi tu l'insères en deuxième partie sans être aussi radical que le texte en lui même.

Vik

Ton plan est très différent de ce que l'on a lu jusqu'ici. Je le trouve très intelligement mené.

J'aime cette idée de donner les grandes lignes des textes (en parallèle) et d'ouvrir sur une deuxième partie plus personnelle.

- c'est bien d'insérer ton expérience. (ok pour le quoi de neuf)

- Il y a d'autres moyens : rôle des parents + cahier de vie + sanctions

Comme tu as mis pas mal de choses personnelles, tu pourrais étoffer en partie 1 texte 2, les formes de violence d'exemples concrets.

Sinon ton classement me semble bon.

ouverture possible:

- sanction, rèle et norme

- différenciation pédagogie

-partenariats

- éducation civique et morale

Voilà à lundi !!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 33
  • Created
  • Dernière réponse

Membres les plus actifs

  • massallia

    10

  • julie22

    5

  • seve1

    4

  • vik

    3

Membres les plus actifs

Bonjour,

je trouves sympa cette façon de bosser.... Je voulais savoir si je pouvais me joindre à vous pour traiter les sujets?? :blush:

Mais je ne pourrais commencer que dimanche ou lundi car là je pars en week end

C'est ouvert à tout le monde :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si vous voulez vous intéresser à la violence à l'école...Eric Debarbieux a écrit des bouquins intéressants...vous connaissez peut être :wink:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Massallia je trouve ton plan clair et synthétique. je me demandes comment tu arrives à avoir les idées aussi claires et à les enchaîner ss problèmes. Pour un sujet difficile, tu t'en sort très bien. Tu parviens à te détacher du texte avec tact. J'adhère beaucoup.

Le seul bémol: il faudrait que tu parles de ton expérience, que tu te positionne sur un point particulier sur lequel tu aurais des choses à dire.

voilà, voilà.merci pour tes commentaires aussi. :bleh:

bonne ap.m . a lundi

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Merci Vik pour tes commentaires aussi ! ! oui, oui je suis d'accord avec toi..il faut insérer notre expérience pas facile....

Merci emi33 pour cette piste de lecture non, je ne connais pas... il a quelles opinions, et quelles visions des choses??

OK julie 22 merci !!

POur ce qui est du travail en commun, comme convenu je reprends l'OP avec vous lundi

Merci :wub:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Massallia,

Je trouve ton exposé très intéressant et très bien construit. Cependant je me questionne sur la distance à avoir avec les textes. Faut-il se détacher à ce point des textes? Les textes sont-ils là juste pour servir d'exemple à certaines parties de notre exposé (comme tu l'as fait ) où au contraire faut-il partir des textes pour intégrer certaines notions et références (plutôt comme moi j'ai fait)?

Je suis un peu perdue là!!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La violence à l’école apparaît comme un phénomène de société nouveau, relayé par les médias et qui prend souvent le visage de jeunes appartenant à un groupe bien identifié, celui des jeunes de « quartier » fruits d’une délinquance nouvelles, qui n’existait pas il y a une trentaine d’année.

Le document intitulé « Libres enfants de Summerhill » propose une réflexion sur les moyens de rééduquer les jeunes délinquants tandis que le texte de J.C Rosenczveig pose le problème de la délinquance au sein de l’institution scolaire.

Il s’agit de comprendre comment ces deux documents qui ne sont pas contemporains réfléchissent sur le problème de la délinquance dans l’institution scolaire.

1. L’école : Une institution sacralisée ?

a) Le texte de J.C Rosenczveig s’appuie sur un vocabulaire choisi (mythe, sanctuaire) pour mettre en avant la définition donnée à l’institution scolaire par les pouvoirs publics. Cette conception d’une école sacralisée à eu selon l’auteur, pour principale conséquence une attitude corporatiste, une loi du silence par rapport à la violence scolaire et ce, pour ne pas « égratigner » cette espace respectable.

b) La conception de l’institution scolaire n’apparaît pas réellement dans le document un, au profit de ce qu’elle devrait être aux yeux de l’auteur, ce qui sous entend peut être qu’il la trouve imparfaite au point qu’il en imagine une autre. Cette nouvelle institution serait déliée de toute moralisation et de toute influence de l’Eglise. On a ici l’image d’une institution sacralisé garante d’une morale transmise par le corps enseignant.

2. Les dangers d’une attitude corporatiste

a) Le texte deux critique l’analyse simpliste jugeant les problèmes de violence à l’école comme se résumant à une théorie du complot qui verrait le quartier - avec toutes les connotations négatives qu’on lui connaît – attaquer l’école. Cette thèse légitime en même temps qu’elle explique cette attitude corporatiste d’une école acculée par son « quartier ». Si l’ennemi est à l’extérieur, il suffit de se barricader pour ne pas le laisser entrer. Le danger est sans conteste de perdre le lien social avec les jeunes qui ne reconnaîtront plus l’école comme faisant partie de leur monde. J.C Rosenczveig rappel en outre que les jeunes en échec scolaire sont souvent ceux qui rencontrent des problèmes en société. La rupture scolaire se superpose ainsi à une rupture sociale.

b) Le premier document insiste sur l’importance de connaître les jeunes délinquants et surtout de ne pas les catégoriser en fonction de leurs actions passées. Les voleurs, casseurs, et plus généralement jeunes à problèmes, ne sont pas les composantes uniformes d’un groupe homogène mais des individus à part entière, dignes de respect.

3. Pour ou contre la répression ?

a) Le premier texte relève l’inutilité d’une attitude répressive qu’il juge contre productive. Il prône l’établissement d’un lien communautaire reposant sur la liberté et l’égalité. Il rejette toute forme d’autorité et de conditionnement dont le personnel enseignant serait le garant.

b) Le texte de J.C Rosenczveig mentionne les limites d’une attitude répressive qui ne ferait que renforcer l’autarcie d’une institution scolaire avec les conséquences que nous avons déjà évoquées. Néanmoins, la répression des actes de délinquance est indispensable. En cela, ce texte diverge du premier. Si la répression est nécessaire, elle doit s’accompagner d’une attitude ouverte de l’école sur son environnement, du dialogue avec tous les protagonistes intervenant dans l’éducation des jeunes, parents en tête.

Euh, premier sujet pour ma part (sans aide de cours), soyez indulgent!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les textes sont-ils là juste pour servir d'exemple à certaines parties de notre exposé (comme tu l'as fait ) où au contraire faut-il partir des textes pour intégrer certaines notions et références (plutôt comme moi j'ai fait)?

Je suis un peu perdue là!!!

Honnêtement je ne sais pas..c'est aussi la question que je me pose.

Personnellement par rapport à mes corrections de devoirs, je me plantais parce que justement je collais trop au texte. La correction me montrait des pistes que je n'avais pas exploités de peur de ne pas assez coller au thème.

Ma soeur à eu 18 à l'oral (privé versailles) en s'éloignant des textes (juste repris le thème) et en parlant de son expérience.

Mais ce n'est pas pour cela que c'est forcément ce qu'il faut faire.

En fait dans ce devoir: la violence, le premier texte me génait un peu = idée trop radicale. Je trouve qu'il n'était pas pertinent d'en parler de manière aussi brute. Maintenant je pense que les exposés de seve1 et vik on vraiment su en tirer profit.

Si quelqu'un peut nous éclairer de son expérience, merci d'avance.

Warneo 93

-Lorsque tu dis:

Le document intitulé « Libres enfants de Summerhill » propose une réflexion sur les moyens de rééduquer les jeunes délinquants

Je n'aurais pas employé ce mot puisque l'auteur lui-même s'oppose à cette vision des jeunes.

- 1. L’école : Une institution sacralisée ?

J'approuve tes deux parties qui parlent de la vision des 2 textes sur la sacralisation de l'école. Mais pour moi il manque un paragraphe avant, pour définir l'évolution de cette sacralisation. qu'est-elle devenue ? pourquoi ?

Ensuite tes deux autres parties manquent de cohérence et de lien entre elles.

je m'explique:

par ex: ta partie Les dangers d’une attitude corporatiste est presqu'un rappel de ce que l'on a déjà vu en première partie.

Ainsi après ton "a)" tu pourrais ouvrir sur le fait que la violence existe à l'école + ces formes (texte 2)

et je pense que tu pourrais élargir ta partie "b" => en émettant tes propres opinions. quelles solutions pour palier à la violence ?

cela te permet d'arriver à ta 3ème partie qui est une solution donnée..mais est-cela bonne ? d'où 3. Pour ou contre la répression ?

en conclusion grace à cette partie tu peux ouvrir sur les normes, les règles et la sanction/punition

Bon ce 'est que mon avis.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Massalia ton plan est très bien, tu y mets des infos très intéressantes, beaucoup plus que moi :lol: . C'est très bien, mais comment fais tu? tu as déja revu ces thèmes? Comment fait tu pour trouver toutes ces infos?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Petit passage éclair dans ce long week-end... Juste pour dire que les deux textes ne s'opposent pas réellement à mon sens, sauf sur un point... Le premier texte laisse entendre que l'école peut tout ou beaucoup, le deuxième souligne l'impuissance de l'école dans certains cas... L'école peut-elle tout en ce qui concerne la violence?

Cela dépend de l'origine de celle-ci... Combien de mes loulous ne connaissent que la "baffe" comme régulation, voient leurs mères se prendre des raclées, ne sont remarqués que pour leurs bêtises dans leur famille... Il est parfois difficile de faire passer des règles évidentes pour nous enseignants, mais exotiques pour ces élèves. La "normalité" se construit au sein de la famille en premier lieu, le modèle familial est celui qui est le plus évident pour les élèves. Toute la difficulté réside dans ce passage à "les règles que je connais" et "les règles que l'école me demande". Plus l'écart entre les deux est grand, plus il est difficile de gérer les comportements, car plus il est difficile pour l'élève de les intégrer. Et la discussion est toujours nécessaire, mais pas toujours efficace, et on est alors bien obligés de sanctionner.

La violence à l'école, c'est toujours un sujet difficile. Soit on n'y a jamais été confronté, et il est difficile d'en avoir une vraie vision, soit on y est confronté, et alors donner une réponse correcte d'un point de vue d'IEN est fort difficile... Croyez moi!

J'ai travaillé il y a deux ans avec un élève extrêmement violent, au point qu'il a fini par me frapper au bout de 7 mois (il est allé ensuite en ITEP) Je me suis beaucoup interrogée sur cet élève. J'ai beaucoup travaillé avec lui sur le respect du corps des autres (qu'il frappait pour un oui ou pour un non), et il a beaucoup progressé dans ce domaine. J'ai relevé au fur et à mesure mes exigences dans son comportement avec plus de succès que d'échec, mais j'ai été trop loin, d'où ce qui c'est passé. J'ai finalement été obligé d'"adapter" les règles de la classe pour lui, la seule chose ne dérogeant pas étant le respect de l'autre (ne pas taper, ne pas insulter...) C'est vraiment dur de gérer la très grande violence, et le problème est bien que ces enfants ne relèvent pas du système scolaire normal, mais que les places en institut spécialisé ne sont pas suffisantes!

Oups, je me suis lâchée là! Tout ça pour dire d'être vigilants sur ce type de sujet à ne pas être trop péremptoire, car la violence au quotidien a souvent raison des belles paroles. Chaque cas est différent et l'enfant est bien un tout. L'enseignant peut agir dans l'école, mais pas dans ce qui se passe avant et après. Or la violence de l'enfant a besoin d'être prise en charge dans une globalité pour voir une évolution positive.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.

×
×
  • Créer...