tartinette Posté(e) 19 novembre 2009 Posté(e) 19 novembre 2009 Dans un cas comme dans l'autre, au final tout ce qui compte ce sont les commentaires... C'est pour ça que je continue à mettre des notes tout en en reconnaissant leur côté aléatoire (mais moins quand même que les feux rouges, verts, et autres en cours d'acquisition ou à renforcer .....). Une note c'est fortement dépendant du barème quand même. Si on note sur 5 l'exercice le plus facile et sur 2 les 2 plus difficiles, on aura une note bien différente pour les élèves moyens en tout cas que si on fait le contraire. Pour les très bons , comme pour les très faibles, le barème ne changera pas grand-chose .... Qunat au côté "stigmatisant", il n'y a que les commentaires qui puissent l'atténuer. Un feu rouge sans commentaire peut à mon avis être tout aussi mal vécu qu'un 8/20 avec un commentaire du genre "encore des erreurs mais quelques progrès par rapport au contrôle précédent". Je n'ai pas de solution. Je fais au mieux avec mes notes assorties de commentaires, en essayant d'équilibrer exercices difficiles et moins difficiles dans les contrôles. Pour les dictées, je mets la moyenne de 2 notes : la deuxième note étant celle de la dictée autocorrigée par les élèves, à l'aide d'outils comme le dictionnaire et le cahier de règles. Pour les contrôles d'éveil, je leur donne oralement toutes les questions d'avance désormais pour que ceux dont les parents savent les préparer en leur posant les bonnes questions ne soient plus avantagés. Et j'ai 3 ou 4 notes par trimestre soit au moins 1 par séquence.
Goëllette Posté(e) 19 novembre 2009 Posté(e) 19 novembre 2009 J'applique pour les dictées un système qui fonctionne bien : avant de faire la moyenne, j'enlève la plus mauvaise note. Ca permet d'évacuer la "dictée ratée". Ca n'est pas la panacée, mais c'est le genre de "petit truc" qu'on peut faire. Pour cela, effectivement, il faut avoir beaucoup de notes. Personnellement, j'en manque toujours pour mes élèves. Surtout quand il faut remplir des cases "par compétences", ma hantise. Sans compter qu'une fois sur deux je ne suis pas bien sûre de comprendre l'intitulé des compétences... Oui, tout cela pose moultes questions... C'est bien ça le problème : le livret d'évaluation, qui "bouffe" la moitié des concertations de cycle, qui ne veut finalement dire grand chose pour ... personne ("Ah, la technique de l'addition était acquise en fin de premier trimestre et maintenant qu'on est passé à trois chiffres, tout est faux." et on peut multiplier les exemples), qui finit dans le placard du maître de la classe supérieure de toutes façons, et dont les collèges ne veulent pas. Ce serait bien qu'on lutte pour son abrogation. Je préfère un relevé (de ce qu'on veut) avec, par matière, toutes les compétences qui ont été vues, les commentaires associés, pouvant mettre en évidence les manques. Si on rend à signer régulièrement les cahiers, les familles sont au courant. Je pratique également la "note académie", autrement dit l'élimination de la note la plus basse, au moment de faire mes moyennes. (ça marche aussi pour les "ab", les "c" et les points rouges. ) Mais pour ça, on en revient au même, il faut avoir suffisamment de notes. Et je préfère de loin le contrôle continu au système du bilan de fin de période avec révisions à gogo. En plus, ça a souvent lieu en veilles de vacances, moment où les élèves sont les plus fatigués. Pour ma part, j'aimerais pouvoir noter sans scrupule. Parce que A B C D, les couleurs (gagesque en effet! ), je n'en puis plus. Je préfèrerais pouvoir noter, faire des moyennes pourquoi pas, pas sûre d'en voir l'intérêt, mais...et puis surtout surtout, noter sur le bulletin ce qui est à revoir. ça suffirait bien, au lieu de laisser les parents se dépatouiller avec de multiples évaluations aux compétences obscures, et aux résultats pour le moins flous (tout ce qu'ils veulent savoir c'est si c'est bien ou pas, pas si c'est en cours d'acquisition, ou à renforcer!). Bref, du court, concis, CLAIR. Pas un truc noyé entre 40 catégories. (bon bien sûr on rajoute tous sur le bulletin ce qui est à revoir etc, m'enfin il n'y aurait que ça, ça suffirait largement). bon bref euh, je viens de te relire Goelette et je suis tout à fait d'accord avec toi. Sauf qu'il me semble qu'aujourd'hui ça devient hyper difficile d'enseigner dans cette optique, à moins de se faire taxer de rétrograde frappé d'autoritarisme, sans compter les IEN qui sont de moins en moins nombreux à accepter les notes. Et pour moi, l'excellence n'existe plus. Chui pas bien vieille, mais quand je compare le niveau de mes meilleurs élèves à celui de ceux de mon époque, y'a une sacrée marge. A l'époque, ils auraient été dans le 2ème tiers de la classe...et pourtant j'étais pas dans l'antichambre de GInette, loin de là...autres temps, autres moeurs. Peut-être peut-on s'autoriser à nouveau l'exigence envers nos élèves, pour leur réapprendre l'amour du travail bien fait, la persévérance, le dépassement de soi. Ceci n'empêchant pas d'aider ceux qui en ont besoin ... mais dans le but qu'ils finissent par y arriver seul, parce qu'il y aura forcément un moment où ils se retrouveront dans la dure réalité de la vie. ("Excusez-moi, patron, mais moi, j'ai des difficultés, alors je ne ferai que la moitié du travail, mais j'exige la paye entière !" ) Le fait que des enfants soient suivis par le rased depuis la petite section de maternelle et que ça ne gène personne qu'ils le soient encore en CM2 me stupéfait. Dans un cas comme dans l'autre, au final tout ce qui compte ce sont les commentaires...C'est pour ça que je continue à mettre des notes tout en en reconnaissant leur côté aléatoire (mais moins quand même que les feux rouges, verts, et autres en cours d'acquisition ou à renforcer .....). Une note c'est fortement dépendant du barème quand même. Si on note sur 5 l'exercice le plus facile et sur 2 les 2 plus difficiles, on aura une note bien différente pour les élèves moyens en tout cas que si on fait le contraire. Pour les très bons , comme pour les très faibles, le barème ne changera pas grand-chose .... Qunat au côté "stigmatisant", il n'y a que les commentaires qui puissent l'atténuer. Un feu rouge sans commentaire peut à mon avis être tout aussi mal vécu qu'un 8/20 avec un commentaire du genre "encore des erreurs mais quelques progrès par rapport au contrôle précédent". Je n'ai pas de solution. Je fais au mieux avec mes notes assorties de commentaires, en essayant d'équilibrer exercices difficiles et moins difficiles dans les contrôles. Pour les dictées, je mets la moyenne de 2 notes : la deuxième note étant celle de la dictée autocorrigée par les élèves, à l'aide d'outils comme le dictionnaire et le cahier de règles. Pour les contrôles d'éveil, je leur donne oralement toutes les questions d'avance désormais pour que ceux dont les parents savent les préparer en leur posant les bonnes questions ne soient plus avantagés. Et j'ai 3 ou 4 notes par trimestre soit au moins 1 par séquence. Bonnes idées également. On peut aussi, pour chaque leçon, la revoir avec les élèves qu'on a en soutien, quand il a lieu le matin, pour la leur faire reformuler, ou leur lire à l'avance les questions.
Aranne Posté(e) 22 novembre 2009 Posté(e) 22 novembre 2009 C'est bien ça le problème : le livret d'évaluation, qui "bouffe" la moitié des concertations de cycle, qui ne veut finalement dire grand chose pour ... personne ("Ah, la technique de l'addition était acquise en fin de premier trimestre et maintenant qu'on est passé à trois chiffres, tout est faux." et on peut multiplier les exemples), qui finit dans le placard du maître de la classe supérieure de toutes façons, et dont les collèges ne veulent pas.Ce serait bien qu'on lutte pour son abrogation. Complètement d'accord avec tout ce que tu dis, Goëllette! En 89, lorsque le livret a été institué, il ne devait être qu'un outil pour la remédiation. Enfin, c'est ce qu'essayait de nous faire avaler notre IEN. Mais par mesure de clarté, il fallait le transmettre en fin de chaque période aux parents. Vous imaginez la tête des parents des PS, lorsqu'ils ont vu la palanquée de C ou NA sur le premier bulletin de leur petit bout!!!! Et là, la maîtresse, pas très à l'aise, qui demande de "relativiser"... Oui, mais le fils de la voisine, il a que des "A", lui! Oui, mais il est plus mature... Et puis, j'en ai un peu marre de recevoir les voisines avec une photocopie du "bulletin" de leur fils ou fille ou même petit-fils, petite-fille. Je leur demande encore, pas très à l'aise, de "relativiser". A travers ces photocopies, on ne peut s'empêcher de constater, comme le disait quelqu'un plus haut, qu'il y a différentes façons d'évaluer.
papillon2704 Posté(e) 1 décembre 2009 Posté(e) 1 décembre 2009 En même temps, on est au CE2, là, pas en terminale ! Une note, c'est un nombre de bonnes réponses sur un nombre total de demandes. C'est tout. Et en CE2, pour une leçon, si tu as un 3 sur 10, c'est que tu es passé à côté de la leçon, c'est tout. Maintenant, on peut, je le répète, se poser la question de l'intérêt, pour un maître généraliste de l'élémentaire, d'avoir un programme si sérieux en éveil, alors que tout sera refait en collège, avec des maîtres spécialistes, bien mieux formés. Cela a-t-il donc un grand intérêt de faire rendre des élèves (et leurs familles) malades parce qu'ils auront interverti le rôle de l'estomac et du pancrésa ... en CE2! Par contre, être plus exigeant dans la maîtrise de la langue française et des mathématiques, refuser l'approximatif, alors là, oui, je pense que c'est le rôle de l'élémentaire. On est là pour construire et consolider les fondations de tout un enseignement. Pendant deux générations, on a oublié cela, et soit par indulgence, soit par démagogie, on a "laissé pissé", ne notant plus parce que c'était traumatisant, faisant l'impasse sur des pans entiers de règles de français, pré-requis à une scolarité sans soucis. c'était tellement mieux avant, snif
daisy27 Posté(e) 25 décembre 2009 Posté(e) 25 décembre 2009 Dans un cas comme dans l'autre, au fina tout ce qui compte ce sont les commentaires.. C'est surtout ce qu'il y a de plus "lisible" sur le livret.
mamkoz Posté(e) 30 décembre 2009 Posté(e) 30 décembre 2009 Bonsoir,Je suis assez embêtée ce soir car lorsque je suis allée chercher ma fille chez la nounou ce soir elle m'a avoué direct (comme pour se débarasser de la corvée) la gorge serrée et les larmes aux yeux que l'éval de sciences prévue pour demain a eu lieu aujourd'hui et que du coup elle a raté. Cette éval portait sur l'alimentation et la digestion avec du vocabulaire bien spécifique. Nous avions appris les deux leçons ce week end : je lui ai ré expliqué le rôle des aliments, le trajet dans le corps humains en reprenant les termes de ses leçons. Concernant le schéma avec les mots pancréas, foie, oesophage, intestin grele, gros intestin, excréments... nous devions l'apprendre ce soir. J'avais déjà préparé un schéma vierge qu'elle devait remplir après avoir revu sa leçon. Et voilà que son éval a été avancée à aujourd'hui et elle a effectivement eu un schéma à remplir. Il se trouve que depuis aujourd'hui elle a une maitresse remplaçante car son maître est en stage. J'ai donc appelé l'école pour signaler ce souci. Et l'enseignant m'a gentiment fait comprendre qu'il ne fallait pas que je mettre la pression à ma fille et qu'il fallait que ma fille dédramatise. Alors j'ai envie de pousser un coup de gueule car quand des parents se déresponsabilisent on leur jette la pierre mais à l'inverse quand on s'occupe d'eux on leur met la pression! Et quand est-ce qu'on pose un regard positif sur nous, parents??? Je suis juste une maman qui surveille les devoirs de sa fille. Elle ne fait pas partie des enfants qui ont de grande facilités. Elle doit travailler pour avoir de bonnes notes. Et aujourd'hui elle a été mise en situation d'échec injustement je trouve. Je suis moi même instit comme beaucoup sur ce forum (LOL) je pense donc réussir à trouver le juste milieu en ce qui concerne les devoirs de mon enfant. On en fait 30 minutes/jour (voire 45 de temps en temps). Je suis consciente qu'un élève passe déjà 6 heures / jour dans une classe. Bref, je n'ai jamais été chiante coté devoir. J'ai même été assez laxiste pendant un certain temps. Je trouve le passage du cycle 2 au cycle 3 difficile. Du coup ma fille a plus de mal en ce début d'année. J'estime légitime d'être derrière elle. Comment cet enseignant a pu juger que je mettais la pression à ma fille???? C'est dur je trouve. Ce soir c'est insomnie insomnie... Mamancanelle
mamancanelle Posté(e) 31 décembre 2009 Auteur Posté(e) 31 décembre 2009 Parents et enseignants, nous sommes des adultes!Au lieu de "nous bouffer le nez", excusez l'expression, quand allons-nous "tous" comprendre que nous voulons "tous" le bien de nos enfants et/ou élèves. J'ai l'impression, mais je sais ne pas être mesurée ni perspicace, que chacun veut réussir "contre" l'autre, au lieu de travailler ensemble! Une enseignante qui en a assez de ménager la chèvre et le chou, qui voudrais pouvoir être "honnête", tout simplement, sans avoir à prendre mille précautions et des pincettes pour la moindre information, la moindre demande, le moindre résultat. En somme, qui en a assez de perdre du temps! Je suis entièrement d'accord avec toi! Je suis POUR la collaboration PARENTS ENSEIGNANTS mais malheureusement nous ne vivons pas dans le meilleur des mondes... Mon but est d'aider mes élèves à grandir et ce de manière sereine. Pour cela j'ai besoin des parents, de leur confiance, de leur aide. Je vais les voir à la sortie de l'école, entretiens de bonnes relations mais ce n'est PAS DU TOUT le cas de l'école de ma fille... Et j'en souffre un peu.
roselyne Posté(e) 31 décembre 2009 Posté(e) 31 décembre 2009 Eh bien moi, je trouve que l'école – et c'est encore plus flagrant dans le Secondaire – produit un double discours tout à fait angoissant pour certains enfants. D'un côté, on les évalue, on leur donne des bulletins, on les juge sur ce qu'ils ont fait, on leur demande de ne pas copier pendant l'évaluation (que de mon temps on avait l'honnêteté d'appeler contrôle ou interrogation écrite, ce qui est bien plus proche de la réalité). De l'autre côté, on a un discours relativiste – ce n'est pas bien grave, leur avenir n'est pas en jeu, n'en faites pas une montagne, etc. Eh bien, il faut être drôlement fortiche, en tant qu'enfant ou que parent, pour naviguer là-dedans ! Prenons Jennifer, une petite fille un peu scolaire, un peu émotive, bonne élève, pas forcément hyper imaginative, mais qui a des bonnes notes parce qu'elle écoute en classe, qu'elle est soigneuse et qu'elle apprend ses leçons. On en a plein des comme ça. La gamine est mal fichue, ou bien elle n'a pas appris sa leçon pour une raison quelconque – que ça soit un décalage du contrôle ou n'importe quoi d'autre. Le contrôle a lieu. Elle a 3/10. Déjà, au niveau émotionnel, c'est super dur. Ah bon, il faut relativiser ? Regardez comme nous, on saute au plafond dès qu'on critique quoi que ce soit dans notre boulot ! Regardez comme on organise des véritables mises en scène les jours d'inspection ! On ne relativise pas du tout, quand c'est nous qu'on note ! Et ne me dites pas que c'est le devoir qui est noté, pas la personne : faire la différence émotionnellement nécessite d'avoir une maturité incroyable. Pas du tout le cas de notre Jennifer. Donc, Jennifer a 3/10. Elle se trouve projetée brutalement dans la catégorie "t'es nulle". Car c'est cela, qui est écrit en rouge : c'est "t'es nulle". Et ne faisons pas semblant de ne pas le savoir, ou de ne pas le comprendre. Je mets des 3/10, et autrefois j'ai même mis des 0 (je ne le fais plus), donc, je ne dis pas qu'il ne faut pas le faire. Il y a un barême, on l'applique, c'est la dure loi du système scolaire. On n'élève pas des enfants pour être dans un système bienveillant, donc, autant les y habituer. Et avec son 3/10, elle flippe. Alors, Maman, qui, elle, aime Jennifer de tout son cœur, veut la consoler. Et Maman veut aussi dire à la maîtresse : "Elle n'est pas nulle, ma Jennifer, ce 3/10 est un accident". Mais Maman, elle, a vécu la suite, le collège, le lycée, et la dure loi de la moyenne. Alors, Maman veut savoir si le 3/10 sera dans la moyenne. En clair, Maman veut savoir si, au cas où il y aurait une seule autre note dans cette matière (c'est vraisemblable, 2 évas pour une matière), et que Jennifer ait 7, si ça lui fera 7/10 ou 5/10 sur le bulletin. La question est légitime. Mais la maîtresse ne répond pas à la question. La maîtresse répond : c'est moi qui maîtrise les règles du jeu, et je ne les rends pas publiques. Et la maîtresse répond "ça n'est pas dramatique", "je sais faire la part des choses". D'accord. Mais alors, il compte, ou il ne compte pas, le 3 ? Eh bien, je suis souveraine, vous verrez bien. Arrêtez donc de vous angoisser, ma petite dame – je vous dis cela, mais je vous rajoute une part d'angoisse bien pire, puisque je ne donne pas la réponse. Ca sera "surprise" sur le livret. Et en plus, double lien : il faut bien travailler, bien apprendre, mais il ne faut pas accorder d'importance aux résultats. Bon courage, Jennifer ! + 1 Merci Rikki
quinquin Posté(e) 31 décembre 2009 Posté(e) 31 décembre 2009 si je peux donner mon opinion: oui, il faut relativiser... en même temps, il n'y a pas mort d'homme.... il y a des choses beaucoup plus graves dans la vie qu'une mauvaise note. Le travail des parents, à mon avis, est de permettre à nos enfants d'être bien dans leur peau (et s'il faut expliquer et re-expliquer que ce n'est pas parce qu'ils ont des difficultés à l'école qu'ils sont nuls, faisons-le... je ne connais pas d'adultes nuls et il ya a des tas de gens "scolaires" qui ne sont pas intelligents!!!! ) il y a une énorme difference entre la culture et l'intelligence. Par contre, faisons en sorte que ces années d'école obligatoire se passent plutôt mieux que mal, en soutenant nos enfants dans leur travail, en valorisant leurs réussites... et en leur rappelant qu'on les aime! allez! bonne année!!!!
Goëllette Posté(e) 2 janvier 2010 Posté(e) 2 janvier 2010 Une note, je me répète, n'est que le nombre de bonnes réponses sur le nombre total de réponses attendues. Donc pas de quoi en faire un fromage, surtout si la notation (avec si possible 10 réponses attendues à chaque fois) se fait dans le cadre d'un contrôle continu, c'est à dire une multitude de notes pour chaque matière, afin qu'une mauvaise note accidentelle se noie dans les bonnes notes. Après, une multitude de mauvaises notes, ça montre un problème, ça c'est sûr. Ensuite, il s'agit de trouver une solution au problème. Mais au moins, dans ce cas, ce sera clair.
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