Goëllette Posté(e) 11 juin 2010 Posté(e) 11 juin 2010 Goëlette TF ça concerne quoi ? Tout Foucambert. Jean Foucambert a développé (ou participé à développer) des théories sur la lecture radicalement opposées à Boescher, d'où ma boutade ... Rikki, si tu me lis ... Mais je n'ai jamais pratiqué directement et n'ai aucun document à transmettre. Je viens juste de trouver ce lien vers le site de l'AFL qui t'en dira plus : AFL et cet article sur le principe : prépalire
milli67 Posté(e) 11 juin 2010 Posté(e) 11 juin 2010 Dans ce cas on va dire que j'attends dimanche soir dernier délai les adresses mail perso de toutes les personnes intéressées par MP. Akwabon peut en attendant m'envoyer les docs à moi seule, et lundi je fais un premier envoi groupé à toutes les personnes qui m'auront envoyé leurs adresses mail... Ça vous irait?? Je suis également intéressée par ces textes par curiosité car l'année prochaine ma collègue et moi nous avons choisi Taoki après trois années de "rue des contes".
pupuce2000 Posté(e) 11 juin 2010 Posté(e) 11 juin 2010 Je préfèrerais recevoir les mails des gens par MP, c'est plus facile de centraliser... D'autant que ça me paraît également plus confidentiel Merci ! Ceci étant, j'ai bien noté les adresses de tout le monde, quel que soit le moyen d'envoi !
milli67 Posté(e) 11 juin 2010 Posté(e) 11 juin 2010 Je préfèrerais recevoir les mails des gens par MP, c'est plus facile de centraliser... D'autant que ça me paraît également plus confidentiel Merci ! Ceci étant, j'ai bien noté les adresses de tout le monde, quel que soit le moyen d'envoi ! Merci de ta gentillesse ,je suis novice dans l'utilisation du site !
Caquine Posté(e) 11 juin 2010 Posté(e) 11 juin 2010 Pupuce, tu peux hélas m'enlever de la liste. Mon projet d'affectation a changé: je serai en PS/MS/GS en principe l'année prochaine.
pupuce2000 Posté(e) 11 juin 2010 Posté(e) 11 juin 2010 Pupuce, tu peux hélas m'enlever de la liste. Mon projet d'affectation a changé: je serai en PS/MS/GS en principe l'année prochaine. Oh mince Ecoute je t'enlève... Si ça re-change, n'hésite pas... Bon courage
sanleane Posté(e) 12 juin 2010 Posté(e) 12 juin 2010 Merci pour cette jolie démonstration de travail par cycle. Cela me donne vraiment envie de prendre les GS de ma collègue de cycle 1.
Roserouge100 Posté(e) 13 juin 2010 Posté(e) 13 juin 2010 En fait, ce n'est pas vraiment une progression, plutôt un état d'esprit, des "objectifs" peut-être, je n'ai jamais vraiment compris ce que l'on entendait par là.En gros, ça se passe comme ça : Lorsque mes nouveaux élèves arrivent en GS, ils sont directement mis en "remorque" des CP pour les premières activités ayant trait à la lecture, avec un niveau d'exigeance bien moindre, évidemment : - Si les CP ne sont pas trop avancés (lecture courante ou presque à la rentrée), chaque matinée commence par la lecture de la phrase-mystère. Au tableau, j'ai écrit une phrase (en script, en cursive, ça dépend, je n'ai pas la religion du "quand on écrit, il ne faut pas ci ou ça") qui annonce une activité de la matinée. Chaque GS qui le souhaite vient montrer "quelque chose" qu'il connaît (qu'il peut nommer et/ou expliquer), ça peut être une lettre, un signe de ponctuation. Les CP expliquent au besoin si la lettre est "mariée". Très vite, les plus "dégourdis" reconnaissent aussi des mots (le, la, les, un, une, des, avec, dans, sur, qui, que, etc.), nous les "redéchiffrons" ensemble pour confirmer la lecture globale. Les CP finissent la lecture du texte, et la séance finit par la question rituelle : "Qu'est-ce que cette phrase nous dit ? Qu'allons-nous faire maintenant ?" -Ils participent aussi aux premières leçons d'écriture-lecture des CP en "auditeurs libres" (ou plus s'ils en ont envie) : je les installe tous ensemble en intercalant les GS au milieu des CP pour la leçon. Comme les CP ont déjà une bonne connaissance des lettres et de la fusion phonémique, même si je suis la progression de Borel-Maisonny, je vais un peu plus vite que dans une classe où les GS n'auraient pas fait tout ce travail en GS, nous commençons donc par les voyelles a, o, u, é, i, y, vues d'un seul coup, le même jour (ou sur deux jours si les vacances ont fait beaucoup de "dégât"). J'associe les Alphas au travail et, généralement, les GS finissent la séance en sachant nommer tous les personnages présentés. Le lendemain, lorsque je présente la consonne f (ou les trois : f, s et ch), les GS les reconnaissent mais seuls les plus dégourdis arrivent à fusionner cette consonne avec les voyelles vues la veille. Je ne vais pas plus loin avec eux, ceux qui "accrochent" tant mieux, ceux qui n'y arrivent pas, tant pis. Ils participent généralement tous très bien aux recherches orales : fa comme dans ...? fi comme dans ...? Il arrive parfois qu'un élève de GS moins mûr que les autres ne comprenne pas ce jeu et se laisse entraîner plus par le sens que par ce qu'il entend (fi comme dans fille, alors fi comme dans garçon), je n'en fais pas toute une histoire, je sais très bien que dans un an, lorsqu'il sera au CP et qu'il écrira seul, il ne commettra jamais ce genre d'erreur (en 35 ans de CP, je n'ai jamais vu un élève m'écrire "firçon" en croyant m'écrire "garçon" !). Petit à petit, ça vient et ces erreurs sont de moins en moins fréquentes. - Les élèves de GS comme les élèves de CP participent à la leçon de grammaire des CE1 et ils acquièrent ainsi "naturellement" la notion de lettre, de syllabe, de mot, de phrase, les natures et les fonctions, conscientisent le fait que l'on conjugue les verbes et que certaines lettres servent de marqueurs de genre et de nombre. Là aussi, je n'exige rien d'écrit aux GS tant qu'ils n'en ont pas envie. Il n'est pas rare cependant qu'en fin d'année scolaire, ce soit un élève de GS qui nous épelle une forme verbale à l'imparfait ou les marques orthographiques du genre et du nombre d'un adjectif qualificatif épithète ou attribut au féminin pluriel ! - En écriture pure, en revanche, les GS sont franchement différenciés des CP et, si les seconds écrivent dès le début de l'année, toutes les lettres qu'ils lisent et combinent tout de suite à l'écrit pour "produire" des syllabes, des mots, des phrases, les premiers révisent tout d'abord les gestes qu'ils ont appris en MS (traits verticaux, horizontaux, obliques, vagues et ponts) avant de commencer, en fin de première période à écrire les lettres m et n, puis i, u et t, moment où écriture et lecture peuvent être conjointes dans l'écriture des syllabes mi, mu, ni, nu, ti, tu et dans celle des mots mimi, nu, tu, titi... - La journée finit toujours par un moment de lecture offerte. Là, j'ai un gros travail avec les GS en début d'année car ils ne sont pas habitués du tout à "entendre" (dans le sens : écouter pour comprendre)des histoires. J'insiste lourdement et je peux aller jusqu'à programmer une aide personnalisée de plusieurs séances pour faire comprendre aux enfants (et à leurs parents) qu'il est impératif qu'ils comprennent ce qu'on leur lit pour être capables plus tard de comprendre ce qu'ils lisent au fur et à mesure qu'ils le lisent (généralement, les enfants et parfois même leurs parents le comprennent plus vite que certaines collègues de maternelle qui restent persuadées que ça vient tout seul et qu'il suffit de les plonger dans un bain d'écrit pour qu'ils s'imprègnent tout seuls de la musicalité de la langue). Ce "régime" dure jusqu'à la fin septembre environ (au pire, jusqu'à la fin octobre), sauf pour la "lecture offerte" qui elle durera jusqu'à la fin de l'année. À partir de là, les CP vont trop vite, les GS les retarderaient, je change donc mon emploi du temps, embarque les GS dans De l'écoute des sons à la lecture pour l'écriture-lecture des voyelles, puis des consonnes dès le début du 2° trimestre, alors que les CP continuent sur BM, sans GS en remorque... Généralement, vers le milieu du 2° trimestre, nous avons vu l'écriture cursive de toutes les lettres, ils commencent à écrire et déchiffrer toutes les syllabes simples et peuvent du coup, commencer à copier et à lire des courtes phrases et nous continuons tranquillement dans ce sens-là jusqu'à la fin juin. Lorsque j'ai de bons groupes, je fais quelques petites incursions au 3° trimestre dans les digraphes (on, an, ou, oi, in...), mais ce n'est pas systématique et je ferai "comme si" ils ne l'avaient pas fait lorsque nous reprenons à la rentrée, au CP. En effet, j'ai gardé l'habitude, donnée par les conseillers pédagogiques de mes débuts, de considérer que la première période de l'année scolaire était consacrée à la révision de tout le programme de l'année précédente, mais, qu'en revanche, ce qui avait été fait dans la dernière partie du 3° trimestre devait être considéré comme "inconnu au bataillon" à la rentrée suivante et faire l'objet d'un "réapprentissage" systématique une fois passée la période de révision (c'est d'ailleurs pour cela que les manuels de maths et de grammaire actuels me choquent tant, eux qui attendent parfois jusqu'en janvier ou février pour ressortir des notions acquises les années précédentes, alors qu'il serait si simple de les réactiver tout de suite dès le mois de septembre). Voilà, c'est à peu près tout pour ma "progression qui n'en est pas une"... Si tu as d'autres questions, n'hésite pas. Merci beaucoup Voilà quelqu'un qui sait ce qu'elle fait et où elle va, qui a de l'expérience, qui a du faire beaucoup de lectures. 27 ans, ce n'est pas rien, les aurais-je un jour ces 27 années de carrière, avec toutes les exigences et changement de programme à chaque fois, je commence à douter Par ailleurs, je commence à douter pour les GS/CP. Ce n'est vraiment pas le moment pour moi de travailler dans un tel niveau, quand j'entends certaines dire qu'elles y travaillent jusqu'à minuit, déjà qu'avec un simple niveau ça me fait des prep chaque soir, dimanches, mercredis et pendant les vacances, déjà qu'avec un jeune bébé faut se lever toutes les 3 heures, si en plus je dors à minuit
Roserouge100 Posté(e) 13 juin 2010 Posté(e) 13 juin 2010 En fait, ce n'est pas vraiment une progression, plutôt un état d'esprit, des "objectifs" peut-être, je n'ai jamais vraiment compris ce que l'on entendait par là.En gros, ça se passe comme ça : Lorsque mes nouveaux élèves arrivent en GS, ils sont directement mis en "remorque" des CP pour les premières activités ayant trait à la lecture, avec un niveau d'exigeance bien moindre, évidemment : - Si les CP ne sont pas trop avancés (lecture courante ou presque à la rentrée), chaque matinée commence par la lecture de la phrase-mystère. Au tableau, j'ai écrit une phrase (en script, en cursive, ça dépend, je n'ai pas la religion du "quand on écrit, il ne faut pas ci ou ça") qui annonce une activité de la matinée. Chaque GS qui le souhaite vient montrer "quelque chose" qu'il connaît (qu'il peut nommer et/ou expliquer), ça peut être une lettre, un signe de ponctuation. Les CP expliquent au besoin si la lettre est "mariée". Très vite, les plus "dégourdis" reconnaissent aussi des mots (le, la, les, un, une, des, avec, dans, sur, qui, que, etc.), nous les "redéchiffrons" ensemble pour confirmer la lecture globale. Les CP finissent la lecture du texte, et la séance finit par la question rituelle : "Qu'est-ce que cette phrase nous dit ? Qu'allons-nous faire maintenant ?" -Ils participent aussi aux premières leçons d'écriture-lecture des CP en "auditeurs libres" (ou plus s'ils en ont envie) : je les installe tous ensemble en intercalant les GS au milieu des CP pour la leçon. Comme les CP ont déjà une bonne connaissance des lettres et de la fusion phonémique, même si je suis la progression de Borel-Maisonny, je vais un peu plus vite que dans une classe où les GS n'auraient pas fait tout ce travail en GS, nous commençons donc par les voyelles a, o, u, é, i, y, vues d'un seul coup, le même jour (ou sur deux jours si les vacances ont fait beaucoup de "dégât"). J'associe les Alphas au travail et, généralement, les GS finissent la séance en sachant nommer tous les personnages présentés. Le lendemain, lorsque je présente la consonne f (ou les trois : f, s et ch), les GS les reconnaissent mais seuls les plus dégourdis arrivent à fusionner cette consonne avec les voyelles vues la veille. Je ne vais pas plus loin avec eux, ceux qui "accrochent" tant mieux, ceux qui n'y arrivent pas, tant pis. Ils participent généralement tous très bien aux recherches orales : fa comme dans ...? fi comme dans ...? Il arrive parfois qu'un élève de GS moins mûr que les autres ne comprenne pas ce jeu et se laisse entraîner plus par le sens que par ce qu'il entend (fi comme dans fille, alors fi comme dans garçon), je n'en fais pas toute une histoire, je sais très bien que dans un an, lorsqu'il sera au CP et qu'il écrira seul, il ne commettra jamais ce genre d'erreur (en 35 ans de CP, je n'ai jamais vu un élève m'écrire "firçon" en croyant m'écrire "garçon" !). Petit à petit, ça vient et ces erreurs sont de moins en moins fréquentes. - Les élèves de GS comme les élèves de CP participent à la leçon de grammaire des CE1 et ils acquièrent ainsi "naturellement" la notion de lettre, de syllabe, de mot, de phrase, les natures et les fonctions, conscientisent le fait que l'on conjugue les verbes et que certaines lettres servent de marqueurs de genre et de nombre. Là aussi, je n'exige rien d'écrit aux GS tant qu'ils n'en ont pas envie. Il n'est pas rare cependant qu'en fin d'année scolaire, ce soit un élève de GS qui nous épelle une forme verbale à l'imparfait ou les marques orthographiques du genre et du nombre d'un adjectif qualificatif épithète ou attribut au féminin pluriel ! - En écriture pure, en revanche, les GS sont franchement différenciés des CP et, si les seconds écrivent dès le début de l'année, toutes les lettres qu'ils lisent et combinent tout de suite à l'écrit pour "produire" des syllabes, des mots, des phrases, les premiers révisent tout d'abord les gestes qu'ils ont appris en MS (traits verticaux, horizontaux, obliques, vagues et ponts) avant de commencer, en fin de première période à écrire les lettres m et n, puis i, u et t, moment où écriture et lecture peuvent être conjointes dans l'écriture des syllabes mi, mu, ni, nu, ti, tu et dans celle des mots mimi, nu, tu, titi... - La journée finit toujours par un moment de lecture offerte. Là, j'ai un gros travail avec les GS en début d'année car ils ne sont pas habitués du tout à "entendre" (dans le sens : écouter pour comprendre)des histoires. J'insiste lourdement et je peux aller jusqu'à programmer une aide personnalisée de plusieurs séances pour faire comprendre aux enfants (et à leurs parents) qu'il est impératif qu'ils comprennent ce qu'on leur lit pour être capables plus tard de comprendre ce qu'ils lisent au fur et à mesure qu'ils le lisent (généralement, les enfants et parfois même leurs parents le comprennent plus vite que certaines collègues de maternelle qui restent persuadées que ça vient tout seul et qu'il suffit de les plonger dans un bain d'écrit pour qu'ils s'imprègnent tout seuls de la musicalité de la langue). Ce "régime" dure jusqu'à la fin septembre environ (au pire, jusqu'à la fin octobre), sauf pour la "lecture offerte" qui elle durera jusqu'à la fin de l'année. À partir de là, les CP vont trop vite, les GS les retarderaient, je change donc mon emploi du temps, embarque les GS dans De l'écoute des sons à la lecture pour l'écriture-lecture des voyelles, puis des consonnes dès le début du 2° trimestre, alors que les CP continuent sur BM, sans GS en remorque... Généralement, vers le milieu du 2° trimestre, nous avons vu l'écriture cursive de toutes les lettres, ils commencent à écrire et déchiffrer toutes les syllabes simples et peuvent du coup, commencer à copier et à lire des courtes phrases et nous continuons tranquillement dans ce sens-là jusqu'à la fin juin. Lorsque j'ai de bons groupes, je fais quelques petites incursions au 3° trimestre dans les digraphes (on, an, ou, oi, in...), mais ce n'est pas systématique et je ferai "comme si" ils ne l'avaient pas fait lorsque nous reprenons à la rentrée, au CP. En effet, j'ai gardé l'habitude, donnée par les conseillers pédagogiques de mes débuts, de considérer que la première période de l'année scolaire était consacrée à la révision de tout le programme de l'année précédente, mais, qu'en revanche, ce qui avait été fait dans la dernière partie du 3° trimestre devait être considéré comme "inconnu au bataillon" à la rentrée suivante et faire l'objet d'un "réapprentissage" systématique une fois passée la période de révision (c'est d'ailleurs pour cela que les manuels de maths et de grammaire actuels me choquent tant, eux qui attendent parfois jusqu'en janvier ou février pour ressortir des notions acquises les années précédentes, alors qu'il serait si simple de les réactiver tout de suite dès le mois de septembre). Voilà, c'est à peu près tout pour ma "progression qui n'en est pas une"... Si tu as d'autres questions, n'hésite pas. Merci beaucoup Voilà quelqu'un qui sait ce qu'elle fait et où elle va, qui a de l'expérience, qui a du faire beaucoup de lectures. 27 ans, ce n'est pas rien, les aurais-je un jour ces 27 années de carrière, avec toutes les exigences et changement de programme à chaque fois, je commence à douter Par ailleurs, je commence à douter pour les GS/CP. Ce n'est vraiment pas le moment pour moi de travailler dans un tel niveau, quand j'entends certaines dire qu'elles y travaillent jusqu'à minuit, déjà qu'avec un simple niveau ça me fait des prep chaque soir, dimanches, mercredis et pendant les vacances, déjà qu'avec un jeune bébé faut se lever toutes les 3 heures, si en plus je dors à minuit On peut avoir un exemple de phrase mystère/rituelle ?
sanleane Posté(e) 13 juin 2010 Posté(e) 13 juin 2010 J'ai également un double niveau; Je n'ai jamais passé autant de temps le soir à préparer, j'ai trop besoin de mes heures de sommeil. Mes prép c'est le mercredi, samedi, dimanche, sur le temps de sieste de ma petite dernière, plus le matin quand elle joue avec sa grande soeur. Tout n'est pas carré. Je prépare consciencieusement les séances de lecture pour les cp, pour les maths, pas de fiche de prép, c'est au feeling, je suis le fichier selon la prog que j'ai déterminé pendant les vacances, je réfléchi 5 min aux manipulations à faire et c'est tout. Pour l'année prochaine, je vais mettre en place des ateliers jeu de calcul mental (15 min tous les jours), je préparerais tout le matériel pendant les vacances et comme cela, plus besoin d'y penser pour le reste de l'année. En fait, il n'y a vraiment que la lecture que je pense semaine par semaine. Pour les autres prép, je m'organise sur les temps de vacances.* Après, tout n'est pas toujours top, mais bon, on a aussi une vie de famille à gérer, et il faut réussir à se dégager du temps pour. Après, il y a plein de fichiers qui existent tout fait, on a pas toujours le temps de tout concevoir. Tu trouveras également beaucoup de choses sur les différents posts d'edp. Quelle sera ta méthode de lecture roserouge?
Roserouge100 Posté(e) 14 juin 2010 Posté(e) 14 juin 2010 Merci beaucoup à tous les deux. Cette année, en GS, j'ai voulu faire manipuler les élèves encore plus. J'étais en congé parental, j'ai commencé à faire garder le bébé 2 fois par semaine mi-août jusqu'au 15 octobre pour préparer, et malgré, ça m'a pris le soir et week-end pour préparer, car en math, , s'il faut plastifier, découper, et en + préparer des exercices de lecture à partir des mots vus dans les albums et les prénoms de la classe ça prend un temps fou, et encore les autres domaines, j'ai été obligée de délaisser un peu... Au CP ça ne doit pas être plus simple. J'ai pris un monde à lire car il paraît que ce c'est pas mal pour débutant au CP. Au départ je pensais que Akwabon travaillait avec, mais non, elle c'est les alphas + Bien lire et aimer lire et SLEC en GS.
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