éowin Posté(e) 22 août 2011 Posté(e) 22 août 2011 Pour l'instant un grand coup de coeur. Résumé : Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, " ville des prodiges " marquée par la défaite, la vie difficile, les haines qui rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y " adopter " un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets " enterrés dans l'âme de la ville " : L'Ombre du vent. Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l'Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie. J'ai adoré aussi, je viens d'acheter le nouveau Zafon en poche.......
Invité maitressesandrine Posté(e) 22 août 2011 Posté(e) 22 août 2011 Quelqu'un a lu "Boomerang" de Tatiana de Rosnay ?? je m'apprête à lire ce roman, mais ça fait des années que je ne lis plus du tout en français (mes lectures sont essentiellement en anglais...). J'avais bien aimé Lu cet hiver, j'ai aimé aussi ! Cet été, quelqu'un d'autre, de Benacquista + Keith me, Amanda Sthers + Purge, Sofi Oksanen ++ Insecte, Claire Castillon Mercure, Nothomb ++ Les écureuils de Central Park ... , Pancol, effectivement lassant après les deux premiers tomes mais un plus pour la bio de Cary Grant Vivement la réouverture de la bibliothèque ...
handou Posté(e) 22 août 2011 Posté(e) 22 août 2011 De mon côté j'ai plutôt été polar cet été avec entre autres : Le tueur intime de Claire Favan (+++) Mygale de Thierry Jonquet (+++) Le chuchoteur de Carisi (+++) Trois très bons thrillers.
laure m Posté(e) 22 août 2011 Posté(e) 22 août 2011 J'ai terminé parce que je t'aime de Guillaume Musso Je viens de commencer Que serai je sans toi du même auteur Auriez-vous des conseil de roman , du même style , car j'apprécie J'avais pensé aux roman de sophie Kinsella qu'en pensez vpus Merci pour vos conseil A bientot Laure
MissTiQ Posté(e) 22 août 2011 Auteur Posté(e) 22 août 2011 Tu peux regarder mon blog si tu veux avoir des idées de lecture
Liriel Posté(e) 22 août 2011 Posté(e) 22 août 2011 Tu peux regarder mon blog si tu veux avoir des idées de lecture Je viens d'aller jeter un coup d'oeil à ton blog. Bravo! Je le mets en favori. Tu vas me donner des envies de lecture Entièrement d'accord avec toi en ce qui concerne les Linwood Barclay. C'est excellent
MissTiQ Posté(e) 23 août 2011 Auteur Posté(e) 23 août 2011 Merci c'est gentil et pour Linwood Barclay
joelafrite Posté(e) 23 août 2011 Posté(e) 23 août 2011 Je viens de finir Le comte de Monte-Cristo, je suis assez déçu. C'est facile à lire malgré les 1400 pages, pas ennuyeux, mais c'est surtout une succession de coups de masse tous plus invraisemblables les uns que les autres. Je comprends que le livre ait eu du succès à l'époque, mais que ce soit considéré comme un classique aujourd'hui je trouve cela un peu trop. J'ai commencé les Illusions perdues de Balzac, et pour l'instant c'est passionnant : en plus de l'intrigue Balzac nous montre la société petite-bourgeoise de l'époque, les ambitions ... Présentation de l'éditeur : A Angoulême, David Séchard, un jeune poète idéaliste, embauche dans son imprimerie un ami de collège, Lucien Chardon, qui prendra bientôt le nom de sa mère, Rubempré. Poète lui aussi, il bénéficie d'une sorte de gloire locale et fréquente le salon de Louise de Bargeton à qui le lie bientôt une intrigue sentimentale qui fait tant jaser que tous les deux partent pour Paris. Voilà bientôt Lucien lancé dans le monde des lettres aussi bien que de la haute société, mais si Paris est la ville des " gens supérieurs ", ce sera également pour lui celle des désillusions. C'est bien la figure de Lucien, en effet, qui donne surtout son unité aux Illusions perdues qui ont d'abord été, de 1837 à 1843, une suite de trois romans devenus plus tard les trois parties de celui que nous lisons, quand Balzac eut conçu le projet de La Comédie humaine et décidé de faire de sa trilogie l'une des Scènes de la vie de province. Car si Paris reste bien au cœur du triptyque, c'est à Angoulême, néanmoins, que se noue le destin des héros, à Angoulême encore qu'il s'assombrit. Revenu dans sa ville natale, Lucien n'est pas loin d'y sombrer - avant une véritable ascension dont Balzac fera le récit dans un autre grand livre: Splendeurs et misères des courtisanes.
poucinette36 Posté(e) 23 août 2011 Posté(e) 23 août 2011 J'ai terminé parce que je t'aime de Guillaume Musso Je viens de commencer Que serai je sans toi du même auteur Auriez-vous des conseil de roman , du même style , car j'apprécie J'avais pensé aux roman de sophie Kinsella qu'en pensez vpus Merci pour vos conseil A bientot Laure Je dirais les Marc Levy... Je viens de finir Le comte de Monte-Cristo, je suis assez déçu. C'est facile à lire malgré les 1400 pages, pas ennuyeux, mais c'est surtout une succession de coups de masse tous plus invraisemblables les uns que les autres. Je comprends que le livre ait eu du succès à l'époque, mais que ce soit considéré comme un classique aujourd'hui je trouve cela un peu trop. J'ai commencé les Illusions perdues de Balzac, et pour l'instant c'est passionnant : en plus de l'intrigue Balzac nous montre la société petite-bourgeoise de l'époque, les ambitions ... Présentation de l'éditeur : A Angoulême, David Séchard, un jeune poète idéaliste, embauche dans son imprimerie un ami de collège, Lucien Chardon, qui prendra bientôt le nom de sa mère, Rubempré. Poète lui aussi, il bénéficie d'une sorte de gloire locale et fréquente le salon de Louise de Bargeton à qui le lie bientôt une intrigue sentimentale qui fait tant jaser que tous les deux partent pour Paris. Voilà bientôt Lucien lancé dans le monde des lettres aussi bien que de la haute société, mais si Paris est la ville des " gens supérieurs ", ce sera également pour lui celle des désillusions. C'est bien la figure de Lucien, en effet, qui donne surtout son unité aux Illusions perdues qui ont d'abord été, de 1837 à 1843, une suite de trois romans devenus plus tard les trois parties de celui que nous lisons, quand Balzac eut conçu le projet de La Comédie humaine et décidé de faire de sa trilogie l'une des Scènes de la vie de province. Car si Paris reste bien au cœur du triptyque, c'est à Angoulême, néanmoins, que se noue le destin des héros, à Angoulême encore qu'il s'assombrit. Revenu dans sa ville natale, Lucien n'est pas loin d'y sombrer - avant une véritable ascension dont Balzac fera le récit dans un autre grand livre: Splendeurs et misères des courtisanes. J'ai été traumatisé par la lecture forcée de la Rabouilleuse de Balzac au collège que j'avais trouvé d'un ennui pas possible... Et depuis je n'ai jamais re tenté. Peut être devrais-je?
aqua897 Posté(e) 23 août 2011 Posté(e) 23 août 2011 J'ai lu de Marc Levy cet été : Le voleur d'ombres, La prochaine fois, Sept jours pour une éternité. Ce dernier, je l'ai adoré.
joelafrite Posté(e) 23 août 2011 Posté(e) 23 août 2011 J'ai été traumatisé par la lecture forcée de la Rabouilleuse de Balzac au collège que j'avais trouvé d'un ennui pas possible... Et depuis je n'ai jamais re tenté. Peut être devrais-je? Sans doute, oui, moi aussi j'ai été dégoûté de la lecture et des classiques au collège et au lycée, maintenant j'en relis de temps en temps sans me prendre la tête à faire des analyses à deux balles et souvent je trouve ces livres très bien.
Liriel Posté(e) 23 août 2011 Posté(e) 23 août 2011 J'ai été traumatisé par la lecture forcée de la Rabouilleuse de Balzac au collège que j'avais trouvé d'un ennui pas possible... Et depuis je n'ai jamais re tenté. Peut être devrais-je? Sans doute, oui, moi aussi j'ai été dégoûté de la lecture et des classiques au collège et au lycée, maintenant j'en relis de temps en temps sans me prendre la tête à faire des analyses à deux balles et souvent je trouve ces livres très bien. Concernant Balzac, je pense qu'on nous le fait lire bien trop tôt car comme vous, j'avais été dégoutée par "Eugénie Grandet" (les longues longues longues pages de description de volets etc au début....)... et finalement j'ai eu un prof en licence de lettres modernes que j'ai retrouvé aux cours de CAPES, qui était un passionné de l'auteur et qui me l'a fait redécouvrir... Et j'ai effectivement adoré et dévoré pratiquement tout Balzac (bon j'ai pas pris le temps de tout lire non plus) ; J'ai adoré "Les chouans", la peau de chagrin, le Père goriot entre autre.
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