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probleme avec collegue


blacknader

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Re-Volubylis

Je m'élève seulement contre les directeurs envahissants, dictateurs, chefaillons, maltraitants... Tout comme vous vous élevez contre les adjoints paresseux, individualistes, obtus...

Tous les directeurs ne sont pas comme ça, tout comme tous les adjoints ne sont pas tous comme ça

Toutes mes excuses, Volubylis, je n’avais pas vu ton dernier message, qui remet mieux la réalité en place

Un détail cependant : j’ai été instit 15 ans avant que d’être dirlo. Voir les choses des deux côtés offre l’avantage de pouvoir faire le tri. La différence entre un mauvais dirlo et un mauvais instit ?

Un instit ne subira son mauvais dirlo que 20 minutes par jour, aux récrés, et quelques petites heures en plus de-ci, de-là, en concertations. Pas de quoi comparer avec le réel harcèlement du privé, et le contremaître sur le dos à chaque seconde.

Un dirlo subira son mauvais instit 6 heures chaque jour, ça use…

:devil_2: (y me plait bien, ce diablotin...)

Thierry fabre

PS Si tu arrives à trouver un seul message de ma part où je m'élève contre mes collègues adjoints, tu peux me le signaler ? Je n'en ai pas souvenir... :wink:

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Pour avoir eu un directeur "dysfonctionnant" je dois admettre qu'un "mauvais dirlo" on ne le subit pas 20 min par jour mais bel et bien 10 H par jour. Comment faire quand il "oublie" de transmettre les infos concernant les retraites (quand justement une collègue parlait depuis des années de sa retraite "anticipéeé? comment faire quand il cache les comptes de la coopé, planque le courrier chez lui après entente avec le facteur? Ne transmet pas les chèques à l'autonome (découvert lorsqu'une collègue les a appelé car elle en avait besoin justement, alors qu'il lui aurait suffi de ne pas nous demander de centraliser les chèques?), ne nous donne aucune info venant de l'IEN (après son départ nous avons réalisé l'ampleur des messages quotidiens :lol: )y compris les dates de stages ou d'animations, médit sur nous devant les parents, et j'en passe (ça m'énerve encore plus de 10 ans après ^^)

En fait quand on a connu un tel directeur on ne peut qu'apprécier par la suite le bonheur de travailler avec des vrais dirlos :wub:

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Ouh là... Voilà quelqu'un qui est resté bloqué à la grande époque Foucambert, celle où l'on apprenait à lire tout au long de sa vie !

Un petit coup d'IO pour rafraîchir les connaissances du préposé à l'aide au bon déroulement des enseignements ?

J’avoue…

J’ai même commis d’autres errances, à base de méthodes gestuelles et phonétiques.

Mais bon, venant d’un pékin qui a appris à écrire à l’encre violette et à la plume sergent-major, c’est déjà miracle que mes vieux doigts racornis arrivent à tapoter le clavier…

on nous informe que, depuis au moins le 1° septembre 2008, l'apprentissage de la lecture est bien le fait de l'instit de CP qui a l'entière responsabilité du choix de sa méthode.

C’est marrant comme on peut se tromper. A te lire, Pablo, je ne t’imaginais pas ardent défenseur des « nouveaux-anciens » programmes de 2008

Ceci dit, programmes ou pas, on bosse bien un tantinet la lecture en maternelle, non ? Et pis, en CE 1, vous devez bien avoir, en cherchant un peu, un ou deux minots qui savent-pas-tro-lire-tout-à-fait-bien, non ?

D’où l’utilité du travail d’équipe, d’une harmonisation des méthodes et des pratiques, ce qui n’est pas le goulag, ni un carcan, mais fait partie du boulot…

Thierry Fabre

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Pour avoir eu un directeur "dysfonctionnant" je dois admettre qu'un "mauvais dirlo" on ne le subit pas 20 min par jour mais bel et bien 10 H par jour. Comment faire quand il "oublie" de transmettre les infos concernant les retraites (quand justement une collègue parlait depuis des années de sa retraite "anticipéeé? comment faire quand il cache les comptes de la coopé, planque le courrier chez lui après entente avec le facteur? Ne transmet pas les chèques à l'autonome (découvert lorsqu'une collègue les a appelé car elle en avait besoin justement, alors qu'il lui aurait suffi de ne pas nous demander de centraliser les chèques?), ne nous donne aucune info venant de l'IEN (après son départ nous avons réalisé l'ampleur des messages quotidiens :lol: )y compris les dates de stages ou d'animations, médit sur nous devant les parents, et j'en passe (ça m'énerve encore plus de 10 ans après ^^)

En fait quand on a connu un tel directeur on ne peut qu'apprécier par la suite le bonheur de travailler avec des vrais dirlos :wub:

Je confirme tout ce que tu dis, je l'ai vécu aussi, avec un avis de nomination qui ne m'est jamais parvenu et qui m'a fait perdre un poste en or (le directeur buvait et était cuit à 10h le matin).

Je pense que le poste du directeur est devenu tellement central et important, qu'il est maintenant un métier.

Et comme tout métier, il faut avoir des compétences particulières pour l'exercer correctement.

Et comme tout métier, il doit être contrôlé régulièrement afin d'en corriger les défauts ou d'en améliorer le fonctionnement.

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Faut que vous me disiez comment vous faites, les filles, parce que le mien, avec ses beaux yeux verts, et ben il ne me harcèle pas du tout !

OK, je sais , ce n'est pas le moment : :sort:

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Tu peux donc confirmer que pour ma part, je n'ai jamais mis les pieds du côté de ta vie personnelle !

Comme je te l'ai déjà dit, ce n'est en aucun cas cela qui m'interesse ici.

De même que je ne me sens nullement visé quand on parle de directeurs maltraitant. (Regarde par exemple la dernière réponse à Pablo).

Par contre, je réponds aux généralités facilement écrites et prouve les erreurs énoncées. (surtout quand on parle d'un métier que l'on ne pratique pas).

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C’est marrant comme on peut se tromper. A te lire, Pablo, je ne t’imaginais pas ardent défenseur des « nouveaux-anciens » programmes de 2008

Ceci dit, programmes ou pas, on bosse bien un tantinet la lecture en maternelle, non ? Et pis, en CE 1, vous devez bien avoir, en cherchant un peu, un ou deux minots qui savent-pas-tro-lire-tout-à-fait-bien, non ?

D’où l’utilité du travail d’équipe, d’une harmonisation des méthodes et des pratiques, ce qui n’est pas le goulag, ni un carcan, mais fait partie du boulot…

Thierry Fabre

:sad: :sad: :sad: je n'ai rien dit de tel :idontno:

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Comme je le dis souvent quand j'aide des collègues directeurs qui ont des soucis:

"Ne partons jamais dans l'affect, restons dans les faits."

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C'est marrant comme on peut se tromper. A te lire, Pablo, je ne t'imaginais pas ardent défenseur des « nouveaux-anciens » programmes de 2008

Ceci dit, programmes ou pas, on bosse bien un tantinet la lecture en maternelle, non ? Et pis, en CE 1, vous devez bien avoir, en cherchant un peu, un ou deux minots qui savent-pas-tro-lire-tout-à-fait-bien, non ?

D'où l'utilité du travail d'équipe, d'une harmonisation des méthodes et des pratiques, ce qui n'est pas le goulag, ni un carcan, mais fait partie du boulot…

Thierry Fabre

:sad: :sad: :sad: je n'ai rien dit de tel :idontno:

Faute d'erreur :lol: c'était Akwabon :wink:

Volubilys je pense que si nous réagissons si fort ici, c'est bien parce qu'on ne veut pas être LE directeur que tu décris ( et que tu ne sembles pas avoir...)

J'ai moi aussi subit LE directeur :mad: voir :devil_2: et j'espère ne jamais être cette personne et franchement de tous les directeurs que je cotoie actuellement ici ou dans la vraie vie, franchement je connais peu de chefaillon donc un statut peut-être ( quoi qu'en lisant les analyses du rapport Reiss ce soir, j'espère ne pas voir pointer ce que j'y ai lu...:sad:) mais surtout des adjoints qui arrêtent de penser qu'on ne veut pas aller dans le mm sens pour le bien des élèves.

Pour répondre à Nath, si l'équipe fonctionne bien mais que la directrice n'arrive pas à suivre ce qui se faisait peut-être faut-il voir avec elle ce qui la dérange, pas tout changer mais trouver un terrain d'entente. Elle a peut-être des arguments à entendre non?? Une petite place à se faire? Si elle est trop obtue ( parce que oui ça arrive quand mm des dirlos avec des œillères) la médiation d'un conseiller péda ( qui est lui aussi un collègue) peut être une bonne alternative pour débloquer le dossier.

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Mais je tique quand je lis une directrice écrire faire ses coups en douce d'une adjointe et qui chipote pour une grille d'évaluation... Parce que là, c'est malsain.

Sauf que dans notre cas, la directrice ne fait pas les choses en douce d'une adjointe.

Elle s'occupe de son métier dans l'école.

Cela n'est certainement pas malsain, mais bien au contraire son rôle.

Moi j'ai connu un adjoint qui ne supportait pas quand je lui disais qu'il devait sortir dans la cour car il était de service (il n'aimait pas ça et avait besoin de temps pour ses photocopies.)

Il me répondait:

"Tu n'as pas à me commander"

Sauf que là encore, ce collègue avait tort. Mon métier me l'impose pour la bonne marche commune de l'école et pour la sécurité des élèves.

On ne fonctionne pas à l'école avec des sains ou des malsains, des gentils ou des méchants....

On travaille selon des règles pour les élèves. Soit on respecte ses règles, soit on assume devant l'IEN sa position et ses conséquences (que l'on soit adjoint ou directeur).

Ton vécu t'a marqué à l'affect, j'espère vraiment que tu arriveras à revenir dans les faits.

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franchement je connais peu de chefaillon donc un statut peut-être ( quoi qu'en lisant les analyses du rapport Reiss ce soir, j'espère ne pas voir pointer ce que j'y ai lu...:sad:) mais surtout des adjoints qui arrêtent de penser qu'on ne veut pas aller dans le mm sens pour le bien des élèves.

Comme tu as déjà pu le lire, nos visions sont assez proches.

As-tu lu le rapport Reiss lui-même ou son analyse par un syndicat ?

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Comme je le dis souvent quand j'aide des collègues directeurs qui ont des soucis:

"Ne partons jamais dans l'affect, restons dans les faits."

très saine réaction et manière d'aborder les problèmes. :)

Je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais là je m'interroge : vous êtes sincères quand vous dites tout ça ? Le nez sur les textes, et fi des affinités ?

On doit être bien névrosés alors, dans mon école, parce qu'on mélange un peu tout... Les affects, l'intellect, les fiches de prèp, les arrangements quand quelqu'un qu'on apprécie ne peut pas assurer son service (ou autre), ...et on mange parfois les uns chez les autres, quand il fait beau...

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