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Pour moi y'a longtemps que y'a pas photo , et j'irai au 2nd tour pour voter contre S avant tout ...

Moi aussi... sauf si c'est l'extrême droite...

Moi aussi... sauf même si c'est l'extrême droite...enfin Marine Lepen, puisque Sarkozy n'a cessé de reprendre les mêmes thèmes.

Posté(e)

de toute façon où qu'on aille (Sarko, Hollande ou autre) et on y va, il va falloir serrer les fesses.... et fort ! :ph34r:

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Posté(e)

Dans le parisien de ce matin, Hollande propose de rétablir une demi-journée de classe, de raccourcir les petites vacances mais pas les grandes.

Posté(e)

Les petites, ça me va.

2 jours en moins chaque petites vacances, ça ne me dérange pas (trop) pour ma part. ça m'enquiquine un peu, mais le mal pour moi est moindre que celles d'été (que j'adore car j'aime la mer !!).

Les grandes honnêtement ça me gonfle : d'abord, il fait bien trop chaud (on ne fait presque plus rien dès début juin... Tous les après-midi, on arrose les gosses au jet d'eau...

Ensuite, égoïstement, mon compagnon doit prendre obligatoirement les 2 dernières semaines d'août.

Si je doit reprendre le 15 août; je n'ai plus de vacances en couple.

Et je travaille pour vivre, je ne vis pas pour travailler...

Le mercredi.

ça m'ennuie aussi : le mardi soir, je ne sais pas vous, mais je suis lessivée.

De toute façon, on va en prendre plein la poire.

Qui que ce soit.

Posté(e)

Bon voici la nouvelle version évoquée par Cyrille1 ! En date du 11/04

http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-2012/candidats/franco is-hollande-l-education-et-la-culture-11-04-2012-1949586.php

Quel rythme? Vous revenez sur la semaine de 4 jours ?

La semaine de 4 jours fait que c’est en France que l’on a l’année scolaire la plus courte et les journées scolaires les plus longues. On peut rétablir une demi-journée d’enseignement le mercredi ou raccourcir les petites vacances, mais pas les grandes.

Marche arrière ? Serpent de mer qui le restera ? Ou prise de conscience de la difficulté de toucher aux vacances d'été surtout dans le second degré ? Ou encore liberté de choix qui sera laissée au niveau local : pas classe le mercredi mais raccourcissement des petites vacances ou classe le mercredi et vacances inchangées....

On n'y comprend plus rien !!!!!.

Posté(e)

Va falloir qu'ils accordent leurs violons !!!

Extrait de Café pédagogique du 13/04 (analyse des propos de Peillon dans le Monde d'hier, http://www.lemonde.fr/ecole-primaire-et-secondaire/article/2012/04/12/ une-heure-avec-vincent-peillon-monsieur-education-du-ps-a-dix-jours-du -premier-tour_1684782_1473688.html) :

Enfin il fait le lien entre revalorisation, évolution du métier d'enseignant et réforme des rythmes scolaires. "Si on veut modifier les rythmes scolaires , avec deux semaines de vacances en moins, il faudra bien négocier une compensation salariale". Mais la revalorisation "sera compensée par une réattribution de moyens". Les horaires du lycée seraient revus à la baisse pour dégager ces moyens. Quant à savoir quels enseignements seront visés...

Extrait de l'article correspondant (ce n'est pas tout à fait la même chose alors extrapolation du café péda ???....) :

■Sur la condition enseignante.

"Le déroulement de carrière des professeurs s'arrête trop tôt", souligne-t-il, évoquant la possibilité de "développer le statut hors classe". Vincent Peillon n'élude pas la question de la revalorisation, d'autant plus urgente avec le "retour à la semaine de quatre jours et demi". Il confie qu'"il y a peut-être des économies à faire sur le lycée". Pour "attirer les candidats", il n'exclut pas des "spots et campagnes".

Et sinon concrètement ça veut dire quoi ???

D'après V. Peillon, juste après les législatives, à la mi-juillet le nouveau ministre amorcera la négociation avec les syndicats sur la nouvelle école supérieure du professorat, la réforme des rythmes scolaires et le métier d'enseignant. Le débat pourrait durer jusqu'en septembre mais une loi de finances et une loi de programmation devraient être adoptées en septembre. Reste des points d'ombre. Comme cette réponse de F Hollande dans un entretien accordé au Parisien le 12 avril. "On peut raccourcir les petites vacances mais pas les grandes". La phrase laisse V. Peillon perplexe...

Génial les négociations en juillet et le vote de la loi en septembre, on va bien se faire avoir !

Et notre pseudo futur président (j'ai de plus en plus de doute...) et notre futur pseudo ministre de l'EN devraient accorder leur propos car une interview chacun (Pour Hollande voir lien vers le Parisien dans mon message précédent) et deux options différentes...

Posté(e)

Mouais, c'est pas rassurant!

Quoiqu'il arrive on va se faire avoir!

Posté(e)

Bonjour,

Je rejoins ceux qui ne se font plus trop d'illusions sur le devenir de la profession...

Cependant, désolé, j'en ai marre des socialistes et de leurs :

- vous vous arrangerez comme vous pourrez (mercredi ou samedi, vacances d'été, et en d'autres temps 39 heures...)

- des créations de postes avec du personnel non formé pour assumer des tâches difficiles comme l'enseignement spécialisé : clis, classe rased où c'est toujours le dernier arrivé dans l'école ou qui n'a pas de poste fixe qui se la tape...

- de la pseudo générosité qui se fait au détriment de tous : réunions d'équipe éducative pour les élèves de CLIS ou ayant des difficultés sur le temps de travail avec répartitions des élèves de la classe du directeur et de la classe de l'élève concernée dans les autres classes de l'école

- des allocations de rentrées données aux familles alors que comme tous les enseignants d'élémentaire, je me retrouve avec un budget alloué par la mairie selon ses moyens (soit 20€ par an par enfant pour mon cas) et la quasi obligation de demander aux parents de fournir du matériel (feuilles, cahiers, etc.) alors que toutes les familles ne touchent pas cette allocation qui ne sert pas toujours aux fournitures scolaires

- la valse des programmes et des appellations qui font qu'on ne sait plus de quoi on cause et que je ne sais plus quel titre mettre aux activités : nombre ? opération ? technique opératoire ? problèmes ? gestion des données ? et des pseudo-innovations qui souvent n'ont souvent qu'un intérêt commercial : créer de la propriété intellectuelle que le ministère paiera au prix fort via la taxe pour le droit aux photocopies ou que nous paierons par nos propres deniers pour être en conformité...

- des réunions de direction à l'inspection (avec répartition de leurs élèves) toujours sur le temps scolaire et toujours pour la même raison : le refus de payer le temps passé pour les réunions

- des livrets de compétence mis en place par les socialistes et qui se transforment en usines à cases

- je rajouterai aussi tout cet agglomérat pseudo pédagogique qu'on nous ajoute chaque fois qu'un gouvernement veut faire croire qu'il fait quelque chose : apprendre à être pîéton, la morale, apprendre à manger correctement, ou encore l'anglais parti de l'intention de former l'oreille des écoliers dès le plus jeune âge qui s'est transformé en évaluation avec des instit qui pour la plupart en sont à enseigner : "maille quart ize blou."

- de notre statut toujours aussi flou : on était considérés comme travaillant 45 heures par semaine dans les années 50, ce qui nous permettait de rattraper nos petites vacances, sachant que les deux mois d'été n'étaient pas comptées dans notre traitement (répartition des 10 mois de salaire sur les 12 mois de l'année). Désormais, le sénat (socialiste) considère que nous faisons 35 heures par semaine parce que ça les arrange et semble dire que les mois d'été sont comptés dans notre salaire.

A partir de là, j'ai fait mon choix. Je sais qu'il est à contre courant, je sais également que ce ne sera pas forcément agréable, mais être "caressé dans le sens du poil" pour ensuite me retrouver dans des situations pénibles ne me plaira pas plus.

Avoir des professionnels qui s'occupent des enfants en difficulté plutôt que des nouveaux titulaires non formés ne me paraît pas une hérésie et encore moins la mort de l'école publique. Je crois que ce qui la tue, c'est de croire qu'elle puisse tout faire et toujours à moindre frais et toujours en bricolant par répartition d'élèves dans des classes déjà surchargées ou en appelant quelqu'un un spécialiste alors qu'il ne l'est pas.

Après pour les histoires de vacances et de temps de travail, j'attends mon contrat, si je puis dire, afin de savoir en quoi il consiste : combien d'heures par semaine ? Combien de semaine par an ? Ensuite, j'arrête de bosser quand le nombre d'heures est fait.

Je rappellerai également que je dois au socialistes la retraite à 60 ans au lieu de 55, la perte du droit au logement de fonction qui revenait à 150 € par mois. L'obligation de faire des années de suppléance payées au smic pour obtenir une équivalence de licence.

Sur ce, bonnes vacances.

Posté(e)

J'avoue ne pas avoir bien saisi le rapport entre "socialistes" et la plupart des choses que tu dénonces dans ton message. En quoi la gauche est-elle seule responsable de la valse des programmes et de la modification du nom des matières ? de la création de l'abominable livret personnel de compétences ? des réunions de directions à l'inspection pendant le temps scolaire (ce qui soit dit en passant n'arrive jamais dans ma circo) ? des crédits minuscules alloués par la mairie de ta commune ? du niveau A1 à valider en langue vivante ? du manque d'enseignement dans le spécialisé ?

Posté(e)

Il semblerait que pour certains l'école n'existe que depuis quinze ans ou que leurs souvenirs ne dépassent pas les 15 ans.

Posté(e)

- de notre statut toujours aussi flou : on était considérés comme travaillant 45 heures par semaine dans les années 50, ce qui nous permettait de rattraper nos petites vacances, sachant que les deux mois d'été n'étaient pas comptées dans notre traitement (répartition des 10 mois de salaire sur les 12 mois de l'année). Désormais, le sénat (socialiste) considère que nous faisons 35 heures par semaine parce que ça les arrange et semble dire que les mois d'été sont comptés dans notre salaire.

Juste pour rebondir là-dessus : il semblerait de plus en plus acquis que cette histoire de salaire de 10 mois réparti sur 12 (auquel je croyais fortement moi aussi) ne soit finalement qu'une légende urbaine. Thierry Fabre a laissé plusieurs messages prouvant que la circulaire (ou je sais plus quoi) dont tout le monde parle et qui prouverait ce fait n'ait en fait jamais existé...

Posté(e)

- vous vous arrangerez comme vous pourrez (mercredi ou samedi, vacances d'été, et en d'autres temps 39 heures...)

Je t'accorde que ce n'est pas très clair.

- des créations de postes avec du personnel non formé pour assumer des tâches difficiles comme l'enseignement spécialisé : clis, classe rased où c'est toujours le dernier arrivé dans l'école ou qui n'a pas de poste fixe qui se la tape...

Rappelle-moi qui supprime les postes de RASED depuis la mise en place de l'aide personnalisée? Rappelle-moi qui envoie des enseignants stagiaires en classe sans formation?

Rappelle-moi quelle loi (et qui l'a promulguée) a mis en place lesdits CLIS et RASED?

- de la pseudo générosité qui se fait au détriment de tous : réunions d'équipe éducative pour les élèves de CLIS ou ayant des difficultés sur le temps de travail avec répartitions des élèves de la classe du directeur et de la classe de l'élève concernée dans les autres classes de l'école

Ca ne s'est jamais passé comme ça par chez moi...

- des allocations de rentrées données aux familles alors que comme tous les enseignants d'élémentaire, je me retrouve avec un budget alloué par la mairie selon ses moyens (soit 20€ par an par enfant pour mon cas) et la quasi obligation de demander aux parents de fournir du matériel (feuilles, cahiers, etc.) alors que toutes les familles ne touchent pas cette allocation qui ne sert pas toujours aux fournitures scolaires

S'ils ne touchent pas l'allocation, c'est qu'ils peuvent se permettre d'acheter le minimum, non? Et l'allocation, elle sert souvent à habiller les enfants (et pas forcément à acheter console et tutti quanti, car je te vois arriver) Et alors? C'est mieux d'avoir des chaussures à sa taille pour aller à l'école.

- la valse des programmes et des appellations qui font qu'on ne sait plus de quoi on cause et que je ne sais plus quel titre mettre aux activités : nombre ? opération ? technique opératoire ? problèmes ? gestion des données ? et des pseudo-innovations qui souvent n'ont souvent qu'un intérêt commercial : créer de la propriété intellectuelle que le ministère paiera au prix fort via la taxe pour le droit aux photocopies ou que nous paierons par nos propres deniers pour être en conformité...

Je ne savais pas que c'étaient les socialistes qui étaient à l'Education Nationale lors de la rédaction des programmes 2008... :online2long:

- des réunions de direction à l'inspection (avec répartition de leurs élèves) toujours sur le temps scolaire et toujours pour la même raison : le refus de payer le temps passé pour les réunions

De nouveau, ça ne se passe pas comme ça chez moi.... Les réunions de directeurs ont lieu le mercredi et comptent dans les 108 h.

- des livrets de compétence mis en place par les socialistes et qui se transforment en usines à cases

Les livrets mis en place sous Sarko, tu veux dire? Ceux qu'on va devoir obligatoirement remplis avec la création du socle commun de Sarko, tu veux dire?

Je te rappelle que la loi d'orientation que tu sembles citer oblige les enseignants à communiquer les résultats des élèves selon leurs préférences, et n'impose aucun modèle type, ce qui n'est plus le cas "grâce" au gouvernement Sarkozy.

- de notre statut toujours aussi flou : on était considérés comme travaillant 45 heures par semaine dans les années 50, ce qui nous permettait de rattraper nos petites vacances, sachant que les deux mois d'été n'étaient pas comptées dans notre traitement (répartition des 10 mois de salaire sur les 12 mois de l'année). Désormais, le sénat (socialiste) considère que nous faisons 35 heures par semaine parce que ça les arrange et semble dire que les mois d'été sont comptés dans notre salaire.

Je ne comprends pas ce que tu veux dire... D'autre part, je souhaite des références pour étayer tes propos.

Avoir des professionnels qui s'occupent des enfants en difficulté plutôt que des nouveaux titulaires non formés ne me paraît pas une hérésie et encore moins la mort de l'école publique. Je crois que ce qui la tue, c'est de croire qu'elle puisse tout faire et toujours à moindre frais et toujours en bricolant par répartition d'élèves dans des classes déjà surchargées ou en appelant quelqu'un un spécialiste alors qu'il ne l'est pas.

C'est le bilan de la personne pour laquelle tu t'apprêtes à voter...

Je rappellerai également que je dois au socialistes la retraite à 60 ans au lieu de 55, la perte du droit au logement de fonction qui revenait à 150 € par mois. L'obligation de faire des années de suppléance payées au smic pour obtenir une équivalence de licence.

Grâce à Sarko, tu partiras à la retraite à 62 ans.

La perte du logement de fonction (que tous n'avaient pas) contre une augmentation de salaire conséquente, je crois (en fait, j'en suis sûre, ma mère étant passée d'instit à PE)

L'obligation de faire des années de suppléance pour avoir une équivalence de licence, alors là.... :noelblush: Texte? Pourquoi une équivalence licence si on est déjà instit??? Pour passer PE??? (soit par concours, soit par ancienneté, dans les textes???)

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