kiko Posté(e) 27 février 2013 Posté(e) 27 février 2013 Je viens de commencer le tome 2 de 1Q84. J'ai adoré lé premier ! J'ai aimé quelques livres de A.Nothomb mais la plupart me tombe des mains. Je n'aime pas les romans trop courts, et j'ai l'impression qu'elle applique un peu toujours la même recette. Elle m'intéressera peut-être quand elle sortira un bouquin de 500 pages un peu plus travaillé. J'hésite à acheter le 3.
etoile05 Posté(e) 27 février 2013 Posté(e) 27 février 2013 Impossible de retrouver mon livre ne tirez pas sur l'oiseau moqueur alors que je ne l'ai pas fini, snif...Je suis partie en WE avec, et revenue sans apparemment. Quelle quiche ! Je vais m'acheter si je reste, je crois avoir vu des critiques positives ici même. Sinon, mon livre n°1 préféré, c'est Les piliers de la Terre de Ken Follett. Et vous, c'est quoi votre number 1 ??
genevièveT Posté(e) 27 février 2013 Posté(e) 27 février 2013 Mon n°1 : testament à l'anglaise de Jonathan Coe : Je ne me lasse pas de l'ironie, de la critique de la bonne société britannique en cette fin de 20ème siècle, Coe nous montre des arrivistes, cyniques et sans aucun sentiments envers leurs contemporains. Tout y passe : les banquiers, les marchand d'armes, les médias, les industriels de l'agroalimentaire, ... Quant à l'écriture, elle est excellente : Coe est un maître du subterfuge, il sème des indices, brouille les pistes, amoncelle les histoires et les évènements et retombe sur ces pieds, nous laissant bouche bée et sur le c*l devant tant de virtuosité à mener toutes ces histoires à bien et son lecteur par le bout du nez.
letapisrevant Posté(e) 27 février 2013 Posté(e) 27 février 2013 Bon, j'ai réservé les Hunger games à la biblio... Ce sera pour fin mars. En attendant, j'ai pris Aide moi de Nicci French et L'incroyable voyage de Monsieur Daldry de Lévy. Les bibliothécaires venaient de recevoir le deuxième tome de 50 nuances de Grey. Bon, visiblement, ça ne les emballe pas du tout. C'est de la sous littérature, mais comme il y a de la demande... Mouais, je comprends mieux pourquoi il y autant de lectures difficiles à suivre en rentrant de 10h de boulot non stop, en pensant de cette manière ! Il en faut pour tous les goûts et poser le cerveau de temps en temps ne veut pas dire être décérébré non plus !
Malakime Posté(e) 27 février 2013 Posté(e) 27 février 2013 Pfiou j'suis contente plein de lectures à venir!! En priorité ne tirez pas sur l'oiseau moqueur et testament à l'anglaise. Merci, j'adore ce post
primaël Posté(e) 27 février 2013 Posté(e) 27 février 2013 Mes deux préférés : 1 : la consolante d'Anna Gavalda, je me sens bien dans ce livre, j'y trouve des instants de bonheurs 2 : Mort, où est ta victoire de Daniel Rops, un roman assez noir, désespéré qui me ramène à certains pans de ma vie. Sinon, l'enfant 44, les Mickael Connelly, Replay lu grâce à vous, Philippe Margolin, Fred Vargas notamment Debout les morts, la mort des bois de Brigitte Aubert et les livres de Mishima avec toute la beauté du Japon et son désespoir sublimé.
poucinette36 Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 Je commence "l'homme joie" de bobin. Voici un livre superbe, qui pourrait servir d'antidote à la morosité ambiante. Christian Bobin est un écrivain qu'aucune étiquette ne peut enfermer. Comment voulez-vous rendre compte des livres d'un homme qui, dès l'exergue, propose ceci : "Ecrire, c'est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l'ouvrir" ? Il y a une magie Bobin. Elle est faite de détails infimes, de mots choisis avec extrême attention, de sourires et de rires malgré la noirceur, malgré la mort... Son oeuvre est une lutte avec l'ange, qu'il nomme mélancolie. Grâce à l'écriture, il en sort triomphant et nous, lecteurs, confiants... La vie blessée est donc la vraie vie. Il ne s'agit pas de la réussir, comme le croit notre époque, mais de la vivre. Pleinement. (François Busnel - L'Express, novembre 2012 )
stl Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 je suis en train de lire :l'ordre du dragon de james Rollins L'horreur du crime est indicible. Lors d'une messe dans la cathédrale de Cologne, des moines encapuchonnés interrompent brusquement l'office. Alors qu'ils abattent froidement le prêtre, les fidèles qui venaient de communier, empoisonnés, meurent dans d'atroces souffrances. Puis les assassins profanent le tombeau qui contient les saintes reliques des Rois mages, avant de fusiller les derniers survivants, laissant derrière eux un carnage indescriptible. oui, je suis trèèèès thriller
éowin Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 Je commence "l'homme joie" de bobin. Voici un livre superbe, qui pourrait servir d'antidote à la morosité ambiante. Christian Bobin est un écrivain qu'aucune étiquette ne peut enfermer. Comment voulez-vous rendre compte des livres d'un homme qui, dès l'exergue, propose ceci : "Ecrire, c'est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l'ouvrir" ? Il y a une magie Bobin. Elle est faite de détails infimes, de mots choisis avec extrême attention, de sourires et de rires malgré la noirceur, malgré la mort... Son oeuvre est une lutte avec l'ange, qu'il nomme mélancolie. Grâce à l'écriture, il en sort triomphant et nous, lecteurs, confiants... La vie blessée est donc la vraie vie. Il ne s'agit pas de la réussir, comme le croit notre époque, mais de la vivre. Pleinement. (François Busnel - L'Express, novembre 2012 ) Une mine d'espoir et de lumière ce livre..... bonne lecture
--anonyme-- Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 La route m' à énormément bouleversé, je devais parfois posé le livre car c' était trop dur pour moi. Comme Sandra., le goût du bonheur m' à bcp plu, je m' étais bcp arraché aux personnages et j' ai eu du laly à les quitter. La j' ai lu' les dieux voyagent toujours incognito' de Gounelle. Bien aimé. Et je termine un Cathy Kelly. De la vraie romance pour midinettes mais j' aime bien.
genevièveT Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 je viens de commencer les Vache de Staline de Sofie Oksanen. J'avais beaucoup aimé son roman suivant Purge. Dans ce premier roman, Oksanen relate l'histoire de deux femmes estonniennes, mère et fille à 20/30 ans d'écart. Je mets la quatrième de couverture car j'ai un peu de mal à résumer un livre que je viens de commencer Les "vaches de Staline", c'est ainsi que les Estoniens déportés en Sibérie désignèrent les maigres chèvres qu'ils trouvèrent là-bas, dans une sorte de pied de nez adressé à la propagande soviétique qui affirmait que ce régime produisait des vaches exceptionnelles. C'est aussi le titre du premier roman de Sofi Oksanen, dont l'héroïne, Anna, est une jeune finlandaise née dans les années 1970, qui souffre de troubles alimentaires profonds. La mère de celle-ci est estonienne, et afin d'être acceptée de l'autre côté du "Mur", elle a tenté d'effacer toute trace de ses origines et de taire les traumatismes de l'ère soviétique. Sofi Oksanen décrit avec une grande puissance d'évocation les obsessions de ces deux femmes : Anna ne pense qu'à contrôler l'image de son corps, tandis que sa mère raconte sa rencontre avec le "Finlandais", à Tallin, dans les années 1970, avec une sorte de distance glaçante, comme si sous ce régime de surveillance, la peur s'infiltrait jusque dans les rapports de séduction. Ne serait-ce pas ce passé qui hante encore le corps de sa fille ?
Mimipouce Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 Il me reste quelques pages à lire de La liste de mes envies. Lu dans la journée. http://www.amazon.fr/liste-mes-envies-Gr%C3%A9goire-Delacourt/dp/2709638185/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1362081885&sr=8-1 Jocelyne, dite Jo, rêvait d être styliste à Paris. Elle est mercière à Arras. Elle aime les jolies silhouettes mais n a pas tout à fait la taille mannequin. Elle aime les livres et écrit un blog de dentellières. Sa mère lui manque et toutes les six minutes son père, malade, oublie sa vie. Elle attendait le prince charmant et c est Jocelyn, dit Jo, qui s est présenté. Ils ont eu deux enfants, perdu un ange, et ce deuil a déréglé les choses entre eux. Jo (le mari) est devenu cruel et Jo (l épouse) a courbé l échine. Elle est restée. Son amour et sa patience ont eu raison de la méchanceté. Jusqu au jour où, grâce aux voisines, les jolies jumelles de Coiff Esthétique, 18.547.301 lui tombent dessus. Ce jourlà, elle gagne beaucoup. Peut-être.
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