poucinette36 Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 Je commence "l'homme joie" de bobin. Voici un livre superbe, qui pourrait servir d'antidote à la morosité ambiante. Christian Bobin est un écrivain qu'aucune étiquette ne peut enfermer. Comment voulez-vous rendre compte des livres d'un homme qui, dès l'exergue, propose ceci : "Ecrire, c'est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l'ouvrir" ? Il y a une magie Bobin. Elle est faite de détails infimes, de mots choisis avec extrême attention, de sourires et de rires malgré la noirceur, malgré la mort... Son oeuvre est une lutte avec l'ange, qu'il nomme mélancolie. Grâce à l'écriture, il en sort triomphant et nous, lecteurs, confiants... La vie blessée est donc la vraie vie. Il ne s'agit pas de la réussir, comme le croit notre époque, mais de la vivre. Pleinement. (François Busnel - L'Express, novembre 2012 )
stl Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 je suis en train de lire :l'ordre du dragon de james Rollins L'horreur du crime est indicible. Lors d'une messe dans la cathédrale de Cologne, des moines encapuchonnés interrompent brusquement l'office. Alors qu'ils abattent froidement le prêtre, les fidèles qui venaient de communier, empoisonnés, meurent dans d'atroces souffrances. Puis les assassins profanent le tombeau qui contient les saintes reliques des Rois mages, avant de fusiller les derniers survivants, laissant derrière eux un carnage indescriptible. oui, je suis trèèèès thriller
éowin Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 Je commence "l'homme joie" de bobin. Voici un livre superbe, qui pourrait servir d'antidote à la morosité ambiante. Christian Bobin est un écrivain qu'aucune étiquette ne peut enfermer. Comment voulez-vous rendre compte des livres d'un homme qui, dès l'exergue, propose ceci : "Ecrire, c'est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l'ouvrir" ? Il y a une magie Bobin. Elle est faite de détails infimes, de mots choisis avec extrême attention, de sourires et de rires malgré la noirceur, malgré la mort... Son oeuvre est une lutte avec l'ange, qu'il nomme mélancolie. Grâce à l'écriture, il en sort triomphant et nous, lecteurs, confiants... La vie blessée est donc la vraie vie. Il ne s'agit pas de la réussir, comme le croit notre époque, mais de la vivre. Pleinement. (François Busnel - L'Express, novembre 2012 ) Une mine d'espoir et de lumière ce livre..... bonne lecture
tijona Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 La route m' à énormément bouleversé, je devais parfois posé le livre car c' était trop dur pour moi. Comme Sandra., le goût du bonheur m' à bcp plu, je m' étais bcp arraché aux personnages et j' ai eu du laly à les quitter. La j' ai lu' les dieux voyagent toujours incognito' de Gounelle. Bien aimé. Et je termine un Cathy Kelly. De la vraie romance pour midinettes mais j' aime bien.
genevièveT Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 je viens de commencer les Vache de Staline de Sofie Oksanen. J'avais beaucoup aimé son roman suivant Purge. Dans ce premier roman, Oksanen relate l'histoire de deux femmes estonniennes, mère et fille à 20/30 ans d'écart. Je mets la quatrième de couverture car j'ai un peu de mal à résumer un livre que je viens de commencer Les "vaches de Staline", c'est ainsi que les Estoniens déportés en Sibérie désignèrent les maigres chèvres qu'ils trouvèrent là-bas, dans une sorte de pied de nez adressé à la propagande soviétique qui affirmait que ce régime produisait des vaches exceptionnelles. C'est aussi le titre du premier roman de Sofi Oksanen, dont l'héroïne, Anna, est une jeune finlandaise née dans les années 1970, qui souffre de troubles alimentaires profonds. La mère de celle-ci est estonienne, et afin d'être acceptée de l'autre côté du "Mur", elle a tenté d'effacer toute trace de ses origines et de taire les traumatismes de l'ère soviétique. Sofi Oksanen décrit avec une grande puissance d'évocation les obsessions de ces deux femmes : Anna ne pense qu'à contrôler l'image de son corps, tandis que sa mère raconte sa rencontre avec le "Finlandais", à Tallin, dans les années 1970, avec une sorte de distance glaçante, comme si sous ce régime de surveillance, la peur s'infiltrait jusque dans les rapports de séduction. Ne serait-ce pas ce passé qui hante encore le corps de sa fille ?
Mimipouce Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 Il me reste quelques pages à lire de La liste de mes envies. Lu dans la journée. http://www.amazon.fr/liste-mes-envies-Gr%C3%A9goire-Delacourt/dp/2709638185/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1362081885&sr=8-1 Jocelyne, dite Jo, rêvait d être styliste à Paris. Elle est mercière à Arras. Elle aime les jolies silhouettes mais n a pas tout à fait la taille mannequin. Elle aime les livres et écrit un blog de dentellières. Sa mère lui manque et toutes les six minutes son père, malade, oublie sa vie. Elle attendait le prince charmant et c est Jocelyn, dit Jo, qui s est présenté. Ils ont eu deux enfants, perdu un ange, et ce deuil a déréglé les choses entre eux. Jo (le mari) est devenu cruel et Jo (l épouse) a courbé l échine. Elle est restée. Son amour et sa patience ont eu raison de la méchanceté. Jusqu au jour où, grâce aux voisines, les jolies jumelles de Coiff Esthétique, 18.547.301 lui tombent dessus. Ce jourlà, elle gagne beaucoup. Peut-être.
audad Posté(e) 28 février 2013 Posté(e) 28 février 2013 Je viens de terminer La couleur des sentiments et je vais commencer La délicatesse.
Mimipouce Posté(e) 1 mars 2013 Posté(e) 1 mars 2013 Alors pour répondre à la question en numéro 1, je mettrais bien La gloire de mon père de Pagnol car c'est vraiment un livre que j'ai eu plaisir à lire plusieurs fois dans ma vie (3 pour l'instant) ce qui est très rare pour moi. Sinon plus récemment La couleur des sentiments m'a vraiment touché.
poucinette36 Posté(e) 1 mars 2013 Posté(e) 1 mars 2013 Il me reste quelques pages à lire de La liste de mes envies. Lu dans la journée. http://www.amazon.fr...62081885&sr=8-1 Jocelyne, dite Jo, rêvait d être styliste à Paris. Elle est mercière à Arras. Elle aime les jolies silhouettes mais n a pas tout à fait la taille mannequin. Elle aime les livres et écrit un blog de dentellières. Sa mère lui manque et toutes les six minutes son père, malade, oublie sa vie. Elle attendait le prince charmant et c est Jocelyn, dit Jo, qui s est présenté. Ils ont eu deux enfants, perdu un ange, et ce deuil a déréglé les choses entre eux. Jo (le mari) est devenu cruel et Jo (l épouse) a courbé l échine. Elle est restée. Son amour et sa patience ont eu raison de la méchanceté. Jusqu au jour où, grâce aux voisines, les jolies jumelles de Coiff Esthétique, 18.547.301 lui tombent dessus. Ce jourlà, elle gagne beaucoup. Peut-être. J'ai très envie de le lire, mais il n'est pas à la bibliothèque et je restreins un peu le budget livre. Alors, j'attends sa sortie en poche!
Mimipouce Posté(e) 1 mars 2013 Posté(e) 1 mars 2013 Je l'ai trouvé vraiment très sympa, par contre, c'est vrai que 15 €, pour un livre que j'ai lu en une journée ce n'est pas très rentable Moi on me l'a prêté !
Malakime Posté(e) 1 mars 2013 Posté(e) 1 mars 2013 Ici emprunté et lu en une journée, c'est clair que ça ne vaut pas le coup de l'acheter! J'ai bien aimé mais j'ai toujours du mal avec les livres trop vite lus, j'ai l'impression de ne pas avoir le temps de m'imprégner.
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