MissTiQ Posté(e) 2 mars 2013 Posté(e) 2 mars 2013 Avant d'aller dormir de Watson Je l'ai dans ma PAL celui-là Pour Legardinier, j'attends la sortie en poche ! Pendant les vacances, j'ai lu : - Maudit karma de David Safier - Sous haute tension de Harlan Coben - Deux petits pas sur le sable mouillé de Anne-Dauphine Julliand Et là j'ai entamé Si c'était à refaire de Levy
poucinette36 Posté(e) 3 mars 2013 Posté(e) 3 mars 2013 La je lis le confident , un peu de mal à rentrer dedans pour l'instant mais je suis sûre que ce livre me réservé des surprises Pareil, du coup, je lis d'autre livre en même temps.
titecoccinelle Posté(e) 3 mars 2013 Auteur Posté(e) 3 mars 2013 J'ai laissé tomber Les fleurs de l'ombre de Steve Mosby... je n'arrivais pas à rentrer dans l'histoire, trop compliquée pour moi en ce moment qui n'arrive pas à lire longtemps le soir. Difficile de suivre l'histoire dans l'histoire, à chaque fois que je reprenais le bouquin, j'étais paumée ! A la place, j'ai commencé Une si belle école de Christian Signol. 1954 : Ornella, jeune institutrice sur les hauts plateaux du Lot, doit affronter l’hostilité du maire, du curé et des habitants qui ont besoin de leurs enfants dans les fermes. C’est en prenant son second poste qu’elle rencontre Pierre, l’instituteur avec qui elle partage la classe. Entre ces deux enseignants issus de milieux différents mais qui ne vivent que pour leur métier, c’est le coup de foudre que seule assombrira la guerre d’Algérie. Au fil des ans, au gré des réformes scolaires, ils poursuivront leur carrière avec la même passion, jusqu’à ce qu’une décision ministérielle les transforme en « professeurs des écoles ». L’école d’antan, son odeur de craie et d’encre violette, ses instituteurs héritiers des hussards de la Troisième République, respectés de tous, exemplaires et dévoués, c’est ce que Christian Signol évoque avec beaucoup d’émotion et de vérité dans ce roman, témoin d’un demi-siècle d’une société française dont l’école symbolisait la réussite et l’espoir en l’avenir.
éowin Posté(e) 3 mars 2013 Posté(e) 3 mars 2013 A la place, j'ai commencé Une si belle école de Christian Signol. 1954 : Ornella, jeune institutrice sur les hauts plateaux du Lot, doit affronter l’hostilité du maire, du curé et des habitants qui ont besoin de leurs enfants dans les fermes. C’est en prenant son second poste qu’elle rencontre Pierre, l’instituteur avec qui elle partage la classe. Entre ces deux enseignants issus de milieux différents mais qui ne vivent que pour leur métier, c’est le coup de foudre que seule assombrira la guerre d’Algérie. Au fil des ans, au gré des réformes scolaires, ils poursuivront leur carrière avec la même passion, jusqu’à ce qu’une décision ministérielle les transforme en « professeurs des écoles ». L’école d’antan, son odeur de craie et d’encre violette, ses instituteurs héritiers des hussards de la Troisième République, respectés de tous, exemplaires et dévoués, c’est ce que Christian Signol évoque avec beaucoup d’émotion et de vérité dans ce roman, témoin d’un demi-siècle d’une société française dont l’école symbolisait la réussite et l’espoir en l’avenir. J'avais bien aimé...
lapuce06 Posté(e) 3 mars 2013 Posté(e) 3 mars 2013 A la place, j'ai commencé Une si belle école de Christian Signol. 1954 : Ornella, jeune institutrice sur les hauts plateaux du Lot, doit affronter l’hostilité du maire, du curé et des habitants qui ont besoin de leurs enfants dans les fermes. C’est en prenant son second poste qu’elle rencontre Pierre, l’instituteur avec qui elle partage la classe. Entre ces deux enseignants issus de milieux différents mais qui ne vivent que pour leur métier, c’est le coup de foudre que seule assombrira la guerre d’Algérie. Au fil des ans, au gré des réformes scolaires, ils poursuivront leur carrière avec la même passion, jusqu’à ce qu’une décision ministérielle les transforme en « professeurs des écoles ». L’école d’antan, son odeur de craie et d’encre violette, ses instituteurs héritiers des hussards de la Troisième République, respectés de tous, exemplaires et dévoués, c’est ce que Christian Signol évoque avec beaucoup d’émotion et de vérité dans ce roman, témoin d’un demi-siècle d’une société française dont l’école symbolisait la réussite et l’espoir en l’avenir. J'ai beaucoup aimé et je l'ai d'ailleurs offert à Noël Mais il me semble que certaines avaient dit, il y a quelques jours/semaines, qu'elles n'avaient pas trop aimé
Manuespawn Posté(e) 3 mars 2013 Posté(e) 3 mars 2013 J'ai avancé le livre toute a l'heure et ça y est j'accroche bien hâte de connaître la suite .
MadameTêtard Posté(e) 3 mars 2013 Posté(e) 3 mars 2013 En ce moment je lis cette série: Comme à chaque fois, j'aime les 2/3 premiers, après, je trouve que ça s'étire en longueur. Je mets un extrait du 1er après c'est vraiment... berk
pike Posté(e) 3 mars 2013 Posté(e) 3 mars 2013 J'ai commencé Paradise de Simone Elkeles: Condamné pour avoir renversé Maggie alors qu'il conduisait en état d'ivresse, Caleb Becker rentre chez lui, à Paradise, après avoir purgé sa peine. Quant à Maggie, elle sort tout juste de l'hôpital, où elle vient de subir une longue rééducation. Les deux jeunes gens veulent s'éviter mais Paradise est une toute petite ville. Malgré eux : le destin les réunis et, petit à petit, leur rancoeur se transforme en romance. Malheureusement, Kendra, l'ex petite amie de Caleb, n'a pas l'intention de laisser le garçon lui échapper... Une intrigue amoureuse émouvante, portée par des personnages authentiques déchirés par l'amour, la culpabilité et le devoir. Un mode narratif à deux voix qui nous plonge dans l'intimité des personnages. Une écriture fluide et accessible et un style à la fois drôle et percutant. Aux États-Unis, Leaving Paradise (titre original) a séduit la critique : «Elkeles nous livre des émotions brutes, des dialogues et une ambiance de lycée qui sont tout simplement justes. Les lecteurs ne manqueront pas de s'identifier et de s'attacher à Maggie et Caleb, deux adolescents à la fois complexes et authentiques.» Dur dur d'avoir 17 ans quand tous vos rêves se seont écroulés.
tiniouu Posté(e) 3 mars 2013 Posté(e) 3 mars 2013 Certaines n'avaient jamais vu la mer de Julie Otsuka Nous sommes en 1919. Un bateau quitte l'Empire du Levant avec à son bord plusieurs dizaines de jeunes femmes promises à des Japonais travaillant aux États-Unis, toutes mariées par procuration. C'est après une éprouvante traversée de l'Océan pacifique qu elles rencontrent pour la première fois à San Francisco leurs futurs maris. Celui pour lequel elles ont tout abandonné. Celui auquel elles ont tant rêvé. Celui qui va tant les décevoir. À la façon d'un choeur antique, leurs voix se lèvent et racontent leurs misérables vies d'exilées... leurs nuits de noces, souvent brutales, leurs rudes journées de travail dans les champs, leurs combats pour apprivoiser une langue inconnue, la naissance de leurs enfants, l'humiliation des Blancs... Une véritable clameur jusqu'au silence de la guerre et la détention dans les camps d'internement - l'État considère tout Japonais vivant en Amérique comme traître. Bientôt, l'oubli emporte tout, comme si elles, leurs époux et leurs progénitures n'avaient jamais existé. Afficher plus Réduire Tu as écouté Ruquier comme moi? Je suis en train de le lire, j'aime bcp. Ca ne ressemble pas du tout à ce que je lis d'habitude. C'est une écriture très particulière, mais on s'imprègne de l'ambiance J'aime bien. J'ai acheté aussi "When the emperor was divine" (je les ai achetés tous 2 en anglais...ct moins cher!!!)
coccinutella Posté(e) 4 mars 2013 Posté(e) 4 mars 2013 Je viens de terminer "Je ne Hairai point" de Izzeldin Abuelaish Absolument bouleversant, j'en avais les larmes aux yeux Le docteur Izzeldin Abuelaish est né dans la bande de Gaza. Son enfance, marquée par la pauvreté et la peur, fut celle que connaissent toujours ceux qui grandissent dans les camps de réfugiés palestiniens. À force de travail, l'enfant pauvre est devenu médecin, spécialiste reconnu dans le monde entier pour ses recherches sur l'infertilité. Grande figure de la médecine palestinienne, il est appelé à traverser la frontière pour travailler dans les hôpitaux israéliens où il noue des relations professionnelles et amicales très étroites. Se forgent alors des sentiments d'empathie et d'estime qui interdisent la haine, effacent les préjugés et les généralisations. Le 16 juin 2009 une roquette israélienne vient frapper la maison d'Izzeldin, tuant trois de ses filles et sa nièce. Au moment du bombardement, le médecin était au téléphone en train de témoigner sur la situation à Gaza, dans l'émission de son ami, présentateur vedette de la télévision israélienne. Les images en direct de la tragédie, les cris d'horreur et les appels au secours d'un père désespéré, vont faire le tour du monde. Dans son livre, le Dr Abulaish raconte son histoire, en même temps que la vraie vie quotidienne des Palestiniens à Gaza, leur souffrance, leurs humiliations, prisonniers entre les contrôles des autorités israéliennes et la tutelle militariste et sectaire du Hamas. Mais il nous livre aussi le témoignage courageux et digne d'un véritable humaniste qui a consacré sa vie à la médecine et à la réconciliation entre Palestiniens et Israéliens. Frappé de manière si injuste et si cruelle par le destin, Izzeldin Abuelaish a refusé de sombrer dans la haine, choisissant de continuer, au nom de ses filles, son combat pour la paix.
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