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Boulimie infantile ?


Lison

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J'ai parlé de mes inquiétudes au médecin scolaire, à la maman et à la future maîtresse. En principe, il devrait y avoir un suivi. Maintenant, je pense avoir fait ce que je pouvais ;)

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En espérant qu'il tombera sur un médecin compétant , mais en effet c'est pas ton rôle de faire un diagnostic et de dire si le problème viens du comportement de la mère ou si la cause est autre.

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Voilà. C'est déprimant d'expliquer tout ça à la mère et de la croiser dans la rue avec la gamine 5 minutes après avec un maxi pain au chocolat dans les mains, à 18h30 donc entre le goûter et le dîner... :bye2:

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Voilà. C'est déprimant d'expliquer tout ça à la mère et de la croiser dans la rue avec la gamine 5 minutes après avec un maxi pain au chocolat dans les mains, à 18h30 donc entre le goûter et le dîner... :bye2:

C'est quand même la principale raison de l'obésité des adultes et des enfants, soyons honnêtes, même si de plus en plus souvent, comme dans tout, on essaie de trouver un responsable extérieur ou une excuse médicale ! ;)

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Voilà. C'est déprimant d'expliquer tout ça à la mère et de la croiser dans la rue avec la gamine 5 minutes après avec un maxi pain au chocolat dans les mains, à 18h30 donc entre le goûter et le dîner... :bye2:

C'est quand même la principale raison de l'obésité des adultes et des enfants, soyons honnêtes, même si de plus en plus souvent, comme dans tout, on essaie de trouver un responsable extérieur ou une excuse médicale ! ;)

Je suis d'accord, il faut d'abord soigner la mère, mais je me posais la question au début du post parce que seule, sans sa mère, elle se jetait sur la bouffe. ;)

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Voilà. C'est déprimant d'expliquer tout ça à la mère et de la croiser dans la rue avec la gamine 5 minutes après avec un maxi pain au chocolat dans les mains, à 18h30 donc entre le goûter et le dîner... :bye2:

C'est quand même la principale raison de l'obésité des adultes et des enfants, soyons honnêtes, même si de plus en plus souvent, comme dans tout, on essaie de trouver un responsable extérieur ou une excuse médicale ! ;)

Je suis d'accord, il faut d'abord soigner la mère, mais je me posais la question au début du post parce que seule, sans sa mère, elle se jetait sur la bouffe. ;)

Je l'avais bien lu comme ça, et tu as bien pu constater que tu te faisais beaucoup plus de soucis pour sa gamine qu'elle-même, notre système d'assistanat et de déresponsabilisation faisant en sorte que jamais on ne mettra les points sur les "i" de cette maman, la "malbouffe" et la "trop bouffe" étant la principale raison, qu'on le veuille ou non, du problème de poids des enfants.

Après, comme pour tout, en grattant bien, on finira toujours pas trouver une excuse extérieure, je me répète...

C'est beaucoup plus facile que de réfléchir l'éducation qu'on donne à ses enfants, d'être vigilant, d'avoir le courage de leur dire "non", "stop" et ... de leur montrer l'exemple ! ;)

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  • 4 semaines plus tard...

Voilà. C'est déprimant d'expliquer tout ça à la mère et de la croiser dans la rue avec la gamine 5 minutes après avec un maxi pain au chocolat dans les mains, à 18h30 donc entre le goûter et le dîner... :bye2:

C'est quand même la principale raison de l'obésité des adultes et des enfants, soyons honnêtes, même si de plus en plus souvent, comme dans tout, on essaie de trouver un responsable extérieur ou une excuse médicale ! ;)

Je suis d'accord, il faut d'abord soigner la mère, mais je me posais la question au début du post parce que seule, sans sa mère, elle se jetait sur la bouffe. ;)

Je l'avais bien lu comme ça, et tu as bien pu constater que tu te faisais beaucoup plus de soucis pour sa gamine qu'elle-même, notre système d'assistanat et de déresponsabilisation faisant en sorte que jamais on ne mettra les points sur les "i" de cette maman, la "malbouffe" et la "trop bouffe" étant la principale raison, qu'on le veuille ou non, du problème de poids des enfants.

Après, comme pour tout, en grattant bien, on finira toujours pas trouver une excuse extérieure, je me répète...

C'est beaucoup plus facile que de réfléchir l'éducation qu'on donne à ses enfants, d'être vigilant, d'avoir le courage de leur dire "non", "stop" et ... de leur montrer l'exemple ! ;)

Je suis d'accord en partie avec toi mais quel rapport avec l'assistanat dans ce cas ?

Dans notre école j'ai évoqué le souci que posait la collation... eh ben...je ne suis pas prête de relancer le sujet...après tout, c'est leur problème (aux parents scandalisés...), tant que mes enfants n'en ont pas (ils refusent de toutes façons).

Je précise que les parents outrés ne sont pas les parents dont les enfants vont en garderie dès 7h30 mais qui arrivent à l'école avec papa/maman à 8H50.

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J'entendais par assistanat le fait qu'on met tout un système (information, suivi, voire cures, pour ce qui est de la prévention de l'obésité...) en place au service des parents, uniquement avec des droits mais aucun devoir, y compris celui "primaire" de faire en sorte que leurs enfants soient en bonne santé.

C'est le même principe pour la collation. Au départ, la bonne idée est de faire en sorte que tous nos petits travaillent avec quelque chose dans le ventre.

Mais dans les faits, ça se traduit par du travail en moins pour les familles, une hygiène de vie dégradée car les enfants sont levés plus tard du fait que le petit déjeuner n'est pas pris à la maison, avec les effets pervers sur la qualité de l'alimentation générale d'un enfant qui n'aura pas faim à midi car il aura "collationné" à 9h30, mais qui du coup aura faim à 15h et passera sa journée à se nourrir de barres chocolatées et jus chimiques.

Parce qu'aussi, dans cette réalité, même quand les collations proposées au départ sont équilibrées et variées (fromages, fruits, ...), les familles-consommatrices font la pression ("parce que mon fils n'aime pas", ...) pour que ça devienne chocolatines-jus.

Et effectivement, les parents les plus fâchés de l'abandon de ces collations sont souvent ceux qui auraient le temps d'organiser un petit-déjeuner à la maison en levant "chéri-chéri" une demi-heure plus tôt et ... en le forçant à manger équilibré et non seulement ce qu'il souhaite, ce qu'ils font de moins en moins.

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