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Lecture phrase / ecriture mots GS


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J'en suis adepte mais à ma façon qui se rapproche de ce qui est écrit dans ce post ;) et ne reste pas "que" là dessus pour ne pas m'enfermer dans une seul façon de faire car mes élèves n'ont pas tous besoin de la même approche. :)

Merci, mais, peux tu nous en dire un peu plus, comment tu fais-tu pour aborder l'étude des sons pour respecter à la fois ce qui est écrit dans les programmes, et respecter l'essence de ce qui a été dit dans ce post ? Pouvons nous avoir un peu plus de détails s'il te plaît, pour moi qui n'a jamais trop osé abordé plus que les sons voyelles en classe de GS... ? Si tu as a ton tour des livres à nous conseiller sur le sujet merci par avance :-)

Comme il est difficile d'être enseignant en primaire et plus particulièrement en classe de grande section. Les parents sont toujours là à pousser leurs enfants, de peur de l'échec, si les enfants échouent dans le fait de s'épanouir et être heureux, ce n'est pas grave, mais, dans les apprentissages, ça pas question ! Nous sommes à la 3ème semaine de rentrée et une maman en réunion de rentrée (ou plutôt après) ce matin est venue me dire que sa fille s'ennuie en grande section. Je lui ai dit, c'est normal, on révise ce qui a été fait en classe de MS "On apprend pas à lire en grande section" Et elle de rétorquer : " Moi je lui apprend déjà les syllabes, b a ça fait ba, je trouve que maintenant on apprend plus rien en classe de grande section". Je lui ai dis au contraire que dans mes souvenirs, on exigeait pas autant de nous quand on était petits... Et elle d'insister encore :

"Moi, je savais lire quand je suis entrée au CP"

:-( Je lui ai répondu que maintenant on apprend plus à lire de cette façon, que si elle et moi avons réussi à apprendre à lire de cette façon, beaucoup sont restés sur le carreau ! Que seuls des psy avec leur batterie de tests étaient capables de savoir s'ils les enfants sont vraiment surdoués, ou que ce sont les parents qui font du forcing ! Que je connais des élèves qui ont sauté une classe et qui ont ensuite redoublés et que d'autres qui avaient des résultats moyens venaient de faire leur entrée à l'Université, à chacun son cheminement lui ai-je dit...

Vous voyez le genre de pression qu'on peut subir. Vous comprendrez bien pourquoi nous sommes souvent à tâtonner à rechercher à appliquer telle ou telle façon de faire, pour donner ce qu'il y de meilleur à nos élèves, car si on essaie pas, les parents vont essayer de le faire à notre place et dire qu'on ne fait pas notre boulot. Comme ils ne sont pas enseignants ils ne peuvent pas savoir la somme de travail que ça représente. Vraiment ils prennent l'école maternelle pour une garderie ! En plus c'est une maman qui n'a pas pu venir en réunion et qui est venue me dire cela à la fin de la réunion pendant laquelle j'avais dit que j'allais tout faire pour faire avancer même ceux qui ont un bon niveau !

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Bonjour :)

Comme je le disais je fais à ma sauce et je m’adapte aux loulous. Je ne sais pas si ce que je fais est bien mais je ne perds pas les faible et les "forts" ne s'ennuient pas.

Début septembre: évaluation, je vois qui a compris les rimes, les sons voyelles qu'on entend dans les mots, le nombre de syllabes dans un mot, qui connait le nom de quelques lettres.

Mi septembre: on lit l'histoire des Alphas et on s’intéresse à la famille voyelle en cherchant des mots commençant par le son que l'alpha émet quand il chante. En parallèle j'avance avec quasi la même progression que vers la phono (mais je vais moins vite, car généralement je ne fais pas la 5ème partie à la fin de l'année).

Ensuite on commence le jeu de la fusée des alphas, on cherche des mots commençant par le son des consonnes (pour faire la formule magique).

Je continue encore avec les jeu du Accès.

Ensuite cherche quels alphas peuvent dire des mots: moto... et on parle des lettres qu'on entend pas dans les mots.

En écriture je travaille avec le cahier 2 de Mme Dumont et on fait un capital de mot simples qu'ils peuvent lire (elle, il, lune...) et écrire.

On termine l'année en écrivant des petites phrases qu'ils inventent et que je corrige "elle aime élo kiti", "il a une moto"...

Bon voila, en gros c'est ça mon mix. :)

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Ok merci beaucoup. Je vais demander à Madame DUMONT si elle le peut de nous expliquer un peu plus ce qu'elle disait dans les messages précédents, car tout ça me trottait tellement dans la tête hier que j'avais du mal à dormir et pas la forme au boulot aujourd'hui :sleeping:

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Je rejoins Moustache et Papili au sujet des apprentissages précoces lorsqu'il s'agit d'aboutir à écrire tavu la fuzékidécol (Tu as vu la fusée qui décolle ?)ou d'essayer de faire entendre le bruit isolé de la lettre m.

Bien que l'exemple tavu la fuzékidécol soit peu probable au vu de la segmentation, de l'emploi de z, du k, des accents pertinents etc.il me semble qu'un enfant qui démarre ainsi son contact avec l'écrit (+ très souvent lettres mal formées, mal disposées, crayon mal tenu, posture pénalisante ... ) part avec un handicap, qu'il aura d'autant plus de mal à surmonter qu'on lui aura donné l'impression que sa production était bonne. Comment cet enfant va-t-il vivre ensuite les exigences ( mêmes relatives ) qui lui permettront d'avoir une écriture acceptable (à tout point de vue) ? Comment va-t-il se départir de ce qu'il croit savoir pour accepter de faire autrement ?

Quant au son isolé de la lettre m, certains enfants ne l'entendent pas ? C'est normal : il n'existe pas.Personne ne peut l'entendre. C'est le son d'une consonne : elle ''sonne avec'' ( cum-sonare ).

Donc pour qu'on l'entende elle doit être accompagnée d'une voyelle. On entend : me, ma mi, mon etc. jamais au grand jamais m. Il suffit pour s'en convaincre d'essayer de différencier m et n en gardant la bouche fermée. Là aussi, celui qui ''ne l'entend pas'' se sent dévalorisé, celui qui dit l'entendre se perçoit comme un petit filou... Qui devant la classe osera avouer qu'il n'entend pas ?

Maintenant qu'on fasse accéder tôt au bruit de cette lettre par différenciation en travaillant les unités minimales ma, mi, ta, ti, pourquoi pas ?

Au sujet des minuscules, je rejoins Papili, surtout en ce qui concerne les cursives. Il était temps, je crois, que les neurosciences annoncent leur découverte : écrire en cursive à la main facilite l'apprentissage de la lecture. http://www.resodys.org/IMG/pdf/Velay_resodys_1-06-07.pdf

Bonjour, pas Danièle DUMONT, je suis d'accord avec vous en ce qui concerne ce point :

Quant au son isolé de la lettre m, certains enfants ne l'entendent pas ? C'est normal : il n'existe pas.Personne ne peut l'entendre. C'est le son d'une consonne : elle ''sonne avec'' ( cum-sonare ).

Donc pour qu'on l'entende elle doit être accompagnée d'une voyelle. On entend : me, ma mi, mon etc. jamais au grand jamais m. Il suffit pour s'en convaincre d'essayer de différencier m et n en gardant la bouche fermée. Là aussi, celui qui ''ne l'entend pas'' se sent dévalorisé, celui qui dit l'entendre se perçoit comme un petit filou... Qui devant la classe osera avouer qu'il n'entend pas ?

Maintenant qu'on fasse accéder tôt au bruit de cette lettre par différenciation en travaillant les unités minimales ma, mi, ta, ti, pourquoi pas :

Donc, pour lire il suffirait de catégoriser les syllabes, mettre ensemble les syllabes qui commencent par les mêmes sons consonnes. Mais après, il y a t-il toujours segmentation des syllabes comme dans la méthode Danièle et Valérie MMMMMMMMMMM + A ça fait ma ? Sinon, qu''est-ce qu'on en fait de ces syllabes une fois rangées par catégorie ma, mi. J'aurais plutôt tendance avec des élèves de GS leur faire ranger ensemble des mots qui commencent par la même syllabe... Auriez-vous une lecture à nous conseiller sur ce sujet svp ?

Ce livre par exemple traite t-il de ce que vous tentez de nous expliquer ici ?

http://www.amazon.fr/Lecture-%C3%A9criture-chantiers-prioritaires-r%C3%A9ussite/dp/2725633125/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1410183402&sr=1-1&keywords=ouzoulias

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Si vous avez envie de lectures:

Voici un article d'Ouzoulias, en lien avec votre discussion, qui me semble intéressant. (Il y en a d'autres qui précèdent, suivent, sur le même thème).

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/11/13112013Article635199190059503233.aspx

Devanne a également écrit pour le café pédagogique: journal d'une GS en ZEP.

http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/2008/devannes07_08_3.aspx

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Ok merci beaucoup. J'ai de quoi lire merci :-)

Monsieur Ouzoulias ayant malheureusement disparu, je n'ai pas eu la chance contrairement à ma collègue de RASED d'assister à une de ses conférences. Il y a t-il quelqu'un ou quelques uns qui va reprendre ses travaux svp ?

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Ok merci beaucoup. Je vais demander à Madame DUMONT si elle le peut de nous expliquer un peu plus ce qu'elle disait dans les messages précédents, car tout ça me trottait tellement dans la tête hier que j'avais du mal à dormir et pas la forme au boulot aujourd'hui :sleeping:

Je vais essayer

Je rejoins Moustache et Papili au sujet des apprentissages précoces lorsqu'il s'agit d'aboutir à écrire tavu la fuzékidécol (Tu as vu la fusée qui décolle ?)ou d'essayer de faire entendre le bruit isolé de la lettre m.

Bien que l'exemple tavu la fuzékidécol soit peu probable au vu de la segmentation, de l'emploi de z, du k, des accents pertinents etc.il me semble qu'un enfant qui démarre ainsi son contact avec l'écrit (+ très souvent lettres mal formées, mal disposées, crayon mal tenu, posture pénalisante ... ) part avec un handicap, qu'il aura d'autant plus de mal à surmonter qu'on lui aura donné l'impression que sa production était bonne. Comment cet enfant va-t-il vivre ensuite les exigences ( mêmes relatives ) qui lui permettront d'avoir une écriture acceptable (à tout point de vue) ? Comment va-t-il se départir de ce qu'il croit savoir pour accepter de faire autrement ?

Quant au son isolé de la lettre m, certains enfants ne l'entendent pas ? C'est normal : il n'existe pas.Personne ne peut l'entendre. C'est le son d'une consonne : elle ''sonne avec'' ( cum-sonare ).

Donc pour qu'on l'entende elle doit être accompagnée d'une voyelle. On entend : me, ma mi, mon etc. jamais au grand jamais m. Il suffit pour s'en convaincre d'essayer de différencier m et n en gardant la bouche fermée. Là aussi, celui qui ''ne l'entend pas'' se sent dévalorisé, celui qui dit l'entendre se perçoit comme un petit filou... Qui devant la classe osera avouer qu'il n'entend pas ?

Maintenant qu'on fasse accéder tôt au bruit de cette lettre par différenciation en travaillant les unités minimales ma, mi, ta, ti, pourquoi pas ?

Au sujet des minuscules, je rejoins Papili, surtout en ce qui concerne les cursives. Il était temps, je crois, que les neurosciences annoncent leur découverte : écrire en cursive à la main facilite l'apprentissage de la lecture. http://www.resodys.org/IMG/pdf/Velay_resodys_1-06-07.pdf

Bonjour, pas Danièle DUMONT, je suis d'accord avec vous en ce qui concerne ce point :

Quant au son isolé de la lettre m, certains enfants ne l'entendent pas ? C'est normal : il n'existe pas.Personne ne peut l'entendre. C'est le son d'une consonne : elle ''sonne avec'' ( cum-sonare ).

Donc pour qu'on l'entende elle doit être accompagnée d'une voyelle. On entend : me, ma mi, mon etc. jamais au grand jamais m. Il suffit pour s'en convaincre d'essayer de différencier m et n en gardant la bouche fermée. Là aussi, celui qui ''ne l'entend pas'' se sent dévalorisé, celui qui dit l'entendre se perçoit comme un petit filou... Qui devant la classe osera avouer qu'il n'entend pas ?

Maintenant qu'on fasse accéder tôt au bruit de cette lettre par différenciation en travaillant les unités minimales ma, mi, ta, ti, pourquoi pas :

Donc, pour lire il suffirait de catégoriser les syllabes, mettre ensemble les syllabes qui commencent par les mêmes sons consonnes. Mais après, il y a t-il toujours segmentation des syllabes comme dans la méthode Danièle et Valérie MMMMMMMMMMM + A ça fait ma ? Sinon, qu''est-ce qu'on en fait de ces syllabes une fois rangées par catégorie ma, mi. J'aurais plutôt tendance avec des élèves de GS leur faire ranger ensemble des mots qui commencent par la même syllabe... Auriez-vous une lecture à nous conseiller sur ce sujet svp ?

Ce livre par exemple traite t-il de ce que vous tentez de nous expliquer ici ?

http://www.amazon.fr/Lecture-%C3%A9criture-chantiers-prioritaires-r%C3%A9ussite/dp/2725633125/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1410183402&sr=1-1&keywords=ouzoulias

Je ne sais pas exactement ce que tu souhaites que je précise.

Je ne suis pas pour faire aligner des syllabes, ni ''lire des syllabes''. D'ailleurs cela ne serait pas lire mais oraliser, ce qui n'est pas la même chose. Lire c'est donner du sens (son sens) à l'écrit. ''Lire des syllabes'' ne peut donc pas exister, il s'agit uniquement de passer de l'écrit à l'oral ( donc oraliser) en prononçant les sons correspondants aux groupes de lettres écrits.

Il me semble qu'on peut faire avancer les enfants dans la combinatoire sans forcer sur l'artifice (voire sans artifice - le seul artifice consistant à choisir les mots lorsqu'il s'agit de faire écrire les enfants et éventuellement apprendre - ou fabriquer - des comptines jouant sur les syllabes ).

Mon point de vue est le suivant : comme on avance progressivement dans l'apprentissage de l'écriture, ce sont toujours les mêmes lettres qui sont utilisées + la nouvelle. Elles se combinent donc forcément. Puisque le principe est que l'enfant n'écrive jamais avant d'avoir réfléchi à ce qu'il va écrire et qu'au fur et à mesure qu'il écrit il se dise ce qu'il est en train d'écrire* l'enfant saisit progressivement le mécanisme de la relation grapho-phonologique. (*ce qui ne signifie pas : il énonce le nom des lettres, mais au contraire : il prononce au ralentit le mot qu'il écrit) .

Si en parallèle on utilise la dictée à l'adulte pour écrire un texte que l'enfant ne peut pas écrire lui-même, alors il repérera progressivement ce qu'il connaît, ce qui ancrera la prise de conscience d'une part de l'existence d'une relation grapho-phonologique, d'autre part de son fonctionnement.

Pour moi passer par b a ba, m a ma comme dans un temps bien déjà ancien n'a pas lieu d'être ; encore moins be a ba en insistant sur le blocage indispensable à la prononciation du b (blocage qui, par définition ne laisse sortir aucun son) et en prononçant à peine e, ce qui offre l'illusion qu'on a prononcé la consonne isolée. Pour comprendre il suffit de se rendre compte qu'on peut écrire bbbbbbbbbbbbbe, qu'on peut prononcer be mais qu'on ne peut en aucun cas prononcer ni b ni bbbe, Dans le 1er cas on fait toujours entendre une voyelle en même temps que la consonne ; dans le 2ème on garde la bouche fermée plus longtemps.

Est-ce ce que tu voulais que je développe Rose Rouge ?

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Ok merci beaucoup. Donc, le plus important en grande section que le B A ba c'est de mettre l'accent sur la production d'écrit ? De toute façon à un moment, nos élèves finissent toujours par nous demander comment on écrit tel ou tel mot : soit comment dire au Père Noël je t'aime parce qu'il nous donne beaucoup de cadeaux, comment écrire tel ou tel mot pour chercher dans Google mon jeu préféré etc... Donc, loin du BA ba, ils finissent par apprendre et beaucoup de jeux sur les inversions de syllabes, les syllabes identiques dans les mots etc. Enfin, j'ai commandé les livres cités plus haut, et j'espères qu'il y a déjà certains qui poursuivent les travaux de monsieur OUZOULIAS...

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Ok merci beaucoup. Donc, le plus important en grande section que le B A ba c'est de mettre l'accent sur la production d'écrit ? De toute façon à un moment, nos élèves finissent toujours par nous demander comment on écrit tel ou tel mot : soit comment dire au Père Noël je t'aime parce qu'il nous donne beaucoup de cadeaux, comment écrire tel ou tel mot pour chercher dans Google mon jeu préféré etc... Donc, loin du BA ba, ils finissent par apprendre et beaucoup de jeux sur les inversions de syllabes, les syllabes identiques dans les mots etc. Enfin, j'ai commandé les livres cités plus haut, et j'espères qu'il y a déjà certains qui poursuivent les travaux de monsieur OUZOULIAS...

oui, et bien conduit, cela n'impose pas d'aligner systématiquement des listes de mots qui commencent par ou qui finissent par...

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  • 2 semaines plus tard...

Bonjour,

Mon inspectrice a suggéré de mettre en place des moments de lecture de phrases et d'essais d'écriture de mots dès le début de l'année alors que je ne faisais cela qu'à la dernière période de l'année.

Je cherche donc des témoignages sur vos expériences sur ces 2 points en classe :à quel moment ? Comment? ou si vous avez des livres à me conseiller?

Merci d'avance

Au fait Platon, pour se lancer dans ce travail, peut-être l'as tu déjà fait, ce petit livre peut effectivement t'aider : Lecture écriture, quatre chantiers prioritaires pour la réussite (André Ouzoulias) ! Il est passionnant et donne des pistes et outils pour mettre en place ce que t'a demande ton IEN.

L'essentiel à retenir de cette lecture (que je n'ai pas encore terminée) c'est qu'il y a autre chose à faire en GS que "d'enseigner" idiotement les phonèmes afin de mieux préparer les élèves à la lecture à l'entrée du CP, ainsi qu'à l'écriture car, lecture et écriture sont intimement liées. Ainsi après avoir fait un certain travail en classe de GS ce sera plus facile pour les élèves d'entendre et d'utiliser les phonèmes. Il ne s'agit pas d'écrire des phrases n'importe comment, mais, d'écrire à partir d'un certain nombre d'outils déjà présents dans la classe. Je crois que sur la maternelle de Laurène il y a déjà des cartes (que j'avais essayé de mettre en place depuis plusieurs années mais, pas encore fait, car, pas les illustrations pour ça et je ne dessine pas...) pour élaborer des phrases... Je conseille déjà le livre cité ci-dessus :

http://www.amazon.fr/Lecture-%C3%A9criture-chantiers-prioritaires-r%C3%A9ussite/dp/2725633125

Et il existe aussi un outil dont ma maître E m'avait vaguement parlé il y a un peu plus de deux ans, le train des mots de chez Retz...

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