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Les actions contre la réforme des rythmes à la rentrée 2014


Zarko

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Non, cette réforme m'a permis de me rendre compte qu'on acceptait les inégalités territoriales depuis trop longtemps. Il y d'un côté le financement des écoles qui doit faire débat, tant les inégalités sont grandes et il y a aussi l'accès des élèves à des activités périscolaires. Un exemple très simple : l'USEP. Sur l'Orléanais, tous les mercredis après-midis, les élèves peuvent participer à des activités sportives. Sur le Pithiverais : 3 rassemblements dans l'année. Ce n'est pas une inégalité ça ? J'ai donné d'autres exemples concrets sur la différence entre ville et village. Quand on lit les études elles démontrent l'impact des activités périscolaires sur les résultats scolaires * (d'ailleurs, les enfants d'enseignant ont souvent 2 activités sportives et culturelles). Donc, il y a 2 solutions : soit on les intègre au temps scolaire et cela nécessite une augmentation du temps passé à l'école, soit l'Etat finance le périscolaire.

* Sources ?

Il ne faut pas confondre corrélation et causalité.

Les enfants qui bénéficient de plusieurs activités extrascolaires sont sans doute ceux qui évoluent dans un milieu un peu plus favorisé socialement, facteur possible d'une meilleure réussite scolaire.

Les recherches d'Annie Da Costa-Lasnes...

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Bien vu.

Et ce, une semaine à peine avant d'exiger... la pérennisation du fonds d'amorçage au comité de suivi des rythmes.

http://www.snuipp.fr/IMG/pdf/de_claration_comite_rythmes_vendredi_17_10-1_2_.pdf

Je ne vois pas bien en quoi c'est contradictoire...

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[...]

Non, cette réforme m'a permis de me rendre compte qu'on acceptait les inégalités territoriales depuis trop longtemps. Il y d'un côté le financement des écoles qui doit faire débat, tant les inégalités sont grandes et il y a aussi l'accès des élèves à des activités périscolaires. Un exemple très simple : l'USEP. Sur l'Orléanais, tous les mercredis après-midis, les élèves peuvent participer à des activités sportives. Sur le Pithiverais : 3 rassemblements dans l'année. Ce n'est pas une inégalité ça ? J'ai donné d'autres exemples concrets sur la différence entre ville et village. Quand on lit les études elles démontrent l'impact des activités périscolaires sur les résultats scolaires * (d'ailleurs, les enfants d'enseignant ont souvent 2 activités sportives et culturelles). Donc, il y a 2 solutions : soit on les intègre au temps scolaire et cela nécessite une augmentation du temps passé à l'école, soit l'Etat finance le périscolaire.

* Sources ?

Les recherches d'Annie Da Costa-Lasnes...

Lorsque je demandais des sources, c'était par rapport à l'affirmation que tu as insérée en commentaires dans mon message :

"Quand on lit les études, elles démontrent l'impact des activités périscolaires sur les résultats scolaires "

et non pas celle des pratiques éducatives spécifiques aux parents enseignants.qu'a étudiées la chercheuse que tu cites.

As-tu un lien ?

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... les inégalités périscolaires, dommage que le mot ait été oublié.

(Au passage, l'abandon pur et simple de la réforme serait sans doute le meilleur moyen de les limiter, car même avec un "fond d'amorçage", l'inégalité d'offre périscolaire qui préexistait a explosé...)

Non, cette réforme m'a permis de me rendre compte qu'on acceptait les inégalités territoriales depuis trop longtemps. Il y d'un côté le financement des écoles qui doit faire débat, tant les inégalités sont grandes et il y a aussi l'accès des élèves à des activités périscolaires. Un exemple très simple : l'USEP. Sur l'Orléanais, tous les mercredis après-midis, les élèves peuvent participer à des activités sportives. Sur le Pithiverais : 3 rassemblements dans l'année. Ce n'est pas une inégalité ça ? J'ai donné d'autres exemples concrets sur la différence entre ville et village. Quand on lit les études elles démontrent l'impact des activités périscolaires sur les résultats scolaires (d'ailleurs, les enfants d'enseignant ont souvent 2 activités sportives et culturelles). Donc, il y a 2 solutions : soit on les intègre au temps scolaire et cela nécessite une augmentation du temps passé à l'école, soit l'Etat finance le périscolaire.

La pérennisation du fond d'amorçage, ça reste le seul moyen de limiter les inégalités... Là où je suis étonné, c'est que le périscolaire existe depuis des années dans les villes mais que bizarrement, jamais je n'ai entendu un seul syndicat s'y opposer alors qu'il s'agit bien d'une inégalité éducative territoriale... Si je prends le cas de ma circonscription, depuis de nombreuses années, les élèves pithivériens ont droit à du sport après la classe et à des ateliers méridiens avec musique notamment alors que les élèves des campagnes avoisinantes, non. Ca n'a jamais choqué personne. Alors, oui, la pérennisation de ce fond n'est pas la panacée. On aurait pu, comme nous le faisons dans le 45, redonner de l'école aux élèves, les 2 heures perdues en 2008 ou éventuellement, créer un grand service public national d'accès à la culture... Mais pas sûr que ce projet suscite une adhésion franche.

...peut-être parce que ce n'est pas le rôle des syndicats d'enseignants d’œuvrer pour le périscolaire, mais bien plutôt celui des fédérations de parents d'élèves ?

Si on reprend ton argument, les syndicats n'ont alors pas à s'opposer au TAP...

si dans la mesure où on impose qu'ils se fassent en classe par exemple et dans la mesure où ça désorganise les écoles ou encore si les dotations classes baissent au profit des NAP etc ...

Donc, si les TAP se déroulent à l'extérieur des classes, pas de souci ?

Non il y a quand même d'autres soucis à partir du moment où le périsco se déroule dans l'école . Je n'ai jamais été favorable aux écoles servant de centres aérés . Je ne l'ai pas vécu mais tous les collègues qui l'ont subi s'en plaignent et je veux bien les croire . De plus je considère que pour les enfants passer le temps de vacances ou du mercredi encore au même endroit n'est pas l'idéal , changer d'air ça fait du bien , recharger ses batteries et voir autre chose c'est mieux que revenir au même endroit tout le temps .

Avec cette réforme même si les NAP ne se font pas dans les classes cela se fait de toute façon dans l'école et cela instaure une confusion dans la tête des enfants et des parents , des problèmes de partage des locaux même si ce ne sont pas les classes (règles de vie et règles d'utilisation du matériel , rangement etc ...) Alors oui je sais les défenseurs de cette réforme rêvent de nous voir travailler main dans la main avec les animateurs , mais sur quel temps ? Et avec des animateurs qui changent sans arrêt parce que ce sont des emplois précaires ! De plus je ne vois pas en quoi cette articulation des projets du scolaire et du périscolaire serait bénéfique . Mais bien sûr dès que l'on dit ça on passe pour celui qui veut rester dans sa forteresse et qui ne veut pas s'ouvrir au monde pour le bien des enfants , argument facile ! Je ne crois pas que l'amélioration des résultats de l'école passe par l'articulation scolaire-périscolaire , il y a des choses bien plus urgentes à revoir avant !

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Eh oui , c'est bien là le problème... confondre scolaire et périscolaire , c'est forcément affaiblir l'école publique. C'est d'ailleurs une des grandes divergences entre le SE, le snuipp ( la vieille FEN finalement) et des syndicats comme le snudiFO qui se refusent ä devenir pedago- administratif ou d'éducation populaire sans garantie d'État.

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[...]

Non, cette réforme m'a permis de me rendre compte qu'on acceptait les inégalités territoriales depuis trop longtemps. Il y d'un côté le financement des écoles qui doit faire débat, tant les inégalités sont grandes et il y a aussi l'accès des élèves à des activités périscolaires. Un exemple très simple : l'USEP. Sur l'Orléanais, tous les mercredis après-midis, les élèves peuvent participer à des activités sportives. Sur le Pithiverais : 3 rassemblements dans l'année. Ce n'est pas une inégalité ça ? J'ai donné d'autres exemples concrets sur la différence entre ville et village. Quand on lit les études elles démontrent l'impact des activités périscolaires sur les résultats scolaires * (d'ailleurs, les enfants d'enseignant ont souvent 2 activités sportives et culturelles). Donc, il y a 2 solutions : soit on les intègre au temps scolaire et cela nécessite une augmentation du temps passé à l'école, soit l'Etat finance le périscolaire.

* Sources ?

Les recherches d'Annie Da Costa-Lasnes...

Lorsque je demandais des sources, c'était par rapport à l'affirmation que tu as insérée en commentaires dans mon message :

"Quand on lit les études, elles démontrent l'impact des activités périscolaires sur les résultats scolaires "

et non pas celle des pratiques éducatives spécifiques aux parents enseignants.qu'a étudiées la chercheuse que tu cites.

As-tu un lien ?

Dans son étude, elle explique que l'un des facteurs de meilleure réussite des enfants d'enseignants, c'est la participation à plusieurs activités culturelles ou sportives.

Sinon, il y a :

http://ife.ens-lyon.fr/vst/DA-Veille/63-juin-2011.pdf

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... les inégalités périscolaires, dommage que le mot ait été oublié.

(Au passage, l'abandon pur et simple de la réforme serait sans doute le meilleur moyen de les limiter, car même avec un "fond d'amorçage", l'inégalité d'offre périscolaire qui préexistait a explosé...)

Non, cette réforme m'a permis de me rendre compte qu'on acceptait les inégalités territoriales depuis trop longtemps. Il y d'un côté le financement des écoles qui doit faire débat, tant les inégalités sont grandes et il y a aussi l'accès des élèves à des activités périscolaires. Un exemple très simple : l'USEP. Sur l'Orléanais, tous les mercredis après-midis, les élèves peuvent participer à des activités sportives. Sur le Pithiverais : 3 rassemblements dans l'année. Ce n'est pas une inégalité ça ? J'ai donné d'autres exemples concrets sur la différence entre ville et village. Quand on lit les études elles démontrent l'impact des activités périscolaires sur les résultats scolaires (d'ailleurs, les enfants d'enseignant ont souvent 2 activités sportives et culturelles). Donc, il y a 2 solutions : soit on les intègre au temps scolaire et cela nécessite une augmentation du temps passé à l'école, soit l'Etat finance le périscolaire.

La pérennisation du fond d'amorçage, ça reste le seul moyen de limiter les inégalités... Là où je suis étonné, c'est que le périscolaire existe depuis des années dans les villes mais que bizarrement, jamais je n'ai entendu un seul syndicat s'y opposer alors qu'il s'agit bien d'une inégalité éducative territoriale... Si je prends le cas de ma circonscription, depuis de nombreuses années, les élèves pithivériens ont droit à du sport après la classe et à des ateliers méridiens avec musique notamment alors que les élèves des campagnes avoisinantes, non. Ca n'a jamais choqué personne. Alors, oui, la pérennisation de ce fond n'est pas la panacée. On aurait pu, comme nous le faisons dans le 45, redonner de l'école aux élèves, les 2 heures perdues en 2008 ou éventuellement, créer un grand service public national d'accès à la culture... Mais pas sûr que ce projet suscite une adhésion franche.

...peut-être parce que ce n'est pas le rôle des syndicats d'enseignants d’œuvrer pour le périscolaire, mais bien plutôt celui des fédérations de parents d'élèves ?

Si on reprend ton argument, les syndicats n'ont alors pas à s'opposer au TAP...

si dans la mesure où on impose qu'ils se fassent en classe par exemple et dans la mesure où ça désorganise les écoles ou encore si les dotations classes baissent au profit des NAP etc ...

Donc, si les TAP se déroulent à l'extérieur des classes, pas de souci ?

Non il y a quand même d'autres soucis à partir du moment où le périsco se déroule dans l'école . Je n'ai jamais été favorable aux écoles servant de centres aérés . Je ne l'ai pas vécu mais tous les collègues qui l'ont subi s'en plaignent et je veux bien les croire . De plus je considère que pour les enfants passer le temps de vacances ou du mercredi encore au même endroit n'est pas l'idéal , changer d'air ça fait du bien , recharger ses batteries et voir autre chose c'est mieux que revenir au même endroit tout le temps .

Avec cette réforme même si les NAP ne se font pas dans les classes cela se fait de toute façon dans l'école et cela instaure une confusion dans la tête des enfants et des parents , des problèmes de partage des locaux même si ce ne sont pas les classes (règles de vie et règles d'utilisation du matériel , rangement etc ...) Alors oui je sais les défenseurs de cette réforme rêvent de nous voir travailler main dans la main avec les animateurs , mais sur quel temps ? Et avec des animateurs qui changent sans arrêt parce que ce sont des emplois précaires ! De plus je ne vois pas en quoi cette articulation des projets du scolaire et du périscolaire serait bénéfique . Mais bien sûr dès que l'on dit ça on passe pour celui qui veut rester dans sa forteresse et qui ne veut pas s'ouvrir au monde pour le bien des enfants , argument facile ! Je ne crois pas que l'amélioration des résultats de l'école passe par l'articulation scolaire-périscolaire , il y a des choses bien plus urgentes à revoir avant !

Affirmation fausse car il y a des communes qui n'ont pas fait ce choix. Et donc, si je comprends bien ton argumentaire. Si les TAP se font ailleurs que dans l'école, ils ne posent aucun problème...

Heureusement, plus loin, tu ajoutes : De plus je ne vois pas en quoi cette articulation des projets du scolaire et du périscolaire serait bénéfique . Ouf ! Parce que ce qu'il y a à reprocher à ces TAP, ce sont les PEdT et cette perméabilité instaurée entre le scolaire et le périscolaire.

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Ouf ! Parce que ce qu'il y a à reprocher à ces TAP, ce sont les PEdT et cette perméabilité instaurée entre le scolaire et le périscolaire.

Ben pour l'instant, il n'y a que 7000 PEDT sur 25 000 communes (ayant une école) et c'est quand même le bordel avec les TAP avec ou sans pedt...

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... les inégalités périscolaires, dommage que le mot ait été oublié.

(Au passage, l'abandon pur et simple de la réforme serait sans doute le meilleur moyen de les limiter, car même avec un "fond d'amorçage", l'inégalité d'offre périscolaire qui préexistait a explosé...)

Non, cette réforme m'a permis de me rendre compte qu'on acceptait les inégalités territoriales depuis trop longtemps. Il y d'un côté le financement des écoles qui doit faire débat, tant les inégalités sont grandes et il y a aussi l'accès des élèves à des activités périscolaires. Un exemple très simple : l'USEP. Sur l'Orléanais, tous les mercredis après-midis, les élèves peuvent participer à des activités sportives. Sur le Pithiverais : 3 rassemblements dans l'année. Ce n'est pas une inégalité ça ? J'ai donné d'autres exemples concrets sur la différence entre ville et village. Quand on lit les études elles démontrent l'impact des activités périscolaires sur les résultats scolaires (d'ailleurs, les enfants d'enseignant ont souvent 2 activités sportives et culturelles). Donc, il y a 2 solutions : soit on les intègre au temps scolaire et cela nécessite une augmentation du temps passé à l'école, soit l'Etat finance le périscolaire.

La pérennisation du fond d'amorçage, ça reste le seul moyen de limiter les inégalités... Là où je suis étonné, c'est que le périscolaire existe depuis des années dans les villes mais que bizarrement, jamais je n'ai entendu un seul syndicat s'y opposer alors qu'il s'agit bien d'une inégalité éducative territoriale... Si je prends le cas de ma circonscription, depuis de nombreuses années, les élèves pithivériens ont droit à du sport après la classe et à des ateliers méridiens avec musique notamment alors que les élèves des campagnes avoisinantes, non. Ca n'a jamais choqué personne. Alors, oui, la pérennisation de ce fond n'est pas la panacée. On aurait pu, comme nous le faisons dans le 45, redonner de l'école aux élèves, les 2 heures perdues en 2008 ou éventuellement, créer un grand service public national d'accès à la culture... Mais pas sûr que ce projet suscite une adhésion franche.

...peut-être parce que ce n'est pas le rôle des syndicats d'enseignants d’œuvrer pour le périscolaire, mais bien plutôt celui des fédérations de parents d'élèves ?

Si on reprend ton argument, les syndicats n'ont alors pas à s'opposer au TAP...

si dans la mesure où on impose qu'ils se fassent en classe par exemple et dans la mesure où ça désorganise les écoles ou encore si les dotations classes baissent au profit des NAP etc ...

Donc, si les TAP se déroulent à l'extérieur des classes, pas de souci ?

Non il y a quand même d'autres soucis à partir du moment où le périsco se déroule dans l'école . Je n'ai jamais été favorable aux écoles servant de centres aérés . Je ne l'ai pas vécu mais tous les collègues qui l'ont subi s'en plaignent et je veux bien les croire . De plus je considère que pour les enfants passer le temps de vacances ou du mercredi encore au même endroit n'est pas l'idéal , changer d'air ça fait du bien , recharger ses batteries et voir autre chose c'est mieux que revenir au même endroit tout le temps .

Avec cette réforme même si les NAP ne se font pas dans les classes cela se fait de toute façon dans l'école et cela instaure une confusion dans la tête des enfants et des parents , des problèmes de partage des locaux même si ce ne sont pas les classes (règles de vie et règles d'utilisation du matériel , rangement etc ...) Alors oui je sais les défenseurs de cette réforme rêvent de nous voir travailler main dans la main avec les animateurs , mais sur quel temps ? Et avec des animateurs qui changent sans arrêt parce que ce sont des emplois précaires ! De plus je ne vois pas en quoi cette articulation des projets du scolaire et du périscolaire serait bénéfique . Mais bien sûr dès que l'on dit ça on passe pour celui qui veut rester dans sa forteresse et qui ne veut pas s'ouvrir au monde pour le bien des enfants , argument facile ! Je ne crois pas que l'amélioration des résultats de l'école passe par l'articulation scolaire-périscolaire , il y a des choses bien plus urgentes à revoir avant !

Affirmation fausse car il y a des communes qui n'ont pas fait ce choix. Et donc, si je comprends bien ton argumentaire. Si les TAP se font ailleurs que dans l'école, ils ne posent aucun problème...

Heureusement, plus loin, tu ajoutes : De plus je ne vois pas en quoi cette articulation des projets du scolaire et du périscolaire serait bénéfique . Ouf ! Parce que ce qu'il y a à reprocher à ces TAP, ce sont les PEdT et cette perméabilité instaurée entre le scolaire et le périscolaire.

c'est bien de le reconnaître , c'était inhérent à la réforme c'est pourquoi il fallait la refuser !

Très peu de communes ont fait le choix de faire les NAP ailleurs que dans l'école , tu es de mauvaise foi ! Et je suis sûre que ça désorganise moins les établissements dans ce cas là . Mais ça n'enlève rien au fond du problème c'est exact . A long terme cette réforme nous conduit lentement mais sûrement vers un transfert du premier degré aux communes .

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Ouf ! Parce que ce qu'il y a à reprocher à ces TAP, ce sont les PEdT et cette perméabilité instaurée entre le scolaire et le périscolaire.

Ben pour l'instant, il n'y a que 7000 PEDT sur 25 000 communes (ayant une école) et c'est quand même le bordel avec les TAP avec ou sans pedt...

C'est étonnant que tu dises ça parce que Mayre, ce qu'elle reproche en premier lieu au décret, c'est bien le PEDT...

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Ouf ! Parce que ce qu'il y a à reprocher à ces TAP, ce sont les PEdT et cette perméabilité instaurée entre le scolaire et le périscolaire.

Ben pour l'instant, il n'y a que 7000 PEDT sur 25 000 communes (ayant une école) et c'est quand même le bordel avec les TAP avec ou sans pedt...

C'est étonnant que tu dises ça parce que Mayre, ce qu'elle reproche en premier lieu au décret, c'est bien le PEDT...

c'est normal le pedt c'est la confirmation du transfert aux communes

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je vous rappelle à tous qu'il y a des actions en cours qui ne sont pas proposées par les syndicats mais qui peuvent s'avérer très efficaces, en particulier le rejet en conseil d'école des règlements intérieurs, donc on fait la promotion sur de nombreux sites facebook.

Oui, mais, si le RI n'est pas voté, c'est le règlement départemental qui s'applique. Où est l'intérêt?

en aucun cas le règlement départemental s'applique, il faut arrêter de faire circuler des fausses informations !!!

Je l'ai déjà lu ici et c'est totalement faux.

En cas de rejet, c'est le dernier règlement voté dans l'école qui redevient applicable.

Le règlement départemental est un modèle, en aucun cas il ne peut s'appliquer par défaut, tout nouveau règlement sur l'école doit être voté en conseil d'école de toute façon et obtenir un vote favorable.

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