Aller au contenu

Messages recommandés

Posté(e)

Mes mémoires de la guerre 1914-1918.

Il s'agit du carnet d'un poilu savoyard qui retrace sa vie dans les tranchées, au jour le jour.

  • Réponses 1,4k
  • Created
  • Dernière réponse

Membres les plus actifs

  • coccinutella

    77

  • corazon

    69

  • ximixt

    58

  • petitelaura

    54

Membres les plus actifs

Messages populaires

Malakime

Images publiées

Posté(e)

J'ai commencé le dernier Connely Ceux qui tombent

Posté(e)

Je commence "le théorème du homard".

Bonne lecture pour le mois de sptembre, ca se lit bien, c'est drole!

Posté(e)

50 nuances tome 2, bon ca se lit en période scolaire ....

Posté(e)

"L'Enfant allemand" de Camilla Läckberg

Terminé à l'instant.

tu as aimé ?

Posté(e)

"L'Enfant allemand" de Camilla Läckberg

Terminé à l'instant.

tu as aimé ?

Terminé hier soir pour moi. J'avais adoré les 3 premiers tomes (surtout Le Tailleur de pierre). J'avais beaucoup moins aimé L'oiseau de mauvais augure. Et celui-la n'est pas trop mal. Je crois que je commence à ma lasser des personnages. Je ne sais pas si je lirai le suivant: La Sirène. A voir...

Posté(e)

Je viens de finir "Elles se rendent pas compte" de Vian. Drôle, cinique, terriblement misogyne, la plume de Vian..

Posté(e)

Mes mémoires de la guerre 1914-1918.

Il s'agit du carnet d'un poilu savoyard qui retrace sa vie dans les tranchées, au jour le jour.

T'as des références stp ?

Ma lecture "magazine" du moment >

http://www.avions-bateaux.com/produit/magazine-trimestriel/2213

http://www.avions-bateaux.com/uploads/attachment/produit//produit_2213_6f80906cb12c0f5b18f121cdefce79b8.pdf

Le soldat qui l'a écrit s'appelle Marius Perroud (ISBN 9783746620698) et il a été écrit en 2013.

Posté(e)

> http://www.crid1418.org/temoins/2008/02/18/perroud-marius-1881-1951/

Merci !

Au passage je te recommande la consultation sur ce même site du CRID 14-18 - Collectif de Recherche International et de Débat - ce passionnant lexique reprenant des expressions des poilus faisant ressortir l'état d'esprit des trouffions d'alors.

De la gaudriole scato...

> http://www.crid1418.org/espace_pedagogi ... ue_ini.htm


"Pain K.K.

Pain de rationnement allemand (Kleie und Kartoffeln – son et pommes de terre) qui a donné lieu en France à de multiples allusions scatologiques, dans la logique de la dévalorisation de l’ennemi. Ainsi trouve-t-on ce dialogue sur une carte postale de février 1915 :
« Le Petit Boche : « Maman ! K-K ! K-K !!... »
La Mère Boche : « Voyons ! Est-ce de manger que tu as envie ou bien de... le contraire ! »
(voir Laurent Gervereau, Images de 1917, Paris, MHC/BDIC, 1987, p.157)
"

...jusqu'au cynisme éprouvé:

*

...

"[i]P.C.D.F.

Abréviation de « Pauvres couillons/cons du front », désignant les fantassins. Elle est employée au cours de la guerre par les combattants eux-mêmes et dénonce implicitement les « embusqués » qui arrivent à échapper au front et au danger.
Renvois : Biffe/Biffin
Citation :

« On ne saurait mesurer la part qu’ont eues aux récentes mutineries des p.c.d.f. (pauvres cons du front) le récit par Le Petit Parisien des soviets des soldats russes. » (Abel Ferry, Carnets secrets 1914-1918, Paris, Grasset, 2005, p.237)
"

++

Posté(e)

Sur le sujet, il y a le très bon Henry Poulaille : "Pain de soldat - 1914 - 1917"

"Henry Poulaille a fait la guerre de 1914, dont il est revenu marqué à jamais. Avec Pain de soldat, publié en 1937, Poulaille raconte la saga autobiographique des Magneux, famille d'ouvriers du XVe arrondissement de Paris, durant la Grande Guerre.1914. Louis Magneux, dix-huit ans, double de l'auteur, travaille chez un pharmacien de la rue de Grenelle. Le 31 juillet, Jaurès est assassiné. Deux jours plus tard, c'est la mobilisation générale.
La guerre, le jeune Magneux, prolétaire anarchisant, pense comme beaucoup qu'elle ne durera pas, qu'il y coupera... Hélas, au bout de quelques mois, "petit à petit, tout le monde s'était installé dans la guerre, tant bien que mal, la révolte n'étant plus possible, les plaintes inutiles". Caserné à Lons-le-Saunier, il découvre la vie de chambrée, tragi-comique : il mange son "pain blanc". Dans les pires mois de 1917, il monte sur le front de l'Aisne et de Champagne.
Chemin-des-Dames, Plateau de Craonne. Aux gaietés de l'escadron succèdent l'orage d'acier des shrapnels, la peur, le carnage. Magneux le pacifiste répugne à se servir d'une arme. Oubliant un jour sa baïonnette, un autre ses grenades, il réussira un singulier exploit : ne pas tuer. Pain de soldat échappe au lyrisme, au spectaculaire, au moralisme des récits de guerre. L'auteur, qui voulait écrire un "roman de guerre contre la guerre" n'a pas besoin d'en rajouter : la vérité, l'horreur, l'absurdité des faits suffisent."

Posté(e)

Merci, zouar et Paul :) !

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.

×
×
  • Créer...