meltou Posté(e) 5 octobre 2014 Posté(e) 5 octobre 2014 Ce qui n'est pas normal ce sont les choix politiques qui ont conduit à produire des ghettos dans lesquels plus personne ne veut aller... Alors des primes pour y enseigner oui... mais il fait accompagner ces mesures d'autres qui permettent de reprendre le contrôle de ces zones !
abel27 Posté(e) 5 octobre 2014 Posté(e) 5 octobre 2014 Ce qui n'est pas normal ce sont les choix politiques qui ont conduit à produire des ghettos dans lesquels plus personne ne veut aller... Alors des primes pour y enseigner oui... mais il fait accompagner ces mesures d'autres qui permettent de reprendre le contrôle de ces zones ! +1. Vous avez remarqué que dans ces zones, il n'y a plus que les instits et les assistantes sociales qui y vont ?
nonau Posté(e) 5 octobre 2014 Posté(e) 5 octobre 2014 Jusqu'à quand? AH la politique de la ville imaginée dans les années 60 quelle belle réussite!
elpissou Posté(e) 5 octobre 2014 Posté(e) 5 octobre 2014 Laurence les primes dont tu parles sont "nationales" et je suis tout à fait d'accord pour dire qu'elles sont dérisoires (et que dire du gel du point d'indice!), les primes dont parlent Sihr seraient distribuées selon les régions les communes... Je suis d'accord avec le principe de maintien de notre statut unique, mais, là en l’occurrence, que fait-on ? Doit-on laisser ces écoles sans PE ? ou avec des PE non qualifiés et non formés ? Oui le 93 est sinistré, il faut fortement inciter les PE à y aller et surtout les laisser en partir quand ils le veulent. On ne doit pas rester arc boutés sur certains fonctionnements, il y a urgence là...
Zarko Posté(e) 5 octobre 2014 Auteur Posté(e) 5 octobre 2014 Laurence les primes dont tu parles sont "nationales" et je suis tout à fait d'accord pour dire qu'elles sont dérisoires (et que dire du gel du point d'indice!), les primes dont parlent Sihr seraient distribuées selon les régions les communes... Je suis d'accord avec le principe de maintien de notre statut unique, mais, là en l’occurrence, que fait-on ? Doit-on laisser ces écoles sans PE ? ou avec des PE non qualifiés et non formés ? Oui le 93 est sinistré, il faut fortement inciter les PE à y aller et surtout les laisser en partir quand ils le veulent. On ne doit pas rester arc boutés sur certains fonctionnements, il y a urgence là... Bien sûr qu'il y a urgence comme il y a urgence à rétorquer au PS, FCPE et autres pseudo-syndicats que ce" n'est pas l'école qui produit des inégalités mais bien eux avec leur politique de merde ou leurs idées à la noix depuis des années ! Commençons par exiger la vérité et ne les laissons pas détruire l'Ecole républicaine !
prof désécol Posté(e) 5 octobre 2014 Posté(e) 5 octobre 2014 http://leparisienmagazine.fr/education-90-minutes-pour-devenir-prof-112276/ Pour le second degré, on atteint aussi des sommets ...... pardon, des tréfonds ..... Je ne sais plus quoi dire, même plus la force de m'indigner. Combien de temps ce bordel va t-il encore durer ? Article édifiant qui montre bien le fossé abyssal entre toutes les belles intentions affichées -la "refondation"- et la politique actuelle de l'urgence. "[...] Au bout d’une demi-heure, un inspecteur d’académie vient me chercher. Dans le couloir, il parcourt mon test : « Bon, manifestement, le lycée, c’est pas pour vous », lance-t-il d’entrée. Courtois, il me demande pourquoi je veux devenir professeur. Je réponds que je cherche un métier épanouissant. Ça le fait rire : « Et vous pensez que ça va être épanouissant, l’Éducation nationale ? » Il s’enquiert de mes projets à moyen terme et m’interroge sur la manière dont je ferais face à un « problème de gestion de classe » : j’exclus l’élève ? « Non, surtout pas. » Que faut-il faire alors ? « Pas ça. » Je n’en saurai pas plus. Il me donne un avis favorable, « pour le collège uniquement ». Serai-je formé avant la rentrée ? Non, mais il me confie un petit guide pédagogique de trois pages recto-verso. « Et si vous avez des questions, adressez-vous à vos collègues. L’enseignement, c’est vraiment un métier où on travaille en équipe », insiste-t-il en m’accompagnant vers la sortie. Me voilà prof. Dans certaines académies, je le serais devenu plus vite encore, comme à Rouen, où un échange téléphonique suffit. Selon le rapport de l’inspection générale, « il peut arriver, qu’en cours d’année, des candidats soient retenus malgré un avis défavorable des corps d’inspection ». [...]"
Mirobolande Posté(e) 5 octobre 2014 Posté(e) 5 octobre 2014 Serai-je formé avant la rentrée ? Non, mais il me confie un petit guide pédagogique de trois pages recto-verso. « Et si vous avez des questions, adressez-vous à vos collègues. L’enseignement, c’est vraiment un métier où on travaille en équipe », insiste-t-il en m’accompagnant vers la sortie. Et qui fait tourner la machine grâce à son bénévolat? Quel mépris... On va donc donner des conseils aux p'tits nouveaux sur notre temps personnel. L'inspecteur il est payé combien pour distribuer un recto-verso de 3 pages? Et quand va-t-on faire notre révolution culturelle et arrêter d'être gentils et de tendre la joue gauche quand on s'est fait avoir en long en large et en travers, parce que ceux qui sont en face de nous n'en n'ont rien à faire de nos valeurs d'altruisme?
Zarko Posté(e) 5 octobre 2014 Auteur Posté(e) 5 octobre 2014 Limiter le redoublement : l'arbre qui cache le… désert ! Samedi 4 Octobre 2014 à 15:00 | Lu 5203 fois I 13 commentaire(s) FRANCIS DASPE* S'ABONNER+ Imprimer IMPRIMER Augmenter le texte AUGMENTER LE TEXTE Diminuer le texte DIMINUER LE TEXTE Pour Francis Daspe, la volonté affichée de Najat Vallaud-Belkacem de limiter le redoublement à "des cas exceptionnels" est un joli "contrefeux" : ce serait même, explique le président de la Commission Education du Parti de gauche, "l’arbre qui cache le désert de la politique éducative du gouvernement". D'autant que, selon lui, "la vraie raison de la réduction drastique du redoublement vise à réaliser des économies budgétaires pareillement drastiques". WITT/SIPA WITT/SIPA La ministre de l'Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a dévoilé son intention de limiter la pratique du redoublement à « des cas exceptionnels ». Cette annonce fera certainement sourire bon nombre d’enseignants, du primaire comme du secondaire, qui savent à quel point le redoublement est déjà devenu dans leur quotidien une pratique peu usitée. La raison avancée, l’inefficacité supposée du redoublement d’un point de vue pédagogique, n’est en réalité qu’un prétexte commode. Il s’agit d’un écran de fumée destiné à voiler les véritables motivations. Le redoublement est l’arbre qui cache le désert de la politique éducative du gouvernement après les déceptions de la loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République du 8 juillet 2013 et les impasses de la réforme des rythmes scolaires. Déceptions qui ne doivent concerner que celles et ceux qui ont voulu croire à la promesse de la priorité donnée à l’éducation… Un désert en matière de moyens d’abord : la vraie raison de la réduction drastique du redoublement VISE à réaliser des économies budgétaires pareillement drastiques. Un désert en matière de volonté pédagogique ensuite : la détermination à s’atteler à la réduction de l’échec scolaire n’est pas sans failles gigantesques. Les incantations à l’intensification de l’accompagnement personnalisé ne sont réellement pas à la hauteur des enjeux. Qui plus est, elles sont démenties par les faits du terrain. Les propositions ministérielles sonnent en définitive comme un renoncement à prendre à bras-le-corps la question de la réussite scolaire. Elles doivent être mises en perspective avec la confirmation du socle commun de compétences, vision minimaliste, utilitariste et segmentée des savoirs. Et ceci, faut-il préciser, dans le prolongement de la précédente loi d’orientation Fillon de 2005. Or, il faudrait faire précisément l’inverse. Procéder à un recentrage sur les contenus disciplinaires sans entretenir de confusion préjudiciable avec la vision restrictive du retour aux fondamentaux résumée par la formule « lire, écrire, compter » à laquelle pour faire bonne mesure on rajoute cliquer. Ne pas les diluer en assimilant hâtivement transdisciplinarité à interdisciplinarité. Cette manière d’appréhender les savoirs à travers le prisme du socle commun et de l’enseignement par compétences n’est pas anodine. Elle préempte de manière inquiétante des questions liées aux conditions de recrutement des enseignants, à leur formation, à celle des statuts des personnels. Autant de sujets qui ont fait l’objet de l’attention des différents ministres au cours des dernières années, voire même des dernières décennies. Car il existe une continuité édifiante au-delà des clivages entre la droite et la gauche. A cet égard, le passage rue de Grenelle de Claude Allègre fut emblématique. La sortie sur les redoublements de la ministre Vallaud-Belkacem représente bien un contrefeu. Les solfériniens sont experts dans l’utilisation de contrefeux visant à obscurcir la réalité. Celui du numérique sensé moderniser et révolutionner l’enseignement en est un particulièrement prisé ces derniers temps. Celui des rythmes scolaires en fut un également, même si la grenade ainsi dégoupillée a désormais explosé dans les mains du gouvernement. Les arguments d’autorité invoquant la recherche du bien-être de l’enfant et de la réussite de l’élève se sont enfin effacés devant les enjeux idéologiques en matière d’égalité, de gratuité ou de laïcité. Concernant le redoublement, seule une pratique équilibrée et raisonnée doit être promue. Concrètement, cela signifie repousser à égale distance les dérives symétriques dont les exagérations se renforcent MUTUELLEMENT. D’abord les crispations rigoristes voulant faire du redoublement l’outil d’une compétition et d’une sélection outrancières dès le plus jeune âge. Ensuite les solutions de facilité aux airs de renoncement en instituant, pour reprendre l’inimitable novlangue administrativo-pédagogique, la « promotion automatique d’une cohorte ». Car en fin de compte, la question du redoublement peut contribuer à faire émerger un des enjeux essentiels des débats relatifs à l’Ecole : celui de la nécessaire articulation entre massification et démocratisation. Y parvenir sera le défi que relèvera l’école de la VIe République. L’Ecole de la VIe République maintiendra l’exigence des savoirs, loin des tentations de réussite factice. L’Ecole de la VIe République VISERA à promouvoir l’émancipation en formant indistinctement les futurs citoyens, hommes et travailleurs, sans en négliger un des aspects ou en assujettir à un seul les autres. L’Ecole de la VIe République combattra pour l’égalité, sans se réfugier derrière les déterminismes sociaux et territoriaux pour justifier les renoncements. Ce qui importe pour la réussite d’une politique éducative globale, c’est la cohérence du projet de société. Si l’école peut beaucoup, elle ne peut cependant pas tout. Elle n’est pas son propre recours, en dépit du dévouement et de la ténacité des personnels par qui tient tant bien que mal le papier peint de l’institution. La tâche doit être engagée avec détermination, loin des contrefeux dilatoires qui tentent d’occulter l’indétermination des projets de société de nos gouvernants… * Francis Daspe est président de la Commission nationale Education du Parti de gauche. Il est également co-auteur du livre L’Ecole du peuple. Pour l’égalité et l’émancipation, Ed. Bruno Leprince, août 2012. http://www.marianne.net/Limiter-le-redoublement-l-arbre-qui-cache-le-desert-_a241734.html
ColdTurkey Posté(e) 6 octobre 2014 Posté(e) 6 octobre 2014 Il va être de plus en plus facile de recruter : - L'Europe revalorise ses enseignants pour rendre le métier attractif ( http://www.cafepedagogique.net/LEXPRESSO/Pages/2014/10/06102014Article635481769056879033.aspx ) - Grille des salaires au 1er janvier 2014 ( http://www.snuipp.fr/Grille-des-salaires-au-1er-janvier ) Que cela fait du bien de se sentir aimé, valorisé et revalorisé.
Zarko Posté(e) 6 octobre 2014 Auteur Posté(e) 6 octobre 2014 Il va être de plus en plus facile de recruter : - L'Europe revalorise ses enseignants pour rendre le métier attractif ( http://www.cafepedagogique.net/LEXPRESSO/Pages/2014/10/06102014Article635481769056879033.aspx ) - Grille des salaires au 1er janvier 2014 ( http://www.snuipp.fr/Grille-des-salaires-au-1er-janvier ) Que cela fait du bien de se sentir aimé, valorisé et revalorisé. Moi qui pensait que Hollande suivait la politique européenne... "La qualité de l'enseignement et des compétences que les enseignants dispensent à notre jeune génération aura un impact durable sur les emplois et la croissance futurs. À l'heure où l'Union européenne se remet de la crise économique, les États membres devraient sérieusement s'interroger sur l'importance du salaire et des conditions de travail pour attirer vers la profession d'enseignant - et y retenir - les candidats qui présentent le meilleur profil." Voilà un problème que la France connait bien. Après avoir pris connaissance du problème, on attend donc une réponse...parce que suivre l'Europe uniquement pour faire de l'austérité, on risque de ne pas aimer du tout, mais alors pas du tout ...
nonau Posté(e) 6 octobre 2014 Posté(e) 6 octobre 2014 Limiter le redoublement : l'arbre qui cache le… désert ! Samedi 4 Octobre 2014 à 15:00 | Lu 5203 fois I 13 commentaire(s) FRANCIS DASPE* S'ABONNER+ Imprimer IMPRIMER Augmenter le texte AUGMENTER LE TEXTE Diminuer le texte DIMINUER LE TEXTE Pour Francis Daspe, la volonté affichée de Najat Vallaud-Belkacem de limiter le redoublement à "des cas exceptionnels" est un joli "contrefeux" : ce serait même, explique le président de la Commission Education du Parti de gauche, "l’arbre qui cache le désert de la politique éducative du gouvernement". D'autant que, selon lui, "la vraie raison de la réduction drastique du redoublement vise à réaliser des économies budgétaires pareillement drastiques". WITT/SIPA WITT/SIPA La ministre de l'Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a dévoilé son intention de limiter la pratique du redoublement à « des cas exceptionnels ». Cette annonce fera certainement sourire bon nombre d’enseignants, du primaire comme du secondaire, qui savent à quel point le redoublement est déjà devenu dans leur quotidien une pratique peu usitée. La raison avancée, l’inefficacité supposée du redoublement d’un point de vue pédagogique, n’est en réalité qu’un prétexte commode. Il s’agit d’un écran de fumée destiné à voiler les véritables motivations. Le redoublement est l’arbre qui cache le désert de la politique éducative du gouvernement après les déceptions de la loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République du 8 juillet 2013 et les impasses de la réforme des rythmes scolaires. Déceptions qui ne doivent concerner que celles et ceux qui ont voulu croire à la promesse de la priorité donnée à l’éducation… Un désert en matière de moyens d’abord : la vraie raison de la réduction drastique du redoublement VISE à réaliser des économies budgétaires pareillement drastiques. Un désert en matière de volonté pédagogique ensuite : la détermination à s’atteler à la réduction de l’échec scolaire n’est pas sans failles gigantesques. Les incantations à l’intensification de l’accompagnement personnalisé ne sont réellement pas à la hauteur des enjeux. Qui plus est, elles sont démenties par les faits du terrain. Les propositions ministérielles sonnent en définitive comme un renoncement à prendre à bras-le-corps la question de la réussite scolaire. Elles doivent être mises en perspective avec la confirmation du socle commun de compétences, vision minimaliste, utilitariste et segmentée des savoirs. Et ceci, faut-il préciser, dans le prolongement de la précédente loi d’orientation Fillon de 2005. Or, il faudrait faire précisément l’inverse. Procéder à un recentrage sur les contenus disciplinaires sans entretenir de confusion préjudiciable avec la vision restrictive du retour aux fondamentaux résumée par la formule « lire, écrire, compter » à laquelle pour faire bonne mesure on rajoute cliquer. Ne pas les diluer en assimilant hâtivement transdisciplinarité à interdisciplinarité. Cette manière d’appréhender les savoirs à travers le prisme du socle commun et de l’enseignement par compétences n’est pas anodine. Elle préempte de manière inquiétante des questions liées aux conditions de recrutement des enseignants, à leur formation, à celle des statuts des personnels. Autant de sujets qui ont fait l’objet de l’attention des différents ministres au cours des dernières années, voire même des dernières décennies. Car il existe une continuité édifiante au-delà des clivages entre la droite et la gauche. A cet égard, le passage rue de Grenelle de Claude Allègre fut emblématique. La sortie sur les redoublements de la ministre Vallaud-Belkacem représente bien un contrefeu. Les solfériniens sont experts dans l’utilisation de contrefeux visant à obscurcir la réalité. Celui du numérique sensé moderniser et révolutionner l’enseignement en est un particulièrement prisé ces derniers temps. Celui des rythmes scolaires en fut un également, même si la grenade ainsi dégoupillée a désormais explosé dans les mains du gouvernement. Les arguments d’autorité invoquant la recherche du bien-être de l’enfant et de la réussite de l’élève se sont enfin effacés devant les enjeux idéologiques en matière d’égalité, de gratuité ou de laïcité. Concernant le redoublement, seule une pratique équilibrée et raisonnée doit être promue. Concrètement, cela signifie repousser à égale distance les dérives symétriques dont les exagérations se renforcent MUTUELLEMENT. D’abord les crispations rigoristes voulant faire du redoublement l’outil d’une compétition et d’une sélection outrancières dès le plus jeune âge. Ensuite les solutions de facilité aux airs de renoncement en instituant, pour reprendre l’inimitable novlangue administrativo-pédagogique, la « promotion automatique d’une cohorte ». Car en fin de compte, la question du redoublement peut contribuer à faire émerger un des enjeux essentiels des débats relatifs à l’Ecole : celui de la nécessaire articulation entre massification et démocratisation. Y parvenir sera le défi que relèvera l’école de la VIe République. L’Ecole de la VIe République maintiendra l’exigence des savoirs, loin des tentations de réussite factice. L’Ecole de la VIe République VISERA à promouvoir l’émancipation en formant indistinctement les futurs citoyens, hommes et travailleurs, sans en négliger un des aspects ou en assujettir à un seul les autres. L’Ecole de la VIe République combattra pour l’égalité, sans se réfugier derrière les déterminismes sociaux et territoriaux pour justifier les renoncements. Ce qui importe pour la réussite d’une politique éducative globale, c’est la cohérence du projet de société. Si l’école peut beaucoup, elle ne peut cependant pas tout. Elle n’est pas son propre recours, en dépit du dévouement et de la ténacité des personnels par qui tient tant bien que mal le papier peint de l’institution. La tâche doit être engagée avec détermination, loin des contrefeux dilatoires qui tentent d’occulter l’indétermination des projets de société de nos gouvernants… * Francis Daspe est président de la Commission nationale Education du Parti de gauche. Il est également co-auteur du livre L’Ecole du peuple. Pour l’égalité et l’émancipation, Ed. Bruno Leprince, août 2012. http://www.marianne.net/Limiter-le-redoublement-l-arbre-qui-cache-le-desert-_a241734.html Plus de redoublement= PLUS DE segpa ET DE clis...
laurence93 Posté(e) 6 octobre 2014 Posté(e) 6 octobre 2014 Laurence les primes dont tu parles sont "nationales" et je suis tout à fait d'accord pour dire qu'elles sont dérisoires (et que dire du gel du point d'indice!), les primes dont parlent Sihr seraient distribuées selon les régions les communes... Ben non... Ou alors je n'ai pas bien compris ? Les primes Zep (ou éclair) sont bien attribuées selon des zones géographiquement déterminées (t'es à côté de la REP, tu ne touches rien). Quelle différence avec les primes dont parle Sihr ?
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant