Amelie375 Posté(e) 16 décembre 2014 Posté(e) 16 décembre 2014 Merci à tous, ça me me fait vraiment un bien fous, vos messages Paul Getty tu parles du Registre Santé et Sécurité au Travail, je ne connaissais pas, mais je lis ça Que peut-on consigner sur ce registre ? Les problèmes liés à : la sécurité des installations électriques et de gaz (vétusté, disjonctions fréquentes, absence de prise de terre...), l’hygiène des locaux (nettoyage général, état des sanitaires…), l’aspect immobilier : difficultés d’accès, de circulation, l’état général des bâtiments, l’environnement extérieur : pollution, bruits, signalisation, éclairage, l’ambiance de travail : éclairage, espace de travail, port de charge, bruit, travail sur écran, cadre de vie, température… L'inspectrice a aussi dit : Cette enfant n'est pas stable ce serait rajouter de l'instabilité si elle changeait de classe... Ma réaction sera épidermique forcément ..... Elle doit se frotter les mains, cette IEN, d'avoir bossé pour décrocher son concours d'IEN, afin de fuir les classes, qui sont devenues + ou - des champs de bataille, des cours des miracles ...... Elle est odieuse. Moi ça me mettrait encore plus la hargne de ne pas lâcher l'affaire et d'obtenir réparation de ce lourd préjudice. Entre nous, désolée si je choque, on s'en fiche de son instabilité à cette gamine. Elle met tout le monde en difficulté, et elle fiche en l'air le groupe classe. Qu'on l'envoie en hôpital de jour avec des collègues option D, formés pour gérer ça, avec un effectif adapté .... Faut-il encore que les personnels envoyés dans ces options (hôpital, IME, ULIS...) soient réellement formés. C'est loin d'être le cas (quid des débutants, comme moi, envoyés là sans formation, sans l'avoir demandé, et en souffrance ?). Je suis d'accord avec tout ce qui a été dit : protège-toi. Ton IEN, ça relève de l'inhumain et/ou de l'inconscience que de réagir comme elle le fait... Je déplore Pomme d'Api, que tu aies à faire les frais toi aussi de l'absence de formation
Paul Getty Posté(e) 16 décembre 2014 Posté(e) 16 décembre 2014 ouioui, un truc qui marche pas mal aussi, c'est de demander à ton IEN de te mettre par écrit ce que tu dois faire. Je pense que tu n'auras pas d'écrit, et qu'elle trouvera une autre solution que de laisser l'élève dans la classe. Si elle t'écrit ce qu'elle t'a dit, tu joins une copie de l'écrit au RSST et aux syndicats.
ouioui Posté(e) 16 décembre 2014 Auteur Posté(e) 16 décembre 2014 merci à tous pour vos messages : je vais donc : -renvoyer mon arrêt de travail (je ne sais plus où d'ailleurs, je ne m'arrête que très très rarement...)-contacter l'autonome de solidarité-les syndicats-remplir Registre santé et sécurité au travail (puis-je le faire à distance ?) Je vais voir pour porter plainte... Une équipe éducative est prévue dès la semaine de la rentrée. Mes collègue me conseillait de voir l'IEN avant pour désarmocer...
ouioui Posté(e) 16 décembre 2014 Auteur Posté(e) 16 décembre 2014 ouioui, un truc qui marche pas mal aussi, c'est de demander à ton IEN de te mettre par écrit ce que tu dois faire. Je pense que tu n'auras pas d'écrit, et qu'elle trouvera une autre solution que de laisser l'élève dans la classe. Si elle t'écrit ce qu'elle t'a dit, tu joins une copie de l'écrit au RSST et aux syndicats. ok merci beaucoup !
Paul Getty Posté(e) 16 décembre 2014 Posté(e) 16 décembre 2014 Pour le RSST, tu peux rédiger chez toi si tu es en arrêt, imprimer, et coller dans le RSST de l'école à ton retour, il n'y a pas de "date de validité" à ne pas dépasser pour signaler des faits. Si tu écris plusieurs pages, elles doivent être numérotées dans le RSST (c'est un doc qui peut servir en justice et ne doit pas être falsifié, les pages ne doivent pas être arrachées). Il y a selon les académies, des modèles de RSST avec des cases toutes petites pour décrire les faits, si la case n'est pas assez grande, tant pis, tu mets tout ce que tu as écrit quand même, même si ça dépasse. Il y a parfois une case "Quelles solutions envisager?", comme si c'était à nous de faire le boulot du DASEN et de proposer des solutions ? A ne pas remplir, donc. Pour le RDV avec l'IEN, peut être pas une bonne idée, elle même a l'air déjà "amorcée", ou alors en étant accompagnée d'un-e collègue d'un syndicat, histoire de ne pas t'en prendre encore plein la figure dans le bureau de l'IEN et sans témoin.
Torque Posté(e) 16 décembre 2014 Posté(e) 16 décembre 2014 Une équipe éducative est prévue dès la semaine de la rentrée. Mes collègue me conseillait de voir l'IEN avant pour désarmocer... Ben voyons. Cette IEN profiterait d'une entrevue préalable avec toi pour t'enfumer en te culpabilisant voire en insérant de vagues menaces dans son discours. Pareil si tu attends un écrit de cette sous-Dasen, tu peux toujours attendre. Ces bêtes-là s'expriment le plus souvent oralement tout en exigeant des écrits. Ainsi pas de trace de leurs paroles mais des petits dossiers qui se constituent dans le dos de chacun à son insu. Quand un IEN me "disait" des choses qu'ils n'aurait jamais écrites, je me faisais une joie de lui répondre ensuite par écrit en reprenant tous ses mots, du genre "comme vous me le disiez lors de notre conversation téléphonique du...., etc...". Ainsi une trace écrite de ses propos existait.
Paul Getty Posté(e) 16 décembre 2014 Posté(e) 16 décembre 2014 Pareil si tu attends un écrit de cette sous-Dasen, tu peux toujours attendre. Ces bêtes-là s'expriment le plus souvent oralement tout en exigeant des écrits. Ainsi pas de trace de leurs paroles mais des petits dossiers qui se constituent dans le dos de chacun à son insu. Quand un IEN me "disait" des choses qu'ils n'aurait jamais écrites, je me faisais une joie de lui répondre ensuite par écrit en reprenant tous ses mots, du genre "comme vous me le disiez lors de notre conversation téléphonique du...., etc...". Ainsi une trace écrite de ses propos existait. C'est bien pour ça que c'est toujours drôle d'en demander un, car soudainement en général, le ton et le contenu du discours changent...
ouioui Posté(e) 16 décembre 2014 Auteur Posté(e) 16 décembre 2014 ok, merci à tous, je vais donc me faire entourer et demander un écrit de l'IEN. Désolée pour les nombreuses "fautes"...
Torque Posté(e) 16 décembre 2014 Posté(e) 16 décembre 2014 Pareil si tu attends un écrit de cette sous-Dasen, tu peux toujours attendre. Ces bêtes-là s'expriment le plus souvent oralement tout en exigeant des écrits. Ainsi pas de trace de leurs paroles mais des petits dossiers qui se constituent dans le dos de chacun à son insu. Quand un IEN me "disait" des choses qu'ils n'aurait jamais écrites, je me faisais une joie de lui répondre ensuite par écrit en reprenant tous ses mots, du genre "comme vous me le disiez lors de notre conversation téléphonique du...., etc...". Ainsi une trace écrite de ses propos existait. C'est bien pour ça que c'est toujours drôle d'en demander un, car soudainement en général, le ton et le contenu du discours changent... Je suis bien d'accord avec toi.Demander un écrit peut être jouissif mais seulement pour les collègues aguerris et sûrs d'eux. Effectivement on peut déstabiliser un IEN, mais quand on débute ou qu'on se trouve très en difficulté, un IEN se régalerait de faire semblant de prendre cette demande comme une sorte de chantage ou de mise en demeure de se justifier et, la question venant d'un subordonné il pourrait décider de l'enfoncer encore davantage. Mais bon, je suis d'accord pour l'avoir déjà fait. Attention néanmoins, en face de nous on a des bêtes de concours, formées à éviter de s'engager dans des problèmes qui pourraient nuire à leur carrière et à écraser tout ce qui peut l'être pour avancer plus vite.
ouioui Posté(e) 16 décembre 2014 Auteur Posté(e) 16 décembre 2014 Pareil si tu attends un écrit de cette sous-Dasen, tu peux toujours attendre. Ces bêtes-là s'expriment le plus souvent oralement tout en exigeant des écrits. Ainsi pas de trace de leurs paroles mais des petits dossiers qui se constituent dans le dos de chacun à son insu. Quand un IEN me "disait" des choses qu'ils n'aurait jamais écrites, je me faisais une joie de lui répondre ensuite par écrit en reprenant tous ses mots, du genre "comme vous me le disiez lors de notre conversation téléphonique du...., etc...". Ainsi une trace écrite de ses propos existait. C'est bien pour ça que c'est toujours drôle d'en demander un, car soudainement en général, le ton et le contenu du discours changent... Je suis bien d'accord avec toi.Demander un écrit peut être jouissif mais seulement pour les collègues aguerris et sûrs d'eux. Effectivement on peut déstabiliser un IEN, mais quand on débute ou qu'on se trouve très en difficulté, un IEN se régalerait de faire semblant de prendre cette demande comme une sorte de chantage ou de mise en demeure de se justifier et, la question venant d'un subordonné il pourrait décider de l'enfoncer encore davantage. Mais bon, je suis d'accord pour l'avoir déjà fait. Attention néanmoins, en face de nous on a des bêtes de concours, formées à éviter de s'engager dans des problèmes qui pourraient nuire à leur carrière et à écraser tout ce qui peut l'être pour avancer plus vite. Le maître E m'a déjà dit que mon IEN allait prendre mon arrêt de travail comme du chantage...
Torque Posté(e) 16 décembre 2014 Posté(e) 16 décembre 2014 Le maître E m'a déjà dit que mon IEN allait prendre mon arrêt de travail comme du chantage... Et ben voilà, on y est. L'institution se ligue pour te mettre la pression. Tu as la preuve que tu ne peux compter sur ceux qui sont censés te protéger. Alors il te reste la remontée d'incident au DASEN, l'Autonome et surtout l'appui de ton médecin. Personne ne peut rien contre un avis médical et vu l'état très compréhensible dans lequel tu dois te trouver, ce professionnel ne devrait pas tarder à diagnostiquer angoisses, burn-out et autres souffrances au travail. Là tu en as pour pas mal de temps d'arrêt et si l'IEN veut te voir revenir, elle sait ce qu'elle a à faire: déplacer l'élève. Tu peux aussi prendre rendez-vous avec le médecin du travail, au Rectorat. Il est indépendant de cette administration et un jour l'un d'entre eux m'a dit " ne vous en faites pas, j'ai déjà remonté les bretelles à des IEN"..... On a des armes, il faut juste les connaître et ne pas hésiter à les utiliser si nécessaire.
ouioui Posté(e) 16 décembre 2014 Auteur Posté(e) 16 décembre 2014 Le maître E m'a déjà dit que mon IEN allait prendre mon arrêt de travail comme du chantage... Et ben voilà, on y est. L'institution se ligue pour te mettre la pression. Tu as la preuve que tu ne peux compter sur ceux qui sont censés te protéger. Alors il te reste la remontée d'incident au DASEN, l'Autonome et surtout l'appui de ton médecin. Personne ne peut rien contre un avis médical et vu l'état très compréhensible dans lequel tu dois te trouver, ce professionnel ne devrait pas tarder à diagnostiquer angoisses, burn-out et autres souffrances au travail. Là tu en as pour pas mal de temps d'arrêt et si l'IEN veut te voir revenir, elle sait ce qu'elle a à faire: déplacer l'élève. Tu peux aussi prendre rendez-vous avec le médecin du travail, au Rectorat. Il est indépendant de cette administration et un jour l'un d'entre eux m'a dit " ne vous en faites pas, j'ai déjà remonté les bretelles à des IEN"..... On a des armes, il faut juste les connaître et ne pas hésiter à les utiliser si nécessaire. Oui je me sens très mal... triste, en colère.... je pleure beaucoup. Que dois-je demander à mon médecin exactement ? merci
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