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Inégalité H/F ...


alainl

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Intéressant et Instructif cet article du Café Pédagogique d'aujourd'hui ...

Enseignantes : Comment se fabrique l'inégalité au sein de l'institution scolaire

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2015/03/27032015Article635630394697013851.aspx

c@t

alain l.

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Dramstein : je ne comprends pas ce que tu veux dire, si tu veux expliquer.

L'article est plutôt intéressant. Il réponds à la question que je me pose souvent : pourquoi autant d'hommes directeurs, inspecteurs, DASEN, alors que notre métier est très majoritairement féminin ?

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pour re-avoir des hommes instits, ré-augmenter le salaire des PE et on aura des hommes dixit une IEN. cela s'appelle le plafond de verre ! une femme sera bloquée toujours pour ces raisons (gestion de la famille ...)

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J'ai moi aussi trouvé cet article intéressant. Il explique comment le système defavorise les femmes, alors que l'on peut facilement croire que dans l'éducation nationale ce n'est pas possible.

Au passage, il me semble qu'il y a une erreur dans cette phrase :

D'autres éléments pénalisent leur carrière : les femmes sont davantage que les femmes en temps partiel.

C'est à la fin du deuxième paragraphe, partie sur le côut des "emplois du temps maman".
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Par contre, dans ce passage, est-ce que l'on tient pour acquis l'évolution du métier vers un/le surengagement, où est-ce simplement un problème d'actualité ?

Pour Dominique Cau Bareille, ergonome, maitresse de conférence à l'Université de Lyon 2, les femmes s(adaptent moins à l'évolution du métier vers un surengagement. A coté des heures de cours, on demande de plus en plus aux enseignants de s'engager dans la vie de l'établissement et dans de nouvelles taches (coordination, tutorat, relations avec l'environnement de l'établissement).
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J'ai moi aussi trouvé cet article intéressant. Il explique comment le système defavorise les femmes, alors que l'on peut facilement croire que dans l'éducation nationale ce n'est pas possible.

Au passage, il me semble qu'il y a une erreur dans cette phrase :

D'autres éléments pénalisent leur carrière : les femmes sont davantage que les femmes en temps partiel.

C'est à la fin du deuxième paragraphe, partie sur le côut des "emplois du temps maman".

Tout à fait d'accord avec toi André ... Moi aussi je pensais que le "système" était verrouillé égalitairement et en toute transparence dans l'EN avec des conditions de travail certes différentes selon le poste occupé , mais la prise en compte du barème et sous le contrôle de syndicats représentatifs de la Profession pour l'avancement ... ( Non , ce n'est malheureusement pas de l'humour :blush: ... ).

Et cet article démontre clairement le contraire ... mais c'est plus un problème de Société que propre à l'E.N ...

Quant à l'erreur que tu relèves, elle est pour moi un exemple criant de "lapsus ortografus" !!!

c@t

alain l.

Modifié par André Jorge
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Par contre, dans ce passage, est-ce que l'on tient pour acquis l'évolution du métier vers un/le surengagement, où est-ce simplement un problème d'actualité ?

Pour Dominique Cau Bareille, ergonome, maitresse de conférence à l'Université de Lyon 2, les femmes s(adaptent moins à l'évolution du métier vers un surengagement. A coté des heures de cours, on demande de plus en plus aux enseignants de s'engager dans la vie de l'établissement et dans de nouvelles taches (coordination, tutorat, relations avec l'environnement de l'établissement).

Pour ma part, c'est le mot (sur)engagement qui me dérange ... Les "nouvelles" tâches évoquées me semblent tout à fait être dans le rôle d'un enseignant qui prend son métier à coeur ... mais pas sous forme de bénévolat ... c'est tout !!!

c@t

alain lagarde

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Dramstein : je ne comprends pas ce que tu veux dire, si tu veux expliquer.

L'article est plutôt intéressant. Il réponds à la question que je me pose souvent : pourquoi autant d'hommes directeurs, inspecteurs, DASEN, alors que notre métier est très majoritairement féminin ?

cet article est intéressant pour ce qu'il nous apprend de la société d'aujourd'hui: chercher l'inégalité H/F dans une profession à 82% féminine, j'avoue que c'est énorme. Enfin, à lire ce truc, on constate que cette prétendue inégalité résulte de choix personnels et pas du système.Oui les femmes privilégient leur famille à leur carrière, c'est un scoop. Il fallait vraiment un groupe d'étude pour ça.

Il reste donc bien du travail à faire pour assurer l'égalité entre les genres dans l'Education nationale.

Magnifique cette prose, on attend les idées fumeuses pour changer les choses...interdire de concours les hommes et les mamans...comme ça on aura des femmes, uniquement motivée par leur carrière. Avec les salaires de l'EN, on devrait en trouver ! :D

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Pour ma part, c'est le mot (sur)engagement qui me dérange ... Les "nouvelles" tâches évoquées me semblent tout à fait être dans le rôle d'un enseignant qui prend son métier à coeur ... mais pas sous forme de bénévolat ... c'est tout !!!

c@t

alain lagarde

Trouver bon nombre de "nouvelles tâches" ou "nouvelles missions" inutiles, et pour le moins contraignantes, reviendrait donc à ne pas prendre son métier à cœur ?.

Prenons le cas du conseil école-collège : deux réunions par an, le plus souvent à partir de 17h00 et au-delà.

Pour les enseignants ayant des obligations familiales -et les mères de famille sont en première ligne- cela peut représenter un véritable casse-tête d'organisation.

Et l'administration aura beau jeu de rétorquer qu'il ne s'agit pas de bénévolat puisque ces temps pourront être décomptés des 108 heures...

Modifié par prof désécol
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Trouver bon nombre de "nouvelles tâches" ou "nouvelles missions" inutiles, et pour le moins contraignantes, reviendrait donc à ne pas prendre son métier à cœur ?.

Prenons le cas du conseil école-collège : deux réunions par an, le plus souvent à partir de 17h00 et au-delà.

Pour les enseignants ayant des obligations familiales -et les mères de famille sont en première ligne- cela peut représenter un véritable casse-tête d'organisation.

Et l'administration aura beau jeu de rétorquer qu'il ne s'agit pas de bénévolat puisque ces temps pourront être décomptés des 108 heures...

Coordination, tutorat, relations avec l'environnement de l'établissement me paraissent primordiales pour qui a choisi d'enseigner ... L'école ne peut pas vivre dans un vase clos ... Et s'ils sont enfin pris en compte dans nos obligations de service, c'est pour moi une avancée et pas une contrainte ...

Quant à nos obligations familiales nos enfants ont déjà la chance , en plus du quasi préceptorat dont ils bénéficient le soir après la classe ( là, J.M.L.P. , il y a des coups de pied au cul qui se perdent :sort: ) d'avoir un, ou même leurs 2 parents présents toutes les vacances scolaires, tous les mercredis après-midi ... et même tous les jours de grève quand ils ne les amènent pas avec eux manifester pour les aérer un peu :heat: ...

C@t

alain l.

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