Tide Posté(e) 27 octobre Posté(e) 27 octobre Deux innocents d'Alice Ferney. Une auteur que j'apprécie. Je n'arrive pas à m'intéresser à l'histoire. Le style employé me rebute et l'intrigue qui tourne autour d'une enseignante m'ennuie.
coccinutella Posté(e) 27 octobre Posté(e) 27 octobre Je suis en train de lire la toute petite reine d'Agnès Ledig, et j'aime bien mais je suis surprise de quelques formulations. Notamment "si j'aurais" ça m'a frappé.
Lulublue2 Posté(e) 27 octobre Posté(e) 27 octobre (modifié) Je viens de terminer Et j'ai cessé de t'appeler Papa, de Caroline Darian, fille de Gisèle Pelicot. Ça se lit très vite et tant mieux, car c'est terriblement choquant. J'en ressors abasourdie et bouleversée, et j'ai du mal à me projeter dans une prochaine lecture, là tout de suite. Modifié 27 octobre par Lulublue2 3
Mtl37 Posté(e) 28 octobre Posté(e) 28 octobre (modifié) Je viens de débuter la saga Au cœur du Yamato. de Aki Shamaki (j'ai déjà lu le poids des secrets de cette autrice). Citation Après l'immense succès du cycle Le Poids des secrets, Aki Shimazaki en a achevé un deuxième, ici proposé dans son intégralité : intitulé Au cœur du Yamato, il est composé des romans Mitsuba, Zakuro, Tonbo, Tsukushi et Yamabuki qui peuvent se lire indépendamment ou dans l'ordre que l'on voudra. Avec l'écriture discrète, élégante et pleine d'empathie qu'on lui connaît, Aki Shimazaki met en évidence, à travers le silence mensonger des hommes, l'insondable douleur de vivre dans le secret et la violence des lois sociales au Japon. Modifié 28 octobre par Mtl37 3
audad Posté(e) 28 octobre Posté(e) 28 octobre (modifié) J'ai beaucoup aimé Six ans à t'attendre de Delphine Giraud Citation Rachel et Vincent s'aiment depuis leur adolescence d'un amour passionnel et indéfectible. L'avenir leur semble tout tracé jusqu'au jour où, l'avant-veille de leur mariage, Vincent disparaît. On retrouve sa moto accidentée sur le bord de la route, mais pas de corps. Six ans plus tard, Rachel s'est reconstruite. Elle sort d'un rendez-vous de travail quand, au détour d'une rue, elle l'aperçoit. Vincent. Persuadée que l'homme de sa vie est bien vivant, Rachel se lance à sa recherche. Avec une unique question obsédante : se pourrait-il que toutes ces années de deuil l'aient été pour rien J'ai par contre lutté pour parvenir au bout de Veiller sur elle de Jean-Baptiste Andrea. Citation Au grand jeu du destin, Mimo a tiré les mauvaises cartes. Né pauvre, il est confié en apprentissage à un sculpteur de pierre sans envergure. Mais il a du génie entre les mains. Toutes les fées ou presque se sont penchées sur Viola Orsini. Héritière d'une famille prestigieuse, elle a passé son enfance à l'ombre d'un palais génois. Mais elle a trop d'ambition pour se résigner à la place qu'on lui assigne. Ces deux-là n'auraient jamais dû se rencontrer. Au premier regard, ils se reconnaissent et se jurent de ne jamais se quitter. Viola et Mimo ne peuvent ni vivre ensemble, ni rester longtemps loin de l'autre. Liés par une attraction indéfectible, ils traversent des années de fureur quand l'Italie bascule dans le fascisme. Mimo prend sa revanche sur le sort, mais à quoi bon la gloire s'il doit perdre Viola ? Un roman plein de fougue et d'éclats, habité par la grâce et la beauté. Je commence De vagues herbes jaunes de Françoise Bourdin Citation e l'immense domaine du Peyrou des Montignac, il ne reste plus que de " vagues herbes jaunes ", autour d'une imposante demeure. La terre aride du Lot a usé, l'un après l'autre, les membres de cette famille de grands propriétaires terriens. Cyril, le dernier des Montignac, rêveur et solitaire, ne se passionne guère que pour ses livres, son chien, sa collection de fusils et son cheval. Cet héritage trop lourd à porter, cette histoire familiale qui le hante dans la solitude des terres qui l'ont vu naître, le pousseront à envisager l'impossible, dans l'incompréhension et la haine générale des villageois qui le jaugent, du haut de leur falaise. Le lien à leur terre, c'est tout ce qui leur reste dans cette région où les mémoires sont encore marquées par les affres de la guerre et les fantômes d'Oradour-sur-Glane. Alors comment pourraient-ils comprendre ce garçon si différent et torturé ? Les plus grands lecteurs de Françoise Bourdin attendaient de pouvoir lire De vagues herbes jaunes, introuvable depuis des décennies, roman genèse d'une œuvre exceptionnelle de cette jeune femme de vingt-deux ans habitée par la littérature qu'était déjà Françoise Bourdin. Modifié 28 octobre par audad 1
borneo Posté(e) 28 octobre Posté(e) 28 octobre (modifié) Amélie Weiler, jeune fille mal dans son siècle Amélie Weiler (Strasbourg, 1822 - Strasbourg, 1895) écrit son journal intime de 1840 à 1859. Oublié dans un grenier, puis redécouvert en 1987, il est publié en partie en 1994 par Nicolas Stoskopf, avec une préface de Philippe Lejeune, sous le titre "Journal d’une jeune-fille mal dans son siècle". Citation Le journal d’Amélie Weiler a été exhumé d’un grenier de Wangen en 1987 et publié partiellement en 1994 avec une préface de Philippe Lejeune, sous le titre, proposé par l’éditeur Bernard Reumaux, de Journal d’une jeune fille mal dans son siècle1 . Il résume parfaitement la problématique de l’œuvre : le drame d’une jeune fille empêchée d’accomplir son destin et de valoriser son talent d’écrivain, une protestation intime, puisque gardée secrète, contre les impasses de la condition féminine au XIXe siècle. Amélie Weiler a rencontré le succès avec près de 5 000 exemplaires vendus et son œuvre a eu suffisamment d’écho pour susciter une thèse de lettres 2 , d’importantes citations et plusieurs notes de lecture ou articles de spécialistes, davantage de littéraires que d’historiens , davantage outre-Vosges qu’en Alsace ou à Strasbourg même. La notion de « mise en scène du moi » convient parfaitement au journal d’Amélie Weiler : à la différence de nombreux journaux de jeunes filles, elliptiques, mystérieux à force d’être introspectifs, parce qu’elles n’écrivent que pour elles-mêmes, Amélie Weiler écrit pour un lecteur, car elle se rêve en femme de lettres. « Ce qu’il y a de remarquable, écrit Philippe Lejeune dans sa préface, c’est l’équilibre qu’elle établit entre son point de vue et le spectacle du monde. Et son art d’expliciter. C’est une fresque merveilleusement claire . » Un livre vraiment passionnant. Modifié 28 octobre par borneo 1
chacha76 Posté(e) 28 octobre Posté(e) 28 octobre je viens de finir L'illusion du mal de Piergiorgio Pulixi Résumé : Les Chansons du mal, tome 3 À travers toute l’Italie, les téléphones portables vibrent à l’unisson. En l’espace de quelques minutes, des milliers de personnes reçoivent une vidéo intitulée "La loi, c’est toi". À l’écran, un criminel ligoté et un homme masqué qui prend la parole. Son objectif : faire voter en ligne le public sur le sort de son prisonnier, qu’un système judiciaire inefficace et corrompu a laissé impuni. La vindicte populaire est en marche. Mara Rais et Eva Croce, deux femmes aussi différentes qu’imprévisibles, sont chargées de l’enquête, épaulées par le criminologue Vito Strega. Confronté à un ennemi insaisissable à la popularité grandissante, le trio se lance dans une course contre la montre. Après L’ Île des âmes, la nouvelle enquête d’Eva et Mara nous emmène de la Sardaigne à Milan. Face à la séduction du mal, chacun devra choisir entre envie de justice et soif de vengeance. Mon avis : Comme les 2 premiers tomes j'ai adoré. J'ai retrouvé avec plaisir les enquêteurs des 2 premiers tomes qui se retrouvent réunis dans ce 3e tomes. C'est un page turner efficace. Les chapitres sont courts et intenses. Je recommande.
severuspomfresh Posté(e) 29 octobre Posté(e) 29 octobre Après avoir terminé un passionnant Giebel : jusqu’à ce que la mort nous unisse je commence Delphine de Vigan Les enfants sont rois. Giebel : enquête, suspense, nature, j’ai beaucoup aimé, livre de 600 pages dévoré. La montagne ne pardonne pas. Vincent Lapaz, guide solitaire et blessé par la vie, l'apprend aujourd'hui à ses dépens : la mort vient de frapper, foudroyant un être cher. Simple accident ? Vincent n'en croit rien : la victime connaissait le parcours comme sa poche. C'est un meurtre. Avec l'aide d'une jeune gendarme, Vincent mène l'enquête, de crevasses en chausse-trapes, déterrant un à un les secrets qui hantent cette vallée. Et Lapaz non plus n'est pas du genre à pardonner... 1
Mtl37 Posté(e) 29 octobre Posté(e) 29 octobre Je regarde la série Les enfants sont rois (après avoir lu le livre). C'est inquiétant de vérité.
jisket Posté(e) 30 octobre Posté(e) 30 octobre J'ai fini ce matin Les guerriers de l'hiver d'Olivier Norek. Très loin de son style habituel mais j'ai beaucoup aimé et découvert une guerre que je ne connaissais pas. 1 1
pomme62 Posté(e) 31 octobre Posté(e) 31 octobre Le 29/10/2024 à 10:52, severuspomfresh a dit : Après avoir terminé un passionnant Giebel : jusqu’à ce que la mort nous unisse je commence Delphine de Vigan Les enfants sont rois. Giebel : enquête, suspense, nature, j’ai beaucoup aimé, livre de 600 pages dévoré. La montagne ne pardonne pas. Vincent Lapaz, guide solitaire et blessé par la vie, l'apprend aujourd'hui à ses dépens : la mort vient de frapper, foudroyant un être cher. Simple accident ? Vincent n'en croit rien : la victime connaissait le parcours comme sa poche. C'est un meurtre. Avec l'aide d'une jeune gendarme, Vincent mène l'enquête, de crevasses en chausse-trapes, déterrant un à un les secrets qui hantent cette vallée. Et Lapaz non plus n'est pas du genre à pardonner... J'adore Giebel. C'est toujours prenant comme lecture. Pour les amateurs de polars suédois, j'ai lu 4 tomes de la saga Jana Berzelius d'Emelie Schepp. Je dévore. C'est rythmé, plein de suspens avec une héroïne très malmenée. J'ai commandé les trois suivants. J'ai lu l'empathie tome 2 de Renand et c'est vraiment un auteur que j'adore avec un style bien à lui. J'ai repris la saga d'Helen Grace, tome 12 avec Action ou vérité. Très machiavélique. Comme l'auteur sait le faire. Ça ne s'essouffle pas.
Mtl37 Posté(e) 31 octobre Posté(e) 31 octobre La pentalogie de Aki Shimazaki : Au coeur du Yamato. J'ai déjà lu Le poids des secrets. J'aime l'idée que chaque tome est comme fil rouge des personnages qui se sont connus à des époques différentes. Et j'aime la douceur de l'écriture japonaise. 1 3
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