nellou Posté(e) 28 avril Posté(e) 28 avril Il y a 1 heure, fararden a dit : Oups !!! Merci 😁! Tu l’as lu donc ? Oui il y a longtemps ! Me souviens plus trop !
Byza31 Posté(e) 28 avril Posté(e) 28 avril Il y a 5 heures, Kiwichick a dit : Je ne sais pas, je ne vais plus au cinéma... Mais c'est si bien écrit que je regarderai les autres bouquins de cet auteur. Je te conseille "Tuer le fils" du même auteur. En plus à la maison ça se tenait tranquille pendant que je lisais ça, des fois que ça soit un mode d'emploi. Dans la même catégorie de titres pacificateurs, j'ai lu un petit recueil de nouvelles, "les 30 meilleures façons d'assassiner son mari". Très bien aussi. 3
Misca Posté(e) 28 avril Posté(e) 28 avril il y a 9 minutes, Byza31 a dit : Je te conseille "Tuer le fils" du même auteur. En plus à la maison ça se tenait tranquille pendant que je lisais ça, des fois que ça soit un mode d'emploi. Dans la même catégorie de titres pacificateurs, j'ai lu un petit recueil de nouvelles, "les 30 meilleures façons d'assassiner son mari". Très bien aussi. Sympa ! J'imagine bien l'ambiance... 🤣🤣🤣
cajou Posté(e) 28 avril Posté(e) 28 avril Si cela intéresse certains ou certaines ici, vous pouvez trouver ici les titres choisis pour notre prochain salon du polar ... https://www.facebook.com/NoirDissay les 4 livres en lice pour le prix sont La porte du vent de Jean-Marc Souvira, Droséra de Julien Guerville, Avant que ça commence de Marie-Laure Brunel Dupin et Valérie Péronnet, et l'Ange de la cité de Jéremy Bouquin. Sur la page Facebook, vous pouvez trouver les infos sur les auteurs et les animations proposées tout au long de la semaine (pour les proches ...). 1
Lolotka Posté(e) 28 avril Posté(e) 28 avril (modifié) Je viens de finir Le portrait de mariage de Maggie O'Farrell. Après Hamnet, Maggie O'Farrell nous entraîne dans la Renaissance italienne pour redonner vie à une femme libre, rebelle, incomprise. Portée par une écriture d'une beauté inouïe, une œuvre lumineuse et poignante. C'est un grand jour à Ferrare. On y célèbre les noces du duc Alfonso et de Lucrèce de Médicis. La fête est extravagante et la foule n'a d'yeux que pour le couple. La mariée a quinze ans. Rien ne l'avait préparée à ce rôle. Elle n'était que la troisième fille du grand duc de Toscane, la discrète, la sensible, celle dont ses parents ne savaient que faire. Mais le décès soudain de sœur aînée a changé son histoire. La fête est finie, Lucrèce est seule dans un palais immense et froid. Seule face aux intrigues de la cour. Seule face à cet homme aussi charismatique que terrifiant qu'est son mari. Et tandis que Lucrèce pose pour le portrait de mariage qui figera son image pour l'éternité, elle voit se dessiner ce que l'on attend d'elle : donner vie à un héritier. Son propre destin en dépend... J'ai adoré ce roman biographique. Vraiment très bien écrit. Modifié 28 avril par Lolotka
kokoko Posté(e) 28 avril Posté(e) 28 avril J'ai terminé il y a peu La sage-femme d'Auschwitz de Anna Stuart. "Lorsqu'elle arrive à Auschwitz, sous un ciel bas et gris, Ana est persuadée qu'elle ne survivra pas à l'enfer du camp. Mais elle possède une compétence que les nazis recherchent : elle est sage-femme. Son travail sera de donner naissance aux enfants des autres prisonnières. Une mission terrible car, dès qu'ils ont poussé leur premier cri, les nouveau-nés sont arrachés à leurs mères et donnés à des familles allemandes. Malgré la détresse de ces femmes à qui on vole leurs bébés, Ana essaie d'apporter un peu de réconfort autour d'elle. Et puis un jour, elle réalise qu'elle peut faire plus. Secrètement, elle commence à tatouer les petits avec les numéros de déportées de leurs mères. Une lueur d'espoir dans ce monde d'une infinie noirceur : et si un jour, après l'horreur de la guerre, grâce à ce petit geste, ces enfants et leurs mères pouvaient se retrouver ?" On y rencontre aussi Ester, Filip, Mala, Naomi,...et puis les tortionnaires, les monstres... J'ai adoré le livre qui comporte une suite : La sage-femme de Berlin Un témoignage (roman écrit à partir d'histoires vraies) dur mais au combien important à mon sens. 1
Kiwichick Posté(e) 28 avril Posté(e) 28 avril Pareil que toi @Lulublue2 grosse déception sur ce deuxième bouquin. Je ne l'ai même pas terminé Les deux SF à Auschwitz puis Berlin, j'ai aimé, mais c'est quand même pas super bien écrit. 1
doubleR Posté(e) 28 avril Posté(e) 28 avril (modifié) Je me remets à lire les livres que j'ai commencé ya plusieurs mois ... J'ai enfin fini Goldman de l'historien Yvon Jablonka, j'ai beaucoup aimé, ça m'a replongé dans ma jeunesse, et le coté sociologique de l'essai est très intéressant. Je viens de finir Dans la foret de Jean Engeland, tres beau livre. Rien n’est plus comme avant : le monde tel qu’on le connaît semble avoir vacillé, plus d’électricité ni d’essence, les trains et les avions ne circulent plus. Des rumeurs courent, les gens fuient. Nell et Eva, dix-sept et dix-huit ans, vivent depuis toujours dans leur maison familiale, au cœur de la forêt. Quand la civilisation s’effondre et que leurs parents disparaissent, elles demeurent seules, bien décidées à survivre. Il leur reste, toujours vivantes, leurs passions de la danse et de la lecture, mais face à l’inconnu, il va falloir apprendre à grandir autrement, à se battre et à faire confiance à la forêt qui les entoure, emplie d’inépuisables richesses. J'ai vu qu'il y avait eu un film. Je vais commencer Luca de Thilliez Modifié 28 avril par doubleR
jeanounette Posté(e) 29 avril Posté(e) 29 avril Il y a 15 heures, Lolotka a dit : Je viens de finir Le portrait de mariage de Maggie O'Farrell. Après Hamnet, Maggie O'Farrell nous entraîne dans la Renaissance italienne pour redonner vie à une femme libre, rebelle, incomprise. Portée par une écriture d'une beauté inouïe, une œuvre lumineuse et poignante. C'est un grand jour à Ferrare. On y célèbre les noces du duc Alfonso et de Lucrèce de Médicis. La fête est extravagante et la foule n'a d'yeux que pour le couple. La mariée a quinze ans. Rien ne l'avait préparée à ce rôle. Elle n'était que la troisième fille du grand duc de Toscane, la discrète, la sensible, celle dont ses parents ne savaient que faire. Mais le décès soudain de sœur aînée a changé son histoire. La fête est finie, Lucrèce est seule dans un palais immense et froid. Seule face aux intrigues de la cour. Seule face à cet homme aussi charismatique que terrifiant qu'est son mari. Et tandis que Lucrèce pose pour le portrait de mariage qui figera son image pour l'éternité, elle voit se dessiner ce que l'on attend d'elle : donner vie à un héritier. Son propre destin en dépend... J'ai adoré ce roman biographique. Vraiment très bien écrit. De cette auteure Maggie O'Farrel, j'ai vraiment adoré L'étrange disparition de Esme Lennox 1
Chakana Posté(e) 29 avril Posté(e) 29 avril @doubleR Dans la forêt, c'est un livre qui m'a beaucoup marquée. J'ai beaucoup aimé...... mais à ne pas lire si vous traversez une période difficile, je trouve ! Une femme à Berlin – Anonyme Pas un roman, mais un témoignage. Le journal d’une femme allemande, à Berlin, entre 20 avril et le 22 juin 1945. Très prenant et émouvant. Un éclairage sur le fait d’être une femme dans la guerre : comment utiliser son corps « pour s’en sortir », être considérée comme un objet, comment survivre aux viols répétés, devenus banals ….. Mrs Hemingway – Naomi Wood Biographie romancée des 4 histoires d’amour d’Ernest Hemingway avec les femmes qu’il a épousées. J’ai eu du mal à rentrer dans le livre, puis je me suis laissée prendre par la structure répétitive du livre : à chaque fois, le roman décrit le moment où Hemingway passe d’une femme à l’autre. On comment elle passe de l’état de maîtresse à celui d’épouse, et comment l’épouse réagit (tantôt compréhensive et conciliante, tantôt blessée et vindicative). Jusqu’à la dernière, qui sera sa veuve. Ce roman dépeint aussi une certaine société (artistes, aisés) dans les années dites « folles ». Avec l’évocation de la France, la Californie, Cuba ... Agréable lecture, qui m’a donné envie d’en découvrir plus sur Hemingway. Les femmes de la Principal – Lluis Llach Étonnant et décevant ! Étonnant, car il y a comme un « switch » au milieu du roman. J’ai même pensé que c’était une autre personne qui avait terminé le roman, tant la narration prend une direction complètement inattendue et improbable. D’où ma déception. Pourtant, tout commençait bien, avec la promesse d’une belle saga familiale avec ses intrigues, ses secrets. On se laisse emporter dans la vie de cette propriété viticole, touchée par le phylloxéra. Cette fratrie de 4 frères et 1 sœur qui connaît les rivalités et jalousies habituelles. (seul bémol : j’ai été gênée par les allée et venues entre les époques et les 3 Marias. Au début il est difficile de s’y retrouver) . Et là c’est le drame : surgit un inspecteur sorti d’on ne sait où, qui relance une vielle enquête pour meurtre… Tout ça sur fond d’homosexualité et homophobie. A tel point que j’ai cru que l’auteur était lui même représentant de cette cause. Mais non, il ne semble pas. Et des incohérences : qu’est devenue la 2ème Maria ? Pourquoi a-t-elle remplacé la vigne par des noisetiers alors que sa fille vend du vin quelques années plus tard ? La dernière partie (Maria et son père) semble complètement plaquée de façon artificielle, sans lien avec le début du roman. Décevant, donc ! 1
Misca Posté(e) 29 avril Posté(e) 29 avril Je lis Un jeune homme si tranquille, de Yves Viollier. J'ai posé la question à mon oncle, la dernière fois que nous nous sommes vus, il y a plus d'un an, il était encore en pleine forme. « Est-ce que tu as parlé à tes amis ? » Il m'a répondu : « Je n'ai pas encore osé... » Roger Martin les a séduits. Il a été accueilli dans ce bourg dont le narrateur est le maire, comme un ami de toujours. Veuf, à plus de soixante-dix ans, il avait besoin d'une famille. Et tous lui ont ouvert les bras. Il est devenu le père, le grand-père, le vieil homme que les jeunes aiment bien. La déception a été aussi violente que l'amour et l'amitié avaient été doux. Le fil du temps s'est tendu. Roger, en jeune homme, est alors apparu dans sa vérité. L'Occupation avait été ce théâtre où il a joué un rôle funeste. Écrivain de l’épure, Yves Viollier, avec ce texte chaleureux et glaçant à la fois, dont le sujet est dessiné avec la plus grande humanité, pourrait prendre pour sienne la devise simenonienne : « Comprendre et ne pas juger. » Un roman sur l'amitié, où après le décès de celui qu'on a aimé comme un père, un grand-père, ..., on découvre qu'il avait été, dans les heures sombres de l'histoire, un salopard aux côtés duquel on n'aurait même pas voulu être enterré... Qui sont réellement nos amis ? Les aimerait-on autant si on découvrait leur part d'ombre ? 1
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