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corazon

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Je viens de finir "Tenir sa langue " de Polina Panassenko (Prix Femina des lycéens 2022)

"Ce que je veux moi, c'est porter le prénom que j'ai reçu à la naissance. Sans le cacher, sans le maquiller, sans le modifier. Sans en avoir peur."
Elle est née Polina, en France elle devient Pauline. Quelques lettres et tout change.
A son arrivée, enfant, à Saint-Étienne, au lendemain de la chute de l'URSS, elle se dédouble : Polina à la maison, Pauline à l'école. Vingt ans plus tard, elle vit à Montreuil. Elle a rendez-vous au tribunal de Bobigny pour tenter de récupérer son prénom.
Ce premier roman est construit autour d'une vie entre deux langues et deux pays. D'un côté, la Russie de l'enfance, celle de la datcha, de l'appartement communautaire où les générations se mélangent, celles des grands-parents inoubliables et de Tiotia Nina. De l'autre, la France, celle de la maternelchik, des mots qu'il faut conquérir et des Minikeums.

 

Et "La Petite menteuse" de Pascale Robert-Diard

 A quinze ans, Lisa est une adolescente en vrac, à la spontanéité déroutante. Elle a eu des seins avant les autres filles. Des seins qui excitent les garçons.
Mais Lisa change et devient sombre. Elle semble en permanence au bord des larmes. Acculée par ses professeurs, elle finit par avouer. Un homme a abusé d'elle, plusieurs fois.
Les soupçons se portent sur Marco, un ouvrier venu faire des travaux chez ses parents. Marco n'a jamais été longtemps avec une femme. Il a essayé les hommes. Il boit trop. Il écrit des lettres rageuses pour sa défense, pleines de points d'exclamation. Sans hésitation, Marco est condamné à dix ans de prison.
Lors du procès en appel, Lisa est majeure. Elle débarque dans le bureau d'Alice, une avocate de la petite ville de province. "Je préfère être défendue par une femme."
C'est comme cela que tout a commencé.

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Par le vent pleuré, par Ron Rash.

1969, dans un bled perdu des Appalaches, deux frères sont marqués à jamais par leur rencontre avec une sirène perdue. Un beau roman d'initiation, de fraternité, de culpabilité, dans le style des livres de David Joy.

Présentation de l'éditeur : Dans une petite ville paisible au coeur des Appalaches, la rivière vient de déposer sur la grève une poignée d'ossements, ayant appartenu à une jeune femme. Elle s'appelait Ligeia, et personne n'avait plus entendu parler d'elle depuis un demi-siècle.
1969 : le summer of love. Ligeia débarque de Floride avec l'insouciance et la sensualité de sa jeunesse, avide de plaisirs et de liberté. C'est l'époque des communautés hippies, du Vietnam, de la drogue, du sexe et du Grateful Dead. Deux frères, Bill et Eugene, qui vivent bien loin de ces révolutions, sous la coupe d'un grand-père tyrannique et conservateur, vont se laisser séduire par Ligeia la sirène et emporter dans le tourbillon des tentations. Le temps d'une saison, la jeune fille bouleversera de fond en comble leur relation, leur vision du monde, et scellera à jamais leur destin – avant de disparaître aussi subitement qu'elle était apparue.
À son macabre retour, les deux frères vont devoir rendre des comptes au fantôme de leur passé, et à leur propre conscience, rejouant sur fond de paysages grandioses l'éternelle confrontation d'Abel et de Caïn.

 

Et Du même bois par Marion Fayolle. Portrait d'une ferme et d'un monde qui meurt, une écriture assez rude qui convient parfaitement à la vie de ces gens. J'ai beaucoup aimé.

Présentation de l'éditeur Dans une ferme, l’histoire se reproduit de génération en génération : on s’occupe des bêtes, on vit avec, celles qui sont dans l’étable et celles qui ruminent dans les têtes. Peintes sur le vif, à petites touches, les vies se dupliquent en dégradé face aux bêtes qui ont tout un paysage à pâturer. Marion Fayolle crée un monde saisissant dont la poésie brutale révèle ce qui s’imprime par les failles, par les blessures familiales, comme dans les creux des gravures en taille-douce.

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je viens de finir Silo de Hugh Howey

Résumé Dans un futur postapocalyptique indéterminé, une communauté d’hommes et de femmes a organisé sa survie dans un silo souterrain géant. Du monde extérieur, devenu hostile, personne ne sait rien, sinon que l’atmosphère y est désormais irrespirable. Les images de mauvaise qualité relayées par d’antiques caméras, montrant un paysage de ruines et de dévastation balayé de vents violents et de noirs nuages, ne semblent laisser aucune place à l’illusion. Pourtant, certains continuent d’espérer. Ces individus, dont l’optimisme pourrait s’avérer contagieux, représentent un danger potentiel. Leur punition est simple. Ils se voient accorder cela même à quoi ils aspirent : sortir.

Mon avis : Bien que je n'ai pas du tout l'habitude de ce genre de lecture, j'ai adoré ce livre. J'ai très envie de lire les 2 autres tomes de la trilogie. plus on avance dans l'intrigue plus on veut savoir. Les chapitres sont courts et se lisent vite. 

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@chacha76 ça décolle au bout de combien de temps ? Lu les 100 premières pages, hâte que ça démarre !

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Il y a 4 heures, Kiwichick a dit :

@chacha76 ça décolle au bout de combien de temps ? Lu les 100 premières pages, hâte que ça démarre !

je ne me souviens pas du nombre de pages mais je dirais quand Marnes et Jahns remontent des Machines

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il y a une heure, Kiwichick a dit :

Merci, c'est pile là où je suis !

ça ne devrait plus être très long. Après cela se décante. je pense que la descente sert à visualiser le silo. Son gigantisme, les différentes fonctions des étages etc.

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J'ai fini Trois vies par semaine de Michel Bussi

Le résumé Un mort

Deux disparus
Trois femmes amoureuses


Un corps est retrouvé dans la vallée de la Meuse, au cœur des Ardennes. Accident, suicide, meurtre ?
La révélation de l'identité de la victime plonge la capitaine Katel Marelle dans la sidération.
Renaud Duval menait-il... trois vies par semaine ?
Trois femmes attendent son retour. Chacune revendique d'être son unique amour.
Ensemble, elles vont tenter de percer l'énigme d'une impossible triple vie...
Mais comme dans un théâtre d'illusions, des ombres rôdent, prêtes à se venger.
Qui sait la vérité ? Qui manipule ? Qui tire les ficelles ?

Méfiez-vous des fils invisibles

Mon avis : C'est un Bussi donc je me méfie. je sais qu'il va essayer de m'embrouiller. Et bien je me suis quand même faite avoir. A un moment j'ai dû faire cette tête là :blink: en disant "Mais non ce n'est pas possible ! " Pourtant si ! il est quand même très fort.

Lu en 2 jours le suspense est présent. L'écriture de Bussi est toujours aussi agréable. J'ai bien aimé les marionnettes comme fil rouge de l'histoire. Celui qui tire les fils ici c'est l'auteur. 

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J'ai lu 3 livres de Michel Bussi. Et chaque fois, une fin, pour moi, totalement tirée par les cheveux, totalement improbable.

 

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Le 08/04/2024 à 20:25, chacha76 a dit :

 

Mon avis : C'est un Bussi donc je me méfie. je sais qu'il va essayer de m'embrouiller. Et bien je me suis quand même faite avoir. A un moment j'ai dû faire cette tête là :blink: en disant "Mais non ce n'est pas possible ! " Pourtant si ! il est quand même très fort.

Lu en 2 jours le suspense est présent. L'écriture de Bussi est toujours aussi agréable. J'ai bien aimé les marionnettes comme fil rouge de l'histoire. Celui qui tire les fils ici c'est l'auteur. 

Exactement la même réaction que toi... Je me suis fait avoir également... Mais ça faisait un moment que je n'avais pas lu un de ses romans, et franchement, j'ai très vite accroché et me suis laissée happer par l'histoire...

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Je l’ai réservé à la bibliothèque ! Merci ☺️ 

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Je lis le dernier Joël Dicker L’animal sauvage. J’avais adoré le 1er l’affaire Harry Quebert puis son avant dernier sur Alaska Sanders, et là, encore, je n’arrive pas à le lâcher … je ne sais pas la chute pr le moment mais c’est super 👌

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