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temoignages d'arret en PE2


del-leeloo261

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Bonjour à tous !

Je viens régulièrement sur le forum mais je n'avais pas vu ce post...

Je viens de reprendre après un congé parental de 6 mois, c'est ma 8ème année d'enseignement.

Régulièrement depuis mes débuts en tant qu'enseignante, je me pose ce genre de questions, mais c'est vrai que cela dépend des classes qu'on a : c'est vrai que l'école, les enfants, les collègues peuvent rendre ce métier plus ou moins agréable.

Je pense aussi, comme il a été dit dans un autre post, qu'il faut bien analyser les raisons de ce doute : est-ce un doute en rapport plus avec le boulot en lui-même, ou plus une personnalité qui pousse à toujours douter et à penser que ça peut-être mieux ailleurs...Je suis assez dans ce cas là.

Cette année, aller travailler est plus pour moi synonyme de souffrance et de stress que de plaisir : impression de ne faire que bosser et de ne jamais déconnecter du travail, difficultés à motiver les enfants (cette année très faibles) malgré des recherches d'activités intéressantes, impression que les parents me regardent de travers (mais j'ai toujours eu ce côté un peu parano...), impression aussi que les autres collègues y arrivent bien mieux que moi en bossant moins en plus.

Bref, la semaine dernière j'ai craqué à la fin de la classe, je me suis mise à pleurer dans ma classe, et il a fallu qu'un instit vienne à ce moment là et il a vu mon "état"..;Je lui ai dit que j'en avais marre (il y a un élève qui s'est déjà fait virer d'un école dans ma classe) et que j'avais envie de démissionner, il m'a remonté le moral, a appelé le directeur qui me l'a remonté aussi..;Bref ils ont été sympas et m'ont dit que dans ce boulot, dans ce quartier, même avec de la bouteille parfois on en avait marre.

Mais je ne sais plus trop où j'en suis. Mon mari ne me comprend pas non plus.

Ce qui est dur dans ce boulot je trouve, c'est d'affronter le regard et les remarques des parents (qui ne sont pas si graves, c'est vrai, parfois c'est juste pour communiquer, dire que son enfant a eu un peu de mal à faire ses devoirs ou autre chose, mais je prends tout ça pour moi, je n'ai pas une carapace assez dure.).

Mais bon, je crois que même si j'y vais sans plaisir, je ne traumatise pas mes élèves pour autant : je prends sur moi pour être patiente, expliquer etc.

Voilà pour mon témoignage.

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Et ben voila, clemence57, personnellement, je ne veux pas en arriver la. Tu as beaucoup de courage de t'accrocher a ce point.

Moi, j'ai toujours pense que c'etait pas un boulot dans lequel j'"essaierai" de tenir, pour eviter les remarques ou les jugements des autres. On travaille sur de l'humain...

Mais vraiment, je respecte ton choix.

En fait, par mes reflexions, j'essaie de savoir si c'est bien le boulot que je voulais faire et pour lequel j'etais archi motive. J'avoue que j'avais une vision idealiste du metier d'enseignant, en ne voyant que le bon cote. Malheureusement, il y a le cote obscure, la face cachee de l'iceberg, qui m'amenent a douter. Ca fait un choc de realiser ce qu'est vraiment le metier d'instit! Reellement! Et j'espere que tous ceux qui passent le concours en ont conscience. D'ailleurs a ce propos, je trouve que le concours ne prepare absolument pas au metier d'enseignant et je trouve ca definitivement pas normal.

En tous cas, je trouve que discuter de nos difficultes est tres formateur et laisse a reflechir.

Continuez a alimenter ce post, je pense que ca en aide bcp plus que je ne le pensais. Que vous soyez PE2 ou titulaires depuis des annees...

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Bonjour tout le monde,

Pour ma part les hésitations je les ai eu en PE1. Au contraire, c'est pas parce qu'on passe par une PE1 qu'on se sent mieux formé!

Vers décembre, j'ai failli tout arrêter et me lancer dans l'enseignement secondaire. La vision de l'enseignement que voulait me faire passer les formateurs de l'IUFM ne me plaisait pas: ce n'est pas comme ça que j'envisageais, et que j'envisage toujours, l'enseignement. Et puis, comme il était trop tard pour s'inscrire au CAPES, j'ai continué et j'ai eu le concours.

Par moment, je me pose encore des questions: j'ai une licence de géographie qui est ma passion et l'enseigner, elle uniquement, m'aurait beaucoup plu! Alors, l'idée de me réorienter dans quelques années m'est apparu comme une évidence: passer mon CAPES ou devenir enseignante pour enfants malades... retser 42 ans instit, je ne pourrais pas, j'aime changer. Peut être me réorienter dans l'urbanisme (concours interne)...

En PE2, on a l'impression d'être "agressé" en permanence: on pas fini de passer le concours :wacko: entre la pression des 3 stages, des validations, du mémoire, des fiches de prep totalement formatées! Mais, grâce à 2 ans de prépa lettres dans un grand lycée parisien, j'ai appris à relativiser tout ça et à réaliser que si on veut lier boulot, loisirs et famille il faut simplement ne pas donner trop de temps à notre stress.

Je comprends qu'on puisse avoir envie d'arrêter mais il ne faut pas se laisser impressionner par la PE2. Après, si ton questionnement dépasse le simple stade de la PE2, c'est qu'effectivement il te faut te réorienter...ça ne sera pas facile, il te faudra t'expliquer envers tes proches qui ne comprendront pas pourquoi tu quittes ta belle place au soleil... mais à quoi sert de vivre pour les autres si toi tu y brûles au soleil! :blink:

Réfléchis bien et ne regrette jamais ta décision, c'est le plus important.

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Bonjour à tous !!!

Personnellement, je pense que tu es loin d'être la seule personne à te poser ce genre de question ....

Le doute est normal dans notre début de carrière, c'est lui qui nous pousse à être toujours meilleur pour les enfants. Mais de là à ce qu'il prenne le pas sur notre motivation à exercer ce métier, c'est différent !!! Dans ce cas là la réflexion que l'on doit mener est importante. Comment savoir si ce métier est bien fait pour nous ??? Moi, je ne le sais pas.

Je suis en PE2 à Etiolles comme Leeloo et je me dis que tout ce que peuvent nous donner les formateurs est bon à prendre et pourront nous servir dans les années à venir... Je crois que les stages en responsabilité nous apporteront beaucoup de réponses à ce genre d'interrogation. Je m'imagine toujours avec les élèves en train de leur apprendre des choses et avec une bonne relation entre nous : c'est peut être idéaliste, utopiste mais ça m'aide à avancer...

Les difficultés de l'enseignement ??? On est peut être seul face à nos élèves mais en dehors on n'est pas tout seul. Notre travail personnel, les collègues ou d'autres personnes ressources peuvent nous aider à les régler.

Mais il ya aussi une chose qui me parait important voire primordiale : c'est notre vie privée. Certes nous allons passer énormément de temps à préparer nos cours au début, le stess sera effectivement présent... mais je crois qu'il faudra toujours se garder des moments pour notre vie privée : notre famille, nos amis, nos loisirs ... C'est un équilibre que l'on doit trouver entre l'école et notre chez nous. Personnellement, je crois que je n'hésiterais pas à aller voir mes amis ou ma famille pour me ressourcer si ça ne va pas, même si il faut que je bacle une préparation une fois ou deux !!! Les enfants ont besoin de nous sur du long terme. Si on n'est pas capable de durer, ça ne peut pas marcher... alors autant être à côte de la plaque sur une séance ou deux mais être efficace sur le reste de l'année.

Dans tous les cas, il me semble important de se poser les bonnes questions concernant notre avenir : nos envies, nos motivations, nos choix de vie.... Je pense qu'il doit exister des personnes très compétentes pour nous aider à nous poser ces bonnes questions et à faire le point sur notre vie. L'important est d'en parler et ce post est le bienvenu !!!

Voili voilou , c'était peut être un peu long !!!! désolé !!! ;)

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Je suis vraiment étonnée de l'ampleur de ce post et suis vraiment contente de lire tous vos avis...même si bien sûr, on fait tous avec notre personnalité, notre histoire, nos propres peurs, nos propres doutes, nos propres remises en question...ben ça aide bcp...Je crois que c'est aussi une attitude à avoir face au métier peut être...Perso je sais que j'ai bcp de mal à prendre du recul, j'ai tendance à croire que je ne suis jms à la hauteur, et probablement que je mets la barre trop haut, et ça pour chaque mission que l'on me confie, que ce soit sur le plan professionnel ou personnel...en PE2 je me sens perdue, parfois je ne comprends pas leur discours et je me dis que j'ai dû me tromper de chemin...mais quand je vais en stage filé, j'ai une toute autre idée du métier, et je crois qu'avec un peu d'expérience et de détachement (pas trop non plus), on arrive à trouver un équilibre...je crois qu'il faut essayer un maximum de ne pas s'enfermer, de ne pas réduire notre champ d'ouverture sur le monde...et prévenir notre entourage pour qu'il nous aide à relativiser...vivant seule j'ai l'impression d'être tjs dans les cours pour l'instant, alors que j'ai bcp de passions, d'amis, et d'envies hors PE... et si j'ai déjà exercé pls fonctions avant, je trouve que le rythme PE2 est très difficile...d'ailleurs je tire mon chapeau aux mamans et aux papas PE2 pcq ça demande une sacrée organisation..Quant au concours, j'ai pris bcp de plaisir à le préparer en candidate libre, et là je me retrouve dans un état de stress permanent qui laisse pantois mon entourage, puisque pour eux, "c'est bon, t'as eu le concours, maintenant t'es sur le bon rail"...ouaip ben un jour à la fois...moi aussi j'avais une vision très utopiste du métier, et j'ai choisi PE car j'avais peur de laisser de côté trop de morceaux de moi...j'espère que l'inverse n'est pas en train de se produire...je veux un métier qui me garde les yeux grands ouverts sur l'Autre, le monde, la diversité...j'attends de voir...

Courage à tous :rolleyes:

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Quant au concours, j'ai pris bcp de plaisir à le préparer en candidate libre, et là je me retrouve dans un état de stress permanent qui laisse pantois mon entourage, puisque pour eux, "c'est bon, t'as eu le concours, maintenant t'es sur le bon rail"...ouaip ben un jour à la fois...

Perso, ca aussi ca me derange enormement... Le concours m'a mis dans des situations de stress passager, tres ponctuel et je pensais en avoir termine avec les evaluations, les jugements etc... (d'ailleurs le fait d'etre titularise sur un simple avis, un simple jugement d'une commission, me semble tres inadequat, mais bon...)

Ma reflexion m'amene aujourd'hui a penser que j'avais une vision idealiste et plutot fausse du metier d'enseignant. Et donc, vais-je reussir a m'"inserer" dans un metier different que celui que je souhaitais occuper a tout prix.

Depuis la rentree en PE2, mon doute et mes interrogations font que je ne parviens pas a m'installer et a mon concentrer sur l'instant present. Je m'investis peu dans les cours et realise le minimum des taches demandees.

A mon avis, c'est pas du tout la bonne voie a emprunter. Je devrais au contraire me sentir tres a l'aise et me lancer dans tout ce qui m'est propose. Je sais pertinement qu'avec cette attitude distante, je rate bcp de choses tres interessantes.

Je commence a trouver le temps long et je me dis que si tous les matins je me reveille avec cet espece d'angoisse de la journee, ca promet de "belle" journee a venir...

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Le problème avec les stages PE2, c'est que généralement ils se passent dans des écoles d'applications ou bien évidemment les élèves sont tous très sages et bine obeissants!! Mais la réalité nous rattrape vite!!!

Je suis T1 depuis septembre et je suis déjà en arrêt!

Ma PE2 s'était assez bien passée: j'ai toujours eu des raaports très satisfaisants, mais cette année, le mental et le physique ne suivent pas. Comme didoo, je me pose beaucoup de questions et je ne me sens pas prête à assumer autant de responsabilités.

La motivation doit être au rendez-vous car si c'est pour aller au boulot en trainant les pattes, ça retombera sur les gamins et je n'en ai vraiment pas envie!!!

Je suis jeune (22ans) et je songe à reprendre des études....Ca va être dur (surtout au niveau financier!!! et oui, pas facile de retrouver du boulot!!) mais je préfère ça aux crises d'angoisse et de stress, à cette vie de prof qui me bouffe l'existance!

Je tiens à préciser que cela n'engage évidemment que moi. Je suis certaine que ce métier est passionnant si on est passionné! J'aurai tellement aimé que cela fonctionne....A chacun sa voie et bon courage à tous!!!

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Comme beaucoup, être PE est une reconversion. Je ne supportais plus mon ancian boulot dans l'informatique, j'en avais des crises d'angoisse de dépression, je faisais tout pour être malade... Quand j'ai eu le concours quelle délivrance!! La PE2 a été terrible, en plus avec mes 2 enfants... c'est sûr que certains profs d'iufm n'ont jamais eu de classe et sont à côté de la plaque mais faut laisser couler, je pense que la PE2 ce n'est pas ça le métier de PE, tout est dans l'urgence, tout est jugé, évalué... Là j'ai fait ma rentrée en tant que T1 et c'est le bonheur, une équipe très sympa, une directrice très cool, qui prône le "chaque chose en son temps".. Fini la précipitation des stages où tout doit filer droit en 3 semaines, je prends le temps surtout là en début d'anner (je suis en mater) de laisser mes élèves se remettre dans le bain, et puis j'ai décidé que certains bouquins étaient très bien faits, certains sites donnent des mines de conseils, alors je m'en sers, on ne peut pas tout réinventer. En tout cas j'ai eu des doutes en PE2, pas au point d'abandonner, mais là j'essaie de prendre de l'assurance, je n'hésite jamais à demander l'avis de mes collègues et je me laisse le temps car je débute. Finis les doutes, j'aime ce que je fais, j'aime toutes ces paires d'yeux qui me regardent, j'aime tous ces sourires toute cette affection débordande des gamins ...

Laisse toi aussi un peu le temps, souffle dans ton travail, essaie de te faire plaisir et attends de voir ce qu'est vraiment ce boulot.

Je rajoute juste que c'est très salutaire de penser au bien-être des élèves plus qu'à la sécurité de ton emploi!!

Bon courage pour cette année qui n'est pas facile...

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Hello Hello,

je pense que pas mal de personnes se retrouvent dans tout ce qui est dit sur ce post... il est normal je pense de se poser des questions. Personnellement, j'attends mon affectation, j'ai peur de rentrer "dedans", non pas que j'ai peur de me retrouver dans une classe difficile ou bien peur de ne pas savoir préparer un cours, j'ai peur de ne pas etre a la hauteur et que les enfants en patissent... Tout le monde me dit que c'est normal d'avoir peur. Il est vrai que les stages en PE2 se passent généralement dans des écoles privilégiées (enfin c'est ce qu'on m'a dit, moi g pas eu l'admission directe) et que on peut tomber de haut quand la réalité nous rejoint. Personnellement, je pense que l'année la plus formatrice pour moi va etre celle-ci quand le rectorat va m'appeler et me dire " allez hop, y'a un Cm1 qui vous attend dans le 93..." ! Ca fait très peur, en même temps, ce sera la réalité du métier et je verrai bien si je suis fait pour ou non ... Peut-etre que la formation devrait se dérouler comme ca pour tout le monde... je ne sais pas. Voila j'ai fini de m'autopsychanalyser... :)

SeB

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salut!eh bien moi je suis en pe2 apres avoir été ae pendant 4 ans et lc l'annee derniere en tant que brigade...

je dois dire que cette annee de pe2 n'est pas faite pour etre rassurante!!!l'annee derniere on m'a balancé dans des classes a 80 km de chez moi ou je ne connaissais rien ni personne.apres quelques larmes et desillusions,je dois avouer que j'ai eu envie de relever le defi de ces eleves (dont certains hyperactifs)!!ca a été assez difficile mais en fin de compte quel bonheur de voir ce lien entre eux et nous qui se cree et de se rendre compte que si on enseigne c'est surtout pour des pauvres gosses comme ca!

quelle ne fut pas ma surprise qu_and a mon 1er cours de francais le prof demontait toutes mes theories durement fondées pendant mon annee d'experience!!!!!!

en fin,bref,je suis a l'iufm et je dis oui oui pour etre titularisée et j'en profite pour prendre des conseils qui sont,parfois judicieux, mais je pense que seule ton experience bonne ou mauvaise pourra te permettre de prendre la bonne decision....ne te fie pas a tout ce qu'on te dit a l'iufm ,c'est un discours formaté!!!

l'annee derniere loin de chez moi, avec des gamins durs et un bb a la maison jk'ai pu m'en sortir et il ne me semble pas avoir traumatisé mes eleves alors franchement,il faut mettre bcp de leurs theories de coté!!!!

bisou et re montez moi ce moral qui traine au ras des paquerettes!!!!

:D

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je me suis beaucoup remise en question quand j'étais LC et que je n'y arrivais pas, submergée par le stress et le boulot, la PE2 s'est bien passée même si je ne l'ai pas trouvée intéressante (sauf les stages ), cette année m'a permis de reprendre confiance en moi, cette année ça se passe très bien, j'ai fait le choix de limiter mon temps de préparation (c'est donc pas toujours top ,surtout avec 4 niveaux) mais je consacre suffisamment de temps à ma famille et mon cheval, pour être bien dans ma tête et du coup ma relation avec les élèves sont très bon, et ça roule. Tout ça pour dire que l'on peut douter (beaucoup) de ses compétences et puis avec le temps ça s'arrange.

je voulais aussi souligner qu'un PE2 l'année dernière a démissionné la veille du 2nd R3, il était pourtant ex-LC (et ça c'était bien passé), mais il ne supportait pas la pression et la somme de travail de préparation: c' était trop imporatnt pour lui. il a trouvé un boulot comme animateur sportif dans une mairie et il ne semblait pas regretter son choix. c'était courageux d'autant qu'il plus qu'il aurait été surement validée à la fin de sa PE2... Des fois il y a un grand décalage entre l'idée que l'on se fait du métier et la réalité...

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Merci pour vos participations, tres interessantes...

Les autres n'hesitez pas! Ca fait du bien de parler de nos problemes vis-a-vis de notre boulot.

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