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Posté(e)
Il y a 1 heure, Filounet a dit :

Et quand tu connais Charline, tu t'aperçois que, bien qu'en étant en tout début de carrière et ayant tout à apprendre, elle est déjà référente maths, déchargée à mi-temps, et qu'elle enseigne en réalité en GS dédoublée, le cours double à 28 n'étant "que pour la photo" !

Et quand tu reviens quelques années plus tard Charline n'est plus là. Elle s'est barrée dans les arcanes de la DSDEN. 

  • J'adhère 1
Posté(e)
Il y a 1 heure, nonau a dit :

Et quand tu reviens quelques années plus tard Charline n'est plus là. Elle s'est barrée dans les arcanes de la DSDEN. 

Ou de son syndicat ...

Posté(e)

Et puis tout le monde cherche : où est Charline ? 

  • Haha 4
Posté(e)

Rhoooo faut suivre! Pour le moment, dans un article de publication syndicale qui t explique comment faire mieux avec moins en en demandant encore plus ( j ai du mal avec le concept du syndicat qui contribue à mettre mal les personnels) . L an prochain  elle sera chargée de mission tout en passant son cafipemf ( les jurys ont des consignes " il faut qu il l ait, il est appelé à des fonctions au ministère") . Et dans 5 ans, soit à la dsden voire ministère soit à la tête de sa section syndicale départementale.  

Posté(e)

😄 Ah Ah tellement vrai !!!

  • J'adhère 1
Posté(e)
Le 24/11/2023 à 08:22, Lena a dit :

Et dans 5 ans, soit à la dsden voire ministère soit à la tête de sa section syndicale départementale.  

Voire nationale !

J'ai eu comme ça un "guignol" roi de la pédagogo "paillettes", qui n'arrivait en réalité pas à faire progresser ses élèves (qu'il n'avait que deux jours) mais parlait "bien dans le poste" et s'est retrouvé "au national" de son syndicat !

Posté(e)

Tu ne les portes pas dans ton coeur 😉.

Quand j ai eu besoin de conseils rh, des personnes syndiquées avec décharge m ont bien accompagnée. Comme beaucoup.  Même si je ne partage pas les idées des 2 syndicats majoritaires, je respecte l engagement qu'y mettent beaucoup de leurs représentants de terrain. Des arrivistes, on en trouve partout 😓 , et certains terrains leur permettent de s exprimer mieux que d autres. 

  • J'adhère 2
Posté(e)
Il y a 5 heures, Lena a dit :

Tu ne les portes pas dans ton coeur 😉.

Ca dépend lesquels ! J'en connais de très bien !

Mais j'estime que pour représenter des enseignants, il faut soi-même connaître le sujet et partager leurs conditions de travail.

Ce n'était pas le cas de la personne que je décris. Et il a fait beaucoup de dégâts avec ses élèves.

Et des Charline, ici, on en a vu pas mal ! Plus souvent des Charles, en fait.

Posté(e)
Le 24/11/2023 à 07:28, BibUS a dit :

Et puis tout le monde cherche : où est Charline ? 

Elle a été rectrice de Versailles... Elle vient de quitter son poste pour le privé je crois 

Posté(e) (modifié)
Le 18/11/2023 à 09:52, prof désécol a dit :

L'inclusion mûrement réfléchie au cas par cas, peut-être ; pas l'inclusion systématique.

Certains élèves ne relèvent pas d'une classe banale, quels que soit les moyens en formation et en personnels que tu pourras y mettre.

 

Bonjour.

Dans le paysage éducatif, il est un fait extraordinairement insigne. Chaque fois qu'une mesure scolaire peine à convaincre de son bien-fondé, se trouvent toujours des intellectuels qui lui apportent la caution intellectuelle nécessaire à sa "commercialisation" et des équipes de légistes qui lui assurent "le service après-vente" en matière de rhétorique juridique. On l'a vu avec le pédo-centrisme de Jospin, le Socle commun de Fillon, l'interdisciplinarité de Mme Belkacem (les fameux EPI), etc. Mais on a l'impression que cette introduction de l'intelligentsia dans les affaires publiques, en toile de fond pour soutenir des mesures mal accueillies, est moins visible s'agissant de l'inclusion du handicap en milieu scolaire ordinaire. Alors, de qui s'agit-il ?

Outre les épigones de l'École nouvelle qui, depuis leur fief universitaire des sciences de l'éducation, ont déjà préparé le terrain pour une légitimation intellectuelle de l'école inclusive, se trouve aussi un quarteron de sociologues imprudents. Les premiers, en jetant sur l'école un voile de banalité consistant à la désigner comme un simple lieu de vie, ouvert à tous les vents, comme le serait un centre commercial, une rue, une gare, un club sportif…, ont cru bon d'écrêter l'espace scolaire de sa spécificité historique comme sanctuaire qui doit être réservé essentiellement à la diffusion du savoir et à l'activité intellectuelle. Quant aux seconds, ils ont osé transgresser la tradition sociologique en imposant une discipline iconoclaste : la sociologie de l'enfance. Alors que depuis Durkheim jusqu'à Bourdieu, l'idée même de faire de l'enfance un concept fondamental en sociologie est récusée, au nom du paradigme de l'enfance comme antichambre de l'âge adulte (il n'y a pas d'enfance mais simplement des enfants), les partisans de la nouvelle branche insistent sur l'idée que l'enfant est un acteur social puisqu'il aurait un rôle à jouer au sein de la société. Sans doute, en pensant aux influences que les enfants exerceraient, par leurs désirs ou leurs besoins, dans la prise de décision chez les adultes, ne voient-ils pas que le moteur de ces décisions n'est rien d'autre qu'un système de représentations que se forgent les adultes eux-mêmes sur l'enfance.

Dès lors, puisque l'école est un simple lieu de vie et que l'enfant est un acteur social, alors il ne faut pas s'inquiéter outre mesure si le pari de l'égalité des chances et de la réussite pour tous, proclamé urbi et orbi par le cadre légal (notamment la loi de 2013), est obéré par l'inclusion du handicap. Il n'y a rien d'alarmant si un tel objectif est loin d'être atteint, étant donné que la finalité ultime de la structure scolaire doit d'abord être l'épanouissement de l'enfant avant son instruction (vision de l'École nouvelle) et sa socialisation avant la formation de son intelligence (sociologie de l'enfance).

Au demeurant, il est également insigne de relever que le comité scientifique de la revue "Éducation et sociétés", qui a propulsé la sociologie de l'enfance, est essentiellement composé de chercheurs en sciences de l'éducation. On travaille la main dans la main, pour ainsi dire…

Or, il importe de préciser qu'il serait injuste d'intenter un procès d'intention à l'endroit de quiconque. Il s'agit simplement de relever un constat double : d'une part, à défaut de pouvoir convaincre, on se résout à persuader et, d'autre part, le concours de ces agencements théoriques et de ces ajustements intellectuels représente une coïncidence parfaitement heureuse pour les thuriféraires de l'école inclusive. Œuvre du hasard ?

La réflexion dans ses détails se trouve ici :

https://antipedagog.wordpress.com/2023/03/08/linclusion-scolaire-creuset-des-faux-semblants/

Bien à vous.

Modifié par desnos
Posté(e)

contre l'inclusion scolaire systématique, tous en grève le 25 janvier !

  • J'adhère 1

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