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Jean-Michel Blanquer prochain ministre du MEN


Zarko

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il y a 14 minutes, lolodebreizh a dit :

+1 Et je suis en Bretagne.

Ma petite est en TPS ; elle a eu 3 ans en janvier quand certains copains de PS ont eu 3 ans en décembre ... Oui, l'aspect financier est un avantage. De même, l'aspect pratique quand on a plusieurs enfants : on les pose tous au même endroit, ça évite de courir entre l'école et la nounou.

Cependant, je pense qu'elle se serait ennuyée chez la nounou qui n'a eu que des bébés cette année. Elle s'est très bien adaptée à l'école et elle a beaucoup appris, plus, je pense, que si elle avait été à la crèche ou chez sa nounou (quoique certains en pensent).

Elle a bénéficié de très bonnes conditions. Déjà, coup de chance, en début d'année, ils étaient une vingtaine en classe seulement, pour 26 ou 28 inscrits. Et surtout, mon conjoint est extrêmement disponible (avantage du télé-travail) ; il la pose le matin, la reprend le midi pour manger et est à l'école à 16h. Si elle avait dû faire des journées complètes, elle n'aurait pas été à l'école en TPS.

Donc oui, l'école, ça coûte moins cher que la crèche ou la nounou, mais ce n'est pas le seul argument. :)

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Citation

On aura retrouvé dans ces 4 principes ce qui fait convergence entre les candidats à la primaire de la droite. La personnalité de l'auteur, son parcours, le soutien de l'Institut Montaigne, ses appuis au sein du ministère font de JM Blanquer un ministre potentiel et de son ouvrage un livre programme pour un président soucieux de réduire le budget de l'Éducation nationale et de mettre au pas la machine éducative.

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2016/11/07112016Article636140851780439010.aspx

 

:(

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Il y a 8 heures, Pablo a dit :

Je te prie de bien vouloir m'excuser pour ne pas avoir fait des captures d'écran de tous les tweets célébrant ces nominations... La prochaine fois je songerais à mieux me justifier. Après la dernière fois j'avais relaté un fait pourtant paru dans la presse et on m'avait menacée de poursuites du coup je ne nomme plus personne, ni même les syndicats. Le mot majoritaire permet juste de comprendre que à ma connaissance FO et SUD n'ont pas sauté de joie, c'est tout. Maintenant si on ne peut même plus parler des syndicats du tout sans qu'on nous demande les sources (tout en sachant pertinemment qu'on ne peut par ailleurs les nommer)... 

J'allais remettre ici la lettre de notre MEN appelant tous ses étudiants à voter EM mais là encore ma source étant twitter je vais m'abstenir :D 

Tu m'excuseras aussi de ne pas connaître le fonctionnement de tweeter, ni d'autres réseaux sociaux. Tu m'excuseras aussi de trouver légitime qu'on argumente un peu plus une affirmation gratuitement à charge qu'avec un "je l'ai lu sur tweeter", compte tenu des attaques incessantes et sans nuance envers ces syndicats qu'on voit par ici.

Note bien que je ne dis pas que c'est faux, je n'en sais rien, car je n'ai rien lu de tel, d'où ma demande. Tweeter n'étant qu'un canal de diffusion, s'il y a une position officielle, elle est sans doute relayée ailleurs, ne serait-ce que pour les vieux grincheux réfractaires aux nouveaux réseaux comme moi.  Car oui, il y a une nuance entre le tweet d'un militant particulier et celui officiel d'un syndicat, ou encore entre se réjouir de l'arrivée d'une ou deux personnes et le soutien enthousiaste à un gouvernement. Nonau s'est rejouit ici de la nomination de Nicolas Hulot, doit-on en déduire qu'il salue avec enthousiasme l'arrivée de ce gouvernement ?  :idontno:

Modifié par flore49
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Notre nouveau ministre était sur france inter ce matin.

Quelqu'un a-t-il écouté et entendu ce qu'il a dit notamment pour les mesures effectives dès la rentrée ??? Pas le temps là d'écouter le replay.

https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-d-ali-baddou/l-invite-d-ali-baddou-19-mai-2017

 

Extraits de son intervention sur le Parisien :

7h56. «L'Institution est la pour vous aider pas pour vous contrôler» lance le ministre aux professeurs. «Les rythmes scolaires c'est quelque chose qui se discute calmement. On doit respecter les maires, il faut voir ce qu'il y a de mieux pour les enfants», poursuit Jean-Michel Blanquer. «Travaillons ensemble, on va faire progresser l'école ensemble».

 

7h54. «Mes maîtres mots, pragmatisme et évaluation scientifique», annonce le ministre de l'Education. «Il faut des professeurs très bien formés. On va y arriver, par étape. Il faut créer des postes, on est en train de calculer combien», ajoute-t-il. «Mon but c'est que chaque élève qui sort du CP sache lire et écrire». 

 

7h52. Quel projet pour le système d'éducation ? «Je veux le faire évoluer, je veux respecter les professeurs, je veux libérer les énergies», asure Jean-Michel Blanquer. «Il faut aimer son pays», élude le ministre sur la question du récit national. «Il faut un récit chronologique qui permet de se repérer» poursuit-il. 

 

7h50. «Sortons des caricatures», déclare Jean-Michel Blanquer. «Je n'ai pas fait que gérer une école de management», se défend le ministre, ancien directeur de l'Essec. Il est accusé notamment par Jean-Luc Mélenchon de vouloir diriger son ministère «comme une école de commerce». Il rappelle que le leadeur de la France Insoumise s'est rendu dans cette école et y a été très applaudi. 

 

7h48. Jean-Michel Blanquer est l'invité de France Inter. Agé de 52 ans, cet agrégé de droit public s'est illustré entre 2007 et 2009 en multipliant les innovations à la tête de l'académie de Créteil, tel que la cagnotte anti-décrocheurs 

 

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Et ce même jour sort un article effrayant dans les inrocks.

Une interview du minsitre de l en le jour de sa nomination à sos education. Quand on connait qui se cache derrière cette assoc on est en droit de s inquiéter de l avenir de nos élèves. 

 

http://mobile.lesinrocks.com/2017/05/19/actualite/en-cachette-la-sulfureuse-association-sos-education-efface-tous-ses-liens-avec-le-nouveau-ministre-de-leducation-nationale-11946572/

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il y a une heure, tijona a dit :

Et ce même jour sort un article effrayant dans les inrocks.

Une interview du minsitre de l en le jour de sa nomination à sos education. Quand on connait qui se cache derrière cette assoc on est en droit de s inquiéter de l avenir de nos élèves. 

 

http://mobile.lesinrocks.com/2017/05/19/actualite/en-cachette-la-sulfureuse-association-sos-education-efface-tous-ses-liens-avec-le-nouveau-ministre-de-leducation-nationale-11946572/

J'ai lu l'interview tôt ce matin en diagonale...Je n'étais déjà pas optimiste par rapport à ce monsieur  mais maintenant  je suis très très inquiète pour l'Ecole....Surtout quand je vois mes collègues ne portaient d'intérêt à l'actualité de l'éducation nationale qu'en attente d'informations pour le retour à 4 jours sans prêter attention que l'on fait un pas de plus vers la territorialisation s'il n'y pas plus de garde-fous avec  un cadrage national.....

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Au cas où l'interview disparaitrait du cache :

Citation

« Il faut avoir une vision systémique »

Jean-Michel Blanquer, ancien DGESCO, est professeur de droit public, président de l’Institut des Amériques (IdA), ancien directeur général du groupe ESSEC et nouveau ministre de l’Éducation nationale. Il est interrogé par Jean Paul Mongin, délégué général de SOS Éducation.

SOS Éducation : Sur un certain nombre de problèmes de gouvernance et d’évaluation du système scolaire, vous montrez, Jean-Michel Blanquer, notamment dans votre livre L’École de la vie, et dans les propositions de réformes que vous avancez dans L’École de demain, que la question éducative est en un certain sens métapolitique…

Jean-Michel Blanquer : L’éducation est la question politique par excellence, dans le sens où elle est la question cruciale d’une société et qu’elle concerne l’homme en tant qu’il est un « animal politique », comme le dit Aristote, donc comme un être qui interagit avec les autres, grandit grâce à cette interaction, cette transmission. J’entends ici une politique de temporalité profonde, de long terme : c’est là que surgit la contradiction avec la politique dans son sens courant. On peut noter, depuis l’après-guerre, une dérive de l’éducation due au fait qu’elle a été trop saisie par la temporalité politique, par les effets d’alternance et de stop-and-go. Alors qu’on sait que les sociétés qui réussissent – comme la France de la IIIe République – sont des sociétés où il y a d’abord la confiance de l’ensemble de la société dans le système éducatif, et non pas la confiance d’une majorité, qui devient ensuite minorité. Un des grands enjeux de l’avenir est d’avoir des politiques publiques basées sur des critères compréhensibles et partageables par tous, faisant progresser l’école et faisant renaître la confiance. Il faudra donc passer par une dépolitisation – il faut dépasser le clivage droite-gauche – puis par une repolitisation, pour faire comprendre que l’éducation est le sujet le plus important.

 

Cette dépolitisation et cette repolitisation sont-elles possibles en France où, au sein du système éducatif, on observe une concurrence entre deux visions anthropologiques en très forte tension : l’une d’obédience conservatrice – Hannah Arendt dit ainsi que l’école est une structure par nature conservatrice puisqu’elle a vocation à conserver un monde pour pouvoir le transmettre aux générations qui assureront son prolongement – et l’autre émancipatrice – y compris vis-à-vis de l’éducateur qui doit se mettre en retrait ? Comment l’école peut-elle se situer au-delà de ces deux visions, et faire la synthèse des projets qui s’en déduisent ?

Je pense que la clé de l’éducation est justement dans la réconciliation de ces deux dimensions, qui ne sont pas aussi contradictoires qu’elles en ont l’air. Il faut conjuguer un ancrage dans le passé, consubstantiel à l’éducation, et les enjeux de transmission qu’il comporte. Sur la base de cette transmission, on provoque une émancipation, une liberté, qui est par définition une projection dans le futur et donc l’invention de quelque chose qui n’existait pas auparavant. Tout véritable acte éducatif est donc un acte libérateur. C’est la réconciliation de deux anthropologies : l’une, optimiste, rousseauiste, selon laquelle l’homme naît bon mais se trouve corrompu par la société, et l’autre pessimiste, selon laquelle l’homme naît médiocre, voire mauvais, et la société fait ce qu’elle peut pour y remédier.

Cette réconciliation des anthropologies rejoint une nouvelle approche de l’école qu’on doit avoir, notamment, au travers des sciences cognitives. Ces dernières disent que l’homme naît démuni mais rempli de potentiel, et que c’est l’éducation qui va contribuer à révéler ce potentiel, différent d’un individu à l’autre, en permettant de compenser certaines faiblesses et de développer certaines forces. C’est une nouvelle vision de l’homme : l’homme naît avec un potentiel fantastique et c’est l’éducation qui va activer ce potentiel. Je pense que cette anthropologie est celle du XXIe siècle, celle d’une anthropologie fondée sur un optimisme responsable : « optimisme » car c’est la base de l’éducation, et « responsable » car si on ne fait rien, si on manque de colonne vertébrale dans l’approche qu’on a du sujet, le pire peut se passer, et une sorte d’abêtissement général peut se produire.

 

Cette résolution dialectique par la science n’est pas nouvelle : il y a une sorte de positivisme s’exprimant, d’ailleurs, dans l’expression même de « sciences de l’éducation », qui date du XIXe siècle. Les sciences cognitives apportent-elles réellement quelque chose de nouveau ?

Il ne faut pas, bien entendu, tomber dans le scientisme : les sciences cognitives ne sont pas l’alpha et l’oméga de ce qu’il y a à dire en matière d’éducation et de psychologie. Par ailleurs, elles ne sont qu’au début de leur développement. Mais on ne peut pas faire comme s’il n’y avait pas, en ce moment, de fabuleux développements dans notre connaissance du cerveau. À côté des grandes révolutions technologiques que tout le monde voit, il y a une révolution scientifique qui se passe et qu’on doit prendre en compte, sans jugement de valeur. Il n’y a pas rien de nouveau sous le soleil : il ne faut pas baser l’éducation uniquement sur les sciences cognitives mais, inversement, il ne faut pas les ignorer.

Sans sombrer dans un positivisme naïf, il faut donc être en lutte contre les risques de post-vérité qui caractérisent notre époque : les risques de fondamentalisme, de réaction obscurantiste, de superficialité médiatique, menacent notre société. Il faut penser notre éducation de manière humble – on ne pourra jamais dire de choses absolues sur l’éducation et tant mieux – et objectivante – on doit tendre vers l’objectivité. Pour cela, j’ai tenté de montrer dans L’École de demain, qu’on pouvait prendre appui sur trois piliers objectivants : la comparaison internationale, plus forte qu’hier, qui peut susciter une émulation mondiale, et qui permet de voir ce qui réussit, ou pas ; la science cognitive ; et enfin l’expérience accumulée par des siècles d’humanité, de la paideia grecque aux vingt dernières années. Il faut également s’intéresser à la dimension scientifique de l’expérience, l’expérimentation, et être capable d’en faire, de les adapter et de les mesurer. Sur ces bases, il peut se dire des choses fondées sur l’éducation et qui dépassent la simple opinion, laquelle souvent caractérise les positions de clivage qui peuvent exister sur le sujet.

 

Finalement, nous sommes en train de dire que la question la plus essentielle est celle de la construction de protocoles d’évaluation de plus en plus performants, grâce aux apports que vous venez d’évoquer. Ce progrès dans les techniques d’évaluation permet de mettre en œuvre, au sein du système, un principe de subsidiarité, qui entraîne une responsabilisation vertueuse et, de fait, une déconcentration du système éducatif…

Tout à fait, l’évaluation est un des mots-clés, avec la confiance, la liberté et l’évolution du système grâce aux apports des sciences cognitives. L’évaluation ne doit pas déshumaniser le système, bien au contraire. Un des grands sujets de notre temps est : comment notre monde de plus en plus technologique peut-il être de plus en plus humain ? Et comment l’éducation peut-elle y contribuer ? Il ne s’agit pas d’inventer une nouvelle machinerie éducative, une nouvelle bureaucratie, mais au contraire de libérer les acteurs. Pour développer l’humain en l’homme et en l’enfant, il faut de la liberté et de la responsabilité. Il faut donc garantir l’autonomie des acteurs, qui sont à même de définir des solutions. Il faut ensuite les évaluer, de façon à ce qu’il y ait de la confiance a priori et du contrôle a posteriori, plutôt que l’inverse.

 

Mais on voit les conséquences que ça aurait concrètement. Demain, si on évolue vers un système où, par exemple, les chefs d’établissement recrutent et évaluent leur équipe pédagogique, il va y avoir des manifestations gigantesques et le système va se retrouver paralysé. Comment rendre ces propositions acceptables ?

Il faut simplement une méthodologie de la réforme : il faut d’abord considérer qu’on ne peut pas tout faire, tout de suite et partout. Plusieurs paradoxes sont à prendre en compte : tout le monde est d’accord sur le fait qu’il faut que ça change et tout le monde est conscient que toute réforme, même minime, peut épuiser le système tant ce dernier est à bout. En outre, la réforme semble possible mais aujourd’hui, beaucoup ne souhaitent pas être concernés par elle. La solution passe d’abord par une bonne mesure de l’état des mentalités sur la question. Je pense qu’un certain nombre d’acteurs, qui étaient auparavant peu enclins à la réforme, peuvent aujourd’hui en devenir les porteurs, tant ils voient qu’on est arrivé au bout du système. Pour commencer en douceur, il faut donner de la liberté à certains territoires, à certaines structures, sur la base du volontariat. Il faut faire réussir des initiatives à moindre échelle, avant de les généraliser.

Si on prend l’exemple de l’établissement autonome, on n’est pas obligé de le faire tout de suite à 100 %. Même en le voulant, de toutes façons, on n’y arriverait pas. Il faut commencer sur une petite base de 5 à 10 % d’établissements volontaires, montrer que c’est un jeu gagnant pour tout le monde, y compris pour les professeurs qui pourront choisir leur lieu de mutation. Par ailleurs, il faut aussi faire saisir qu’il y a des effets de système et que si un élément administratif est modifié, des éléments pédagogiques le seront aussi : si le recrutement des professeurs est modifié, leur formation le sera également, ainsi que le contenu des programmes. Tout se tient : il faut avoir une vision systémique, qui ne soit pas pyramidale et qui fasse confiance aux acteurs.

 

Cette confiance dans les acteurs pourrait-elle aller jusqu’à la remise en cause du périmètre institutionnel du système, dans le sens de ce qui a été fait en Angleterre, jusqu’à l’émergence d’une offre scolaire autonome, sur le modèle des écoles à charte, qui viendraient répondre à des besoins scolaires locaux, identifiés ?

Cette formule en est une parmi d’autres. Le statut associatif permet déjà, en France, de faire beaucoup de choses. On pourrait accompagner des initiatives dans le futur, dès lors qu’elles sont clairement dans le cadre des objectifs de service public. Sans aller vers des logiques de privatisation, on peut aller vers des logiques de délégation, qui permettent d’accomplir mieux le service public en responsabilisant davantage des acteurs. On pourrait avoir des circonscriptions scolaires rendant solidaires les établissements entre eux – c’est mon idée de réseaux d’établissements, qui n’auraient pas forcément le même statut et qui pourraient se compléter.

 

Avec la loi LRU, une forme d’autonomisation des établissements supérieurs a été mise en œuvre. Quel bilan en tirez-vous et peut-on s’en inspirer pour la réforme du système éducatif primaire et secondaire ?

La loi LRU a indiscutablement fait bouger les lignes. Comme toujours, il y a des choses positives et négatives mais, à mon sens, le positif l’emporte : ça a libéré des énergies, ça a permis une évolution du paysage des universités françaises, avec quelques effets pervers, cependant, sur le plan de la gouvernance économique de certains établissements. Mais cette loi a permis des innovations et a permis à la France d’envisager, dans les dix prochaines années, de retrouver un certain rang dans l’enseignement supérieur international.

Les problématiques sont un peu différentes pour les questions scolaires – il n’y a pas, par exemple, les enjeux de la recherche ou ceux de l’internationalisation – mais il y a des leçons à en tirer concernant l’autonomie, qui doit être accentuée pour permettre de prendre des décisions, tout en évitant ses effets insécurisants.

 

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Jean-Michel Blanquer : "L'école, plus que jamais, est centrale dans la société."

 

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Une vidéo du 10 janvier 2017 : Jean Michel Blanquer, Penser l'école de demain et rénover l'éducation nationale

 

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Les raisons pour lesquelles "Jean-Michel Blanquer sera un très bon ministre de l'Education" :

 

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"Dans un entretien au « Monde », le ministre de l’éducation nationale précise la manière dont les engagements de M. Macron vont se concrétiser, certains dès septembre. "

http://www.lemonde.fr/education/article/2017/05/20/jean-michel-blanquer-il-nous-faut-depasser-le-clivage-gauche-droite-sur-l-ecole_5130829_1473685.html?xtor=RSS-3208

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AH mince l'article est réservé aux abonnés. Quelqu' un peut il faire un résumé fidèle des propos tenus ?

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