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Posté(e)
Il y a 2 heures, maolecha a dit :

Les directeurs sont en souffrance, peu nombreux c'est vrai par rapport aux adjoints mais ils supportent beaucoup de chose sur leur épaule.

Peu nombreux mais qui représentent un pourcentage plus important je pense.

Et les répercussions sur la suite de sa carrière lorsqu'on arrête peuvent être terribles. J'ai un collègue qui ne s'en est jamais remis.

Posté(e)
Il y a 9 heures, maolecha a dit :

Je ne nie pas les problèmes d'inclusion et autre mais que proposerais-tu pour éviter l’écueil du directeur supérieur hiérarchique ? Car si le statut ne résoudrait pas la paperasse les parents, les collègues, les contrats aidés... que peut-on faire ? Les directeurs sont en souffrance, peu nombreux c'est vrai par rapport aux adjoints mais ils supportent beaucoup de chose sur leur épaule. Je ne me sens pas indispensable mais je pense que sans mon travail parfois invisible aux yeux des collègues (travail que tout autre pourrait faire encore une fois), l'école où je suis exploserait. J'ai l'impression que plus j'en fais, plus arrivent de nouvelles tâches. Mes collègues ne mesurent pas toujours  les difficultés ils ont ont bien assez  (sauf lorsque je suis arrêtée pour épuisement (3 coups de fils par jour pour les dépanner !) Je voudrais que mon travail soit reconnu financièrement c'est sûr, mais aussi pour mes compétences. Et encore, j'ai la chance d'avoir une décharge, j'ai exercé  8 ans sans....

 
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Je ne nie pas cet aspect au contraire! Mais ce que propose certains pour remédier à cette situation ne fera qu'envenimer les choses.

 

Posté(e)
Il y a 11 heures, maolecha a dit :

Je ne nie pas les problèmes d'inclusion et autre mais que proposerais-tu pour éviter l’écueil du directeur supérieur hiérarchique ? Car si le statut ne résoudrait pas la paperasse les parents, les collègues, les contrats aidés... que peut-on faire ? Les directeurs sont en souffrance, peu nombreux c'est vrai par rapport aux adjoints mais ils supportent beaucoup de chose sur leur épaule. Je ne me sens pas indispensable mais je pense que sans mon travail parfois invisible aux yeux des collègues (travail que tout autre pourrait faire encore une fois), l'école où je suis exploserait. J'ai l'impression que plus j'en fais, plus arrivent de nouvelles tâches. Mes collègues ne mesurent pas toujours  les difficultés ils ont ont bien assez  (sauf lorsque je suis arrêtée pour épuisement (3 coups de fils par jour pour les dépanner !) Je voudrais que mon travail soit reconnu financièrement c'est sûr, mais aussi pour mes compétences. Et encore, j'ai la chance d'avoir une décharge, j'ai exercé  8 ans sans....

Je me pose toujours la question de l'utilité de certaines paperasses quand des iens demandent plusieurs fois la même chose dans l'année et toujours pour le jour d'avant bien sûr. Je me demande dans quelle mesure cette épuisement par des injonctions idiotes et inutiles est voulue.

Franchement, quelle part de paperasse est vraiment utile au fonctionnement de l'école ?

Je plussoie pour le côté financier, c'est juste honteux de payer aussi peu.

Posté(e)

J'ai des souvenirs de ma première année de direction, quand j'essayais de tout faire au pied de la lettre et avait vu arriver la circulaire sur les passages en 6è qui devait faire une cinquantaine de pages ...

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