nonau Posté(e) 29 décembre 2019 Partager Posté(e) 29 décembre 2019 L'article de référence est l'article 11 de la loi de 1983 sur la protection fonctionnelle. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Mirobolande Posté(e) 29 décembre 2019 Partager Posté(e) 29 décembre 2019 Il y a 3 heures, Stork a dit : Les parlementaires n’ont que ce qu’ils méritent. Les jeunes viennent, voient et... repartent en courant. Les parlementaires..Bah c'est pas eux qui payent, m...! Et leur progéniture est bien à l'abri à l'école privée si nécessaire. Donc, non, ils ne sont pas affectés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Goëllette Posté(e) 29 décembre 2019 Partager Posté(e) 29 décembre 2019 Pour revenir au sujet d'origine, ceux qui ont attenté à leurs jours sont en général des collègues qui ont embrassé la profession par vocation, y ont mis toutes leurs tripes. Les attaques systématiques dans les médias, la remise en cause permanente par les parents de notre travail, ont eu raison de notre investissement. Seuls ceux qui savent prendre beaucoup de recul et ceux qui n'ont pas la vocation réussissent à tenir. Pour les nouveaux entrants, le gouffre entre ce qu'ils pensaient être le métier de PE et la réalité est tel qu'il est désormais flagrant dès la première année, donc de plus en plus se sauvent tant qu'il en est encore temps, quand, il y a dix ans, l'illusion était plus grande et ils auraient essayé quelques années avant de jeter l'éponge. J'ai la photo de Christine Redon sur l'étagère derrière mon bureau et je pense très souvent à Jean Willot. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
borneo Posté(e) 29 décembre 2019 Partager Posté(e) 29 décembre 2019 Il y a 4 heures, Goëllette a dit : Seuls ceux qui savent prendre beaucoup de recul et ceux qui n'ont pas la vocation réussissent à tenir. D'accord avec ça. Ceux qui "rêvaient" d'enseigner tombent de très haut. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Mirobolande Posté(e) 30 décembre 2019 Partager Posté(e) 30 décembre 2019 J'ai un rdv carrière en janvier et je n'ai jamais été aussi peu motivée... Après 2 semaines d'arrêt maladie juste avant les vacances. Je n'ai plus l'énergie de faire semblant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
chableu Posté(e) 30 décembre 2019 Partager Posté(e) 30 décembre 2019 Argh Mirobolande...que risques-tu à ne pas faire semblant ? Tente de te ressourcer cette semaine. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Mirobolande Posté(e) 4 janvier 2020 Partager Posté(e) 4 janvier 2020 http://moissacaucoeur.fr/2020/01/04/suicide-et-travail-le-lien-reconnu-a-leducation-nationale-snuipp-fsu/?fbclid=IwAR3XWUtndHrOU5d8S1LCMaataDZKLkFoU4gYUXTFP07vYwR70znO7b9t7Jw L’inspecteur d’académie de Seine-Saint-Denis a accédé le 11 décembre à la demande de reconnaissance de « l’imputabilité au service » du suicide de notre collègue, c’est-à-dire son lien avec l’organisation institutionnelle du travail. Le ministère doit aujourd’hui prendre ses responsabilités sur la dégradation des conditions de travail des personnels et les risques psychosociaux auxquels ils sont exposés, seule condition pour prévenir l’épuisement professionnel et les actes suicidaires. Cela impose de questionner l’organisation du travail et plus globalement le sens du métier. C’est ce que le SNUipp et la FSU porteront lors du premier groupe de travail sur la prévention des risques suicidaires qui se tiendra le 10 janvier prochain au ministère de l’Éducation nationale. Il y a urgence à améliorer les conditions de travail des directrices et des directeurs d’école, comme de tous les personnels de l’Éducation nationale. J'attends de voir... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Dantès Posté(e) 10 janvier 2020 Partager Posté(e) 10 janvier 2020 (modifié) L’inspection générale dégage toute responsabilité de l’Education nationale dans le suicide de Christine Renon Un rapport de l’inspection générale diligenté après le suicide de la directrice d’école Christine Renon en septembre dédouane l’institution de la responsabilité du drame mais l’impute à une série de dysfonctionnements. Au même moment, le ministère publie les résultats d’une consultation laissant apparaître que les directeurs d’école se sentent submergés par leurs tâches administratives. Mais la rue de Grenelle réfute l’existence d'un malaise dans la profession. https://www.mediapart.fr/journal/france/090120/l-inspection-generale-degage-toute-responsabilite-de-l-education-nationale-dans-le-suicide-de-christine-re Le ministère de nouveau face au suicide enseignant Une enseignante de 43 ans, professeure en STI2D au lycée R Weinum de l'ile de Saint Martin (Antilles) s'est donnée la mort chez elle le 9 janvier. Ce drame intervient alors que s'ouvre le 10 janvier la première réunion du groupe de travail du CHSCT du ministère de l'éducation nationale sur la prévention des risques suicidaires. La Fsu interpelle le ministère sur ses responsabilités. http://www.cafepedagogique.net/LEXPRESSO/Pages/2020/01/10012020Article637142390294278974.aspx Modifié 10 janvier 2020 par Dantès Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Goëllette Posté(e) 12 janvier 2020 Partager Posté(e) 12 janvier 2020 Le 04/01/2020 à 17:53, Mirobolande a dit : L’inspecteur d’académie de Seine-Saint-Denis a accédé le 11 décembre à la demande de reconnaissance de « l’imputabilité au service » du suicide de notre collègue, c’est-à-dire son lien avec l’organisation institutionnelle du travail. Le 10/01/2020 à 12:12, Dantès a dit : L’inspection générale dégage toute responsabilité de l’Education nationale dans le suicide de Christine Renon Ne sont-ce pas deux informations contradictoires ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Argon Posté(e) 12 janvier 2020 Partager Posté(e) 12 janvier 2020 il y a 9 minutes, Goëllette a dit : Ne sont-ce pas deux informations contradictoires ? Non : c’est la faute du lampiste ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Goëllette Posté(e) 12 janvier 2020 Partager Posté(e) 12 janvier 2020 Pas compris. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Argon Posté(e) 12 janvier 2020 Partager Posté(e) 12 janvier 2020 il y a 23 minutes, Goëllette a dit : Pas compris. Désolé. (trop ?) Vieille métaphore syndicalo-ferroviaire : dans la première partie du XXe siècle, quand un train déraillait, il y avait évidemment forcément eu quelque part une faute de service. Mais comme cela n'aurait tout aussi évidemment su être celle ni de la SNCF en général, ni des grands chefs responsables de l'entretien des voies, de ceci ou de cela, ni celle des moyens chefs, ni même celle du petit chef de gare local responsable de la sécurité de son secteur : tout était donc forcément de la seule faute du sous-fifre qu'on avait envoyé au dernier moment faire de grands signaux avec une lampe rouge, le "lampiste", qui n'était pas arrivé à temps, ou ne l'avait pas agitée avec assez d'énergie pour arrêter le train. (ou un peu plus tard, quand les lampes avaient été automatisées, qui ne les avaient pas assez bien entretenues : si l'ampoule rouge n'avait pas été sale, le conducteur du train l'aurait vue, forcément...) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
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