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Amélie Oudéa-Castéra : nouvelle [ancienne] ministre de l'Éducation nationale, de la Jeunesse, des Sports et des Jeux olympiques


Courfeyrac

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AOC a choisi des classes non mixtes pour ses garçons à Stan.

STOP ou encore ?

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Perso, ce qu'elle choisit pour ses enfants ne m'intéresse pas du tout. En revanche, ses mensonges, les calomnies envers l'éducation nationale et ses personnels, ses déclarations "oin oin je gagne pas assez je travaille trop", et tout ce qu'elle dit comme énormité chaque fois qu'elle prend la parole me crispe chaque jour un peu plus.

Caste-toi Castera !

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il y a 56 minutes, gascinho a dit :

Perso, ce qu'elle choisit pour ses enfants ne m'intéresse pas du tout.

Pourtant, c'est aussi un aspect du problème. 

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Il y a 1 heure, gascinho a dit :

Perso, ce qu'elle choisit pour ses enfants ne m'intéresse pas du tout. En revanche, ses mensonges, les calomnies envers l'éducation nationale et ses personnels, ses déclarations "oin oin je gagne pas assez je travaille trop", et tout ce qu'elle dit comme énormité chaque fois qu'elle prend la parole me crispe chaque jour un peu plus.

Caste-toi Castera !

Elle ne serait pas ministre de l'éducation nationale ça ne me dérangerait pas non plus, mais il s'avère que c'est elle qui va nous donner des conseils et des injonctions sur la mixité, la laïcité ou le vivre ensemble.. 

Bien que ce système où le public est mis en concurrence déloyale avec des établissements subventionnés par l'État commence vraiment à me débecter

 

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Extrait de l'article de Médiapart.

C’est son premier déplacement en tant que ministre de l’éducation nationale. Le 12 janvier dernier, avant de répondre aux premières révélations de Mediapart, Amélie Oudéa-Castéra déambule dans un collège public des Yvelines. Alors qu’elle assiste à un cours en compagnie de Gabriel Attal, une enseignante aborde avec ses élèves le sujet « des stéréotypes » de genre.

« Est-ce que vous saviez qu’à une époque, il y a longtemps, il y avait des écoles pour les filles et des écoles pour les garçons ?, demande la professeure. Nous, aujourd’hui, on a la chance de vivre en mixité, d’avoir des filles et des garçons dans la même école. » Les élèves, sondés pour savoir si c’est positif, sont unanimes. « C’est normal », dit l’un ; « Cela permet de développer l’amitié fille-garçon », ajoute un autre.

Et la ministre ? Amélie Oudéa-Castéra ne répond pas (voir la vidéo ci-dessous). Elle écoute, impassible, puis dévie sur le sujet « sport » lorsqu’un élève évoque l’existence de clubs non mixtes et les clichés sexistes dans ce domaine. « Le plus possible, justement, les clubs essaient d’avoir cette mixité, répond la ministre. C’est quelque chose que peut apporter le sport… » Elle ne dit pas « l’école ». Et relance avec une question centrée sur les rapports filles-garçons à la récré : « Les garçons ont un peu tendance à prendre toute la place […]. Vous essayez de laisser de l’espace aux filles ? »

La ministre se garde de dire qu’à Stanislas, l’établissement privé catholique privé où elle scolarise ses enfants, la mixité en classe n’est pas la norme pendant les années collège. Et même, qu’elle n’en a délibérément pas voulu pour ses propres enfants.

D’après nos informations, les parents Oudéa-Castéra ont inscrit leurs trois garçons dans des classes non mixtes, alors qu’une option différente existe : pour chaque niveau au collège, on dénombre à Stanislas cinq classes de garçons, trois de filles, et deux classes mixtes. Mais la famille a suivi la tradition de l’établissement, à l’origine uniquement ouvert aux garçons. Si l’aîné, inscrit en prépa HEC, étudie désormais dans un cursus mélangé, le benjamin évolue cette année encore dans une classe non mixte. (...)

Il faut le dire : ses choix sont parfaitement libres en la matière. Mais comme ministre de l’éducation nationale, Amélie Oudéa-Castéra a désormais la responsabilité de « favoriser la mixité et l’égalité entre les hommes et les femmes » – c’est l’une des missions confiées à toutes les écoles, collèges et lycées de France, publics comme privés, par le Code de l’éducation. La ministre est en particulier chargée de faire appliquer la Convention interministérielle pour l’égalité entre les filles et les garçons dans le système éducatif (signée par l’un de ses prédécesseurs, Jean-Michel Blanquer).

Interrogée par Mediapart pour savoir si ses choix de parent ne rentraient pas aujourd’hui en contradiction avec les discours et politiques de lutte contre les discriminations et stéréotypes de genre qu’elle doit porter comme ministre, Amélie Oudéa-Castéra n’a pas souhaité nous répondre

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il y a une heure, BibUS a dit :

Je serais tenté de dire que la scolarisation de ses enfants dans ce type d'établissement, relevant de la vie privée, ne nous regarde pas. Oui mais. Ce n'est pas n'importe quel établissement privé. Vue l'enquête pour injures sexistes et homophobes, vues les classes non mixtes, vu le contournement probable des règles pour parcoursup, vus les propos mensongers et diffamants sur l'École publique proférés par la ministre pour justifier ses choix personnels, c'est désormais un problème qui regarde tout le monde. Dans certains pays, un•e ministre qui aurait ses casseroles aurait déjà démissionné ou on l'aurait déjà invité•e à partir. Là, on a une ministre qui doit défendre un modèle républicain reposant sur l'égalité et qui nous jette à la gueule qu'elle, puisqu'elle en a les moyens, peut sortir des règles qui devraient s'imposer à tous. Ce sont des privilèges de puissants qui sont mis à jour, des privilèges censés être abolis depuis bien longtemps. 

On est d'accord, dans une démocratie qui fonctionne, cette personne ne devrait jamais être choisie comme ministre, et encore plus ne devrait jamais être encore en poste.

On est d'accord aussi sur le fait que les établissements du genre Stanislas ne devraient en aucune façon bénéficier d'argent public, et que parallèlement  à cela nombre de leurs agissements devraient interroger la justice.

Mais cela étant dit, je ne crois pas que, par eux seuls, les choix opérés par maman AOC n'impliquent pas ses éventuelles qualités de ministre de l'éducation nationale, sinon à dire que un ministre pourrait imposer ses opinions propres à toutes une nation ce qui, dans une démocratie qui fonctionne, ne peut advenir.

J'insiste évidemment sur "qui fonctionne".

 

Tout ça pour dire que l'argument de ses enfants pour moi est secondaire, et l'utiliser pose deux problèmes majeurs:

- A tout mettre sur le même niveau, on fait perdre l'échelle de gravité des fautes commises.

- A empiler les accusations, on peut finir par créer un effet d'empathie qui serait mal venu. Avec quelques casseroles on est un enfoiré, avec beaucoup de casseroles on est un salaud, avec trop de casseroles on peut devenir un martyre.

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De toute façon, privé ou public, on imagine bien que les ministres et autres présidents ne vont pas scolariser leurs enfants au lycée de la Courneuve...

Quand Mitterrand était président, une des meilleures copines de ma mère enseignait au lycée Henri IV. Elle nous a raconté, 10 ans avant que l'histoire ne sorte, que Mitterrand avait une fille cachée, qu'elle se prénommait Mazarine, et qu'il y avait eu des pressions de l'Elysée, pour son entrée au collège, pour qu'elle aille à Henri IV

Les classes étaient pleines, mais bizarrement, de la place avait été trouvée 🙄...

OK, Henri IV, c'est l'enseignement "public", mais qui fréquente H. IV ?

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il y a 52 minutes, gascinho a dit :

On est d'accord, dans une démocratie qui fonctionne, cette personne ne devrait jamais être choisie comme ministre, et encore plus ne devrait jamais être encore en poste.

On est d'accord aussi sur le fait que les établissements du genre Stanislas ne devraient en aucune façon bénéficier d'argent public, et que parallèlement  à cela nombre de leurs agissements devraient interroger la justice.

Mais cela étant dit, je ne crois pas que, par eux seuls, les choix opérés par maman AOC n'impliquent pas ses éventuelles qualités de ministre de l'éducation nationale, sinon à dire que un ministre pourrait imposer ses opinions propres à toutes une nation ce qui, dans une démocratie qui fonctionne, ne peut advenir.

J'insiste évidemment sur "qui fonctionne".

 

Tout ça pour dire que l'argument de ses enfants pour moi est secondaire, et l'utiliser pose deux problèmes majeurs:

- A tout mettre sur le même niveau, on fait perdre l'échelle de gravité des fautes commises.

- A empiler les accusations, on peut finir par créer un effet d'empathie qui serait mal venu. Avec quelques casseroles on est un enfoiré, avec beaucoup de casseroles on est un salaud, avec trop de casseroles on peut devenir un martyre.

Nous sommes d'accord sur l'essentiel. Mais pour l'empilement des casseroles, je pense que la communication est nécessaire. D'abord, elle ne deviendra martyre que pour celles et ceux qui partagent l'idée qu'il y a des personnes qui méritent leurs privilèges, celles et ceux qui sont ne vivent que dans l'entre-soi de classe. Si leur influence politique et médiatique est importante, ils restent minoritaires face au peuple qui doit se conformer aux règles. Quand les accusations sont fondées et qu'elles relèvent de la justice, les médias communiquent et c'est normal. Quand il s'agit d'affaires privées certes légales mais qui questionnent la légitimité à la fonction de ministre, elles doivent aussi être communiquées. Tant qu'on aura des ministres comme elle aux responsabilités du pays, on aura aussi des personnes lambda qui justifieront leurs propres fraudes ou contournements de la loi en disant que c'est normal puisque des ministres font pareil.

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Paris, le 22 janvier 2024.

à Madame la ministre de l’Éducation nationale,
Amélie Oudéa-Castéra

Madame la Ministre,

Le SNPDEN-UNSA a pris connaissance des mesures nouvelles concernant le « Choc des savoirs », annoncé par votre prédécesseur, et de leurs conséquences sur l’organisation des enseignements en collège.
À ce jour, et pour la seconde année consécutive, les chefs d’établissement vont devoir, en pleine période de préparation de la rentrée 2024, informer les équipes, accompagner les professeurs, assurer la remontée des créations ou  suppressions de postes, et ce dans des délais très contraints et avec des moyens insuffisants.
Malgré les très grandes qualités professionnelles des personnels de direction, nous ne sommes pas des magiciens.
Le courrier d’alerte que nous vous communiquons avec gravité et que vous tenez entre vos mains pointe un projet qui est contraire à nos valeurs, qui ne s’accompagne pas de texte réglementaire et qui engendre de nombreuses difficultés techniques et organisationnelles.

 

Une vision et un projet pour l’École antinomique avec les valeurs portées par le SNPDEN-UNSA et sa fédération

 

Madame la Ministre, nous tenions à vous exprimer solennellement que le projet d’École encadré par le « Choc des savoirs » est très éloigné de celui que le SNPDEN-UNSA et sa fédération défendent au quotidien.
Nos valeurs, inlassablement défendues, sont profondément remises en cause par les mesures annoncées. Nous soutenons ainsi un collège pour tous, sans sélection, qui scolarise ensemble tous les enfants d’une tranche d’âge, dans le respect absolu des besoins de chacun. Nous souhaitons pour chacun une scolarité et une orientation positives, fondées sur les aptitudes d'un jeune et non sur ses insuffisances. Les groupes de niveau qui vont être créés en collège ne correspondent pas à ces valeurs. Ils sont ainsi vécus par les chefs d’établissement comme une ségrégation scolaire annoncée qui ne pourra répondre aux enjeux, partagés avec vous, de la réussite de tous. Les expertises sur le sujet depuis plusieurs décennies vont également dans ce sens.

Madame la Ministre, ce projet nous inquiète également très fortement parce que nous avons identifié des conséquences potentielles néfastes et des écueils qui nous paraissent dangereux. Il est ainsi à parier que les groupes de niveaux, tels que présentés actuellement, vont regrouper, sur un temps inévitablement long, des élèves en difficulté qui, sans hétérogénéité, avanceront nettement moins vite que les autres groupes. Comment ces élèves aborderont-ils les notions fondamentales nécessaires dans les autres disciplines en avançant moins vite, alors que les autres les auront vues et maîtrisées depuis longtemps ? Comment progresseront-ils suffisamment vite pour espérer atteindre un hypothétique niveau supérieur ? L’hétérogénéité est une donnée indispensable, largement étayée par les études scientifiques. Elle doit donc être garantie par la construction de groupes et des classes. Ce n’est pas l’hétérogénéité des groupes qui est gênante, c’est une trop grande hétérogénéité dans des classes à effectifs pléthoriques. Nous refusons d’organiser, Madame la Ministre, des classes de niveau. Donnez-nous plutôt les moyens de diminuer le nombre d’élèves par classe et de faire ainsi réussir mieux les élèves.

 

Un projet qui, à ce jour, ne s’accompagne d’aucun texte réglementaire

 

Les choses sont assez simples : aucun texte n’a été publié au Journal Officiel. En conséquence, les modalités de communication ministérielle comme la temporalité de construction des textes mettent grandement en difficulté les établissements. Nous assumons, avec clairvoyance et responsabilité, notre position de cadres mais « à l’impossible nul n’est tenu !». Les établissements qui n’auront pas les informations en temps et en heure ne pourront donc pas faire remonter des informations fiables. Et si « faire et défaire c’est toujours travailler », il ne nous est pas possible d’avancer en aveugles, sans l’indispensable cap fixé par la Loi !

 

C’est pourquoi nous vous demandons de nouveau, Madame la Ministre, de garantir un fonctionnement respectueux des organisations des établissements, accordant ainsi le primat au « bien faire » plutôt qu’au « faire vite ». Il s’agit de donner du sens aux mesures plutôt que de les imposer dans cette perpétuelle urgence désormais devenue règle. Aussi, dans l’intérêt du service public d’éducation, à ce stade, notre boussole reste le Code de l’éducation et son article R. 421-2 qui précise que « l’organisation en classes et en groupes d’élèves ainsi que les modalités de répartition des élèves » relèvent de la compétence de l’établissement scolaire et donc de son conseil d’administration.

 

Seul un décret, de même niveau réglementaire, pourrait contredire cela. Nous sommes donc en attente de ces éléments. Et ceci est fondamental pour nous, pour le respect du Code de l’éducation et du principe d’autonomie des établissements, et pour la République. Car, si un jour, des dirigeants d’extrême droite venaient à nous diriger, il nous faudrait tenir la même ligne rigoureuse « les textes et rien que les textes !».
Nous apprenons ce jour que leur parution a encore été repoussée, ce qui ne nous laisse même pas une ébauche de texte sur laquelle s'appuyer, situation inédite et inacceptable.
À ce stade et dans cette précipitation insupportable, le SNPDEN-UNSA le répète depuis le 1er septembre : « pas de texte, pas de mise en œuvre ».

 

Un projet qui souffre de nombreux freins organisationnels et des moyens insuffisants

 

Les impacts de vos propositions sur l’organisation des enseignements et sur les conditions de travail des enseignants vont être très importants. Celles-ci vont s’en trouver considérablement dégradées, alors que vos prédécesseurs ont œuvré à renforcer l’attractivité du métier.
Les enseignants de français et de mathématiques vont devoir, inévitablement, après la rentrée 2025, assumer un enseignement sur l’ensemble des niveaux afin d’assurer les alignements nécessaires. Leurs emplois du temps vont considérablement perdre en qualité, comme ceux de l’ensemble des enseignants de collège. Les postes partagés vont se multiplier, les alignements ne seront pas possibles dans les plus petits établissements, faute d’un nombre de professeurs suffisants pour les mettre en place. Le choix des professeurs principaux va être très largement limité, si ce n’est impossible, mettant en difficulté les équipes et le suivi des élèves. Aurons-nous, par ailleurs, les enseignants de Lettres et de Mathématiques en nombres suffisants pour la rentrée 2024 et, plus encore, en 2025 ? Votre capacité à mobiliser et à créer ces ressources nécessaires, Madame la Ministre, sera l’une des clés de la réussite ou de l’échec des mesures que vous allez mettre en place.

 

Au moment où les Dotations Globales Horaires (DGH) sont attribuées aux EPLE, les moyens sont insuffisants dans de nombreux établissements. Les 2300 ETP annoncés ne sont pas suffisants pour couvrir les besoins. Les établissements vont devoir, afin d’organiser les groupes de niveaux, mettre fin aux dédoublements et aux co-interventions, dont certaines disciplines pouvaient bénéficier depuis 2016. Cette marge d’autonomie permettait jusque-là de répondre à des besoins locaux pertinents, évalués par les équipes.

Nous attirons également votre attention, Madame la Ministre, sur la nécessité de garantir la partie de cette marge qui permet de « financer » les enseignements optionnels : langues et cultures de l’antiquité, langues et cultures européennes, groupes de LV2, bilangues de continuité sur le cycle 4, enseignement optionnel de chant choral, etc. Ils sont, pour l’École Publique, dont vous êtes la première représentante, une garantie de pouvoir maintenir une offre de formation suffisante face à certains établissements privés. Les moyens nécessaires doivent être donnés aux établissements publics.

 

Bien d’autres questions, Madame la Ministre, n’ont, par ailleurs, pas encore reçu de réponse : quelle place pour les élèves à besoins particuliers et l’école inclusive dans ce projet ? Quelle place pour les élèves de SEGPA ? Quelle évaluation pour les élèves dans les groupes les plus faibles ? Quelle estime de soi auront les familles et surtout les élèves placés dans le groupe faible ?

Pour terminer, nous exprimons nos réserves, voire nos désaccords, sur la place redonnée au Diplôme National du Brevet pour garantir le passage au lycée, sur les impacts négatifs du redoublement que nous dénonçons depuis longtemps, et sur le dispositif « Prépa Lycée » à même de générer de forts risques de décrochage.

 

Il n’y a rien de plus difficile pour des cadres que de porter un projet auquel ils ne croient pas, et contraire à ce qu’ils ont toujours porté.
Il n’y a rien de plus difficile que de le faire sans les moyens nécessaires à une mise en place sérieuse.
Il n’est, enfin, pas possible de le faire sans texte précis ni cadre réglementaire.

 

Pour toutes ces raisons, nous apporterons notre soutien à nos collègues qui seront en incapacité d’effectuer les demandes de mise en œuvre pour la rentrée 2024.

 

Madame la Ministre, nous vous demandons de porter une grande attention à cette alerte que vous adressent les personnels de direction que nous représentons, les premiers au service, quotidiennement, d’une École Publique Laïque qui porte haut les valeurs de la République et l’investissement au service de chaque élève.

 

Pour les adhérents du SNPDEN-UNSA,
Au nom des élus,

Bruno BOBKIEWICZ
Secrétaire général

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