Aller au contenu

Messages recommandés

Je crois que tout le monde se pose la même question. Ou alors c'est l'ATSEM qui a filmé?

Je n'ai bien sûr jamais frappé un gamin, mais j'ai déjà crié très fort (comme tout le monde, je suppose...?), forcément, jamais avec qq'un dans ma classe...

 

Ici, le pb qui se profile est l'utilisation de robot dans la classe, qui filme, pour retransmettre à un enfant malade. Une copine y a été confronté, et l'ien a fait pression pour qu'elle se laisse faire...Elle a cédé au final...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 24 minutes, Goëllette a dit :

C'est dans une école publique ?

Un PE titulaire ou une contractuelle ?

École publique oui et ça n'est pas une contractuelle...

 

il y a 50 minutes, Snowy a dit :

Ou alors c'est l'ATSEM qui a filmé?

Ça serait une maman présente dans la classe, présente pour l'adaptation de son enfant...

  • Triste 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce qui me questionne aussi c’est si elle est capable de tels actes devant une maman d’élève , de quoi est elle capable quand elle est seule ? 
Et après l’instit retourne tranquillement à ses petites affaires en tournant le dos à la classe ….

  • J'adhère 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, Snowy a dit :

 le pb qui se profile est l'utilisation de robot dans la classe, qui filme, pour retransmettre à un enfant malade. Une copine y a été confronté, et l'ien a fait pression pour qu'elle se laisse faire...Elle a cédé au final...

J'ai refusé l'an dernier malgré la pression de la directrice. Je ne voulais pas de caméra dans ma classe. Je n'ai rien à cacher mais je n'ai pas envie d'être "surveillée".

Je comprends que certains souhaiteraient des caméras lorsqu'ils sont accusés par des parents. Ça m'est arrivé une fois et j'étais bien contente qu'il y ait une AVS qui a pu témoigner que je n'avais rien dit de répréhensible. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 8 heures, nonau a dit :

Le problème n'est le manque de caméras. Le problème est que notre hiérarchie enquête toujours à charge (quand elle enquête !) Aucune présomption d'innocence. 

Le problème c'est de mettre 28 gamins de 3 ans dans une même classe. 

C'est bien pour cela que je conseille de systématiquement consigner chaque dérapage (même anodin) des uns et des autres. 

 

Tout à fait!

Et puis à ce moment là, on va mettre aussi des caméras dans toutes les familles chez eux? Les services sociaux vont avoir du boulot.................. Et une caméra chez chaque député et ministre pour voir s'ils sont "propres"................... (Après c'est sûr on trouverait sûrement des choses terribles dans tous les corps de métier et chez les gens.............. L'espèce humaine n'est pas nette quand même)

Le problème c'est l'institution, la société, l'état, l'être humain?. Les problèmes ne sont jamais résolus.........

Nous aussi on a eu une instit qui "frappait", après plusieurs années de bataille (tout le monde s'y est mis), elle a été déplacée dans un autre village.................

PS : Il existe des IEN qui prennent notre défense directement, si si.................. et c'est bien, ça change la donne.

Modifié par vélo45
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 23 heures, Sofia100 a dit :

Moi ce qui me pose problème, c’est le suivi de ces vidéos, où iront- elles et qui les regarderont ??

  Bien sûr. Depuis les années 90, où on a commencé à avoir le débat sur la vidéosurveillance, la technologie a considérablement progressé. D'une part, les caméras sont désormais très bon marché, performantes, discrètes et faciles à installer ; et d'autre part, les nouvelles technologie d'analyse des données de masse (IA, "Big Data") commencent à permettre de véritablement tout suivre, si on le souhaite — ou on n'en est plus très loin, alors qu'à l'époque, il fallait quand même un technicien pour faire une recherche, ce qui limitait les dégâts. 

À l'époque se sont opposés les affreux inciviques, qui ne voulaient pas signer de chèques en blanc, ni à l'État ni au privé, et réclamaient un cadre légal clair, définissant qui avait accès à quoi, sous quelles conditions, et ce qu'il pouvait ou non en faire, sous peine de sanctions significatives ; et les gentils libéraux, qui pariaient sur la main invisible du marché, le civisme des entreprises, la retenue des internautes et la vertu des flics, et s'opposaient à un surcroît de législations contraignantes.

Les seconds ont gagné, on n'a non seulement rien fait du point de vue législatif, mais même démantelé les quelques protections qui pouvaient exister. J'ai bien peur qu'il ne soit trop tard : ce train-là est passé et on ne peut plus y faire grand chose, en attendant l'émergence, dans une dizaine d'années sans doute, de contre-technologies de boucliers informationnel individuels efficaces, électroniques et/ou informatiques.

Pour autant, et alors même que je fais partie de ceux qui ont au moins une fois eu énormément de chance qu'il y ait eu des caméras dans leur rue, je persiste à militer pour la première approche.

 

Et pour répondre plus précisément : sauf interdiction spécifique, ces enregistrement iront dans des fermes de données où elles seront indéfiniment stockées, jusqu'à ce que quelqu'un décide de les regarder — ce quelqu'un pouvant être un flic ou assimilable, un petit chef, ou n'importe quel informaticien de course correctement équipé pour la manipulation de big data, au service par exemple de parents teigneux ; mais probablement ni toi ni moi, parce que personne ne nous en donnera les clefs, et que ça restera cher et compliqué sinon.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

D'accord, acte inadmissible de cette enseignante. 

Mais dans quelle société de délation, de médiatisation vit-on ? Cette dame qui filme, est pour moi , limite  : "Non assistance à personne en danger".

On dirait qu'elle  filme juste pour avoir des preuves ou de quoi faire le buzz sur BFM (qui s'en donne à coeur joie pour extrapoler et généraliser...).

Je ne comprends pas pourquoi elle n'intervient pas pour prendre la fillette, et l'écarter de son enseignante qui a besoin de se calmer. 

Ca ne choque que moi que cette dame ne fasse que filmer ?

Modifié par bab33
  • J'adhère 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La dame qui filme a seulement contacté la mère de la fillette.

Je peux comprendre qu'un parent n'ose pas intervenir directement auprès  de l'enseignante.

C'est l'avocate qui a tout balancé sur les réseaux sociaux sans doute pour éviter le "pas de vague".

Est ce vraiment de la délation?  En cas de violences policières, la médiatisation me semble justifiée ...

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...