Aller au contenu

Messages recommandés

J'étais à l'école primaire dans les années 80 et le directeur était violent avec les élèves : massages de joues et autres...

Je me demande comment tout ça a pu arriver sans que personne ne dénonce rien ! Tout le monde le savait...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 4 minutes, nellou a dit :

J'étais à l'école primaire dans les années 80 et le directeur était violent avec les élèves : massages de joues et autres...

Je me demande comment tout ça a pu arriver sans que personne ne dénonce rien ! Tout le monde le savait...

Je pense que dans les familles généralement c'était la même chose. Les gamins savaient, voyaient, mais s'ils parlaient ils risquaient fortement d'en reprendre une. 

 

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 3 minutes, nellou a dit :

J'étais à l'école primaire dans les années 80 et le directeur était violent avec les élèves : massages de joues et autres...

Je me demande comment tout ça a pu arriver sans que personne ne dénonce rien ! Tout le monde le savait...

J'ai vu aussi des coups sur la tête, jamais très forts, mais ça faisait mal. C'était régulier, particulièrement pendant les dictées. J'en ai reçus très peu, d'autres par contre étaient abonnés. C'était une méthode d'apprentissage avec une logique implacable : si tu ne veux pas avoir mal, tu fais attention à ne pas commettre de fautes d'orthographe. Une pédagogie des années 80. Un seul instituteur la pratiquait dans mon école. Il y a eu d'autres situations humiliantes pour quelques élèves qui dépassaient les limites. Nous avions tous peur de ce maître. 

  • J'adhère 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 03/10/2024 à 20:30, nonau a dit :

Je pense que dans les familles généralement c'était la même chose. Les gamins savaient, voyaient, mais s'ils parlaient ils risquaient fortement d'en reprendre une. 

 

 

 

Mais évidemment, mon instituteur de CM2 est venu une fois éméché en classe, il a ce jour là mis 2 claques à une élève et a essayé de me prendre sur ses genoux, aucun n'en a parlé à ses parents. Personnellement je ressentaïs une grande honte de ce qui s'était passé et des mots qu'il m'avait dits, même si je l'avais repoussé.

  • Confus 1
  • Triste 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 03/10/2024 à 20:30, nonau a dit :

Je pense que dans les familles généralement c'était la même chose. Les gamins savaient, voyaient, mais s'ils parlaient ils risquaient fortement d'en reprendre une. 

 

 

 

Et la gamine enceinte de son père à 15 ans ? Dans le village. Ben… personne n’y a mis les pieds. Le père terrorisait tout le monde, aidé des chiens. Et on disait qu’on avait un « bon » maire… je pense bien. Agrégé, il n’allait surtout pas mettre les pieds là-dedans…. Aujourd’hui, l’école porte son nom. Ben j’ai eu honte en l’apprenant. Il fermait les yeux. On apprenait très tôt le « pas de vague ». Ce contre quoi j’ai lutté, à mes dépens mais tant pis. Insupportable. Surtout pour ceux qui le subissent. Ils me font horreur. Je tourne chaque jour la roue sur ensap pour essayer de m’enfuir en courant de cette société consensuelle qui se fout bien de la souffrance des autres (je plaisante mais si peu). Sauf que je suis saturée, j’en ai subi/vu bien trop jeune, trop longtemps, sans que personne ne bouge le petit doigt (sans compter celle de l’institution !!). Insupportable tout ça. Alors au quotidien, éduquer, y croire mais… c’est un vain combat. 

  • Solidaire 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...