Goëllette Posté(e) lundi à 21:27 Posté(e) lundi à 21:27 Il y a 2 heures, bab33 a dit : Je le disais sous le prisme qu’après ils feront disparaître les directeurs encore pédagogues par des RH. Et terminé le directeur qui fera partie de l’équipe . On passera au libéralisme . Au directeur supérieur hiérarchique et non plus professeur des écoles mais chargé de faire du rendement . Mais même entre les directeurs totalement déchargés, à situation d'école égale, il y a ceux qui sont toujours "collègues" et ceux qui ne mettent plus les pieds dans une classe ! Dans ma REP+, tous les directeurs d'écoles élémentaires sont totalement déchargés (tous des hommes, tiens, tiens...) : Il y a à peu près le même nombre d'élèves et de classes et pourtant, dans la plupart des écoles, les directeurs sont à la grille matin, midi et soir, parfois dans la cour pendant les récrés. Certains prennent en charge les classes des collègues absents, en attendant un TR. Mais dans l'une, il ne fait aucun accueil ni service de récréation, ne sort presque jamais de son bureau et refuse de prendre des élèves pénibles. A l'opposé, dans une autre, non seulement le directeur est au portail à chaque entrée et sortie, mais en plus, il prend un groupe d'élèves en difficultés le matin et participe à un décloisonnement un après-midi par semaine !
Tide Posté(e) il y a 21 heures Posté(e) il y a 21 heures https://www.lemonde.fr/sciences-au-carre/article/2025/12/01/fatigues-les-eleves-ont-perdu-un-an-d-ecole_6655600_6565027.html 1
bab33 Posté(e) il y a 7 heures Posté(e) il y a 7 heures La partie constat est très bien développée . Et c’est tout ce que je pense.
Blagjackette Posté(e) il y a 6 heures Posté(e) il y a 6 heures Analyse intéressante, merci pour ce partage. En gros pour lui la fatigue des élèves est un faux problème, réduire les journées reviendrait à sacrifier le temps de fin de journée où les élèves ont un pic d'attention. Il s'appuie sur le modèle allemand pour alerter sur le risque que les journées plus légères pourrait entraîner en termes d'inégalités et d'impact sur la carrière pro des mères. Il évoque d'autres choses, il faut vraiment lire l'article pour le suivre. À la fin il propose de revenir à la semaine des 4,5j (donc des 27h ?) pour les élèves, mais de décharger les enseignants d'une journée pour leur accorder du temps de préparation, de formation et de concertation (mais pas entre PE a priori, à moins d'être plusieurs déchargés le même jour). Je ne sais pas si je suis d'accord ou pas d'accord avec lui, mais cet article a le mérite d'apporter des éléments de discussion.
nonau Posté(e) il y a 6 heures Posté(e) il y a 6 heures Stephane Bonnery est un spécialiste des questions scolaires de qualité. Sa réflexion est très intéressante. Mais jamais appliquée car nos dirigeants veulent encore plus essorer le nombre d'enseignants en profitant de la démographie. Chaque jour des milliers de classes n'ont plus d'enseignants faute de remplaçants. Alors imaginez une décharge hebdomadaire généralisée... Dans leur monde c'est impossible.
Yuuko Posté(e) il y a 30 minutes Posté(e) il y a 30 minutes Si on pouvait en avoir une ne serait-ce que par période pour avoir le temps de bosser pédagogie en équipe et pas simplement remplir des tableaux à la con pour analyser les evas nationales, ce serait pas mal et peut-être pas si chaud niveau organisation.
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