DA- Posté(e) 6 novembre 2004 Auteur Posté(e) 6 novembre 2004 Super .... je cherche et j'envoie des définitions cet aprem, beau travail MissCB !!!
DA- Posté(e) 6 novembre 2004 Auteur Posté(e) 6 novembre 2004 Connaissances déclaratives/connaissances procédurales et connaissances conditionnelles: Les recherches en psychologie cognitive montrent, selon Tardif (1992), qu'il existe trois types de connaissances: les connaissances déclaratives, les connaissances procédurales et, enfin, les connaissances conditionnelles. Les connaissances déclaratives correspondent au savoir théorique. Savoir que la terre tourne autour du soleil est un exemple de ce type de connaissances. En fait, ces connaissances sont souvent ce qu'on peut apprendre par coeur. À l'école, une grande part de ce qu'on enseigne est de type déclaratif. Les connaissances procédurales, comme le terme l'indique, concernent les procédures; il s'agit ici de savoir comment faire. Conduire une automobile exige un grand nombre de connaissances procédurales. Il faut, par exemple, savoir enfoncer la pédale d'embrayage pendant qu'on change la vitesse de la main droite tout en rectifiant la direction avec le volant tenu de la main gauche, sans oublier de regarder la route, etc. Toute cette marche à suivre paraît très lourde au conducteur débutant. De plus, si elle est mal exécutée, le risque d'échec est grand (bris de moteur, accident!). Pourtant, avec un peu d'expérience, la tâche devient presque machinale. Les connaissances procédurales ont en effet la propriété de s'automatiser; à force d'exécuter une marche à suivre, cette dernière ne requiert plus qu'un minimum d'attention, un minimum de charge cognitive. Dans l'univers scolaire, on enseigne aussi des connaissances procédurales, comme calculer une division avec des décimales. Les connaissances conditionnelles concernent les connaissances requises pour savoir quand avoir recours aux autres connaissances. Il s'agit ici de connaître les conditions d'application de telle ou telle connaissance, et surtout de savoir reconnaître ces conditions dans une situation nouvelle. Devant un problème de mathématiques, reconnaître le besoin d'effectuer une division relève de ce dernier type de connaissances. Pour Moffet (1993) comme pour Tardif (1992), ce sont les connaissances conditionnelles qui sont responsables du transfert. Dans leur forme, les connaissances conditionnelles et procédurales peuvent se ressembler. En effet, la reconnaissance d'un phénomène dans un contexte nouveau peut faire appel à une série de conditions qui s'appliquent comme une procédure: par exemple, si on a «telle, telle et telle chose», alors il faut faire une division. On a ici une série de connaissances conditionnelles dont la conclusion est l'identification d'un phénomène. Les connaissances procédurales, elles, ne s'appliquent qu'après la reconnaissance du phénomène: s'il faut effectuer une division, alors il faut faire «telle, telle et telle chose».
MissCB Posté(e) 8 novembre 2004 Posté(e) 8 novembre 2004 Bonjour à tous, et en avant pour la lettre B, C... Béhaviorisme Doctrine de Watson, selon laquelle l'objet de la psychologie est exclusivement limité aux données observables du comportement extérieur, moteur, verbal, glandulaire, avec élimination totale de la conscience, sans aucun appel à l'introspection, ni aux processus physiologiques externes. Bilinguisme Maîtrise et/ou usage de deux langues. L’individu bilingue est celui qui en plus de sa première langue, possède une compétence comparable dans une deuxième langue et qui est capable d’utiliser l’une ou l’autre, en toutes circonstances, avec une efficacité semblable. Ceci le différencie de la diglossie : utilisation de la deuxième langue déterminée par un type de situations, le locuteur ne possédant dans cette langue, qu’une maîtrise restreinte, fortement liée à des besoins spécifiques. Les atouts du bilinguisme -capacités langagières développées -développement cognitif et social-flexibilité-structure plus diversifiée de l’intelligence Les limites du bilinguisme Il y a trois modalités d’enseignement très différentes : *les classes dites d’immersion *une partie de l’enseignement seulement est fait dans la deuxième langue *l’établissement propose l’enseignement de deux langues et le résultat n’est pas garanti B.O. Bulletin Officiel. Publié par le Ministère, rassemble les textes réglementaires. Il est normalement archivé dans chaque école. Le site en ligne permet de faire des recherches. But (finalité) Intention générale d’une formation d’une action d’une politique. Capacité Acte mental qui permet d’accomplir un comportement intellectuel ou une démarche en adéquation avec une situation donnée. C’est une potentialité très générale. Elle n’est ni observable ni évaluable mais se manifeste à travers s des comportements. Leur développement implique l’assimilation de nouveaux savoirs et savoir-faire et leur intégration à l’ensemble de la personnalité.Activité intellectuelle stabilisée et reproductible dans des champs divers de connaissance ; terme utilisé souvent comme synonyme de « savoir-faire ». Aucune capacité n'existe « à l'état pur»et toute capacité ne se manifeste qu'à travers la mise en œuvre de contenus. CAPSAIS Certificat d'Aptitude Pédagogique Spécialisé pour l'Adaptation et l'Intégration Scolaire. C'est le diplôme des instituteurs spécialisés chargés de la rééducation ou des diverses classes spécialisées. Il en existe plusieurs options : - CAPSAIS A : handicap auditif - CAPSAIS B : handicap visuel - CAPSAIS C : handicap moteur - CAPSAIS D : handicap psychologique - CAPSAIS E : aide pédagogique - CAPSAIS F : aide pédagogique pour les adolescents - CAPSAIS G : rééducation Citoyen Le rapport du citoyen à l'intérêt général se nomme vertu - Statut d'égalité en droit, des membres d'une même communauté- Jouissance individuelle de droits civils - Participation à la décision politique - Connaissance de ces droits et devoirs Liberté de pensée dans l'exercice du jugement. Civilité Respect des règles et des usages : elle concerne les relations sociales à l’intérieur d’un groupe (être poli, attendre son tour…). Cette civilité peut être de pure forme, et la notion de sociabilité ajoute l’idée d’une réelle capacité d’attention à autrui (refuser l’exclusion, partager des responsabilités…). Classe d’application Classe de l’école primaire dont le titulaire est un maître-formateur. Cette classe reçoit des stagiaires de l’IUFM en formation, elle n’est donc pas une classe expérimentale. Le titulaire de la classe est déchargé 8 heures par semaine (DMA : décharge du maître d’application ou maître-formateur, on dit parfois « Modulant »). Pendant ce temps, il est remplacé par un enseignant (qui travaille en général sur trois classes d’application). Quand une école comporte au moins trois classes d’application, elle devient école d’application avec à sa tête un directeur (DEA : directeur d’école annexe ou d’application) qui est également un maître formateur. Certaine écoles anciennement rattachées aux Ecoles Normales d’Instituteurs (y compris budgétairement) sont des écoles dites « annexes ». Il n’y a en général que des classes d’application dans ces écoles. Classe transplantée Classe de l’enseignement primaire fonctionnant avec son effectif complet et son maître, dans un lieu différent de ses activités habituelles. Nées en 1953 sous la forme des classes de neige, les classes de découverte ont progressivement étendu leurs activités à des lieux de plus en plus diversifiées, mais ont vu leur régime unifié par une circulaire du 17 septembre 1982. Fondées au départ sur le principe de tiers-temps pédagogique, illustrations de la pédagogie de l’éveil, elles intégraient dans une logique de projet et d’ouverture de l’école la conception d’une éducation globale croisant toutes les disciplines et toutes les activités. Vers le milieu des années 80, le principe de dépaysement fut mis au service d’activités organisées autour d’un thème fédérateur plus proche des enseignements scolaires eux-mêmes. Cela se fonda sur des orientations nationales (enseignement artistiques) ou locales. Puis l’appel aux partenariats et aux intervenants extérieurs se développa. Le BO du 25 septembre 1997 modifie le principe pédagogique des classes transplantées : elles deviennent des classes d’environnement, préoccupations pluridisciplinaires liées sur le thème de l’environnement et de la sécurité. CLIN Classes d’initiation, souvent ouvertes, qui assurent l’intégration des élèves non francophones. En l’absence d’une CLIN, on peut organiser un CRI (Cours de Rattrapage Intégré). CLIS Classe d'Intégration Scolaire Remplacent peu à peu les classes de perfectionnement. Ce sont des classes d’intégration scolaire. Elles sont parfois spécialisées. Par exemple : CLIS 2 pour les handicaps auditifs, CLIS 3 pour les handicaps visuels, CLI 4 pour les handicaps moteurs. Ces classes ne devraient pas compter plus de 12 élèves. Les effectifs de ces classes sont comptés « à part ». Cognitivisme Du latin cognitio : apprendre à connaître. Les cognitivistes s'opposent aux béhavioristes dans leur façon d'expliquer le comportement humain. Les cognitivistes pensent que l'individu agit en fonction de besoins, et se fixe des buts qu'il essaie d'atteindre. Toute leur explication du comportement humain est basée sur ce que l'on appelle les variables internes: motivation, désir, besoins, représentations... alors que les béhavioristes s'interdisent d'utiliser ces variables pour expliquer le comportement. Cohérence / Cohésion La cohésion se manifeste au niveau local, phrase à phrase : - la chaîne référentielle (emploi de substituts lexicaux ou grammaticaux) - l'utilisation de connecteurs logiques (mais, alors, d'où ...) - l'utilisation de connecteurs chronologiques (ce matin, le lendemain...) - le choix d'un système de temps (récit ou discours) - le choix d'un système énonciatif La cohérence se manifeste au niveau global du texte.La cohérence est assurée par les éléments de cohésion, mais aussi par le contexte (le type de texte, le destinataire, l'époque...), la logique, l'organisation spatiale, la sémantique... Combinatoire Il s'agit de la relation entre l'oral (phonèmes) et l'écrit (graphèmes) Le phonème est l’unité minimale de l'oral. Le français comporte 36 phonèmes : 16 sons voyelles, 17 sons consonnes, 3 semi-voyelles. C'est le phonème [a] le plus fréquent, les phonèmes [gn] et [oe] les plus rares. Une langue est caractérisée par les sons qui la composent : le phonème [y] comme dans tortue par exemple n'existe pas en espagnol. Ainsi, des enfants dont la langue maternelle n'est pas le français peuvent avoir des difficultés à prononcer et à lire certains sons. Le graphème est l’unité minimale de l'écrit. Il est constitués par des lettres, des groupes de lettres et éventuellement l'adjonction de signes diacritiques (accents, cédille, tréma). Processus d'apprentissage de la combinatoire (Du son vers le code écrit) : - découverte de sons voyelles ayant une relation phonème /graphème simple (a, i, u, e muet), puis association avec des consonnes monovalentes (b, ch, d, l ...). - découverte de relation phonème / graphèmes plus complexes dépendant d'une association (c+a, c+i) ou de la position (sec, pose).Un graphème correspondant à plusieurs phonèmes. - découverte de relations phonèmes/ graphèmes plurielles. Un phonème correspondant à plusieurs phonèmes (in, im, ain, aim, ym, ein, en) Communauté éducative Rassemble les élèves et tous ceux qui en ont la charge dans l’école ou sont en relation avec eux. La communauté éducative peut intervenir dans le cadre de l’élaboration du projet d’école. Compétence Ensemble de savoir (Connaissance) et de savoir-faire (Utilisation des connaissances).(Ex : Etre capable de faire une division) C’est le moyen de tester tout ou partie de cette capacité ; La compétence est l’aptitude à faire telle ou telle chose dans des conditions déterminées (LE ROBERT). C’est la capacité de produire des performances cohérentes entre elles et adaptées à une situation. Elle intègre des savoirs (connaissance impliquant la seule compréhension) et des savoir-faire (aptitude à agir). La compétence ne peut s’évaluer qu’à travers les performances qu’elle autorise. Ce que les enfants doivent savoir faire à la fin : - de la séance - de la séquence ou -du cycle On a 3 types de compétences : -des compétences qui touchent à un savoir-faire -Des compétences liées à des savoir – être : écouter la maîtresse…. -des compétences de type méthodologique : savoir utiliser un ordinateur…..- des compétences d’ordre disciplinaire. Bannir le mot « objectif » et utiliser celui de « compétence » ou bien préciser « objectif du maître ». L’objectif du maître c’est l’acquisition des compétences. Compréhension de texte C'est appréhender le sens d'un discours ou d'un écrit. - compréhension littérale ou ponctuelle mettant en relation quelques termes explicites du texte - compréhension intégrale ou globale, mobilisant l'ensemble du texte - compréhension fine nécessitant une opération logique de déduction à partir de quelques indices textuels. L'enfant doit être capable d'inférer, c'est à dire, induire une information qui n'est pas explicitement donné dans le texte à travers des indices qui y figurent. L'enfant a compris lorsqu'il peut dépasser la simple reconnaissance des mots pour en traduire la signification à l'aide de termes bien à lui. Concept Représentation mentale abstraite élaborée à partir de notions. Les concepts scientifiques présentent deux caractères inséparables : ils permettent d’expliquer et de prévoir. Le fonctionnement intellectuel utilise généralement un ensemble de concepts organisés en réseau appartenant à un ou plusieurs champs de connaissance. Un concept est lié aux connaissances actuelles il est donc évolutif. Conceptualisation de l’écrit Dès la Petite Section de Maternelle, les jeunes enfants sont confrontés à la construction d'une culture de l'écrit et vont prendre conscience peu à peu des règles de son fonctionnement et des rapports entre aspects phoniques et graphiques de la langue. - l'écriture pré-syllabique : l'enfant produit des traces qui tendent à ressembler à l'écrit (une succession de lignes par exemple), mais qui n'ont pas de relation avec la forme orale du message. Il postule, en revanche, un lien entre la graphie d'un mot (signifiant) et l'objet lui-même (signifié). Le mot train, selon ce principe, serait un mot long : il est considéré comme une image de l'objet désigné (logogramme). - l'écriture syllabique : l'enfant tient compte de liens et de correspondances entre signes linguistiques et oral : découpage de la chaîne écrite, graphies plus ou moins longues (notion de quantité), utilisation d'un capital de graphèmes connus : lettres du prénom, des jours de la semaine ... - l'écriture alphabétique : l'enfant a repéré les principes de correspondances phonographiques. Chaque signe graphique correspond à un phonème. (Voire combinatoire) Conflit socio-cognitif Le conflit cognitif est la tension provoquée, chez un individu, par l’incompatibilité entre des représentations contradictoires. Il conduit l’apprenant à modifier sa conception ancienne. Le terme de conflit socio-cognitif s’applique lorsque l’opposition entre conceptions différentes concerne plusieurs individus. Les modèles constructivistes se basent sur l’hypothèse d’une construction progressive des connaissances exigeant la remise en cause des conceptions des élèves. L’enseignant peut utiliser les différences entre les modèles explicatifs pour organiser des situations didactiques faisant appel au conflit socio-cognitif. Conseil de cycle Chaque école doit s’organiser pour travailler en cycles. Les décisions importantes sont prises par le Conseil de Cycle. Les maîtres du Conseil élisent leur Président qui anime les réunions. Ce conseil décide en particulier des passages et des maintiens. Il travaille en liaison avec le Conseil des maîtres et le Conseil d’école. Consignes Pédagogiquement, le terme est très important. Il s'agit pour l'enseignant de donner aux élèves les indications qui leur permettront d'effectuer dans les meilleures conditions le travail qui leur est demandé : objectif de la tâche, moyens à utiliser, organisation (en particulier temps imparti), etc.Les critères d'évaluation doivent également être clarifiés dès le départ. Il est d'abord indispensable, même si cela peut paraître évident, de vérifier que les enfants ont bien entendu ce que l'enseignant a demandé. Il faut également que le maître s'exprime de façon claire, en utilisant des termes précis, dont il doit également s'assurer qu'ils sont bien connus des élèves. Un grand danger en effet serait qu'ils n'effectuent pas correctement la tâche demandée uniquement parce qu'ils n'auraient pas compris ce qui était attendu d'eux. La qualité du travail s'entrouverait compromise et toute évaluation bien sûr faussée. La répétition de la consigne par un ou plusieurs enfants, son explicitation par d'autres, la reprise par le professeur, voire au moyen d'un premier exemple, sont donc essentielles. Contenus La « didactique des langues » est appelée plus justement par certains spécialistes « didactique des langues-cultures », parce que ses contenus sont à la fois linguistiques et culturels. – Les contenus linguistiques sont classés traditionnellement en lexique, phonétique-orthographe, et grammaire (morphologie et syntaxe). En ce qui concerne la grammaire, d’autres types de description de la langue sont apparus plus récemment, faisant apparaître des phénomènes différents et/ou proposant des classements différents des formes linguistiques : ce sont la grammaire textuelle (phénomènes liés à la cohésion et à la progression d’un ensemble de phrases), la grammaire de l’énonciation (phénomènes liés à la subjectivité du locuteur/auteur et à la prise en compte par celui-ci de la subjectivité de l’interlocuteur/destinataire), la grammaire notionnelle-fonctionnelle (classement des formes linguistiques en notions générales, notions spécifiques et fonctions langagières). – Les contenus culturels sont ceux qui sont décrits et analysés par différentes disciplines telles que l’ethnologie, l’histoire, la géographie, l’art, la politique, l’économie, la sociologie, etc. Dans les débuts de l’enseignement, ces contenus culturels sont généralement présentés regroupés par thèmes très généraux ou situations de la vie quotidienne (la famille, au restaurant, un anniversaire). Lorsque le niveau des élèves le leur permet, les textes littéraires peuvent être utilisés comme *supports d’enseignement/apprentissage de contenus culturels. Tout *support didactique écrit ou oral peut être décrit en termes de contenus linguistiques, culturels, thématiques et situationnels. Critères d’évaluation Ensemble des points qui font l’objet de l’évaluation. Pour un dessin d’observation par ex travail soigné, mise en page harmonieuse, respect des proportions … Critères de réalisation Ce sont les modalités d’action, pour réaliser la tâche correctement Critères de réussite Différents points qu’il convient de réussir pour que l’objectif soit atteint. Ils doivent être très précis . En présence d’une correction type l’élève doit être capable d’auto évaluer son travail sans ambiguïté. Pour un croquis à légender par ex. : au moins 8 termes exacts sur 12.Croquis : représentation graphique volontairement simplifiée, limitées aux grandes lignes de l’objet. Dessin : représentation graphique d’un objet aussi précise que possible. Diagramme : 3 définitions différentes suivant le contexte -descriptif : tracé géométrique sommaire des parties d’un ensemble et de leur disposition les unes par rapport aux autres –fonctionnel : schéma dont les éléments sont simplifiés à l’extrême, réduits à des formes géométriques et des flèches –graphique : tracé destiné à présenter sous une forme graphique le déroulement et les variations d’un ou plusieurs phénomènes. Voili, voilou pour aujourd'hui... BONNE DIGESTION !!!
teissa Posté(e) 8 novembre 2004 Posté(e) 8 novembre 2004 je vais essayer de joindre les définitions des premières notions proposées par dolphin.... :P Activit_s_d_croch_es.doc
MissCB Posté(e) 8 novembre 2004 Posté(e) 8 novembre 2004 Et avec tout ça, si on n'est pas des têtes... On va en connaître des choses... Merci à tous !
DA- Posté(e) 8 novembre 2004 Auteur Posté(e) 8 novembre 2004 SUPER MEGA GENIAL les filles :P ... on peut dire que vous n'avez pas perdu votre temps Teissa et MissCB vous êtes formidables !!! Je vous remercie vraiment pour tout ce travail et cette colaboration, j'espère que nous aurons d'autres réponses ...
DA- Posté(e) 8 novembre 2004 Auteur Posté(e) 8 novembre 2004 CONSIGNE: Ordre donné pour faire effectuer un travail. Énoncé indiquant la tâche à accomplir ou le but à atteindre. Concevoir une consigne de travail est une activité qui mérite une très grande attention, car de la qualité de la consigne dépend en partie la qualité du travail effectué. De plus, une même consigne peut être interprétée différemment par plusieurs individus : la lecture d'une consigne active des mécanismes de compréhension et d'interprétation qui permettent au sujet de construire une représentation de la tâche ou du but à atteindre. Si cette représentation n'est pas adéquate, la tâche ne sera pas exécutée correctement. La problématique de la compréhension des énoncés est une question centrale de la psychologie cognitive. Pour s'assurer de la clarté d'une consigne, il faut essayer de vérifier si elle répond aux questions qui ? quoi ? quand ? où ? pour quand ? comment ? pourquoi ? Pour vérifier qu'une consigne a bien été comprise, il faut la faire reformuler, éventuellement plusieurs fois : le contrôle du feed-back est indispensable dans toute bonne communication. S'il s'agit d'une consigne de travail rédigée (tâche précise à effectuer), nous ne connaissons aucune autre validation possible que celle de l'expérimentation (analyse de l'interprétation des consignes à l'issue de l'activité ENONCIATION : L’énonciation constitue la situation du discours qui actualise la manifestation linguistique qu’est l’énoncé. Dans un message, on peut analyser isolément (d’un point de vue purement linguistique) et l’énonciation qui peut être entendue comme la réalisation d’un échange linguistique par des locuteurs précis (statuts, types de relations, intentions) dans le cadre de circonstances particulières. PRE-REQUIS : Ensemble organisé et hiérarchisé des connaissances et compétences que l’élève doit maîtriser avant d’être admis dans un niveau supérieur REPRESENTATION: dans le domaine de l'apprentissage, désigne la conception que le sujet a, à un moment donné, d'un objet ou d'un phénomène. Si l'on retient l'hypothèse piagitienne qui fait de l'accès à l'abstraction le vecteur central de la construction de l'intelligence, on peut considérer que l'apprentissage consiste à passer d'une représentation de type métaphorique à une représentation de plus en plus conceptualisée. Par ailleurs, les représentations qu'un sujet se fait, à un moment donné, de plusieurs types de "réalités", appartenant même à des disciplines différentes sont vraisemblablement articulées autour de principes explicatifs communs ou paradigmes. Situation d'apprentissage: situation (ensemble de dispositifs) dans laquelle un sujet s'approprie de l'information à partir du projet qu'il conçoit. Il s'appuie, pour ce faire, sur des capacités et des compétences déjà maîtrisées qui lui permettent d'en acquérir de nouvelles. Les situations d'apprentissages peuvent ainsi apparaître en dehors de toute structure scolaire et de toute programmation didactique. Situation-problème: situation didactique dans laquelle il est proposé au sujet une tâche qu'il ne peut mener à bien sans effectuer un apprentissage précis. Cette apprentissage qui constitue le véritable objectif de la situation-problème, s'effectue en levant l'obstacle à la réalisation de la tâche. Ainsi la production impose l'acquisition, l'une et l'autre devant faire l'objet d'évaluation d'un distinct. Comme toute situation didactique, la situation-problème doit être construite en s'appuyant sur une triple évaluation diagnostique (des motivations, des compétences et des capacités). TYPES DE TEXTES: façon de catégoriser les textes écrits ou oraux d'après l'action qu'ils sont censés exercer sur le récepteur (argumentatif, narratif, descriptif, prescriptif...). Un principe fondamental: un même texte peut être à la fois argumentatif, explicatif, narratif. L'un n'exclut pas l'autre. Ils peuvent cohabiter avec une dominante, en fonction de l'intention. On parlera alors volontiers de "discours" à l'intérieur d'un texte.
DA- Posté(e) 9 novembre 2004 Auteur Posté(e) 9 novembre 2004 UP UP UP Au travail !!! ON SE MOTIVE ! :P
MissCB Posté(e) 13 novembre 2004 Posté(e) 13 novembre 2004 Coucou ! Non, non, je ne vous oublie pas, mais j'suis légèrement débordée par la vie... Mais je vais m'y remettre d'ici peu, promis !!!
DA- Posté(e) 13 novembre 2004 Auteur Posté(e) 13 novembre 2004 Orthographe Orthographe lexicale Etude en liaison avec les textes lus : - des familles de mots et de leurs particularités graphiques - des différentes formes de dérivation - des homophones et des paronymes Orthographe grammaticale - Marques du genre et du nombre - Accords dans la phrase et dans le texte - Marques de l'énonciation - Segmentation et homophonie - Désinences verbales Lexique Le lexique constitue un enjeu majeur. On a soin de l'enrichir en toutes occasions et en tous domaines. Différents niveaux d'analyse : - Structuration lexicale : préfixe, suffixe, radical, dérivation, néologismes, emprunts - Relations lexicales : antonymie, synonymie, hyperonymie - Champs lexicaux - Champs sémantiques - Lexique et énonciation : verbes introducteurs des paroles rapportées, lexique de l'évaluation péjorative et méliorative, niveaux de langage - Lexique et figures de rhétorique : comparaison, métaphore, métonymie, périphrase, antithèse
DA- Posté(e) 13 novembre 2004 Auteur Posté(e) 13 novembre 2004 Grammaire Discours -> Enoncé, énonciation - la situation d'énonciation et ses indices - l'énoncé ancré dans la situation d'énonciation : adverbes (ici, maintenant, demain : les déictiques ou embrayeurs), les temps verbaux (présent, passé composé futur), les pronoms personnels, les déterminants - l'énoncé coupé de la situation d'énonciation : adverbes (le lendemain), les temps verbaux (passé simple et imparfait), les pronoms personnels de la troisième personne, les déterminants -> Fonctions des discours : raconter, décrire, expliquer, argumenter -> Point de vue de l'énonciateur -> Paroles rapportées : le dialogue et sa ponctuation / discours direct ou indirect -> Niveaux de langage Texte -> Organisation des textes narratifs, descriptifs, explicatifs -> Substituts du nom : - les reprises pronominales (pronoms personnels et indéfinis) - les reprises nominales (reprises fidèles, par synonymie, périphrastiques) -> Thèmes et propos -> Formes simples et thématisation (mise en relief et voix passive) -> Formes de progression dans le texte (thème constant, linéaire, éclaté) -> Connecteurs spatio-temporels et logiques -> Ponctuation dans le texte Phrase -> Types et formes de phrases -> Phrases simples et phrases complexes - les principales classes de mots - les principales fonctions ~par rapport au nom : expansions du nom, appositions ~par rapport au verbe : sujet, attribut du sujet, compléments essentiels (compléments d'objet et d'agent) ~par rapport à la phrase : compléments circonstanciels -> Ponctuation dans la phrase -> Verbes : temps simples et temps composés
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