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La didactique !!! en français ...


DA-

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:P Allez, on continue dans la joie et la bonne humeur...

Gestion de la classe

Elle résulte de l’ensemble des actions (clarifier, contrôler, stimuler, respecter) par lesquels l'enseignant aménage l'environnement éducatif de son groupe d'élèves afin de favoriser l'atteinte par ceux-ci des objectifs d'apprentissage

Grammaire

La grammaire est l’étude et la description des structures et des règles de fonctionnement syntaxiques, morphologiques, et phonétiques.

La grammaire de phrase, prend comme plus grande unité d'étude le cadre de la phrase, l'unité minimale étant le mot.

La grammaire textuelle permet, de rendre compte de questions sémantiques (ce qui n'était pas toujours le cas dans l'étude de phrases hors contexte), de la chaîne référentielle du système temporel utilisé (récit ou discours)… (Voir Cohérence et Cohésion)

Sur le plan didactique, la grammaire de phrase est plus normative, elle prescrit le bon usage, alors que la grammaire textuelle développe une attitude réflexive en ce qui concerne le fonctionnement de la langue, la cohésion d’un texte, et prend davantage en compte la variation langagière.

Graphème

Les phonogrammes : graphèmes chargés de transcrire les phonèmes ainsi que leur règle de position (girafe, guerre)

Les morphogrammes grammaticaux : graphème chargés de transcrire des marques grammaticales

- le nombre (s dans les cahiers),

- le genre (e dans une amie),

- les désinences verbales (s pour la personne dans «tu chantes» ; era pour le temps dans «il chantera»).

Les morphogrammes lexicaux : graphème chargés de transcrire des marques lexicales

- la lettre finale de nid se retrouve dans nidifier ;

- la voyelle interne de lait a se retrouve dans lacté.

Les logogrammes graphème chargés de distinguer les homophones, permettent de distinguer hors contexte le sens d'un mot : vin, vain, vint, vingt ...

Homonyme

Se dit de mots de même prononciation mais de sens différents

Homophone

Se dit des homonymes de sens et d’orthographe différents.

Polysémie

Se dit de mots qui ont plusieurs sens : «Mieux vaut boire une bonne bière qu'être mis en bière.»

Groupe

Réunion d’objets ou d’êtres formant un ensemble.

Groupe d’apprentissage

Groupe de travail dans lequel le formateur s'assure de la participation de chaque membre par une distribution opportune des matériaux de travail, et de la progression de chacun d'entre eux par la mise en place d'un mode de fonctionnement du groupe garantissant l'effectuation individuelle de l'opération mentale requise.

Groupe de besoin

Ce peut être l'outil du soutien et de l'approfondissement.

Exemple : l'année scolaire commence avec le groupe-classe puis au bout de quelques semaines, on peut constituer des groupes pour répondre aux besoins répertoriés : reprise de connaissances qui auraient dues être acquises antérieurement et qui font encore défaut, apprentissage méthodologique dans tel ou tel domaine, prolongement du travail dans une perspective plus créative,.....

Ce système suppose :

- une programmation précise des apprentissages dans chaque discipline, une analyse précise des besoins et des tâches, une définition des objectifs opérationnels précisant clairement les résultats attendus.

- des procédures d'évaluation assez fines pour repérer les besoins de chaque élève ou du groupe d'élèves.

- un repérage rigoureux des savoirs et des savoir faire requis pour chaque discipline et de leur articulation mutuelle.

- un travail d'invention pédagogique pour proposer aux élèves des moyens et des méthodes différenciés selon leurs besoins.

Groupe d’intérêt

- pendant un laps de temps limité

- autour d'un thème ou d'un projet proposé par l'enseignant ou par les élèves

- peuvent se constituer librement par affinité (éventuellement avec des élèves de section différente

Avantages :

- permet à l'élève de changer de décor, d'habitudes, de professeur. Ainsi ce peut être un bon levier pour un déblocage. Inconvénients et limites :

- l'élève risque de ne pas prendre au sérieux ce travail et ne pas en tirer le meilleur profit

- le regroupement par affinité est parfois un point d'appui intéressant, mais parfois Un inconvénient (choix motivé par la sympathie éprouvée par le formateur ou les membres du groupes et non par la tâche) :

- de ce fait l'élève risque de refuser des formations qui auraient pu lui être utiles.

Groupe de niveau

L'expression ne recouvre pas la même réalité pour tout le monde

- regroupement des élèves selon leur niveau de connaissance (bons élèves, moyens ou

- regroupement selon leur rythme de travail (élèves lents, rapides)

- regroupement selon leurs capacités ou méthodes de travail (élèves à "dominante" visuelle ou auditive, élèves "scolaires" ou créatifs, )

.. leurs habiletés, performances et compétences

Difficultés et limites à dépasser :

- Les groupes de niveau peuvent être une manière de ne pas prendre en compte l'hétérogénéité (en donnant le même enseignement à tous, mais à des niveaux, selon des rythmes différents), masquant ainsi la nécessité d'une véritable analyse des besoins.

- Les groupes de niveau sont souvent trop rigides dans leur composition, leurs méthodes ou leur progression ; manque de mobilité des élèves qui se trouvent catalogués pour l'année dans tel ou tel groupe.

- Les élèves peuvent mal vivre d'être catalogués par leur appartenance à tel ou tel groupe.

- Dans le cas de groupes de capacité ou de méthode la répartition n'est pas toujours aussi interdisciplinaire qu'on pourrait le souhaiter (ex. : un élève logique en math. et illogique en français).

Hypothèse

Proposition argumentée relative à l’explication d’un phénomène, admise provisoirement avant d’être mise à l’épreuve. C’est donc une explication émise en réponse au problème scientifique posé. Elle est toujours formulé sous forme affirmative (l’usage du conditionnel semble souhaitable).

Dans le domaine des sciences expérimentales, l'hypothèse désigne une proposition (explication) admise provisoirement et destinée à être soumise au contrôle de l'expérience; c'est une relation supposée entre des causes et des effets (causalité).

Idéogramme

Caractère graphique qui dans certaines formes d’écriture, représente non une syllabe ou un phonème mais un mot pourvu d’un sens qu’on ne peut décomposer en unités plus petites. Les caractères chinois sont des idéogrammes.

IEN

Inspecteur de l’Education Nationale qui est en charge d’une circonscription comportant des écoles maternelles et élémentaires

Illettrisme

Qualifie l'absence de familiarité avec le monde de l'écrit, l'absence de repères, ce qui a pour conséquence une incapacité d'utiliser et de réactiver des savoirs techniques, et une exclusion de tout ou partie de ce mode de communication.

Instruire

Donner les connaissances et les savoirs nécessaires des moyens de raisonnement indispensables à l'exercice de la liberté individuelle. Rendre capable de penser librement.

Il n’y a pas d instruction ( savoirs, savoir-faire) sans éducation( savoir-être): c’est impossible. S’il n y a pas un minimum d éducation, alors il n’est pas possible d’apprendre

Ex : si trop de chahut, de bruit ou manque d assiduité: pas possible d instruire.

Interdisciplinarité(ou intégration des matières)

Interdisciplinarité (ou Intégration des matières)

Stratégie d'enseignement consistant à viser, dans une même activité d'apprentissage, à l'aided'un même thème ou sujet, des objectifs provenant de deux ou plusieurs programmes d'études différents.

L'interdisciplinarité se réalise habituellement au sein de projets intégrateurs.

Interprétation

Action d’expliquer de donner une signification claire à une chose obscure (LE ROBERT) . Interpréter un fait, un résultat expérimental c’est répondre à la question : que démontre ce résultat par rapport au problème posé ? C’est attribuer un sens à un fait, c’est faire œuvre de traduction. L’interprétation scientifique consiste à mettre en relation un fait observé, un document, avec un réseau d’autres faits ou d’autres documents.

Voili, voilou pour le moment... Je reviens dès que possible, promis ! :blush:

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Merci Dolphinatlantica ! :wub: Toi aussi tu fait un travail génial ! :P

Récit :

Le récit a pour but d'exposer des faits.

Le récit s'oppose à la description.

Il représente des actions et non des états.

Il se place dans l'ordre de la consécution et non de la simultanéité.

Il prend en compte le principe de causalité qui explique pourquoi se produit tel ou tel fait.

Il met en ordre à l'aide de connecteurs temporels linéaires et non spatiaux.

Il utilise des temps de conjugaison limitatifs, propres à traduire la succession des événements : le passé simple par exemple.

Ses faits sont agencés en intrigue pour susciter l'intérêt du lecteur.

Agencement d'une séquence narrative.

Une séquence narrative, qui peut constituer tout ou partie d'un récit , agence les fait d'une façon qui dramatise leur déroulement, retient l'intérêt du lecteur et suscite son attente. Cet agencement a généralement la forme suivante :

- situation initiale : équilibre

-intervention d'un événement perturbateur qui rompt l'équilibre et provoque le noeud de l'action

- péripéties de l'action : les personnages réagissent à l'événement perturbateur et s'engagent dans une sorte de lutte au cours de laquelle ils ont tantôt le dessus tantôt le dessous. Chaque phase de cette lutte se nomme péritpétie.

- dénouement. C'est la dernière péripétie, la victoire pour les uns, la défaite pour les autres. Le dénouement marque la fin de l'action.

- situation finale : nouvel équilibre

Le récit est une forme d'énonciation qui s'oppose à celle du discours.

Dans le discourt, le référent est pris en charge par la situation d'énonciation ( coordonnées déictiques : je, ici, maintenant,). Dans le récit, il doit être mis en place dans l'énoncé lui-même afin de servir de support à un ensemble de substituts : les anaphores. On reconnaît par ailleurs un récit à divers indices qui l'opposent au discours:

Les temps : le temps du récit est le passé simple alors que celui du discours est le passé-composé

Les personnes : dans le récit, au contraire du discours, le sujet d'énonciation n'apparaît pas.

Les modalisateurs : le récit, qui coupe l'énoncé de l'énonciation, n'utilise, en général, aucun modalisateur du genre il se peut que, évidemment, peut-être, etc.

Le temps: il s'exprime par rapport à un repère présent dans le texte, et non par apport au moment de l'énonciation : à ce moment là, quelques instants plus tards, le surlendemain, etc.

En bref, le récit se construit par rapport à un système de référence figurant dans le texte lui-même et non par rapport à des coordonnées présentes dans la situation d'énonciation.

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Le discours :

le terme discours revêt un grand nombre de significations :

1 Au sens général il désigne tout acte de parole

2 Il peut être utilisé comme un synonyme d'énoncé : toute unité linguistique ayant au moins la longueur d'une phrase et pourvue d'un sens.

3 Il désigne un énoncé considéré en tant qu'enchaînement de phrases successives et pouvant donner lieu à une analyse

4 Au sens le plus utilisé aujourd'hui à l'école comme fondement d'une pédagogie de l'écrit, il entre dans l'opposition récit / discours. Cette opposition correspond à deux situations d'énonciation irréductibles l'une à l'autre . Le discours se caractérise par le fait que les deux locuteurs se trouvent dans une situation qui prend en charge le référent du langage. Dans une situation de récit au contraire le référent doit être assumé par le langage lui-même. Pour savoir si l'on a affaire à un récit ou à un discours, on peut se reporter à un certain nombre d'indices.

Les temps

Le temps du récit est le passé simple. On trouvera dans le récit ( roman par exemple ) une phrase comme : lorsque le policier entra, les conversation s'arrêtèrent.

Le temps du discours est plutôt le passé composé. Dans un discours ( une lettre par exemple) on trouvera une phrase comme : lorsque je suis entré dans la classes, les élèves se sont tus.

Certains temps ou modes peuvent être employés aussi bien dans un récit que dans un discours, l'imparfait, le plus-que-parfait, le conditionnel, mais lorsque l'on se trouve en présence d'un énoncé qui commence au passé-composé, il se poursuit jusqu'au bout avec ce temps et ne tolère aucune intervention du passé simple. C'est le signe d'un discours. L'inverse est vrai pour le récit .

Les personnes

dans le discours, le sujet d'énonciation est présent sous forme du je et son interlocuteur sous la forme du tu . Dans le récit en général l'émetteur n'intervient pas à l'intérieur de l'énoncé. S'il arrive qu'il intervienne c'est en tant que narrateur et non comme émetteur réel. Le il est, bien entendu, en tant que substitut, présent dans les deux types d'énoncé.

Les modalisateurs

le récit établit une coupure entre le texte et son énonciation. L'émetteur n'intervenant pas dans le message, cela donne une impression d'objectivité. Dans le discours au contraire l'émetteur prend en charge son énoncé et donne son point de vue sur ce qu'il énonce. IL exprimera ainsi le doute ( peut-être, sans doute), la certitude ( assurément, à coup sûr ), divers types de jugements ( heureusement, hélas ), etc. Le récit est neutre, non le discours.

Les compléments du temps

Dans le discours, les expressions qui expriment le moment se réfèrent au moment de l'énonciation : aujourd'hui, hier, demain, dans un instant. Dans le récit, ces expressions se réfèrent à un repère temporel figurant dans le texte : ce jour-là, la veille, le lendemain, un instant après.

En bref le discours s'inscrit à l'intérieur de trois coordonnées déictiques ( présentes dans la situation d'énonciation ) : je ( le locuteur ), ici ( le lieu d'énonciation ), maintenant ( le temps de l'énoncé ). C'est par rapport à ces trois coordonnées que tout le discours se construit.

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Coucou les filles !

je trouve qu'on fait une équipe d'enfer...

Non ??? :blush:

Bonne continuation ;)

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Idem !!!

Je m'y remets ce soir à la débauche, je donnerai quelques autres définitions ... je ferai des recherches ... sinon, demain je suis libre, je vous oublie pas hein :)

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Oui on fait une super équipe !!!!!!!!!!!!!! :D

D'ailleurs nous attendons toutes avec impatience les prochaine questions de Dolphinatlantica ! :P ;)

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euh... au fait les filles comment faites-vous pour mettre vos messages en couleur ? :huh: :o Moi quand je clique sur couleur et que j'en choisi une , mon message apparaît comme suit : voilà mais point de rouge ! :(

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Lara Croft :

1- Quelles questions ??? (je me demande si tu parles de l'oral pro ?)

2- Pour mettre en couleur, avant d'envoyer ton message, tu le selectionnes entièrement et ensuite tu choisis une couleur ... ça fonctionne ainsi ! :)

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Les divers moments d'un projet d'écriture

Un projet d'écriture se décompose généralement en plusieurs phases permettant de décomposer les différents processus cognitifs sans pour autant les isoler de leur enchaînement. Cette décomposition constitue une aide en soi pour l'apprenant et permet de lui fournir par ailleurs des aides spécifiques dans la mise en place des compétences à acquérir.

1. Mise en condition culturelle

Si on veut que les élèves prennent un intérêt affectif et cognitif à une quelconque tâche d’écriture, il faut avant tout qu’ils vivent dans un contexte (classe - école) où lecture et écriture constituent des pratiques courantes, valorisées - où, concrètement, on trouve à disposition des journaux, des livres, une bibliothèque, centre documentaire et lieu d’animation, où l’enseignant lit des histoires, des poèmes, etc. à ses élèves, où on participe à des concours, où on correspond avec des élèves d’autres écoles, etc. Admettons en effet que vous souhaitiez lancer vos élèves dans l’écriture de poèmes. S’ils n’ont déjà, comme lecteurs, qu’une expérience fort limitée du genre, il est probable qu’ils ne pourront adhérer aisément au projet et que leurs productions seront plus difficiles. La mise en condition culturelle implique ici, en fait, un travail préalable, plus ou moins long d’acculturation, de lectures diverses.

2. MISE EN SITUATION

Dans la mise en situation, il faut s’assurer essentiellement de 3 choses :

1/ que les élèves ont bien compris et intégré les enjeux du projet;

2/ qu'ils disposent d'aides suffisantes pour donner une première organisation à leur texte;

3/ qu'ils ont reçu suffisamment d'aides pour élaborer, concevoir les idées, le contenu de leur texte.

Pour les projets d'écriture faisant appel à l'imagination, on aménagera pour les élèves un "tremplin affectif et imaginaire" (TAI).

3. MISE EN TEXTE ET DE RÉVISIONS (Activités de systématisation)

Chaque projet d’écriture peut être (doit être) l’occasion d’approfondir l’une ou l’autre stratégie et les connaissances des élèves sur les divers niveaux d’organisation d’un texte, ce qui leur permettra de mieux réussir le projet en cours ou les projets qui suivront. Ces phases de systématisation peuvent intervenir à différents moments du projet d’écriture :

- Parfois, il est nécessaire d’initier les élèves au genre avant même qu’ils ne le pratiquent - surtout lorsqu’on est à peu près sûr qu’ils n’en ont qu’une idée peu développée (ex. poésie)

- Le plus souvent, les systématisations sur les caractéristiques d’un texte interviendront juste après le premier jet.

- Même si on peut y revenir par après, on réservera généralement l’intervalle entre le second jet et le net pour les systématisations orthographiques et/ou grammaticales.

Point fondamental : toute systématisation débouche sur l’établissement d’un référentiel stratégique ou linguistique que les élèves pourront réutiliser par la suite comme guide provisoire. L’abandon par les élèves de ces guides dépendra largement de l’intensité des réinvestissements dans d’autres projets où ils pourront être réutilisés.

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VOCABULAIRE

Finalités:

- Distinguer grâce au contexte différents sens d'un mot, des homonymes, des mots de sens proche ou de sens contraire, le sens propre et le sens figuré

- Mémoriser et réutiliser un vocabulaire précis acquis au cours de ses lectures et des activités spécifiques

- Donner des définitions précises de mots

Ce que l'enfant doit acquérir:

=> Savoir utiliser des outils

- Les dictionnaires (lexicaux, sémantiques, étymologiques, antonymes, faux amis, synonymes)

- Carnets de vocabulaire (à construire au fur et à mesure)

- Fichiers auto correctifs

=> Développer des savoir faire

- Savoir distinguer les différents sens d'un mot (synonymes, homonymes, antonymes, sens propre/figuré)

- Savoir constituer la famille d'un mot (racine, préfixe, suffixe)

- Savoir utiliser les différents dictionnaires

- Savoir utiliser un fichier auto correctif

- Savoir construire et utiliser un cahier de vocabulaire

- Savoir repérer les différents registres de langue

- Savoir repérer et utiliser des vocabulaires précis et spécifiques

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