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Miss Philoména

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Parce qu'il ne faudrait pas cesser de s'informer, de réagir, de s'impliquer...

L'action de quelques uns peut modifier le sort de quelques autres !

source : les dépèches de wanadoo

Le préfet du Tarn suspend la reconduite à la frontière d'une Rwandaise séropositive

30/08 18:46 : Le préfet du Tarn a décidé mardi de suspendre un arrêté de reconduite à la frontière visant une Rwandaise séropositive, dans l'attente d'une expertise médicale.

Il a indiqué mardi soir à l'AFP que celle-ci allait pouvoir épouser son compagnon, un Français résidant à Castres (Tarn).

Zuena U., 31 ans, parvenue en France pour le rejoindre, grâce à un visa touristique d'entrée dans l'espace Schengen par l'Allemagne à la fin 2004, est sous le coup d'un arrêté de reconduite à la frontière vers l'Allemagne, son visa étant expiré.

Son avocat Me Ludovic Rivière et la Cimade (service oecuménique d'entraide), ont déjà obtenu l'annulation d'un premier arrêté qui menaçait de l'expulser vers le Rwanda où elle avait subi des sévices à l'époque du génocide de 1994 et ont décidé un recours en annulation contre le nouvel arrêté.

"Cette expulsion serait une honte, c'est la première fois à ma connaissance que serait prise une mesure d'éloignement d'un malade du sida", a déclaré à l'AFP Me Ludovic Rivière.

Le préfet, François-Xavier Ceccaldi a expliqué la mise entre parenthèse de l'arrêté en précisant qu'il demandait "à un médecin expert de confirmer la réalité de l'infection de la malade".

Il a ajouté que le procureur de la République de Castres ne devrait pas s'opposer au mariage "en l'absence d'éléments tangibles pour affirmer qu'il s'agirait d'un mariage blanc". "L'arrêté n'est pas levé, nous verrons dans l'avenir comment évolue ce mariage", a précisé le préfet.

La séropositivité de Zuena avait été décelée lors de la visite prénuptiale en juin 2005, et le centre hospitalier de Castres-Mazamet l'avait prise en charge pour engager une trithérapie, selon son entourage.

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je rappelle

Pour les étranger-e-s en France,

se soigner reste un combat

La CMU pour tou-te-s !

En 2005, le sida est considéré par le gouvernement comme « grande cause nationale ». Et pourtant, cet été encore, le gouvernement a rappelé que son objectif était le démantèlement de l’AME, dernière chance d’accès aux soins pour les sans papiers. Cette politique remet en cause l’accès aux soins des malades parmi les plus précaires et va à l’encontre des enjeux de santé publique. L’ouverture de la couverture maladie universelle à tou-te-s est la seule solution satisfaisante ; elle est réclamée par toutes les associations mais aussi par le Conseil économique et social ou par les experts du Rapport Delfraissy.

Pour obtenir une CMU réellement universelle et ouverte aux sans papiers, les organisations signataires organisent

un rassemblement

le jeudi 8 septembre 2005 à 13h30

devant le ministère de la Santé

Une couverture maladie faussement universelle

Il paraît qu’il existe en France un Couverture Maladie Universelle (CMU) et qu’elle garantit l’égalité de traitement prévue par les conventions internationales. Mais ce dispositif n’a d’universel que le nom : plusieurs centaines de milliers de personnes en sont exclues, les sans-papiers.

En cantonnant une partie de la population à un sous-dispositif, l’Aide médicale de l’Etat (AME), le gouvernement Jospin a empêché une politique de santé publique qui privilégie l’incitation aux démarches de santé préventive, des dispositifs simplifiés et uniques garantissant l’accès aux soins pour tou-te-s. Aujourd’hui, de nombreuses personnes vivant en France sans titre de séjour ignorent leurs droits ou considèrent qu’elles ne peuvent être prises en charge et renoncent à se faire se soigner avec les conséquences sanitaires que l’on sait : retard dans le dépistage des maladies graves, mise en danger de la vie des intéressé-e-s, et développement ou même réapparition de pathologies contagieuses et transmissibles (sida, hépatites virales, tuberculose...).

Attaques législatives contre la santé des sans-papiers

Depuis plus de deux ans, la situation ne fait qu’empirer. Deux réformes votées en 2002 et 2003 par l’UMP ont fortement restreint les possibilités d’accès à l’AME. Ces réformes ont introduit une nouvelle condition de résidence de 3 mois (contraire à l’avis du Conseil d’Etat), ont fait disparaître la possibilité d’admission immédiate (examen prioritaire des demandes et ouverture des droits en urgence quand « la situation l’exige ») et prévoient de faire disparaître la prise en charge à 100%. Le bilan est lourd : en 2004 le nombre de bénéficiaires a diminué et cette tendance s’est accentuée en 2005 avec 10 000 bénéficiaires de moins entre le premier et le second trimestre (de 158 à 148 000).

Vers la disparition de tout accès aux soins

Alors qu’il a déclaré le sida « grande cause nationale 2005 », le gouvernement n’a cessé de poursuivre le démantèlement de l’AME :

    * Le ministre de l’Intérieur, s’est exprimé à de nombreuses reprises contre l’accès aux soins des sans-papiers les plus précaires. Le 1er juillet dernier il a même considéré comme « inacceptable » leur prise en charge à 100%.

    * Le Premier ministre et le ministre de la Santé, quant à eux, ont profité de l’été pour faire publier deux décrets qui durcissent davantage les conditions d’accès à l’AME en exigeant notamment des justificatifs que de nombreuses personnes seront dans l’impossibilité de produire. Ces décrets sont identiques à ceux que la CNAM avait désapprouvés en janvier 2004 parce que les « conditions d’accès particulièrement complexes » imposées par le gouvernement compromettaient « l’accès aux soins » des personnes concernées et contrevenaient « aux exigences élémentaires de santé publique et de sécurité sanitaire, sans garantir au demeurant aucune efficacité économique ».

Une seule solution, la CMU pour tou-te-s

L’ouverture de la CMU aux sans-papiers est la seule solution pragmatique. Les associations ne sont pas les seules à le demander : les experts chargés des recommandations sur la prise en charge des personnes infectées par le VIH (rapport Delfraissy) mais aussi le Conseil économique et social ont rappelé cette évidence.

Cette mesure permettrait :

    * de garantir un égal accès aux soins de tou-te-s ;

    * de développer le recours à la médecine préventive dans l’intérêt des concerné-e-s et de la santé publique

    * de faire des économies en dépistant plus rapidement les maladies évolutives, en simplifiant la gestion administrative et en améliorant l’organisation des soins.

2005, année de la grande cause nationale contre le sida, doit être également l’année de l’ouverture de la CMU à tou-te-s les résident-e-s en France.

C’est pourquoi les organisations signataires appellent à

un rassemblement

le jeudi 8 septembre 2005 à 13h30

devant le ministère de la Santé

Premiers signataires :

Act Up-Paris, African Poisitive Association, Aides, Aides Ile-de-France, Arcat, Association des familles victimes de saturnisme, Bondeko, Cimade, Collectif "Sida, Grande cause nationale 2005", COMEDE, Coordination 93 de lutte pour les sans-papiers, FASTI, GISTI, Ikambere, Médecins d’Afrique, Médecins du Monde, Sidaction, Sida Info Service, Solidarité Sida, URACA

source :

http://www.fasti.org/

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Y a du boulot...

On peut parler du gouverneur du Texas qui dit que son Etat est plein et donc refuse que les "pauvres noirs" viennent squatter son état...

I have a dream qu'il disait...

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Y a du boulot...

On peut parler du gouverneur du Texas qui dit que son Etat est plein et donc refuse que les "pauvres noirs" viennent squatter son état...

I have a dream qu'il disait...

Il doit se retourner dans sa tombe le pauvre ! :o

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Discours prononcé par Martin Luther King le 28 Août 1963 lors de la marche de Washington

Je suis heureux de me joindre à vous aujourd’hui pour participer à ce que l’histoire appellera la plus grande démonstration pour la liberté dans les annales de notre nation.

Il y a un siècle de cela, un grand Américain qui nous couvre aujourd’hui de son ombre symbolique signait notre Proclamation d’Emancipation. Ce décret capital se dresse, comme un grand phare illuminant d’espérance les millions d’esclaves marqués au feu d’une brûlante injustice. Ce décret est venu comme une aube joyeuse terminer la longue nuit de leur captivité.

Mais, cent ans plus tard, le Noir n’est toujours pas libre. Cent ans plus tard, la vie du Noir est encore terriblement handicapée par les menottes de la ségrégation et les chaînes de la discrimination. Cent ans plus tard, le Noir vit à l’écart sur son îlot de pauvreté au milieu d’un vaste océan de prospérité matérielle. Cent ans plus tard, le Noir languit encore dans les coins de la société américaine et se trouve exilé dans son propre pays.

C’est pourquoi nous sommes venus ici aujourd’hui dénoncer une condition humaine honteuse. En un certain sens, nous sommes venus dans notre capitale nationale pour encaisser un chèque. Quand les architectes de notre République ont magnifiquement rédigé notre Constitution de la Déclaration d’Indépendance, ils signaient un chèque dont tout Américain devait hériter. Ce chèque était une promesse qu’à tous les hommes, oui, aux Noirs comme aux Blancs, seraient garantis les droits inaliénables de la vie, de la liberté et de la quête du bonheur.

Il est évident aujourd’hui que l’Amérique a manqué à ses promesses à l’égard de ses citoyens de couleur. Au lieu d’honorer son obligation sacrée, l’Amérique a délivré au peuple Noir un chèque en bois, qui est revenu avec l’inscription “ provisions insuffisantes ”. Mais nous refusons de croire qu’il n’y a pas de quoi honorer ce chèque dans les vastes coffres de la chance, en notre pays. Aussi, sommes-nous venus encaisser ce chèque, un chèque qui nous donnera sur simple présentation les richesses de la liberté et la sécurité de la justice.

Nous sommes également venus en ce lieu sacrifié pour rappeler à l’Amérique les exigeantes urgences de l’heure présente. Ce n’est pas le moment de s’offrir le luxe de laisser tiédir notre ardeur ou de prendre les tranquillisants des demi-mesures. C’est l’heure de tenir les promesses de la démocratie. C’est l’heure d’émerger des vallées obscures et désolées de la ségrégation pour fouler le sentier ensoleillé de la justice raciale. C’est l’heure d’arracher notre nation des sables mouvant de l’injustice raciale et de l’établir sur le roc de la fraternité. C’est l’heure de faire de la justice une réalité pour tous les enfants de Dieu. Il serait fatal pour la nation de fermer les yeux sur l’urgence du moment. Cet étouffant été du légitime mécontentement des Noirs ne se terminera pas sans qu’advienne un automne vivifiant de liberté et d’égalité.

1963 n’est pas une fin, c’est un commencement. Ceux qui espèrent que le Noir avait seulement besoin de se défouler et qu’il se montrera désormais satisfait, auront un rude réveil, si la nation retourne à son train-train habituel.

Il n’y aura ni repos ni tranquillité en Amérique jusqu’à ce qu’on ait accordé au peuple Noir ses droits de citoyen. Les tourbillons de la révolte ne cesseront d’ébranler les fondations de notre nation jusqu’à ce que le jour éclatant de la justice apparaisse.

Mais il y a quelque chose que je dois dire à mon peuple, debout sur le seuil accueillant qui donne accès au palais de la justice : en procédant à la conquête de notre place légitime, nous ne devons pas nous rendre coupables d’agissements répréhensibles.

Ne cherchons pas à satisfaire notre soif de liberté en buvant à la coupe de l’amertume et de la haine. Nous devons toujours mener notre lutte sur les hauts plateaux de la dignité et de la discipline. Nous ne devons pas laisser nos revendications créatrices dégénérer en violence physique. Sans cesse, nous devons nous élever jusqu’aux hauteurs majestueuses où la force de l’âme s’unit à la force physique.

Le merveilleux esprit militant qui a saisi la communauté noire ne doit pas nous entraîner vers la méfiance de tous les Blancs, car beaucoup de nos frères blancs, leur présence ici aujourd’hui en est la preuve, ont compris que leur destinée est liée à la nôtre. L’assaut que nous avons monté ensemble pour emporter les remparts de l’injustice doit être mené par une armée bi-raciale. Nous ne pouvons marcher tout seul au combat. Et au cours de notre progression il faut nous engager à continuer d’aller de l’avant ensemble. Nous ne pouvons pas revenir en arrière.

Il y a des gens qui demandent aux militants des Droits Civiques : “ Quand serez-vous enfin satisfaits ? ” Nous ne serons jamais satisfaits aussi longtemps que le Noir sera la victime d’indicibles horreurs de la brutalité policière. Nous ne pourrons être satisfaits aussi longtemps que nos corps, lourds de la fatigue des voyages, ne trouveront pas un abri dans les motels des grandes routes ou les hôtels des villes.

Nous ne pourrons être satisfaits aussi longtemps que la liberté de mouvement du Noir ne lui permettra guère que d’aller d’un petit ghetto à un ghetto plus grand. Nous ne pourrons être satisfaits aussi longtemps que nos enfants, même devenus grands, ne seront pas traités en adultes et verront leur dignité bafouée par les panneaux “ Réservé aux Blancs ”. Nous ne pourrons être satisfaits aussi longtemps qu’un Noir du Mississippi ne pourra pas voter et qu’un Noir de New-York croira qu’il n’a aucune raison de voter. Non, nous ne sommes pas satisfaits et ne le serons jamais, tant que le droit ne jaillira pas comme l’eau, et la justice comme un torrent intarissable.

Je n’ignore pas que certains d’entre vous ont été conduis ici par un excès d’épreuves et de tribulations. D’aucuns sortent à peine d’étroites cellules de prison. D’autres viennent de régions où leur quête de liberté leur a valu d’être battus par les orages de la persécution et secoués par les bourrasques de la brutalité policière. Vous avez été les héros de la souffrance créatrice. Continuez à travailler avec la certitude que la souffrance imméritée vous sera rédemptrice.

Retournez dans le Mississippi, retournez en Alabama, retournez en Caroline du Sud, retournez en Georgie, retournez en Louisiane, retournez dans les taudis et les ghettos des villes du Nord, sachant que de quelque manière que ce soit cette situation peut et va changer. Ne croupissons pas dans la vallée du désespoir.

Je vous le dis ici et maintenant, mes amis, bien que, oui, bien que nous ayons à faire face à des difficultés aujourd’hui et demain je fais toujours ce rêve : c’est un rêve profondément ancré dans l’idéal américain. Je rêve que, un jour, notre pays se lèvera et vivra pleinement la véritable réalité de son credo : “ Nous tenons ces vérités pour évidentes par elles-mêmes que tous les hommes sont créés égaux ”.

Je rêve qu’un jour sur les collines rousses de Georgie les fils d’anciens esclaves et ceux d’anciens propriétaires d’esclaves pourront s’asseoir ensemble à la table de la fraternité.

Je rêve qu’un jour, même l’Etat du Mississippi, un Etat où brûlent les feux de l’injustice et de l’oppression, sera transformé en un oasis de liberté et de justice.

Je rêve que mes quatre petits-enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés sur la couleur de leur peau, mais sur la valeur de leur caractère. Je fais aujourd’hui un rêve !

Je rêve qu’un jour, même en Alabama, avec ses abominables racistes, avec son gouverneur à la bouche pleine des mots “ opposition ” et “ annulation ” des lois fédérales, que là même en Alabama, un jour les petits garçons noirs et les petites filles blanches pourront se donner la main, comme frères et sœurs. Je fais aujourd’hui un rêve !

Je rêve qu’un jour toute la vallée sera relevée, toute colline et toute montagne seront rabaissées, les endroits escarpés seront aplanis et les chemins tortueux redressés, la gloire du Seigneur sera révélée à tout être fait de chair.

Telle est notre espérance. C’est la foi avec laquelle je retourne dans le Sud.

Avec cette foi, nous serons capables de distinguer dans la montagne du désespoir une pierre d’espérance. Avec cette foi, nous serons capables de transformer les discordes criardes de notre nation en une superbe symphonie de fraternité.

Avec cette foi, nous serons capables de travailler ensemble, de prier ensemble, de lutter ensemble, d’aller en prison ensemble, de défendre la cause de la liberté ensemble, en sachant qu’un jour, nous serons libres. Ce sera le jour où tous les enfants de Dieu pourront chanter ces paroles qui auront alors un nouveau sens : “ Mon pays, c’est toi, douce terre de liberté, c’est toi que je chante. Terre où sont morts mes pères, terre dont les pèlerins étaient fiers, que du flanc de chacune de tes montagnes, sonne la cloche de la liberté ! ” Et, si l’Amérique doit être une grande nation, que cela devienne vrai.

Que la cloche de la liberté sonne du haut des merveilleuses collines du New Hampshire !

Que la cloche de la liberté sonne du haut des montagnes grandioses de l’Etat de New-York !

Que la cloche de la liberté sonne du haut des sommets des Alleghanys de Pennsylvanie !

Que la cloche de la liberté sonne du haut des cimes neigeuses des montagnes rocheuses du Colorado !

Que la cloche de la liberté sonne depuis les pentes harmonieuses de la Californie !

Mais cela ne suffit pas.

Que la cloche de la liberté sonne du haut du mont Stone de Georgie !

Que la cloche de la liberté sonne du haut du mont Lookout du Tennessee !

Que la cloche de la liberté sonne du haut de chaque colline et de chaque butte du Mississippi ! Du flanc de chaque montagne, que sonne le cloche de la liberté !

Quand nous permettrons à la cloche de la liberté de sonner dans chaque village, dans chaque hameau, dans chaque ville et dans chaque Etat, nous pourrons fêter le jour où tous les enfants de Dieu, les Noirs et les Blancs, les Juifs et les non-Juifs, les Protestants et les Catholiques, pourront se donner la main et chanter les paroles du vieux Negro Spiritual : “ Enfin libres, enfin libres, grâce en soit rendue au Dieu tout puissant, nous sommes enfin libres ! ”.

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C'est sympa Miss Ph d'avoir relancé ce post d'infos ;)

( par contre, je ne m'attendais pas à ce que des prières soient dites aussi rapidement :cry: )

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Eh oui Affable, si je ne te connaissais pas un petit peu, j'aurais presque penché pour de la provoc... :huh:;)

Mais bon, ne dérivons pas ...

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Non pas du tout provoc...

Mais on peut être "contre" la religion est trouvé certaines paroles très belles et vraies même venant d'un religieux, non ?

Ce que je voulais dire c'est que depuis 1963, rien n'a changé...ou si peu...et c'est bien triste...

Il ne faut pas voir le mal où il n'y en a pas.

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:)

Rien n'a changé mais je ne désespère pas et j'abandonne encore moins ! :P

J'ai réalisé aujourd'hui que le problème du racisme est hyper plus complexe que ce que je ne pensais.

Quand une personne de couleur sera perçue d'abord en tant qu'individu et plus uniquement, immédiatement par sa couleur, spontanément, par toute personne posant le regard sur elle, "on" aura gagné... Ceci, semble t'il, est évident pour un trop petit nombre de personnes, hélas.

En discutant avec une copine, j'en suis arrivée à me demander si un pseudo déterminisme et fatalisme (à la noix) n'empècheraient pas les individus de faire leurs preuves. Les préjugés quoi...

Oui, je sais, je suis une grande naïve

(utopiste ?)
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Tu sais il y a déja du racisme entre personnes de même couleur alors...

Mais tout comme toi je ne désespère pas et abandonne encore moins.

Utopiconaïvococonne je suis et je resterai :D;)

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à France Sphincter hier ça parlait d'un français qui avait été accueilli, à la Nouvelle Orléans par "ses voisins noirs" !!!!!!!!!

pardon, ça dévir, c'était rapoort au racisme, pas à la CMU et aux Sans-Pap' (faut pas trop dévier)

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