Tahoney Posté(e) 10 mars 2007 Posté(e) 10 mars 2007 Cela me rappelle le discours des moniteurs d'équitation : ils adorent les chevaux, mais pas les enfants. Ce qui équivaudrait à dire que les enseignants aiment enseigner mais n'aiment pas les enfants ?! <_< Nan mais ! Moi je les adore les gamins qu'on me confie. En plus, il y a un truc qui se passe, quand on enseigne, que ce soit à l'école ou à la maison : l'impression (justifiée) que nous sommes responsables de ce qui peut arriver à ces charmantes têtes blondes. Le sentiment de responsabilité, oui, le même que l'on ressent quand on vient juste d'accoucher pour la première fois et qu'on se dit que maintenant, nous ne vivons plus que pour nous mais aussi pour faire en sorte que celui que l'on vient d'enfanter vive (et le fasse le mieux possible). Quand on enseigne, on n'est pas là pour se faire plaisir (même si ça arrive souvent) en pratiquant la pédagogie, mais pour que ceux que l'on a en face de nous deviennent des êtres culturellement, intellectuellement et humainement "capables" de prendre le relais un jour. C'est une responsabilité que l'on a envers eux et envers la société.
varuna Posté(e) 10 mars 2007 Posté(e) 10 mars 2007 salut salut je vois que ça redemarre a part les attaques personnelles , je ne vois rien de nouveau ? je disais simplement que les structures sans pouvoir ça n'existe pas c'est tout .. et c'est argumentable , peut etre que mon exemple n'etait pas bon . Le lycee autogéré ( entreprise que je soutiens toujours comme les innovations interessantes, il n'y en a plus assez ; je precise encore encore) , en fin cette anecdote montre que , justement, en pensant ( disant ) qu'il n'y a pas de pouvoir de hierarchie en fait on la fonctionner quand meme mais pire parce que cachée. ^point 2 : l'amour ne regle pas tout meme si il est necessaire mais pas d'anecdotes qui seraient mal comprises ... a part cela je m'occupe des jeunes enseignants qui ont bien besoin de cadres pour travailler . modeste tache que nous a transmise celestin a ciao
°Vanille° Posté(e) 10 mars 2007 Posté(e) 10 mars 2007 Je comprends ce qu'a voulu dire Varuna. C'est vrai que c'est pas mal pour un enfant d'apprendre qu'il y a une hiérarchie autre que ses parents dans la vie. Moi, je ne suis ni pour, ni contre. C'est au cas par cas, il y a des parents trop autoritaires, tout comme il y a des instits trop autoritaures, il y a des parents qui doivent bien enseigner, tout comme des bons instits (mais bon, nous, c'est quand même notre métier! )
Tiphaine Posté(e) 11 mars 2007 Posté(e) 11 mars 2007 Si enseigner est notre métier, c'est quoi, d'être parents? C'est toujours et cela resterait l'idéal pour nous: enseigner avec un nombre restreint d'élèves pour pouvoir réellement s'adapter au rythme d'apprentissage tout comme au ressenti et à la sensibilité de chacun. Mais là, j'en reviens à tout ce qui se rapporte aux effectifs, et ce n'est pas le sujet. A plus
Anwamanë Posté(e) 7 août 2007 Posté(e) 7 août 2007 Ces familles qui choisissent de vivre sans école (texte rédigé à l'intention des enseignants lecteurs du Café pédagogique) Par : Claudia Renau enseignante de géographie et TICE à l'IUFM de Paris claudia@parisbalades.com juin 2005, modifié août 2007 (Toutes critiques et suggestions bienvenues)3
srt Posté(e) 20 avril 2008 Posté(e) 20 avril 2008 Petite info à ceux que ça intéresse: le magazine "Grandir Autrement" consacre son dernier hors série à l'instruction en famille (sommaire)
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