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Cirques SANS animaux


La Marquise

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J'ai toujours détesté le cirque à cause des conditions dans lesquelles les animaux sont exploités à la seule fin d'amuser les gens. Ma mère qui adore ça voulait toujours m'y emmener quand j'étais petite et elle se frottait à un non catégorique à chaque fois :P Donc je ne compte vraiment pas y emmener mes futurs élèves !

Je haiiiiiiiiiiiiiiiis les cirques (qui me rappellent que je suis seuleeeeeeeeeeeee, oulà je m'égare) :D

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Et puis, le pire, c'est que les animaux qu'on peut voir dans un cirque ou un zoo ne sont que la partie émergée de l'iceberg.

Là, on met en marche notre empathie et on fait de l'anthropomorphisme, ce qui n'est pas plus mal, étant données les conditions de vie de ces animaux, mais le plus grave se passe en amont, au moment de la capture et ensuite, du transport.

Entre le trafic illégal, les conditions d'hygiène déplorables, la mortalité est importante... et pour un animal vivant c'est combien de morts ?

Plus encore qu'un problème éthique, c'est un vrai problème écologique.

Pour alimenter les zoos, des animaux ont été prélevés dans leur milieu naturel provoquant un véritable massacre en règle. L’unique manière de capturer un animal vivant comme l’éléphant, le singe, la girafe, l’hippopotame...est de tuer les mères qui protégent leurs progénitures ou les chefs de troupeau. James Fisher, sous directeur du zoo de Londres, estimait qu’un orang-outang capturé supprime 4 sujets sauvages, dont 3 mères en puissance. Domalain, célèbre marchand d’animaux, évaluait à 10 le nombre des tués pour un animal visible au zoo.

Les longs transports par bateaux des animaux d’Afrique ou d’Asie vers les zoos européens ou américains rajoutaient au carnage, cependant le transport aérien officiel conserve des taux de mortalité très élevés. Selon le rapport de BUAV de 1993 : Entre 1988 et 1991, le taux de mortalité des babouins et les macaques d’Afrique est de 10 % à 37 % ; ceux des Philippines : autour de 10 % ; d’Indonésie : de 18 % à 54 %. En ornithologie, les importations sont énormes : les mois d’août, les volières d’oiseaux exotiques d’Anvers contiennent de 50 000 à 60 000 oiseaux.

Pour pallier au risque de ne plus avoir de stocks d’animaux exotiques, les zoos ont pris conscience, dès le début du XXe siècle, qu’ils devaient mettre en place des programmes de reproduction en captivité donnant l’illusion de leur rôle bienveillant et utilitaire. C’est aujourd’hui le principal argument des zoos et de leurs défenseurs face aux critiques, dans la mesure où elle permet de justifier la captivité.

Malheureusement, les zoos auront toujours besoin d’animaux sauvages pour alimenter leurs stocks car les taux de mortalité des animaux, particulièrement dans les 18 premiers mois de détention reste très élevé depuis des décennies et ceci malgré quelques progrès d’espace chez certains zoos. En effet, selon les données de l’International Zoo Yearbook, regroupées avec celles des zoos de Londres et de Vincennes : en moyenne environ 17 % du "stock total" des animaux meurt chaque année dans les zoos. En clair, il suffirait de cesser le ravitaillement des zoos en animaux pendant 4 ou 6 ans pour les fermer, il ne resterait alors plus que quelques vétérans.

suite ici : http://www.veganimal.info/article.php3?id_article=129

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