Yseult Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 Pour les formations d'informaticiens cela regarde les entreprises privées qui ont prodiguées ces formations donc cela n'a rien à voir avec l'école. Qui ont prodiguE... Et donc? Il y a le cas inverse ou dans certaines filières on n'attend même pas que les jeunes obtiennent leur diplôme, on les embauche, le pb est donc juste ponctuel. Tu apportes exactement de l'eau à mon moulin au dessus. Non, ce n'est pas vrai, mon neveu vient d'entrer dans un grand centre de recherche alors qu'il vient de terminer sa thèse (il aurait pu aller autre part, mais le projet est intéressant). MdN, tu m'étonneras toujours. Avant de passer ce consours du CRPE et de me mettre en dispo, j'étais titulaire (je le suis toujours, tant que je ne démissionne pas) d'un poste dans un très prestigieux centre de recherches ;oh, je ne suis pas docteur, juste technicienne, avec un diplome qui me permettrait, en théorie, d'être ingénieur de recherches. Et les chercheurs sans postes ou du moins sans poste correspondant à leur catégorie, c'est la norme; c'est le chercheur embauché qui devient la rareté. N'en fais pas une règle. Ca doit sans doute être parce que les places sont pléthoriques dans les organismes de recherche que de moins en moins d'étudiants se dirigent vers des carrières universitaires ? Je suis une menteuse et ce que j'ai pu voir et vivre, pendant des années, c'est inventé? Et quant au privé, il y a un poste pour 100 candidats : celui qui décrochera la timbale, c'est de préférence celui qui aura fait un post-doc dans le labo aux States du professeur machin, copain du directeur de thèse. Alors, ton neveu : je connais personnellement le fils du beau-frère de la bécane à Jules qui a été embauché, et j'en fais une règle générale de la situation? Je parle sinon de l'école donc pas des études supérieurs qui sont un autre problème, je m'aperçois que ma fille est une bonne élève non pas grace à l'école, mais grace à nous (et a elle aussi bien entendu) et que tous les bons élèves de sa classe sont dans le même cas (parents vigilants,connaissant les programmes,s'intéressant à ces soucis, valorisant ces progrès...etc). Et donc? C'est une découverte? Tu ne le savais pas que Bourdieu et Passeron avaient écrit un bouquin qui s'appelle "les Héritiers"? C'st aux éditions de Minuit... Tu cherches à montrer quoi? Qu'il faut que l'école renforce encore cette inégalité qui existe de fait? Pour que l'inverse soit possible, il faut peut-être donner des moyens aux profs, comme peut-être ne pas mettre 30 élèves par classes pour pouvoir davantage s'occuper de près de ceux en difficulté ; mais pour cela, il faut davantage de profs. c'est mathématqiue. Ce que tu fais avec ta fille, c'est du préceptorat. Pour que l'école puisse fournir ce genre de prestations, pas de miracles : il faut davantage de profs. Le pb c'est que les autres enfants qui n'ont pas cela ne vont pas l'avoir spontanément .. et pourtant il y a des moyens qui n'existaient même pas a mon époque ( des bibliothèques qui regorgent de livre dans l'école ou aussi à la bib municipale, des cahiers à la pelle), je m'interroge donc...non pas uniquement sur l'école , mais aussi sur le reste. Ce serait bien que tu développes. On tient peut-être là la solution à l'échec scolaire. On a bien avancé la réflexion avec ton interrogation.
pseudoval Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 Et aujourd'hui ils font quoi ? Mais Mdn, le problème de la qualification est un mauvais procès qu'on fait à l'école. J'ai déjà raconté sur un autre post ce que me rapportait un chercheur proche de la retraite en constatant que j'avais une maîtrise et que j'étais sous embauchée. Quand il a démarré dans la recherche publique, l'état français ayant besoin de chercheurs, recrutait des gens à bac + 3 et les formait en quelques années à devenir directeurs de recherche. De nos jours, avec bac plus 10 et davantage, on ne trouve pas à s'employer sauf si on a un mandarin dans la manche. Alors, ce n'est pas la formation qui est en cause. Idem pour l'informatique il y a une dizaine d'années : on formait presque n'importe qui avait fait des études supèrieures parce qu'on avait besoin d'informaticiens. Alors, évidememnt, mieux vaut avoir un bagage que pas, mais ce n'est pas de savoir utiliser à bon escient l'imparfait du subjonctif ni même de ne pas faire d'erreurs dans l'accord du participe passé qui va décider de l'avenir de nos gosses professionnellement parlant. Non, ce n'est pas vrai, mon neveu vient d'entrer dans un grand centre de recherche alors qu'il vient de terminer sa thèse (il aurait pu aller autre part, mais le projet est intéressant). Pour les formations d'informaticiens cela regarde les entreprises privées qui ont prodiguées ces formations donc cela n'a rien à voir avec l'école. Il y a le cas inverse ou dans certaines filières on n'attend même pas que les jeunes obtiennent leur diplôme, on les embauche, le pb est donc juste ponctuel. Je parle sinon de l'école donc pas des études supérieurs qui sont un autre problème, je m'aperçois que ma fille est une bonne élève non pas grace à l'école, mais grace à nous (et à elle aussi bien entendu) et que tous les bons élèves de sa classe sont dans le même cas (parents vigilants,connaissant les programmes,s'intéressant à ses soucis, valorisant ses progrès...etc). Pour Nadia, la grammaire c'est important, elle travaille donc cela avec notre fille, pour moi c'est l'histoire ou la géo donc on fait de l'histoire et de la géo. Le pb c'est que les autres enfants qui n'ont pas cela ne vont pas l'avoir spontanément .. et pourtant il y a des moyens qui n'existaient même pas à mon époque ( des bibliothèques qui regorgent de livre dans l'école ou aussi à la bib municipale, des cahiers à la pelle), je m'interroge donc...non pas uniquement sur l'école , mais aussi sur le reste. Ben moi,mère indigne que je suis je ne fais absolument jamais travailler mes enfants,et ,ma foi,ils ne s'en sortent pas si mal ..ma fille aînée (CM2) a de très bons résultats,avec pourtant un démarrage un peu difficile ,la deuxième est au CE1 ,le troisième au CP ,et je fais confiance aux enseignants...Quand à la dernière elle a encore le temps :P
Yseult Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 Ben moi,mère indigne que je suis je ne fais absolument jamais travailler mes enfants,et ,ma foi,ils ne s'en sortent pas si mal ..ma fille aînée (CM2) a de très bons résultats,avec pourtant un démarrage un peu difficile ,la deuxième est au CE1 ,le troisième au CP ,et je fais confiance aux enseignants...Quand à la dernière elle a encore le temps :P Oui, mais pseudo, on te le dira : c'est parce que tu es prof, et que tu connais toutes les ficelles ; mon beau-père est dithyrambique sur le sujet. Il en a après les profs en particuliers et les fonctionnaires en général. Des planqués qui ont des passe-droits, et poncifs de chez lieux communs. Puisque leur situation est si enviable, que n'a-t-il en son temps, passé un concours (facile à obtenir) de la fonction publique ? C'est drôle, mes enfants aussi sont bons élèves... mais je ne suis pas (encore) prof. Bon, je suis fonctionnaire, ça doit être pour ça.
maridenadia Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 Yseult : Pour mon neveu, je n'en fais pas une règle générale, c'est la règle , les filières scientifiques sont en sous effectif non pas en biologie ou sciences de la nature mais dans les mathématiques la physique et l'électronique. Il ne faut pas se tromper de filière c'est tout. Pour l'école je ne dis pas qu'il faudrait que l'école renforce les inégalités, je constate qu'elle les renforce depuis déjà pas mal d'années maintenant : par exemple mes frères et soeurs qui sont plus agés que moi font moins de faute de grammaire que moi alors que nous sommes (par définition) du même milieu social. Pour le mot reste, il n'y a pas de développement extraordianire à faire, j'entendais juste prise en compte de nos vrais responsabilités. Pseudoval : Je suis content que tu sois contente.
pseudoval Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 Yseult :Pour mon neveu, je n'en fais pas une règle générale, c'est la règle , les filières scientifiques sont en sous effectif non pas en biologie ou sciences de la nature mais dans les mathématiques la physique et l'électronique. Il ne faut pas se tromper de filière c'est tout. Pour l'école je ne dis pas qu'il faudrait que l'école renforce les inégalités, je constate qu'elle les renforce depuis déjà pas mal d'années maintenant : par exemple mes frères et soeurs qui sont plus agés que moi font moins de faute de grammaire que moi alors que nous sommes (par définition) du même milieu social. Pour le mot reste, il n'y a pas de développement extraordianire à faire, j'entendais juste prise en compte de nos vrais responsabilités. Pseudoval : Je suis content que tu sois contente. merci,merci :P
maridenadia Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 Moi non plus je ne te suis pas Golfe. Pour preuve encore une fois le niveau en maths des enfants d'aujourd'hui si on le compare au niveau de ceux d'hier.Ce n'est pas une question de notes ou de classements. La question est plutôt de savoir comment on doit aborder l'enseignement de la grammaire ou de l'orthographe... Oui, c'est certain, je préciserais même : comment doit on aborder l'enseignement de la grammaire ou de l'orthographe avec les enfants d'aujourd'hui ?
Betba Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 C'est mon interrogation du moment : Emma vient juste d'avoir 7 ans et un niveau de lecture excellent (selon la psy scolaire quei l'a vu et ma mère, ancienne instit ). Donc, cette année, mon but c'est d'axer sur l'écriture, la grammaire et l'orthographe. Comme je ne suis pas une école et que ej n'ai que 2 élèves (enfin, une, parce que Titouan a juste 5 ans), c'est facile : beaucoup d'explication, de lectures communes, de jeux... et oui, nous allons faire des fiches de grammaire (Emma adore les fiches Freinet), et oui, elle fait des jeux interactifs de grammaire sur internet, et oui, elle a des dictées (c'est elle qui a réclamé), et oui, on a le temps d'ouvrir un dictionnaire comme ça, juste pour le plaisir, et oui, on va bcp bosser à partir d'Erik Orsenna et de "sujets, verbes et compagnie"... le tout en travaillant maxi 2h00 4 fois par semaine... Par contre, avec 30 enfant, inconnus, de milieux divers, en respectant un programme etc... bon, là, bravo à vous si vous avez un truc! Et là, je crois quand même que les dictées, c'est pas si mal, que la grammaire et l'analyse de phrases c'est bien aussi, que d'expliquer l'etymologie ça aide etc... et non, c'est pas chiant
Yseult Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 Yseult :Pour mon neveu, je n'en fais pas une règle générale, c'est la règle , les filières scientifiques sont en sous effectif non pas en biologie ou sciences de la nature mais dans les mathématiques la physique et l'électronique. Il ne faut pas se tromper de filière c'est tout. Pour l'école je ne dis pas qu'il faudrait que l'école renforce les inégalités, je constate qu'elle les renforce depuis déjà pas mal d'années maintenant : par exemple mes frères et soeurs qui sont plus agés que moi font moins de faute de grammaire que moi alors que nous sommes (par définition) du même milieu social. Pour le mot reste, il n'y a pas de développement extraordianire à faire, j'entendais juste prise en compte de nos vrais responsabilités. Pseudoval : Je suis content que tu sois contente. Mon compagnon, ingénieur, fait plus de fautes que moi, a zappé apparement pas mal de choses en littérature, et pourtant nous sommes de la même génération et du même milieu social, à une époque où on se farcissait de l'analyse grammaticale depuis le primaire. Je t'ai cité le cas de mes beaux-parents, bien moins cultivés (et c'est un euphémisme) que mes parents, alors que là aussi, même milieu social, et pour mon beau-père, plus âgé, il devrait, selon tes dires, être un fin lettré. Il serait peut-être temps d'arrêter les discussions du café du commerce et de penser qu'un cas fait une loi. Et ce que tu dis à propos de la physique : tu veux plaisanter je pense? Dis moi dans quel domaine est-ce que la recherche n'est pas sinistrée. Si j'ai choisi bio, c'est parce que physique, vers laquelle je voulais me tourner à l'époque, c'était déjà bouché (je voulais faire de l'astrophysique). Je suis assez bien placée pour savoir de quoi je parle, travaillant au CNRS : Centre National de la Recherche Scientifique, et même si mon labo est un labo de bio mol, c'est pareil dans tous les secteurs : les étudiants mendient des stages qui leur donneront un sésame pour poursuivre leur thèse ou leur post-doc, devenu indispensable. Des gens à bac plus 10, hyper compétents peinent à toruver un poste stable (et leur "compétence" se mesure notamment au nombre de leurs publis dans des journaux prestigieux : on ne publie pas dans Nature ouScience, journaux publiant dans l'ensemble des domaines de la science, simplement parce qu'on en a envie : des comités de lecture internationaux, composés des plus éminents représentants du domaine, jugent si ta découverte en est une et autorisent ou pas la publication de ton travail), et tu vas me dire qu'il suffirait de prendre la "bonne "filière? Eh bien , tu m'intéresse : j'ai des enfants, pour le moment en élémentaire, bons élèves. Peux-tu me dire vers où les orienter? Et je m'édite : j'avais zappé sur l'électronique qui serait un secteur d'avenir : MdN : tu as 35 ans de retard : il y a longtemps que l'électronique, ce n'est sûrement plus là qu'il faut aller. Tu es au-courant qu'on est à l'ère des nanotechnologies ?
Betba Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 Je ne suis pas en filière scientifique mais je vais entrer en doctorat, et c'est pas si mal : on en arrive à un paradoxe où les qq étudiants triés qui vont commencer un doctorat s'entendent dire "j'espère que vous ne faites pas ça dans le but de trouver un emploi" Ben, heu, non alors...
Yseult Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 Moi non plus je ne te suis pas Golfe. Pour preuve encore une fois le niveau en maths des enfants d'aujourd'hui si on le compare au niveau de ceux d'hier.Ce n'est pas une question de notes ou de classements. La question est plutôt de savoir comment on doit aborder l'enseignement de la grammaire ou de l'orthographe... Les notes et le classement, ou leur absence, ne doivent certainement pas être la variable qui expliquerait la soi-disant baisse du niveau : d'autres pays d'Europe ne pratiquent aucune notation avant... la 8 e année : c'est le cas de la Suède. Les petits Suédois sont-ils des ignares? N'a-t-on pas des universitaires, des ingénieurs en Suède?...
Carmel Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 Moi non plus je ne te suis pas Golfe. Pour preuve encore une fois le niveau en maths des enfants d'aujourd'hui si on le compare au niveau de ceux d'hier. Ce n'est pas une question de notes ou de classements. La question est plutôt de savoir comment on doit aborder l'enseignement de la grammaire ou de l'orthographe... Les notes et le classement, ou leur absence, ne doivent certainement pas être la variable qui expliquerait la soi-disant baisse du niveau : d'autres pays d'Europe ne pratiquent aucune notation avant... la 8 e année : c'est le cas de la Suède. Les petits Suédois sont-ils des ignares? N'a-t-on pas des universitaires, des ingénieurs en Suède?... Yseult je suis d'accord, les notes et les classements on s'en fiche. Mais dis nous selon toi comment on devrait alors enseigner le français aujourd'hui ??? Enfin ce n'est pas à toi que je devrais poser la question parce que si j'ai bien compris, pour toi il n'y a pas de pb. Le niveau en français reste le même et les enfants d'aujourd'hui ne font pas plus de fautes d'ortho. que ceux d'hier....et de toute façon ce n'est pas ça qui les empêche de progresser et de devenir docteur ou ingénieur... J' en doute....moâââ...
maridenadia Posté(e) 21 septembre 2006 Posté(e) 21 septembre 2006 Yseult : Pour mon neveu, je n'en fais pas une règle générale, c'est la règle , les filières scientifiques sont en sous effectif non pas en biologie ou sciences de la nature mais dans les mathématiques la physique et l'électronique. Il ne faut pas se tromper de filière c'est tout. Pour l'école je ne dis pas qu'il faudrait que l'école renforce les inégalités, je constate qu'elle les renforce depuis déjà pas mal d'années maintenant : par exemple mes frères et soeurs qui sont plus agés que moi font moins de faute de grammaire que moi alors que nous sommes (par définition) du même milieu social. Pour le mot reste, il n'y a pas de développement extraordianire à faire, j'entendais juste prise en compte de nos vrais responsabilités. Pseudoval : Je suis content que tu sois contente. Mon compagnon, ingénieur, fait plus de fautes que moi, a zappé apparement pas mal de choses en littérature, et pourtant nous sommes de la même génération et du même milieu social, à une époque où on se farcissait de l'analyse grammaticale depuis le primaire. Je t'ai cité le cas de mes beaux-parents, bien moins cultivés (et c'est un euphémisme) que mes parents, alors que là aussi, même milieu social, et pour mon beau-père, plus âgé, il devrait, selon tes dires, être un fin lettré. Il serait peut-être temps d'arrêter les discussions du café du commerce et de penser qu'un cas fait une loi. Et ce que tu dis à propos de la physique : tu veux plaisanter je pense? Dis moi dans quel domaine est-ce que la recherche n'est pas sinistrée. Si j'ai choisi bio, c'est parce que physique, vers laquelle je voulais me tourner à l'époque, c'était déjà bouché (je voulais faire de l'astrophysique). Je suis assez bien placée pour savoir de quoi je parle, travaillant au CNRS : Centre National de la Recherche Scientifique, et même si mon labo est un labo de bio mol, c'est pareil dans tous les secteurs : les étudiants mendient des stages qui leur donneront un sésame pour poursuivre leur thèse ou leur post-doc, devenu indispensable. Des gens à bac plus 10, hyper compétents peinent à toruver un poste stable (et leur "compétence" se mesure notamment au nombre de leurs publis dans des journaux prestigieux : on ne publie pas dans Nature ouScience, journaux publiant dans l'ensemble des domaines de la science, simplement parce qu'on en a envie : des comités de lecture internationaux, composés des plus éminents représentants du domaine, jugent si ta découverte en est une et autorisent ou pas la publication de ton travail), et tu vas me dire qu'il suffirait de prendre la "bonne "filière? Eh bien , tu m'intéresse : j'ai des enfants, pour le moment en élémentaire, bons élèves. Peux-tu me dire vers où les orienter? Simple : La bonne équation est la suivante : bonne école d'ingénieur + doctorat La mauvaise : études univesitaires + doctorat. c'est en 1969 et 1970 que les expériences les plus malheureuses ont été réalisées dans certaines écoles, j'ai fait l'expérience de ces méthodes et ne remercierais jamais assez le ciel de m'avoir donner la bosse des maths.
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