Top du site
-
dans toutes les zones
- Toutes les zones
- Évènements
- Commentaires de l’évènement
- Fichiers
- Commentaires du fichier
- Avis du fichier
- Images
- Commentaires de l’image
- Albums
- Commentaires de l’album
- Billets
- Commentaires du blog
- Articles
- commentaires de Article
- Enregistrements
- commentaires de Enregistrement
- avis sur Enregistrement
- Sujets
- Messages
-
Ce mois
-
Tout le temps
14 janvier 2011 - 25 novembre 2025
-
Cette année
25 novembre 2024 - 25 novembre 2025
-
Ce mois
25 octobre 2025 - 25 novembre 2025
-
Cette semaine
18 novembre 2025 - 25 novembre 2025
-
Aujourd’hui
25 novembre 2025
- Date personnalisée
-
Tout le temps
Contenu populaire
Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 10/25/25 dans toutes les zones
-
Donner de vrais moyens aux services publics ?9 points
-
Merci pour cet article. On a 400 élèves en danger. Et combien d'autres, non handicapés, qui souffrent de ces inclusions incontrôlables ? Les mentalités ont bien changé. Les enseignants osent enfin se plaindre de ces situations. Il y a 20 ans, si tu ne disais pas qu'accueillir dans ta classe un élève lourdement handicapé était formidable, tu étais une mauvaise maîtresse.6 points
-
Des nouvelles. Le médecin (elle est chouette, elle me connait) m'a reçue ce matin, fait une ordonnance et un certificat. La conseillère pédagogique était là ce matin après un message laissé hier. Elle repasse mardi. Elle est repassée à 16h30 pour m'emmener à l'inspection. L'inspectrice a pris des notes, m'a dit que j'avais bien fait de passer par -dessus la directrice, qu'effectivement il y avait un problème de posture de l'ATSEM. Que j'avais eu un discours très clair sur ce que je pouvais attendre d'elle (elle ne comprend pas toujours). Cette inspectrice est nouvelle sur la circonscription, la précédente avait déclenché mon burn out. Elle m'a dit qu'heureusement que je n'avais pas pris d'arrêt -maladie parce qu'il n'y a plus de remplaçant. Je lui ai répondu qu'avec tout ce que j'avais construit dans cette classe ç'aurait été dommage. Aujourd'hui je fais l'appel et je dis le contraire, je regarde Machin et je dis "il est absent". Ils ont compris et on s'est marrés comme des baleines. Un moment formidable, j'apprends l'humour et le second degré à des PS et M S. Ce n'est pas rien. Je vais prendre un petit tranquillisant ce soir et quelques jours pour dormir. J'ai mangé avec une copine à midi, suis sortie de l'école, j'étais à jeun depuis mardi soir. Soulagée. Agir, ne plus subir.6 points
-
Parce que c'était une idée de 💩 ?6 points
-
Je ne suis sans doute pas le seul à avoir été affolé par l'introduction des fractions au CE1 Erratum : l'appui sur l'expression "prendre tant de trucs sur tant" que je critiquais dans ce sujet, n'est pas préconisé par les programmes, je l'ai trouvé dans un autre document et ai confondu les sources en rédigeant. J'ai donc supprimé cette partie. Malgré cela, les propositions jointes me semblent toujours pertinentes car elles sont plus claires que la référence constante à "un tout". Une proposition alternative : travailler pendant une bonne partie de l'année (disons, par exemple les trois premières périodes) en utilisant les mots "demi", "quart" ou "tiers" mais sans recourir à l'écriture fractionnaire qui ne sera qu'une façon de noter ces mots en abrégé introduite vers la fin de l'année. Par ailleurs, si on utilise des mots et non des notations en chiffres, la question de l'addition des fractions est réglée : 3 quarts et deux quarts ça fait cinq quarts alors que 3 quarts et 2 tiers, ça ne fait ni 5 quarts ni 5 tiers, ce n'est pas plus difficile que pour 3 lapins et 2 lapins, ou 3 lapins et 2 poules Voici un exemple d'affichage et un exemple de fiche d'exercices écrits dans cet esprit : quarts-exo.pdf. quarts.pdf6 points
-
Mirobolande en a déjà parlé sur un autre sujet, et en effet cette Atsem a l’air gratinée.5 points
-
La réponse de Nonau est top, fais toi accompagner par ton syndicat. Ce parcours du combattant est bien trop compliqué pour que, déjà fragile, tu puisses te débrouiller toute seule. ✅ 1. Ce n’est pas ton médecin qui décide si c’est un accident de service Le médecin peut refuser d’inscrire “accident du travail” sur ton arrêt, car ce dispositif concerne surtout le régime général (salariés du privé). Dans la fonction publique : 👉 Le médecin fait simplement un arrêt maladie classique. 👉 L’administration, pas le médecin, décide si ton accident est reconnu comme accident de service. Donc oui, ton médecin a le droit de ne pas cocher « AT », et cela ne t’empêche absolument pas de faire reconnaître l’accident comme accident de service par ton employeur. ✅ 2. Comment on fait reconnaître un accident de service ? Pour être reconnu, il faut : Déclarer l’accident à ton chef d’établissement (ou IEN si tu es dans le 1er degré) Remplir un formulaire de déclaration d’accident + joindre : un certificat médical initial (même sans mention “AT”) tous les éléments prouvant que l’accident est survenu dans le cadre du travail (témoins, rapport, mail, etc.) C’est ensuite ton rectorat/DASEN qui statuera. ✅ 3. Quels sont tes droits en cas d’accident de service ? Si l’accident est reconnu : Congé pour invalidité temporaire imputable au service (CITIS) → maintien intégral du salaire → pas de jours de carence → aucun impact sur carrière/avancement Même si le médecin n’a pas coché « AT », tu peux obtenir le CITIS. ✅ 4. Que faire si ton médecin refuse toujours de mentionner l’accident ? Pas de panique : 👉 Tu peux demander un certificat médical descriptif de tes lésions (il n’a pas à inscrire “accident du travail”). 👉 L’administration se basera dessus pour reconnaître l’accident de service.5 points
-
Il y a des préalables. 1/ Si tu veux attirer les meilleurs, tu donnes un salaire élevé et des perspectives intéressantes en adéquation avec les enjeux énormes tant en terme sociétal qu'économique. Des études documentées font un lien explicite entre rémunération et performance. Je crois à "l'effet maître" plus qu'à des méthodes ou des démarches. 2/ Là encore, des études le démontrent, mais c'est aussi une des clés de la réussite, les effectifs dans les classes. C'est la base, qui agit sur l'atmosphère de la classe également. 3/ Une inclusion sans discernement ni moyen à l'intérieur de classes bétaillères entraînera inéluctablement la maltraitance généralisée et le rejet de l'école de la République par nombre de parents. Que font nos chers dirigeants ? Complément l'inverse. Ils recrutent des contractuels bidons pour la plupart, ils font évoluer nos enfants dans les classes les plus surchargées des pays de l'OCDE et mènent une inclusion low cost indigne. Mais si le niveau s'effondre, c'est à cause des enseignants formés qui pratiquent des méthodes et des démarches obsolètes. Heureusement il y a désormais l'évaluation d'école, du directeur, les constellations, le PPCR, les divers "plans", les dispositifs Phare et autres joyeusetés signe d'une Institution qui va très mal et c'est le BUT! On pourra éditer les livres que l'on veut pour tenter de soigner une Institution malade de décisions politiques mortifères (à dessein), si aucun des préalables cités ne sont remplis, le système poursuivra sa lente agonie, comme l'hôpital public et tant d'autres services publics qui subissent exactement les mêmes stratégies de destruction. Sauf que là ce sont nos enfants qui sont concernés, pas des marchandises, et c'est l'avenir de toute une Nation, un enjeu bien insignifiant pour les nuisibles aux manettes.5 points
-
5 points
-
Un article clair et sans langue de bois sur l'inclusion scolaire systématique et sans moyens. La conclusion de cet extrait mériterait d'être relayée dans les médias, d'autant plus que la situation n'est pas spécifique à l'Eure : « On a 400 élèves en très grand danger » : dans l'Eure, FO alerte sur l'inclusion scolaire systématique4 points
-
Posté(e) il y a 3 minutes Je suis en train de craquer. Les relations avec mon ATSEM sont très compliquées, et je n'ai pas reçu de soutien de ma directrice. Ce soir, je craque. J'ai fait un burn out et je reste fragile. Puis-je faire reconnaître mon état comme imputable à mon travail. Comment faire? Je pense avoir besoin de m'arrêter, vraiment/ Elle m'a conseillé de faire des aménagements pour que mon ATSEM y trouve son compte. Hier, elle est sortie de la classe, me laissant seule avec les enfants, je ne savais pas quand/si elle revenait. Son attitude a été déclarée acceptable. Aujourd'hui, j'isole un élève, sans crier, en lui expliquant que je vois qu'il commence à s'énerver (il est sujet à des crises), elle va le voir. Je suis épuisée moralement et physiquement. J'ai appris que ma directrice avait fait part à l'inspection de mes difficultés relationnelles (?) avec mon ATSEM... sans même m'en prévenir, et sans jamais la recadrer. C'est à moi de faire en sorte que ça se passe mieux. En fait, je subis sans plus rien dire. Je dois ranger tous les ateliers plus passer derrière les enfants pour qu'ils rangent et viennent s'asseoir. Si je lui fais la moindre remarque, elle n'en tient pas compte. J4ai d'ailleurs été invectivée plusieurs fois devant les enfants. Mon médecin peut-il déclarer mon état comme imputable au service? Bref, un arrêt-maladie pour accident du travail? En tout cas, lié au travail. Merci.4 points
-
ne pas citer : J'ai une copine qui a arrêté d'être assistante maternelle pour passer AESH. J'adore ma copine hein. Mais je suis pliée, elle me raconte ce qu'il se passe dans la classe où elle est. Elle suit des enfants dys : alors déjà elle me dit "mais comment c'est possible de telles difficultés?????" ben............... ça fait 10 ans que je te le dis et tu me dis qu'en bossant un peu ça rentre, et qu'il n'y en a pas tant que ça. "Mais attends, y'en a un autre qui met le bazar total dans la classe, l'équipe soupçonne un TDAH mais le dossier MDPH n'est pas passé et en fait je suis obligée de m'en occuper sinon la maitresse peut pas faire classe, c'est hallucinant! Et bien sûr mes 2 dys font rien du coup............... Et le pire c'est qu'en fait il sature, alors je l'emmène faire des puzzles dans une salle vide pour qu'il se reconcentre calmement.............. Vraiment tu imagines!!!!" Ben oui 10 ans que je te dis que c'est grave et que tu me dis "avant on s'en sortait très bien, les enfants n'ont pas changé, maitresse c'est simple, les cadrer c'est simple, les AESH pourraient faire enseignant" (par contre elle m'a jamais cru que les parents étaient ch-----) Et en fait ce que j'apprécie chez elle, c'est qu'elle est allée au bout de ses idées et qu'elle a fait AESH. Et qu'elle ouvre les yeux. Mais oui, personne ne nous croit. J'ai une autre copine ingénieur, qui a tout arrêté et qui fait prof de maths en collège........... Une grosse grosse bosseuse perfectionniste. Elle est top avec les collégiens. Elle galère mais cherche des solutions. J'admire vraiment. 3 ans qu'elle y est. Elle hallucine surtout du prix payé pour faire TOUT ça. Et quand elle me parle des adaptations et autres : la moitié de sa classe où elle est PP en bénéficie mais aucun dossier à jour. Peu de suivis en cours voire Pas de suivi. Et pour en revenir au débat, oui combien d'enfants malheureux sous pretexte d'inclusion, l'enfant en premier (sa famille), les autres élèves dont on ne s'occupe plus , les enseignants, tout le monde morfle. Allégez les classes! Formez les enseignants! Ouvrez de vrais IME IMPRO avec des MOYENS humains et matériels! Ouvrez des cellules psychologiques pour les enseignants! Et arrêtez de dire qu'un élève avec AESH mutualisé a un AESH!!!!!!!!!!!!!!!!!!4 points
-
J'ai été assez affolé en lisant les nouveaux programmes pour la maternelle par tout ce qui concerne les problèmes numériques. J'aborde ici seulement les problèmes "partie-tout". On lit comme exemple de réussite avant 4 ans : - Manifester sa compréhension du problème en réalisant l’action décrite par l’énoncé avec du matériel figuratif. Ce qui montre que, pour les auteurs, un problème est, dès la petite section, une question posée par un texte (pourquoi pas un texte écrit pendant qu'on y est). Les élèves dont le langage est encore peu développé et les allophones apprécieront certainement. Comme Magali Hersant et moi même venons de publier dans la revue Grand N un article expliquant pourquoi les problèmes à texte ne sont pas une bonne idée même en CP, nous ne sommes évidemment pas très enthousiastes pour les importer en PS. On trouve aussi la merveille suivante, cette fois dans la catégorie "à partir de 4 ans" : si l’enseignant déclare « Lilou avait cinq kiwis et elle en a mangé deux, combien de kiwis lui reste-t-il ? », l’élève est capable de verbaliser la réponse sous une forme du type : « Si Lilou avait cinq kiwis et qu’elle en a mangé deux, pour trouver combien de kiwis il lui reste, je recule de deux à partir de cinq : quatre ; trois. Il lui reste trois kiwis ». Je suis un peu injuste car une autre procédure est envisagée mais celle-ci est tout de même merveilleuse. J'en viens à ma demande de collaboration. Il se trouve que je suis co-auteur des "Maths à grands pas" dont une nouvelle édition devrait sortir bientôt. Nous souhaitons inclure dans la nouvelle édition du volume PS-MS une situation qui relève des problèmes "partie-tout", l'idée étant d'éviter que les collègues soient obligés de choisir entre le respect des programmes et l'intérêt de leurs élèves. Nous avons écrit une situation, mais les délais étant très courts (il faut fournir le texte pour la mi-janvier) il nous sera difficile de la tester dans plusieurs classes. C'est pourquoi je joins ici le brouillon qui sera complété ou modifié pour publication. Si des collègues sont intéressés pour tester dans leur classe et me faire part des réussites et des difficultés rencontrées, ainsi que des modifications qu'ils envisageraient, ils auront droit à toute ma gratitude. Compte tenu de la période, le test n'est possible qu'en MS (pour nous, c'est éventuellement envisageable en période 5 de PS, mais surtout adapté à partir de la période 3 de MS). Les deux tours (3) copie.pdfLes deux tours (3) copie.pdf4 points
-
Je joue aussi comme c est bientot noel.. Donc cher papa noel pour mon education nationale j aimerai : plus de prof afin qu on puisse organiser des temps de co intervention dans les apprentissages fondamentaux de la tps a la 3eme. Parce que cher papa noel je le vois bien j enseigne en rep en gs a " seulement " 17 eleves et comme je suis en dedoublee avec cet effectif leger dont 5 eleves ayant un dossier mdph je n ai 1 atsem que 4 h par semaine et 1 enseignant en + 2 h semaine. Autant te dire que lorsqu on est a 2 enseignants avec eventuellement 1 aesh et 1 ou 2 ebep absents pour " soins" par classe mes eleves ont la garantie d avoir 2 temps d apprentissage dans l heure. Parce que bon seule avec 17 et mes 5 ebep avec 1 aesh m a " mi temps" qui devrait etre i pour l un.... ben je fais ce que je peux on peut rever ??? Je demanderai le vrai dedoublement de toutes les classes de la tps a la 3eme parce que bon j ai un peu mauvaise conscience de voir ma collegue galerer avec ses 28 ps dont 6 interrogent par leur comportement mais qu il faut laisser grandir ( hein). Tiens d ailleurs pour le ps suivi a mi temps a l epsan la notif mdph esperee par la mere depuis 8 mois vient de tomber : aesh i sur temps de scolarisation. Elle est contente la maman son fils sera accompagne les 6 h qu il est a l ecole sauf que.....on a 2 aesh qui ne couvrent deja pas les besoins de nos 7 eleves notifies dont 3 avec aesh i et ne couvriront pas plus les notifs des 10 autres demandes en cours. Heureusement mon super ien a la solution : cesser de faire des demandes par le biais des gevasco a la mdph. D ailleurs on n est pas bon on fait trop de demandes donc les pauvres erh et la mdph croulent sous le boulot. 8 mois d attente en moyenne pour qu un gevasco soit etudie. L education nationale a trouve la parade ils mettent en place les PAS pour les eleves non notifies et pour gerer le pool d aesh. C est genial il suffit de faire 1 saisine: 1 prof 1 educateur 1 aesh etudient le dossier, viennent en classe observer ta pratique, te proposent des amenagements hyper pertinents( donner une tablette que tu n as pas ou un telephone eventuellement ton perso a l ebep qui part en cahouette, faire des pictos pour telle autre, mette en place un espace tipi, une roue des emotions, proposer plus d activites artistiques, mettre l exigence pour toute la classe a leur niveau en francais pour qu ils se sentent inclus etc...) en gros ils t expliquent comment te passer d aesh, faire baisser le niveau de ta classe et partir en burn out... accessoirement les 3 conseilleurs sont retires a plein temps du terrain la ou il y a un manque criant de moyen. Donc papa noel si ces 3 la pouvaient etre devant une classe meme en renfort et mettre en place leurs brillantes idees ca nous soulagerait deja. Sinon tu t en doutes cher pere noel j aimerai plus d aesh pour que je n ai plus de cas de conscience pour que tous les eleves a bep de nos ecoles soit bien accompagnes. Parce que pere noel toi et moi on le sait l humain est le meilleur amenagement qui soit. Et puis si je pouvais etre remplacee lorsque je suis " absente" pour ess, pour temps de formation de gs, pour mon entretoen avec l ien... si notre atsem en conge mat eg celle qui a demissionne pouvaient etre remplacees et pas par quelqu un qui demissionne 3 jours apres parce que c est trop dur... si nos aesh pouvaient etre remplaces en cas d absence. D ailleurs pour mes eleves si chaque groupe scolaire voir ecole pouvait avoir son propre rased en etat de marche. Si en plus au sein de nos ecoles on pouvait avoir un ou 2 ortho, 1 as, 1 infirmiere, 1 psy pas juste pour des pseudo bilans... Et puis je reve parce que tu es un vrai magicien ouvrir des places en accueil de jour, en ime, en ulis... Remettre des soignants en pedo psychiatrie, des pediatres en nombre suffisant. Parce que tu sais pere noel je ne suis qu enseignante mais je sais que la pedagogie ne soigne pas. A cote de ca je suis maman de deux jeunes enfants et je pleure lorsqu ils sont malades car mon medecin traitant leur pediatre traitant ne peut les recevoir et je suis obligee d aller a sos medecin qui n assure pas de vrais suivis. Ensuite cher pere noel j aimerai un service de police qui soit present dans les 5 min car la semaine passee je me suis retrouvee a faire barrage de mon corps face a un pere violent qui voulait prendre sa fille de force et qui n en avait pas la garde. Et pere noel ce soir la j ai rendu grace d avoir pu serrer mes enfants dans mes bras a 18h car j ai eu peur de ne plus jamais pouvoir le faire. La police nationale a debarque 20 minutes apres notre appel. Oserai je encore te demander cher pere noel moins de plate forme et d injonctions qui me bouffent un temps fou? Oserai je te demander que les gens comme moi en milieu fin de carriere soit revalorises financierement de maniere consequente sans heure sup ou travaux supplementaires parce que tu sais pere noel c est anxiogene de ne pas savoir si tu pourras boucler ton mois ? Oserai je encore te demander pere noel du temps de formation degage sur notre temps de classe? Oserai je te dire pere noel que si je pouvais me permettre de m arreter de travailler pour me soigner lorsque je tombe malade ca irait peut etre mieux. J aimerai que le choix de perdre 10 pour cent de mon salaire + les jours de carence + l absence de zil ne rentrent pas en compte dans mes choix. Voila pere noel ce que j aimerai pour nos eleves, mes collegues et moi meme...je sais je demande beaucoup mais noel comme disait ma regrettee maman c est une fois l an ! Si tu veux tu peux l etaler sur quelques noels. Je t embrasse bien fort et te souhaite ainsi qu aux collegues qui me liront de belles fetes de fin d annee.4 points
-
Comme l'ont dit les collègues, diminuer le nombre d'élèves par classe serait un premier pas facile à réaliser au vu de la baisse démographique actuelle. J'ajouterais : avoir des rased (maitresses E, G et psy) et des médecins scolaires en nombre suffisants pour traiter les situations avant qu'elles ne deviennent ingérables, des assistants d'éducation et/ou administratifs dans chaque école pour que les enseignants puissent se concentrer sur leur rôle (enseigner). Mais il me semble aussi important de ne pas oublier les services publics de la santé (détection et vraie prise en charge des troubles de plus en plus nombreux) et de l'aide sociale à l'enfance (gestion des problèmes existants et prévention auprès des familles sur les risques liés à l'alimentation (produits ultratransformés notamment), aux écrans, sommeil, etc. Mais tant que l'objectif principal des politiques sera d'enrichir les riches, rien de cela ne pourra pas être mis en place.4 points
-
Bonjour, À compter du 1er mai 2026, l’adhésion à une mutuelle collective devient obligatoire pour les personnels de l’Éducation nationale. Sauf exception, vous n’aurez plus la liberté d’adhésion et de choix pour votre complémentaire santé et vous devrez donc adhérer à la complémentaire santé du groupement MGEN-CNP. Si vous estimez que cette obligation porte atteinte à votre liberté individuelle et/ou qu'elle ne vous permet pas de choisir une couverture santé adaptée, la pétition ci-dessous pourrait vous intéresser : https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/3866 Remarque : vous devrez vous identifier avec France Connect, ce qui garantit que chaque signature est authentique et unique (cela évite les faux comptes et donne à la pétition une valeur légale et institutionnelle).4 points
-
@Josy79il y a les émotions, le ressenti et la charte professionnelle. Quand la posture professionnelle ne convient pas, c'est un point sur lequel on doit intervenir. Pour le reste, je n'ai pas à m'entendre avec les collègues mais dans ce cas je reste professionnelle. Les collègues me le font bien payer, toutes assises ensemble sur un banc, moi toute seule sur un autre. Ça va laisser des traces..4 points
-
Bonjour à toustes 👋 Je propose, avant d'entrer dans le vif du sujet, que nous nous mettions d'emblée d'accord sur le fait qu'en dépit de toute notre bonne volonté, nul n'est infaillible, et que c'est normal. Baissons les boucliers, c'est en paix que j'aimerai ouvrir la discussion autour de ce sujet. Je fais le voeux d'une discussion paisible et respectueuse sur le sujet, comme si nous étions tous en cercle 👥 Le vif du sujet : la bienveillance à l'école. Voire même, agir avec bienveillance à l'école, en tant que professionnels. Je me lance. C'est une thématique importante pour moi, tant sur le plan personnel que professionnel, mais c'est surtout confrontée à l'école que j'ai eu à y réfléchir. Je suis dans le métier depuis 10 petites années. En début de carrière, je voulais bien faire, mais j'étais vite dépassée par les remarques insolentes et les comportements agressifs de certains élèves de cycle 3. Je criais, je faisais des remarques désobligeantes, des réponses acerbes et tranchantes pour faire taire les perturbateurs, j'excluais beaucoup, etc. Le coeur y était, mais pas les actes. Autant dire que c'est un cercle vicieux, on s'en rend compte assez vite quand on a la chance de travailler avec des collègues compétents et centrés sur les enfants. J'ai appris énormément à leur contact, à celui des collègues des dispositifs Ulis, et au contact de partenaires (rased et éducateurs spécialisés tout particulièrement). J'ai été affectée une grande partie de ma courte carrière dans des écoles REP+ et j'ai déchanté en les quittant. On dirait parfois que la recherche de bienveillance est inversement proportionnelle à la complexité de l'école. Avez-vous déjà ressenti ça en expérimentant différentes écoles ? Il m'est très difficile d'aborder le sujet en réel, il y a un déni énorme autour, notamment, des violences éducatives ordinaires. Je ne dois pas être la seule à avoir été confrontée à ça ? Les personnes avec qui j'ai pu évoquer le sujet ont eu des réactions soit d'évitement, de minimisation, voire se sont carrément moquées de moi (pouffer "La bienveillance" en levant les yeux au ciel 😶). Dans le cas qui me concerne aujourd'hui j'ai choisi lâchement de laisser tomber et de faire le mouvement dans l'espoir de tomber à nouveau dans une école plus alignée avec mes valeurs. Pas l'énergie de me battre. Je me sens juste frappée d'un éclair de lucidité : certains collègues n'ont pas encore réalisé que s'ils sont contractuellement là pour enseigner, dans les faits ils seront aussi une figure marquante de la scolarité de chaque enfant rencontré sur leur chemin, pour le meilleur et pour le pire, en dépit de tout. Petit moment de fierté sinon, il y a eu un document en début d'année civile, émis par des pédiatres entre autres et à l'intention des professionnels de la petite enfance. Ça parle de bienveillance, ça donne des recommandations que j'ai toujours vues appliquées, sinon recherchées, dans les équipes des REP+ où j'ai eu la chance d'enseigner précédemment (et qui, je le sais par expérience, donnent des résultats très positifs avec les publics très sensibles). Je me suis sentie validée, voilà. Ça change des haussements de sourcils et des silences réprobateurs. Qui d'autre est intéressé pour discuter ?4 points
-
Julien Doré à Bercy hier soir ! Quel showman ! De l'émotion, du rire, très chouette concert ! Il avait annoncé que la première partie était une surprise ! Mais alors quelle surprise : Ben Mazué ! 😍 Je n'en croyais pas mes yeux ! Bref, une super soirée !4 points
-
En somme vous demandez à des professionnels de la formation diplômés à minimum bac+5 en quoi une entreprise privée peut les aider à faire ce dans quoi ils sont experts.4 points
-
Ce que j'essayais de dire, c'est que les violences éducatives, selon à qui on demande ce que c'est, vont beaucoup plus loin que tout ça: à l'école, c'est les passages aux toilettes collectifs et obligatoires, 30 petites sections dans une classe avec deux adultes, les évaluations nationales, les horaires, le manque de sommeil... A la maison, c'est un calin ou un bisou non désiré, l'obligation de manger des légumes et que sais-je encore,.... Ce n'est pas juste une question de posture et d'attitude personnelle, ça fait partie de la vie et ça durera tant qu'on ne changera pas de modèle de société.4 points
-
Ah non, personnellement, je n'ai jamais reçu la moindre info concernant le sujet. Je sais bien que nul n'est censé ignorer la loi, mais je considère que notre hiérarchie devrait nous former là-dessus. Or, de mon point de vue, on est complètement livrés à nous-mêmes concernant le sujet. Je pense qu'on est tous d'accord pour dire qu'il faut bannir toute forme de violence. Cependant, débattre sur le sujet demande forcément à les définir précisément, à en faire une liste. Or c'est impossible de lister chaque comportement humain puisque la diversité des situations est infinie. Ce que tu vas considérer comme une violence éducative peut ne pas en être pour quelqu'un d'autre. Moi-même, je trouve inconcevable et révoltant d'infliger des punition sans rapport avec l'acte (copier des lignes, priver de récréation,...). Pourtant des collègues continue de pratiquer ça justement parce qu'ils trouvent cela non violent. D'un autre côté, je trouve acceptable de pousser une "gueulante", courte, mesurée, contre un élève objectivement insupportable, alors que d'autres vont tout faire pour ne pas exprimer la moindre émotion négative quitte à se faire marcher sur les pieds, et à en trembler et à pleurer après la classe, parce qu'ils trouvent violent de demander de manière ferme à un élève le même respect qu'on lui témoigne au quotidien. La difficulté de discuter du sujet vient peut-être du fait que celui-ci est mal défini. Ceci étant dit, rabaisser, humilier, exclure, harceler, frapper,... c'est non, mais ça me semble une évidence, non?4 points
-
Et à cause de ce deal, d'autres mutuelles bien plus couvrantes et beaucoup moins chères risquent de mourir.4 points
-
A quand une grand consultation sur le nombre d'élèves par classe ? Sur l'inclusion low cost? Sur les millions heures de cours perdues à jamais car plus de remplaçants ? Sur notre salaire pour attirer les meilleurs ? Sur l'état du bati scolaire en France? Sur le bruit? La température dans les classes ?3 points
-
C'est bien pour cela que les fiches RSST, les écrits à l'IEN, les faits établissements, doivent être réalisées en cas de dysfonctionnement (et je ne parle même pas des mains courantes ou des plaintes). Cela laisse des traces et nous protège, même si dans un premier temps on a l'impression que cela ne sert à rien... Tu pourrais demander la protection fonctionnelle vu que cette personne ou ces personnes sont toxiques et te rendent malade. A ce stade ce n'est plus la peine de trouver des solutions "pédagogiques", "de fonctionnement" ou autres, il faut une réponse plus radicale en ta faveur.3 points
-
Bonjour, Un fait établissement concerne une situation précise, pas un événement récurrent. Dans le cas que tu décris, je conseille de faire une fiche SST. L'IEN est obligé d'y répondre. Bon courage3 points
-
Honnêtement, je n'ai pas lu tous les messages précédents et un peu en diagonale... Mais la bienveillance c'est quoi ? Certainement pas un mot revêtant le même sens et les mêmes postures chez les collègues. On a un/e collègue qui pousse des gueulantes brèves sur des élèves perturbateurs et violents, qui tient des propos fermes et contrôlés, et qui pense être dans la bienveillance à l'égard de sa classe dans sa globalité en cadrant de cette manière. On a un/e collègue qui a une approche d'échange positif avec des élèves perturbateurs et violents, qui les prend à part, ne leur dit jamais "non", a des propos calmes tout en explication et mesure et qui pense être dans la bienveillance à l'égard de ces élèves. D'autres vont considérer que l'enseignant/e qui gueule, ce n'est pas professionnel et ce n'est pas bienveillant. D'autres vont penser que l'enseignant/e dans la positivité est dans le laxisme et que ce n'est pas bienveillant. Ceux et celles qui ne sont pas dans la "bienveillance" seraient-ils donc malveillant/e/s ? On veille à la sécurité (affective, physique...) des élèves, on met en place des situations qui favorisent la vie ensemble, mais je ne pense pas qu'on "bienveille".3 points
-
C'est tout le contraire : ce n'est pas un problème de s'identifier avec France Connect et c'est même souhaitable. C’est ce qui garantit que chaque signature est authentique et unique. Cela évite les faux comptes et donne à la pétition une valeur légale et institutionnelle.3 points
-
Voici quelques petits bijoux de la langue française que vous ne connaissiez peut-être pas… Le plus long mot palindromique de la langue française est « ressasser ». C'est-à-dire qu’il se lit dans les deux sens. « Institutionnalisation » est le plus long lipogramme en « e » C'est-à-dire qu'il ne comporte aucun « e ». L'anagramme de « guérison » est « soigneur » C'est-à-dire que le mot comprend les mêmes lettres. « Endolori » est l'anagramme de son antonyme « indolore », ce qui est paradoxal. « Squelette » est le seul mot masculin qui se finit en « ette » « Où » est le seul mot contenant un « u » avec un accent grave. Il a aussi une touche de clavier à lui tout seul ! Le mot "simple" ne rime avec aucun autre mot. Tout comme "triomphe", "quatorze", "quinze", "pauvre", "meurtre", "monstre", "belge", "goinfre" ou "larve". « Délice », « amour » et « orgue » ont la particularité d'être de genre masculin et deviennent féminin à la forme plurielle. (Toutefois, peu sont ceux qui acceptent l'amour au pluriel !!) « Oiseaux » est, avec 7 lettres, le plus long mot dont on ne prononce aucune des lettres : [o], [i], [s], [e], [a], [u], [x] . « oiseau » est aussi le plus petit mot de langue française contenant toutes les voyelles. APOPHTEGME : (prononcer « apoftègme ») Un APOPHTEGME est un précepte, une sentence, une parole mémorable ayant valeur de maxime. Si le mot « apophtegme » est difficile à prononcer ou à écrire, il devient un plaisir quand on en lit un ! Quelques exemples... L'homme descend du songe. (Georges Moustaki) Elle était belle comme la femme d'un autre. (Paul Morand) L'enfant est un fruit qu'on fit. (Leo Campion) Dis moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu hais. (Francis Blanche) Quand il y a une catastrophe, si on évacue les femmes et les enfants d'abord, c'est juste pour pouvoir réfléchir à une solution en silence. (Winston Churchill) La tolérance, c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms. (Michel Audiard) L’expérience est l’addition de nos erreurs. C’est mathématique : Un cocu est un entier qui perd sa moitié pour un tiers. (Jean Carmet) Passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet. (G. Courteline) Tout le monde pense ; seuls les intellectuels s’en vantent. (Philippe Bouvard) Le jour ou Microsoft vendra quelque chose qui ne se plante pas, je parie que ce sera un clou. Elle est tellement vieille qu'elle a un exemplaire dédicacé de la Bible. La chute n’est pas un échec. L’échec c’est de rester là où on est tombé. (Socrate) Quand Rothschild achète un Picasso, on dit qu'il a du goût. Quand Bernard Tapie achète un tableau, on demande où il a trouvé les ronds. Si la Gauche en avait, on l'appellerait la Droite. (Reiser) Si on ne faisait les choses qu’après y avoir mûrement réfléchi, on ne coucherait jamais avec personne. (Ray Bradbury) "Parlement"… mot étrange formé de "parler" et "mentir". (Pierre Desproges) Quand un couple se surveille, on peut parler de "communauté réduite aux aguets". Lorsque un minable attaque un autre minable, il faut s’attendre à "une guerre interminable". Il y a trois sortes de personnes : Celles qui savent compter et celles qui ne savent pas. Un trou noir c’est troublant. Il faisait tellement froid que j’ai vu un socialiste avec les mains dans ses propres poches. Mieux vaut être une vraie croyante qu’une fausse sceptique. Mieux vaut être un papa au rhum qu’un gâteux sec. N'attendez pas la solution de vos problèmes des hommes politiques puisque ce sont eux qui en sont la cause (Alain Madelin) Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. (J-B. Bossuet) Pardonner, c’est refuser de rester une victime. On peut donner le bonheur sans l’avoir... c’est d’ailleurs comme cela qu’on l’acquiert. (Voltaire)3 points
-
Merci @Chakana 🙂 Je viens de trouver cet article. Je ne l'ai pas lu en entier mais c'est très parlant. Je me lis dès les premières lignes. https://shs.cairn.info/revue-retraite-et-societe-2017-2-page-87?lang=fr Bonne journée !3 points
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
