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Posté(e)
De toute manière il faut savoir que même le syndicat qui se dit majoritaire ne représente même pas un enseignant sur cinq... cela laisse r^veur sur leur crédit et leur réel capacité à négocier pour tout le monde. Quand les syndicats entonnent le sempiternel "Les collègues veulent...." ou "les collègues ne veulent pas..." on est en droti de se demander d'où ils sortent cela.

Le seul sondage fait pas un institut indépendant à montrer que 93% des directeurs veulent un statut !

Ca c'est de l'analyse fine et non partiale...Ah! l'utilisation des chiffres!

N'empêche que mépriser un vote démocratique ou des représentants sont éluspar une profession entière et qui exercent un mandat légitime et le comparer à un sondage (anonyme?)auquel ont répondu 25% des dirlos pour s'en servir comme tu le fais, c'est une façon de penser...

Tu me permettras tout de même d'ajouter que ce sondage, pour intéressant qu'il soit, ne s'adressait qu'aux directeurs alors que c'est la profession entière qui est concernée.

Peut-être en effet que ce sondage ne s'adressait qu'aux directeurs mais je pense quand mm que dans ce cas là ce sont quand même eux qui étaient le mieux à même de répondre non??? Je ne suis pas certaine que beaucoup d'adjoints se rendent réellement compte de la réalité de notre fonction, de l'ambiguïté qu'il y a derrière...

Combien de fois un adjoint a-t-il eu à expliquer à un parent ou un membre de sa famille que le directeur d'une école ne peut par exemple rien dire si un adjoint " ne fait rien dans sa classe"... Moi je l'explique régulièrement et je peux t'assurer que les personnes à qui je l'explique tombe des nues et se demandent bien à quoi sert ce titre qui ne correspond à rien de la réalité du monde "extérieur".

Dans la vie hors EN , un directeur dirige.... et ce n'est qu'un exemple.

Je ne réclame absolument pas de pouvoir diriger, j'aimerai juste que les choses soient claires aux yeux de tous :sad: car là, les parents, notamment ,ne comprennent pas et puis j'avoue en avoir un peu marre moi d'être le disjoncteur d'un système...Quand tout va bien , on ne dit pas à un directeur qu'il fait bien son travail par contre dès que quelque chose va de travers c'est toujours sur le directeur qu'on vient "taper"... Cherchez l'erreur...

Posté(e)

merci bien

Posté(e)
Ca c'est de l'analyse fine et non partiale...

Paroles d’expert, Balkis !

Et, en la matière, tu viens de commettre une jolie perle…

Quand Helenel dit que « le syndicat qui se dit majoritaire ne représente qu’un enseignant sur cinq » cela reste une réalité arithmétique.

Que cela te plaise où non, le SNUipp a recueilli 28,46 % des instits du premier degré…Point barre…

Et pas de quoi là se taper le derche par terre : le même arithmétique implacable reconnaît que 71,54 % des enseignants du primaire ne se reconnaissent pas dans les thèses et les propositions de SNU…

Bien sur, ils restent élus…

Bien sur, la représentativité syndicale se mesure à l’étiage des voix exprimées, non des inscrits…

Bien entendu, personne ne remet en cause la légitimité du vote.

Par contre, très sereinement, sans la moindre angoisse, je dénie à tout syndicat, quel qu’il soit, le droit de décréter doctement « les personnels veulent ceci », « les collègues ne veulent pas cela »…

Sur la forme, avec aussi peu d’adhérents, et si peu d’électeurs, je ne vois pas ce qui leur donne compétence pour avancer d’aussi belles vérités d’Evangile. Vérités d’Evangile qui, aux yeux du mécréant que je suis, sont autant de mensonges…

Sur le fond, y aurait-il 99 % de votants aux élections que cela ne changerait rien à quelques principes de base, un peu trop oubliés :

- le rôle d’un syndicat est de défendre tous les personnels, pas de défendre leurs petits postulats idéologiques

- le rôle d’un syndicat est de nous représenter, pas de nous présenter leurs dogmes

- le rôle d’un syndicat est d’être à l’écoute de sa base, et de ses revendications, de l’interroger, de lui donner la parole,et non de nier tout propos politiquement incorrect aux chastes oreilles de quelques apparatchiks…

En la matière, on peut saluer l’initiative du SE-UNSA qui est le seul syndicat à ma connaissance à avoir donné la parole aux collègues et vient de publier les résultats de son enquête. Enquête qui, curieusement, donne les mêmes résultats que le sondage que le GDID avait fait réaliser par l’IFOP en 2006.

Quand à prétendre que la parole des dirlos n’est d’aucun poids puisque ce serait « la profession entière qui est concernée », désolé, mais c’est une foutaise…

La profession entière ? Ben voyons…

En matière de direction d’école, la parole d’un IEN vaudrait autant que la mienne ?

L’avis d’un conseiller pédagogique qui n’a plus vu de gamins depuis 10 ans, aurait le même poids que le mien ?

Le psychologue scolaire de mon Rased pourrait avoir sur la direction d’école des idées meilleures que les miennes ?

Et la Brigade qui a fait un rempla de deux jours dans mon école, en septembre dernier, pourrait savoir mieux que moi ce qui serait bon pour les dirlos ?

Foutaises…

« La terre appartient à ceux qui la travaillent » C’est d’un bonhomme nommé Zapata et ça reste toujours vivant…

Et c’est aux dirlos, et à eux seuls, de déterminer ce qu’ils veulent…

Thierry Fabre

Posté(e)
Ca c'est de l'analyse fine et non partiale...

Paroles d'expert, Balkis !

Et, en la matière, tu viens de commettre une jolie perle…

Quand Helenel dit que « le syndicat qui se dit majoritaire ne représente qu'un enseignant sur cinq » cela reste une réalité arithmétique.

Que cela te plaise où non, le SNUipp a recueilli 28,46 % des instits du premier degré…Point barre…

Et pas de quoi là se taper le derche par terre : le même arithmétique implacable reconnaît que 71,54 % des enseignants du primaire ne se reconnaissent pas dans les thèses et les propositions de SNU…

Bien sur, ils restent élus…

Bien sur, la représentativité syndicale se mesure à l'étiage des voix exprimées, non des inscrits…

Bien entendu, personne ne remet en cause la légitimité du vote.

Par contre, très sereinement, sans la moindre angoisse, je dénie à tout syndicat, quel qu'il soit, le droit de décréter doctement « les personnels veulent ceci », « les collègues ne veulent pas cela »…

Sur la forme, avec aussi peu d'adhérents, et si peu d'électeurs, je ne vois pas ce qui leur donne compétence pour avancer d'aussi belles vérités d'Evangile. Vérités d'Evangile qui, aux yeux du mécréant que je suis, sont autant de mensonges…

Sur le fond, y aurait-il 99 % de votants aux élections que cela ne changerait rien à quelques principes de base, un peu trop oubliés :

- le rôle d'un syndicat est de défendre tous les personnels, pas de défendre leurs petits postulats idéologiques

- le rôle d'un syndicat est de nous représenter, pas de nous présenter leurs dogmes

- le rôle d'un syndicat est d'être à l'écoute de sa base, et de ses revendications, de l'interroger, de lui donner la parole,et non de nier tout propos politiquement incorrect aux chastes oreilles de quelques apparatchiks…

En la matière, on peut saluer l'initiative du SE-UNSA qui est le seul syndicat à ma connaissance à avoir donné la parole aux collègues et vient de publier les résultats de son enquête. Enquête qui, curieusement, donne les mêmes résultats que le sondage que le GDID avait fait réaliser par l'IFOP en 2006.

Quand à prétendre que la parole des dirlos n'est d'aucun poids puisque ce serait « la profession entière qui est concernée », désolé, mais c'est une foutaise…

La profession entière ? Ben voyons…

En matière de direction d'école, la parole d'un IEN vaudrait autant que la mienne ?

L'avis d'un conseiller pédagogique qui n'a plus vu de gamins depuis 10 ans, aurait le même poids que le mien ?

Le psychologue scolaire de mon Rased pourrait avoir sur la direction d'école des idées meilleures que les miennes ?

Et la Brigade qui a fait un rempla de deux jours dans mon école, en septembre dernier, pourrait savoir mieux que moi ce qui serait bon pour les dirlos ?

Foutaises…

« La terre appartient à ceux qui la travaillent » C'est d'un bonhomme nommé Zapata et ça reste toujours vivant…

Et c'est aux dirlos, et à eux seuls, de déterminer ce qu'ils veulent…

Thierry Fabre

Merci :blush:

Posté(e)

[En matière de direction décole, la parole dun IEN vaudrait autant que la mienne ?

Lavis dun conseiller pédagogique qui na plus vu de gamins depuis 10 ans, aurait le même poids que le mien ?

Le psychologue scolaire de mon Rased pourrait avoir sur la direction décole des idées meilleures que les miennes ?

Et la Brigade qui a fait un rempla de deux jours dans mon école, en septembre dernier, pourrait savoir mieux que moi ce qui serait bon pour les dirlos ?

Foutaises…

« La terre appartient à ceux qui la travaillent » Cest dun bonhomme nommé Zapata et ça reste toujours vivant…

Et cest aux dirlos, et à eux seuls, de déterminer ce quils veulent…

Thierry Fabre

En même temps, il est bon de ne pas oublier que parmi ces adjoints, TR, ... etc, se trouvent d'ex directeurs qui ont abandonné la fonction, souvent, pour les raisons qui font que les directeurs actuels se battent. Ils peuvent donc ajouter de l'eau à leur moulin.

Posté(e)

[salut

j'ai fait la même chose que toi pour pouvoir avoir une classe et le poste à 700 m de chez moi il y a 2 rentrée de cela

je suis donc comme toi T4 et directrice d'une école rurale de 7 classes.

la première année j'ai fait fonction demande mon inscription sur la liste d'aptitude. par contre je n'ai pas passer d'entretien l'IEN a accepté et comme c'était l'année d l'inspection il a rajouter un point positif sur mes motivations dans mon rapport.

ainsi j'ai pu avoir la formation de directeur et j'ai bien sûr ré-obtenu mon poste sans souci.

voila

j'ai un quart de décharge cela faisait partie des conditions pour que j'accepte de prendre un direction.

c'est beaucoup de travail surtout à la rentrée et en fin d'année mais c'est intéressant et je pense qu'il vaut mieux le faire en début qu'en fin de carrière.

J'avais entendu que quelqu'un nommé sur un poste de direction mais n'étant pas sur la liste d'aptitude ne faisait pas fonction mais que c'était un des PE de l'école qui faisait fonction en général celui qui avait le plus d'ancienneté dans l'école. Je me pose cette question parce que je suis dans une école à 9 classes (un seul quart de décharge) et la directrice veut partir. Hors personne ne veut la place dans l'école, et j'ai peur que ça tombe sur moi (même si je e suis pas vraiment la plus ancienne). Je serais vraiment rassurée de savoir que la personne nommée sur ce poste pourrait faire fonction. Parce que j'ai l'intention de refuser si l'ien me propose le poste et je sais que refuser peut entraîner une sanction (détournée bien sûr, lors de l'inspection suivante par exemple).

Posté(e)

[salut

j'ai fait la même chose que toi pour pouvoir avoir une classe et le poste à 700 m de chez moi il y a 2 rentrée de cela

je suis donc comme toi T4 et directrice d'une école rurale de 7 classes.

la première année j'ai fait fonction demande mon inscription sur la liste d'aptitude. par contre je n'ai pas passer d'entretien l'IEN a accepté et comme c'était l'année d l'inspection il a rajouter un point positif sur mes motivations dans mon rapport.

ainsi j'ai pu avoir la formation de directeur et j'ai bien sûr ré-obtenu mon poste sans souci.

voila

j'ai un quart de décharge cela faisait partie des conditions pour que j'accepte de prendre un direction.

c'est beaucoup de travail surtout à la rentrée et en fin d'année mais c'est intéressant et je pense qu'il vaut mieux le faire en début qu'en fin de carrière.

J'avais entendu que quelqu'un nommé sur un poste de direction mais n'étant pas sur la liste d'aptitude ne faisait pas fonction mais que c'était un des PE de l'école qui faisait fonction en général celui qui avait le plus d'ancienneté dans l'école. Je me pose cette question parce que je suis dans une école à 9 classes (un seul quart de décharge) et la directrice veut partir. Hors personne ne veut la place dans l'école, et j'ai peur que ça tombe sur moi (même si je e suis pas vraiment la plus ancienne). Je serais vraiment rassurée de savoir que la personne nommée sur ce poste pourrait faire fonction. Parce que j'ai l'intention de refuser si l'ien me propose le poste et je sais que refuser peut entraîner une sanction (détournée bien sûr, lors de l'inspection suivante par exemple).

Je ne vais pas te rassurer, il n'y a que les listes complémentaires et les sortants IUFM qui peuvent réellement dire non (quoi que...) pour tous les autres l'ien peut proposer et toi tu peux refuser, il n'a pas le pouvoir de t'obliger mais il peut faire en sorte que tu sois quasi obligé d'accepter...Je ne suis pas si je suis claire , en gros oui tu peux refuser et oui il peut t'embêter mais bon y'a aussi des représentants du personnel pour te défendre s'il est manifeste qu'il y a une pression à l'inspection par exemple...

Posté(e)

En matière de direction d’école, la parole d’un IEN vaudrait autant que la mienne ?

L’avis d’un conseiller pédagogique qui n’a plus vu de gamins depuis 10 ans, aurait le même poids que le mien ?

Le psychologue scolaire de mon Rased pourrait avoir sur la direction d’école des idées meilleures que les miennes ?

Et la Brigade qui a fait un rempla de deux jours dans mon école, en septembre dernier, pourrait savoir mieux que moi ce qui serait bon pour les dirlos ?

Foutaises…

« La terre appartient à ceux qui la travaillent » C’est d’un bonhomme nommé Zapata et ça reste toujours vivant…

Et c’est aux dirlos, et à eux seuls, de déterminer ce qu’ils veulent…

Thierry Fabre

Pour ma part, je me sens "autant" dirlo que PE, et tous mes collègues PE sont des dirlos potentiels (et réciproquement).

Alors, si l'on doit se prononcer sur l'organisation de l'école, et notamment sur le rôle du dirlo, ce serait un véritable déni de démocratie et un coup de force que de laisser "aux dirlos, et à eux seuls, déterminer ce qu’ils veulent". Pour l'instant, tous les PE et instits (dont les dirlos) sont concernés.

Maintenant, tout cela n'empêche pas que les dirlos puissent avoir des revendications "propres" en terme de conditions de travail, tout comme, par exemple, les instits de maternelle (ou de spécialsé) puissent en avoir certaines qui soient différentes de celles des instits d'éléméntaire.

Posté(e)

J’ai des idées, ou j’ai des idées-au-logis ?

Dans le second cas, elles sont logées à bien mauvaise enseigne…

Et c’est de l’idéologie, et pas de la meilleure, que de partir d’une réalité indéniable pour en tirer des conclusions totalement infondées…

La réalité…

On est tous PE ?

Ben oui, la belle affaire… On est quelques centaines de milliers à le savoir.

Chaque PE peut devenir dirlo ?

Ben oui, à ceci près qu’ils ne se bousculent guère au portillon, à en juger par les 10 % d’écoles non pourvues chaque année…

Chaque dirlo peut redevenir PE ?

Ben oui, et ils ne s’en privent pas, tant l’absence de toute reconnaissance matérielle, financière de leur métier épuise les plus endurcis…

Les dirlos veulent-ils rester dans le statut de PE ?

Non, à une immense majorité, confirmée à chaque enquête, à chaque sondage, ils demandent un statut spécifique… Ca, c’est la réalité

L’idéologie…

On est tous PE, on est tous une chouette bande de joyeux copains et il est donc normal que chacun ait droit à la parole sur la direction d’école, surtout celles et ceux qui ne l’assument pas…

Fort bien, pourquoi pas ?

Sauf que, c’est curieux, cette logique ne s’applique qu’aux seuls dirlos. Pour eux, et pour eux seuls, il faudrait que ce soit l’ensemble de « la profession » qui décide de notre métier…

Les conseillers péda sont des PE comme les autres ?

Oui, mais quand, en mai 2009, on modifie leurs missions pour y ajouter le devoir de « fournir des éléments d'appréciation documentés sur l'activité des personnels enseignants. », on a oublié de consulter toute « la profession »…

Les membres du Rased sont de instits comme les autres ?

Oui, mais quand il s’agit d’aller au charbon pour les défendre, aucun syndicat n’a songé à consulter « la profession » sur le devenir des Rased. Bien au contraire, ces mêmes syndicats ont surtout travaillé avec les associations des collègues du Rased (FNAME, FNAREN, AFPS, etc…)

Logique donc à deux vitesses et joli principe que l’on voudrait appliquer aux seuls dirlos. Tout au plus nous ferait-on la charité d’admettre que nous puissions avoir nos « propres » revendications, sous réserve, ça va sans dire :

- qu’elles soient politiquement correctes

- qu’elles passent en dernier, il y a tellement de plus urgentes

- qu’elles soient acceptables aux yeux des dogmes établis

- et que l’ensemble de la profession, de l’IEN au Tit Mob, du conseiller péda au psy scol, de l’IA à l’EVS soient tous d’accord…

Autant dire jamais…

Je dis donc, répète et maintiens très tranquillement : la terre appartient à ceux qui la travaillent…

Thierry fabre

Posté(e)

Les membres du Rased sont de instits comme les autres ?

Oui, mais quand il s’agit d’aller au charbon pour les défendre, aucun syndicat n’a songé à consulter « la profession » sur le devenir des Rased. Bien au contraire, ces mêmes syndicats ont surtout travaillé avec les associations des collègues du Rased (FNAME, FNAREN, AFPS, etc…)

Thierry fabre

Les membres du Rased demandent un statut pour sortir du corps des PE ? Non... Quel rapport avec la question ?

Logique donc à deux vitesses et joli principe que l’on voudrait appliquer aux seuls dirlos. Tout au plus nous ferait-on la charité d’admettre que nous puissions avoir nos « propres » revendications, sous réserve, ça va sans dire :

- qu’elles soient politiquement correctes

- qu’elles passent en dernier, il y a tellement de plus urgentes

- qu’elles soient acceptables aux yeux des dogmes établis

- et que l’ensemble de la profession, de l’IEN au Tit Mob, du conseiller péda au psy scol, de l’IA à l’EVS soient tous d’accord…

Autant dire jamais…

En faisant les questions et les réponses, on est sûr de trouver les arguments qui vont bien. Reste à prouver, bien entendu, que les revendications des dirlos ne sont admises (par qui d'ailleurs?) que sous réserve qu’elles soient politiquement correctes, qu’elles passent en dernier, qu’elles soient acceptables aux yeux des dogmes établis, et que l’ensemble de la profession, de l’IEN au Tit Mob, du conseiller péda au psy scol, de l’IA à l’EVS soient tous d’accord. (Par parenthèse, je ne savais d'ailleurs pas que les IEN, les IA et les EVS faisaient partie du corps des PE ou instits, mais passons).

Bref, c'est bien l'ensemble du corps qui doit se prononcer au sujet de la problématique des directeurs d'école. Et ceux-ci, en faisant partie, ont bien entendu leur mot à dire.

Posté(e)
ceux-ci, en faisant partie, ont bien entendu leur mot à dire.

C'est vraiment trop gentil de ta part, Jean...

Les dirlos auront ainsi, grâce à toi, la possibilité de dire un petit mot sur leur propre métier ?

On aura, nous aussi, un temps de parole ?

Ton Altesse est trop bonne...

Bien sur, notre 45 000 petites voix risquent d'être un tantinet noyées parmi les 346 000 voix de notre grand corps malade.

Bien sur, faire décider ce que doit être la direction d'école par des personnels n'ayant jamais été dirlos, n'y connaissant rien et ne souhaitant pas le devenir paraît moins logique que de demander aux premiers concernés ce qu'ils en pensent.

Bien sur, on appliquera cette règle d'Or aux seuls dirlos. Pour les autres catégories, on continuera à s'adresser aux collègues concernés, et à eux seuls...

On continuera donc de porter la parole des directrices et directeurs d'école, puisque d'autres leur refusent ce droit, tout comme on continuera à dire que seuls ce qui font (ou ont fait, Goellette) ce métier ont validité à en parler...

Thierry fabre

Posté(e)

C'est vraiment trop gentil de ta part, Jean...

Les dirlos auront ainsi, grâce à toi, la possibilité de dire un petit mot sur leur propre métier ?

On aura, nous aussi, un temps de parole ?

Les dirlos ont toujours eu (et ont encore) la possibilité de dire un mot (et même plus d'un)sur leur métier.

Une chose est de s'exprimer dans ce cadre, une autre est de vouloir la disparition de ce métier: et là, je le répète, tous les PE/instits sont concernés, ne t'en déplaise...

On continuera donc de porter la parole des directrices et directeurs d'école, puisque d'autres leur refusent ce droit, tout comme on continuera à dire que seuls ce qui font (ou ont fait, Goellette) ce métier ont validité à en parler...

Le principe de "la terre appartient à ceux qui la travaillent" est donc à géométrie variable: dirlos, ceux qui le sont mais aussi ceux qui l'ont été ?

Et alors pourquoi pas ceux qui le seront ?

De ce point de vue, on est alors d'accord. Nous avons tous notre mot à dire.

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